Le salon d’art contemporain du Secours populaire, Solid’Art, revient pour une
3ème édition au Carreau du Temple à Paris. Du 2 au 5 mai, 110 artistes exposent
et vendent leurs œuvres dans une démarche solidaire au profit de l’association.
La 3ème édition de « Solid’Art Paris », salon d’art contemporain du Secours
populaire, se tient du 2 au 5 mai 2024 au Carreau du Temple dans le quartier du
Marais, sur 1 800 m² d’exposition.
Durant 4 jours, 110 artistes (peintres, sculpteurs, photographes,
street-artistes…) seront présents pour collecter des dons pour l'association. Le
parrain de cette nouvelle édition n'est autre que Hom Nguyen, artiste
franco-vietnamien de renommée internationale.
Les fonds récoltés seront convertis en « journées vacances offertes » afin de
faire partir un maximum d’enfants cet été. Encore aujourd’hui, 1 enfant sur 3 ne
part pas en vacances. Par ailleurs, cette année et dans le cadre des JO Paris
2024, une partie des fonds collectés sur le salon seront convertis en « billets
solidaires » offerts aux enfants accompagnés par le Secours populaire de Paris.
L'entrée à l'événement est gratuite. De nombreux temps forts, animés par des
artistes, sont proposés durant l'événement pour apporter une dimension ludique
et interactive aux visiteurs. Venez pousser la porte du Carreau du temple !
D'Or, d'Argent, de Bronze : une Histoire de la Médaille Olympique
08april
-22september
11 Quai De Conti, 75006 Paris, France
Description
L'exposition 'D'Or, d'Argent, de Bronze : une Histoire de la Médaille Olympique' au Musée de la Monnaie de Paris, Paris 6e, retrace l'évolution de la médaille olympique à travers les éditions des Jeux Olympiques et Paralympiques modernes. De l'Antiquité à nos jours, découvrez l'instant de la victoire et de la récompense symbolisé par la médaille, les objets, images et archives qui contextualisent cet événement. Plongez dans l'univers de la médaille olympique et son rôle emblématique, soulignant l'implication de la Monnaie de Paris dans la création de ces objets prestigieux. Ne manquez pas cette exposition unique !
Histoire
Information sur la date
Du mercredi 27 mars 2024 au dimanche 22 septembre 2024
Billets
Info:
Prix : De 8.00 € à 12.00 €
1 Photo
Événements suggérés
Artiste contemporain d’origine néerlandaise, Levi van Veluw vous propose de
venir découvrir son monde intérieur lors d’une exposition personnelle intitulée
« We do not remember ». C’est à découvrir gratuitement à la galerie Les Filles
du Calvaire à Paris du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024.
Levi van Veluw, vous connaissez ? Artiste contemporain et pluridisciplinaire,
Levi van Veluw est à l’origine de plusieurs œuvres comprenant des photographies,
des vidéos, des sculptures, des installations ou encore des dessins. Né en 1985,
l’artiste néerlandais a déjà reçu plusieurs prix dont celui du photographe de
l'année aux IPA International Photo Awards aux États-Unis, ainsi que le prix du
public De Volkskrant Beeldende Kunst prijs au Stedelijk Museum Schiedam.
Ce printemps, la galerie Les Filles du Calvaire lui offre sa première exposition
personnelle à Paris. A découvrir dans le 3e arrondissement de la capitale du
jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024, cet événement artistique entend plonger le
visiteur dans le monde intérieur de Levi van Veluw, retranscrit à travers des
installations monumentales et insolites ainsi que des sculptures intimistes.
Avec cette exposition gratuite, intitulée "We do not remember", Levi van Veluw
entend surprendre les passants en transformant la vitrine de la galerie en une
œuvre d'art, réalisée à partir de 120 répliques de sa propre effigie.Un peu plus
loin dans la galerie Les Filles du Calvaire, au centre plus exactement, Levi van
Veluw a imaginé une installation monumentale prenant la forme d’un objet
cylindrique de 6 mètres de haut et traversant les deux étages de la galerie. Sur
les murs de cette pièce, des étagères dévoilent des centaines de têtes, du haut
jusqu'en bas.
Outre ces deux installations insolites, Levi van Veluw compte également exposer
des sculptures, des dessins ou encore des films autobiographiques, directement
inspirés de ses souvenirs d'enfance. À travers ses différentes œuvres, qui
remettent en question notre logique humaine, Levi Van Veluw interpelle et nous
invite à nous interroger notamment sur l’obsession du contrôle et la recherche
d’infini.
Rendez-vous du 2 mai au 8 juin 2024 à la Galerie Les Filles du Calvaire à Paris
pour découvrir ces œuvres et installations signées Levi van Veluw.
Jusqu'au 7 mai 2023, la célèbre comédie musicale Le Roi Lion fait danser la
scène du théâtre Mogador à Paris. Des personnages attachants, des chansons
inoubliables... Un spectacle à partager avec toute la famille !
Célèbre pour ses toiles tressées, l'artiste Fran?ois Rouan expose cette fois-ci
à la galerie Templon une
quarantaine de tableaux photographiques inédits créés depuis 2020.
Pendant près de 40 ans, Rouan s'attache à la déconstruction de la notion de
tableau, à travers un
procédé nouveau qui deviendra sa marque de fabrique : le tressage pictural.
Cependant, dès la fin des années 1980, il se tourne vers la photographique, un
procédé qu'il explore et détourne sans relâche depuis 25 ans, en parallèle de
son travail de peintre.
L'exposition déploie une série d'oeuvres photographiques de petit format. Fruits
d'une insatiable expérimentation et exploration d'un medium insaisissable, les
clichés retravaillés se déclinent autour d'une palette volontairement
dépouillée. Tout en retenue, le noir et blanc se marie de temps à autre avec des
nuances corail ou saumon. Cette apparente simplicité chromatique laisse ainsi la
part belle à quelques-uns des questionnements métaphysiques et obsessionnels de
l'artiste : l'image du corps et le mystère de l'origine du monde. « Je suis
intéressée par l'idée de construire un cadre qui parle du corps féminin »
explique Fran?ois Rouan.
Le Musée Maillol à Paris consacre une exposition inédite au photographe Andres
Serrano du 30 avril au 13 octobre 2024.
La photo comme vous ne l'avez jamais vue ! Le Musée Maillol à Paris, en
partenariat avec l'agence Tempora, vous invite à découvrir une exposition
consacrée à Andres Serrano, un artiste qui transcende le cadre de la
photographie traditionnelle, du 30 avril au 13 octobre 2024. À travers cette
exposition, Andres Serrano, qui se définit comme un "artiste avec un appareil
photo", offre un regard sans concession sur des thèmes tels que la religion, la
politique, et les clivages sociaux qui animent l'Amérique d'aujourd'hui.
Andres Serrano, maître dans l'art du portrait, mélange la culture classique,
particulièrement la peinture ancienne, avec les éléments de la pop culture
moderne pour créer des œuvres uniques. Ses photographies, bien que parfois
controversées, sont une réflexion sur l'individu contemporain et les
contradictions de la société américaine. L'exposition met en lumière cette
dualité, illustrée notamment par le phénomène Donald Trump, qui est devenu à la
fois un symptôme et un emblème de cette société schizophrène. L'œuvre de
Serrano, par sa nature souvent provocatrice, invite le spectateur à un
questionnement profond sur les tabous d'une Amérique puritaine.
Le Musée Maillol propose donc une exposition particulièrement révélatrice, avec
plus de 100 clichés emblématiques d'Andres Serrano. L'occasion pour les
visiteurs de découvrir des œuvres qui ont parfois suscité le débat et même le
vandalisme. Certaines pièces, considérées comme choquantes, seront présentées
dans un espace dédié, permettant ainsi une exploration complète et sans censure
de l'œuvre de l'artiste. Ne vous reste plus qu'à y faire un tour !
Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Par l'épée ou par la plume, Victor Hugo a mené plusieurs combats. Découvrez-les
dans l'exposition Victor Hugo s'escrime, présentée du 30 avril au 15 septembre
2024 dans la maison de l'écrivain, place des Vosges à Paris.
Sans conteste, Victor Hugo est l'une des plus grandes figures françaises du XIXe
siècle : il s'est illustré autant par ses œuvres que par ses engagements. La
Maison de Victor Hugo nous propose de redécouvrir ces différents
accomplissements, par le biais du combat et du duel.
Le musée parisien nous invite à venir admirer l'exposition Victor Hugo
s'escrime, du 30 avril au 15 septembre 2024. Une exposition sur le thème du
duel, illustrée par les nombreuses œuvres de l'écrivain, mais aussi par des
documents et objets d'époque, comme la célèbre photographie montrant Victor et
son fils Charles, en plein combat d'escrime.
Si on ne connaît pas de talent particulier pour l'escrime à Victor Hugo, sa
verve et sa plume, elles, étaient bien redoutées. Littérature et politique se
mélangent et se retrouvent dans les combats menés par l'auteur français. De
fait, ses œuvres servent bien souvent de support à ses idées et ses idéaux, et
ses personnages se retrouvent à défendre les valeurs et les croyances de leur
créateur.
Ainsi, l'exposition évoque Ruy Blas ou La Légende des Siècles, des œuvres
incontournables où le duel joue un rôle symbolique important. Faibles contre
forts, équité sociale, justice et injustice des Hommes, fraternité : les idéaux
de l'écrivain sont mis en scène dans ces combats littéraires, qui font écho aux
problèmes politiques de son époque.
Explorez ce thème fascinant, et (re)découvrez Victor Hugo et ses engagements,
dans cette exposition inédite.
Célèbre pour ses toiles tressées, l'artiste Fran?ois Rouan expose cette fois-ci
à la galerie Templon une quarantaine de tableaux photographiques inédits créés
depuis 2020. Pendant près de 40 ans, Rouan s'attache à la déconstruction de la
notion de tableau, à travers un procédé nouveau qui deviendra sa marque de
fabrique : le tressage pictural. Cependant, dès la fin des années 1980, il se
tourne vers la photographique, un procédé qu'il explore et détourne sans relâche
depuis 25 ans, en parallèle de son travail de peintre.
L'exposition déploie une série d'oeuvres photographiques de petit format. Fruits
d'une insatiable expérimentation et exploration d'un medium insaisissable, les
clichés retravaillés se déclinent autour d'une palette volontairement
dépouillée. Tout en retenue, le noir et blanc se marie de temps à autre avec des
nuances corail ou saumon. Cette apparente simplicité chromatique laisse ainsi la
part belle à quelques-uns des questionnements métaphysiques et obsessionnels de
l'artiste : l'image du corps et le mystère de l'origine du monde. « Je suis
intéressée par l'idée de construire un cadre qui parle du corps féminin »
explique Fran?ois Rouan.
Que deviennent les bâtiments olympiques une fois les Jeux terminés ? La Maison
de la culture du Japon nous propose un voyage sur les traces de ces
infrastructures monumentales, avec l'exposition Kenzo Tange - Kengo Kuma,
l'héritage des Jeux de Tokyo, à voir du 2 mai au 29 juin 2024.
Pendant plusieurs semaines, les villes-hôtes des Jeux olympiques et
paralympiques vivent au rythme du sport, des célébrations, des touristes venus
en masse encourager leurs athlètes. Mais lorsque toutes les médailles ont été
distribuées, que reste-t-il de ces si grands événements ?
La Maison de la culture du Japon met en lumière le travail des architectes Kenzo
Tange et Kengo Kuma, les deux maîtres derrière les infrastructures sportives
construites pour les Jeux olympiques de Tokyo de 1964 et 2021. L'exposition
"L'héritage des Jeux de Tokyo" révèle les secrets de ces grands bâtiments, qui
commémorent les Jeux et accueillent les sportifs de demain.
Cette exposition, présentée du 2 mai au 29 juin 2024, mêle photographies, vidéo
et maquettes. On découvre ainsi ces infrastructures si spécifiques, qui ont
influencé l'architecture japonaise moderne, et on donné un nouveau visage aux
quartiers qu'elles ornent.
La Maison de la culture du Japon évoque également les liens que les deux
architectes entretiennent avec la France : les relations avec Le Corbusier et
Charlotte Perriand, le projet de Kengo Kuma pour la gare Saint-Denis Pleyel sont
illustrés à travers de nombreuses images, maquettes, photos et lettres.
À la veille des Jeux de Paris 2024, venez admirer le travail des deux
architectes qui ont œuvré pour les Jeux de Tokyo, et dont l'héritage est
aujourd'hui encore admiré. Une exposition gratuite à découvrir cet été à la
Maison de la culture du Japon !
Le Musée des Arts Décoratifs et la Cité de l'Architecture nous entrainent au
coeur des adresses mythiques de l'art de vivre parisien avec "La Naissance des
grands magasins", une exposition en deux temps. Rendez-vous du 10 avril au 13
octobre 2024 au MAD puis du 16 octobre 2024 au 16 mars 2025 pour découvrir
l'Histoire de ces temples de la mode jusqu'à nos jours.
Les Galeries Lafayette, la Samaritaine, le Printemps Haussmann ou encore le Bon
Marché, voici des adresses cultes qui symbolisent l'art de vivre parisien. Dès
la Belle Époque, Paris a vu naître la vague des Grands Magasins, et les nouveaux
modes de consommation qu'ils ont entrainé. Temples de la mode pour les uns,
merveilles architecturales pour d'autres, ces lieux mythiques se retrouvent
désormais au coeur d'une double exposition qui vous font redécouvrir leurs
histoires, le contexte de leurs créations ainsi que leur évolution jusqu'à nos
jours : " La Naissance des Grands Magasins".
La première partie de cette exposition vous attend au Musée des Arts Décoratifs
de Paris, du 10 avril au 13 octobre 2024. C'est là que vous découvrez les débuts
des premiers Grands Magasins parisiens, de 1850 à 1925, à travers des
collections de publicité, de mode, de jouet et d’arts décoratifs. La
démocratisation de la mode, l'invention des soldes ou encore la vente par
correspondance, les stratégies commerciales et de communication se dévoilent à
vous dans cette première phase.
Ensuite, c'est à la Cité de l'Architecture que l'exposition se poursuit, cette
fois à travers le prisme du patrimoine. Du 16 octobre 2024 au 16 mars 2025, on y
découvrir l'Histoire des Grands Magasins étendus dans toute l'Europe, du XXe
siècle à nos jours, en mettant l'accent sur l'architecture à la fois
impressionnante et fonctionnelle de ces temples de la consommation, que ce soit
par leurs façades ou leurs scénographie.
De quoi vous permettre de découvrir l'univers des Grands Magasins sous toutes
ses coutures !
Ces trois « Leçons » seront ancrées dans le département des antiquités
orientales, avec lequel l’artiste se sent une affinité toute particulière, au
point d’avoir, inconsciemment, recréé des œuvres qui y sont conservées. Dans ces
« Leçons » à deux voix, développées en conversation avec Ariane Thomas, elle
rendra la parole aux œuvres désormais silencieuses du département.