Coup de coeur

Description

L'exposition Coup de coeur a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Rennes 2024.

Connaissez-vous les funérailles célestes à Avez-vous déjà vu un catafalque, entendu parler de l'Ankou? Parcourez l'exposition Mourir, quelle histoire à travers ses objets emblématiques pour découvrir les pratiques funéraires d'ici et d'ailleurs. Pour cela, suivez les c'urs.

Information sur la date

Samedi 18 mai 2024

20h30

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Événements suggérés

A l'occasion de ce dernier rendez-vous avant la fermeture de la galerie pour ses travaux pendant tout l'été, nous vous proposons de (re-)découvrir les travaux de Frédéric Bouffandeau, Soo Kyoung Lee et Guillaume Moschini. Cette exposition collective présente trois artistes issus d'une même génération au sein de la galerie Oniris. Ils proposent une appréhension différente de la couleur, de la matière et des formes distinctes tout en partageant un héritage artistique commun. Cet accrochage met en évidence chacune de leurs spécificités tout en veillant un créer un dialogue et un lien entre leurs univers propres. Frédéric Bouffandeau [né en 1966] propose une oeuvre dont la forme souple peut s'apparenter à des figures végétales et florales. Son travail n'est pas hermétique aux nouveaux médiums. Il construit aussi bien des sculptures en aluminium, que néons qu'il réalise des peintures ou des dessins. Voulant explorer la peinture et l'espace, son oeuvre est née de la forme d'une fleur, devenue rapidement la matrice de tout son travail. Soo Kyoung Lee [née en 1969] est une artiste considérant l'abstraction comme un lieu universel. Les formes qu'elle produit ne sont pas le fruit d'un travail préalable, elle les peint telles qu'elles émergent au fur et à mesure de son travail. Sur un arrière-plan souvent monochrome, les formes n'attendent que d'être formées. Guillaume Moschini [né en 1970] peint à main levé avec une palette vive et contrastée. Sur papier ou sur toile, il représente deux rectangles en déséquilibre, avec pour chacun, la création de nouvelles tonalités. Des motifs qui semblent être, chez l'artiste, inépuisable puisqu'ils les déclinent à l'infini. Lorsqu'il crée, Moschini ne cherche donc pas à créer des motifs mais plutôt de nouvelles couleurs laissant naître le rythme de l'oeuvre. Site web : https://www.oniris.art/exhibitions/83-couleurs/ Infos réservation : sans réservation
La pratique artistique de Yoan Sorin prend la forme de peintures apposée sur supports variés, de sculptures composées de matériaux divers, d'objets assemblés puis peints, de performances impliquant son propre corps. Chaque élément alimente voire contamine les autres de manière fluide, au sein d'installations qui constituent des compositions en trois dimensions sans cesse renouvelées par la déambulation. Habitées, ses expositions où la couleur est déterminante baignent dans une atmosphère où la sérénité cohabite avec l'inquiétude. Pour son exposition à 40mcube, Chronique de l'oubli, Yoan Sorin réalise de nouvelles oeuvres qui jouent avec le temps. Comme une éphéméride, une peinture en remplace une autre chaque semaine, tandis que des sculptures-métronomes ou sabliers, comme les temps de performance, rythment l'exposition. Jouant avec les mots, celui de chronique dans sa double signification, en tant que récit chronologique et de quelque chose qui s'installe lentement mais durablement, qu'il associe de manière contradictoire à l'oubli, Yoan Sorin témoigne de l'urgence latente de notre temps. Site web : https://www.40mcube.org/chronique-de-loubli/
4 artistes du collectif de l'Art aux champs vous invitent à découvrir leurs univers colorés, poétiques et inspirés de la nature. Venez retrouver les installations plasticiennes de Katia Botkine et Laurence Chérel, les sculptures de Charles Lecoq et les photographies picturales de Brigitte Delalande. Tous les jours de 11H à 19H Site web : https://www.brigittedelalande.com/
Cet été, La Criée présente le Salon des refusé·es de Rasmus Myrup, première exposition personnelle de l'artiste danois dans une institution fran?aise. Une vingtaine de personnages, sculptures anthropomorphes extravagantes, attablés, allongés, debout, seuls ou en groupe, occupent l'espace du centre d'art, transformé en café/centre de soin : tableau facétieux et saisissant d'une société décalée. Les personnages de Rasmus Myrup sont issus du folklore danois, des traditions orales sud-scandinaves et de la mythologie nordique. Il puise son inspiration dans les nombreuses figures qui les composent, dont il réinterprète les histoires, faisant preuve d'une imagination foisonnante. On retrouve parmi ses figures, certains personnages principaux de la sphère magique, comme Gefion - déesse des sols - ou Nisse - la « petite Barbie » originale des légendes scandinaves et d'autres moins connus, mais pas moins importants. Combinant passé et présent, l'artiste les ancre dans notre société postmoderne et ses questionnements : ils interrogent notamment la normativité, l'ordre et la morale établis et affichent leur singularité, leur sensualité, leur liberté d'être. Pour fabriquer ses sculptures, Myrup glane des objets naturels autant que des objets manufacturés, issus des rebuts de la société de consommation, qu'il assemble ensuite avec une extravagante virtuosité. En formidable conteur, Myrup donne vie et épaisseur à des personnages mi-humains, mi végétaux, des êtres complets, Queers et alliés aux identités mouvantes et aux vies multiples, venus d'un temps tout autant préhistorique que post-humain. Cette communauté séparatiste, ce « salon des Refusés », redessine les contours d'une autre société possible, faite de bric et de broc, de branches et de strass, de likes et de lichen, de singularités et de résistances. Une société qui pousse et s'épanouit, malgré tout, sur les ruines des forêts et des banlieues embrasées. La moitié des sculptures ont été produites et présentées à la biennale de Göteborg en Suède à l'automne 2023, puis au centre d'art 1646, à La Haye, aux Pays-Bas, début 2024. À La Criée, suite à deux résidences de création, Myrup y ajoute une dizaine de nouvelles pièces, réalisées à partir de matériaux glanés à Rennes et en Bretagne. Si ces nouvelles figures restent issues de l'imaginaire nordique, ?à et là des détails et métissages bretons apparaissent. À contre-courant du climat politique actuel où les patrimoines culturels et les histoires communes deviennent des motifs de division et exclusion, les personnages de Myrup célèbrent la diversité et le mélange. Ils sont comme les champignons de la fin du monde d'Anna Tsing* : une le?on d'optimisme dans un monde trop souvent désespérant. * Anna Lowenhaupt Tsing, Le Champignon de la fin du monde : sur la possibilité de vivre dans les ruines du capitalisme, trad. de l'anglais par Philippe Pignarre, préf. par Isabelle Stengers, Paris, La Découverte/Les Empêcheurs de penser en rond, 2017, 415 p. Site web : https://www.la-criee.org/fr/30393-2/
Du motif à l'ornement, de la couleur à la forme, l'exposition TOUR À TOUR propose un travail questionnant la notion d'échelle et de rapport au corps. Initiée dans le cadre d'une résidence scolaire, la proposition trouve son origine dans une série d'illustrations autour de l'architecture du quartier Colombier. Du dessin à la sculpture, Valérian Henry réalise l'inventaire d'un paysage urbain, démultipliant les formes architecturales pour créer un alphabet minimaliste et ludique. Vernissage le jeudi 21 mars 2024 à 18h30. Site web : https://www.phakt.fr/exposition/valerian-henry
L'exposition 'Les lisières du Night Club (titre provisoire)' de l'artiste danois Rasmus Myrup présente un ensemble de sculptures humanoïdes mêlant éléments naturels, histoire sociale, mythologie nordique et postmodernisme. Ces personnages mi-humains, mi-arbres, aux identités mouvantes, redessinent une société possible sur les ruines de nos forêts et banlieues. Une leçon d'optimisme dans un monde désespérant.
L'exposition 'Les lisières du Night Club' est la première exposition personnelle de l'artiste danois Rasmus Myrus en France. Ses sculptures humanoïdes mêlent éléments naturels, histoire sociale et mythologie nordique. En conteur et magicien des postures, il donne vie à des personnages mi-humains, mi-arbres, des êtres queers aux identités mouvantes. Une communauté interlope qui redessine les contours d'une société possible, faite de singularités et de résistances. Les personnages de Myrup sont une leçon d'optimisme dans un monde désespérant.
Le 3 mai, l'association cARTel, en soutien à la formation MAGEMI (Gestion et Mise en valeur des œuvres d'art, des objets ethnographiques et techniques) de l'université Rennes 2 inaugure son exposition sur les arts de la marionnette contemporaine à l'Opéra de Rennes ! Intitulée DES𝐴𝑅𝑇𝐼𝐶𝑈𝐿É𝐸. La marionnette & son artiste, l'exposition met en évidence le lien singulier qui unit le comédien et sa création. Elle s'articule autour de trois portraits de marionnettes qui illustrent les moments-clés de cette relation : la conception de la marionnette, le jeu sur scène et l’après-scène. Chacun de ces portraits est rendu unique grâce aux témoignages et récits de leur prêteur. En parallèle, l'exposition s'enrichit d'une programmation culturelle. L'opéra Les Ailes du désir, des visites guidées, une journée de la marionnette et une projection du film Interdit aux chiens et aux Italiens au cinéma Arvor sont au programme.
L'exposition 'Les Géants' par Hervé Walbecq se déroule au Triangle à Rennes. Hervé Walbecq, auteur, dessinateur et comédien, présente une série de géants de plusieurs mètres de haut, coiffés de branchages et accompagnés d'animaux. Ses dessins, d'une ligne sobre et épurée, invitent les visiteurs dans un monde poétique où le bonheur se trouve dans les petites choses. Venez découvrir cette exposition captivante et laissez-vous emporter par la magie des illustrations. L'accès est libre et gratuit aux horaires d'ouverture du Triangle.
L'exposition 'Disappearance - Photographies de Mouna Saboni' vous plonge dans un projet captivant réalisé le long de la route 65 en Jordanie, au c'ur de la 'Diagonale de la soif'. Explorez la disparition de l'eau, enjeu majeur de notre époque, à travers des photographies saisissantes. Découvrez un territoire chargé d'histoire, marqué par l'empreinte de l'humanité à travers les âges. Une immersion au fil du mythique fleuve Jourdain et de la Mer Morte, témoins de la fragilité de notre environnement. Une expérience visuelle apocalyptique entre passé, présent et futur proche, où les vestiges de civilisations anciennes se mêlent à des paysages désertiques. Laissez-vous imprégner par les images gravées de textes anciens, révélant la mémoire de sociétés disparues. Une exposition poignante qui interroge notre rapport à l'eau et à notre héritage.