Quartiers sud & bords de mer – PAC

Description

Rendez-vous dans l’espace public :

▸ 14h à 16h performance, Trajectoire infinitive de Santiago Reyes (proposé par [mac] musée d’art contemporain et Tchikebe)
▸ 14h départ devant Tchikebe
▸ 16h arrivée au [mac] musée d’art contemporain

American Gallery à la librairie de la Cité radieuse
▸ 12h à 18h vernissage, Library, Yazid Oulab

La Traverse | Catherine Bastide
▸ 12h à 20h, finissage, Vivre en Lichen, Yolenn Farges, Charlotte Gautier van Tour, Adriana Knouf, Nicco Maria Moscatelli, Laure Vigna

[mac] musée d’art contemporain
▸ 11h à 18h, marathon de visites flash, ateliers et performance, Des exploits, des chefs-d’œuvre – L’heure de gloire
▸ Tableaux d’une exposition, exposition collective

Pavillon Southway
▸ visite commentée, Bleu Mode

Salon du Salon
▸ 20h à 00h00 nocturne, It’s a model, Philippe Munda

Publié par : Ville de Marseille

Information sur la date

Dimanche 5 mai 2024.

Billets

Info:

Gratuit

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Événements suggérés

L'exposition Visites commentées au Musée D'Art Contemporain a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Marseille 2024. L’équipe des publics du [mac] propose à tous les publics des visites commentées gratuites des expositions sous l’angle du dialogue et de la poésie ! Avec la complicité du festival Oh ma parole !, une initiative de la Mairie du 6/8. Tout public - Sans réservation, dans la limite des places disponibles - Durée 1h - À 19h, 20h30 et 22h
Lecture théâtrale « Sono nato a 78 anni ». Un’incredibile storia vera » de Vincenzo Lelleri Vanin et Donata Lelleri ; interprètes : Donata Lelleri et Stefania Petrone ; musique de Stefano Carbone. La lecture sera en italien et le publique aura un livret avec la traduction en français. L’histoire vraie et intime de Vincenzo qui désormais âgé part avec sa fille à la recherche ses racines. Le voyage emmènera elle a découvrir un père jusqu’alors inconnu et lui à une complète transformation. Publié par : Ville de Marseille
Retrouvez l’exposition « Bleu Mode » de l’artiste Julien Boudet. Publié par : Ville de Marseille
Les Arts Éphémères ont été créés en 2009 par la Mairie des 9e & 10e arrondissements, afin de favoriser la diffusion de l’art contemporain à travers une rencontre entre artistes et grand public, au cœur du parc et du parvis de cette ancienne bastide Dans le contexte des Olympiades Culturelles, le choix de la thématique des Arts Ephémères 2024 s’est orienté sur l’actualité sportive. Après ESSAI en 2023, l’édition 2024 est à nouveau placée sous le signe de l’action avec un terme polysémique, TRANSFORMÉ, dans lequel se retrouve les valeurs communes de l’art et du sport. Ce vocable emprunté au jargon du rugby, renvoie naturellement à l’ADN même de la création. Il permet ainsi aux artistes d’investiguer des champs multiples en ménageant une latitude conceptuelle et formelle encore élargie. Une attention particulière sera donnée aux productions d’œuvres ou de performances en lien avec les notions sportives, dans le cadre de cette édition labellisée aux couleurs des jeux olympiques. Des partenariats avec le spectacle vivant seront associés à ce rendez-vous. La manifestation se déroule originellement dans le parc de Maison Blanche à Marseille. Avec les Arts Ephémères-itinérance, elle se déploie ensuite dans plusieurs villes. La manifestation est portée par l’association Arts Médiation Evénement Organisation Méditerranée – AMEOM, en coproduction avec la Ville de Marseille – Mairie de Maison Blanche 9/10e arrondissements, en partenariat avec l’INSEAMM – les Beaux Arts de Marseille, le Conservatoire Pierre Barbizet – Marseille, le Château de Servières – Marseille, le Jardin remarquable de Baudouvin – Métropole Toulon Provence Méditerranée, Polaris centre d’art – Istres, le Centre d’arts plastiques Fernand Léger – Port-de-Bouc, le MAC Arteum Châteauneuf-Le-Rouge et les villes de Plan-de-Cuques et des Baux-de-Provence Publié par : Ville de Marseille
Par sa position privilégiée, Marseille a toujours été le creuset d'échanges multiples. Si la fascination européenne pour l'Extrême-Orient, l'Inde ou l'Empire ottoman est bien connue dès le 18e siècle, ses manifestations en Provence le sont moins. C'est ce grand attrait pour « l'exotisme » asiatique à Marseille et sa région que l'exposition se propose de mettre à l'honneur à travers plus de 400 oeuvres d'art provenant ou s'inspirant d'une Asie rêvée, de la Turquie au Japon. La Provence et Marseille ont été, du XVIIIe siècle à nos jours, le creuset d'échanges et d'inspirations multiples. Cette influence se traduit notamment par un goût affirmé pour les images, objets et textiles provenant ou s'inspirant d'un Orient rêvé, de la Turquie jusqu'au Japon. Au XVIIe siècle, l'Empire ottoman bloque les voies terrestres vers l'Asie. Pour contourner cet obstacle, l'Angleterre, les Pays-Bas puis la France créent les Compagnies des Indes qui vont commercer avec l'Extrême-Orient. L'Europe est fascinée par cette « Asie » dont elle cerne encore mal les contours. Si cet attrait pour un ailleurs exotisé est bien connu, ses manifestations en Provence le sont moins. C'est ce que l'exposition met à l'honneur à travers près de 400 oeuvres des Musées de Marseille, complétées d'une cinquantaine de prêts. Pièces d'importation, pastiches ou oeuvres occidentales d'inspiration asiatique, elles illustrent ces échanges - réels ou symboliques - entre l'Asie et la Provence. Exposition reconnue d'intérêt national par le ministère de la Culture - Direction générale des patrimoines et de l'architecture - service des musées de France.
Vernissage le 04 mai de 12h à 16h EN GESTATION, FUMAR MAMAR, JE DIGÈRE, est une exposition et un projet multidisciplinaire crées par Estel Fonseca. L’artiste propose un « éclatement plastique » à la croisée de la sculpture, de l’audiovisuel, du texte et de la performance et expose une recherche qui entremêle les thème de la gestation, la pa-ma-ternité, les enjeux de la relation amoureuse comme relation à l’altérité, la sexualité créatrice, la psychogénéalogie, la maladie, les polarités, l’équilibre et le réchauffement climatique. Fondation Gulbenkian Calouste Dans le cadre de samedi 4 mai · Longchamp | Belle de Mai | Blancarde | Plombières et du festival PAC. Publié par : Ville de Marseille
19h : la fin de l'amour ?Comment nous aimons-nous aujourd’hui ? Quel est notre pacte avec l’autre ? À l’heure où la liberté de ne pas choisir et l’extrême flexibilité des liens transforment nos relations, la philosophe Eva Illouz pose la question sans détour : est-ce la fin de l’amour ? Les metteurs en scène Mohamed Bouadla et Michel André ont invité des personnes à explorer cette question en partant de leurs propres relations à l’amour. Peut-être lors d’un bal, ou bien à l’occasion de retrouvailles entre vieux copains, ils et elles s’interrogent : que deviennent nos amours ?· Mise en scène Michel André et Mohamed Bouadla · Avec la participation de Abderraouf, Aglaia, Béatrice, Christelle, Françoise, Gérald, Hélène, Jeanne, Julie, Laure, Marie-Claude, Nadine, Nicaise, Oleg, Sandrine, Simon, Valérie, Xavier · Photo © Laura Falzon20h30 : scène ouverteLa scène est à vous le temps d’une danse, d’un poème, d’une histoire, d’une lettre d’amour en partage ! Une seule règle à respecter : vous avez 4 minutes maximum !20h : accueil des participant·es et dernières inscriptions possibles sur place20h30 : début de la scène ouverte (et fermeture de l’accès à la salle)
Vernissage le 02 mai 2024 de 18h à 21h La phrase If I Rest I Rust a été à l’origine utilisée par l’auteur américain Orison Swett Marden dans un essai. Ce texte évoque l’idée selon laquelle il est important de ne pas laisser le repos nous empêcher d’accéder à une forme de réussite sociale et économique. Orison Swett Marden pousse encore un peu plus loin son idée en créant une analogie entre la mise en arrêt de son corps et la création de la rouille, en disant : « L’industrie garde brillante la clef qui ouvre le trésor de la réussite ». If I Rest I Rust a été par la suite utilisé comme une véritable devise, s’utilisant aussi bien dans la culture populaire que dans l’enseignement Indouiste. Comment cette phrase s’inscrit-elle aujourd’hui dans une société qui tend à remettre en question les notions de performativité et de productivité ? Et si nos moments d’ennuis, de « rien », de l’élargit étaient des formes de créations et de résistances passives ? Et si nos machines étaient oubliées, abandonnées, que resterait-il ? Fonds Carta, Beaux-Arts de Marseille – INSEAMM Dans le cadre de jeudi 2 mai · Opéra | Préfecture | Camas | Cours Julien et du festival PAC. Proposé par Le 33 Co-organisé par : Les Beaux-Arts de Marseille. Publié par : Ville de Marseille
Dès 1956, le mensuel Marseille Provence Magazine titrait : « Le Rock’n roll gagne Marseille ! ». Il aura fallu un film sur Bill Haley projeté aux Variétés et les écoutes privées des radios anglo-saxonnes, pour que « cette musique qui rend fou » selon le journaliste s’installe dans notre ville. Très vite des groupes naissent, jouant reprises et compositions, suivant le mistral qui tourne et les tendances (rock’n roll, pop-rock, pop psyché, blues rock, proto-punk, new wave…). Les boîtes de nuit, du Vieux-Port au Pharo en passant par les Catalans, propagent le rock, tout en contrariant quelques puristes jazzeux. Cette exposition basée sur le livre très documenté de Robert Rossi, « Histoire du rock à Marseille » (Éditions Le mot et le reste) retrace l’histoire du rock marseillais : articles de presse, focus sur les groupes principaux de ces années 1956-1980, pochettes de disques, photographies. Rocky Volcano, premier chanteur de rock à gagner une renommée nationale, Why Not, qui fait la première partie du concert des Rolling Stones en 1966, Dynamycks, Les Dragueurs, Bag Gtrass, Moby Dick, Fuzz… : tous ont contribué à écrire l’histoire du rock. Exposition Marseille Ville Rock : du jeudi 16 mai au samedi 15 juin 2024 dans la salle des mariages de la Mairie des 1er et 7e arrondissements. Commissaire d’exposition : Robert Rossi Vernissage, projection d’archives et débat : le jeudi 16 mai à 18h (entrée libre dans la limite des places disponibles) Exposition dans la salle des mariages, projection et débat dans l’auditorium de la Mairie des 1er et 7e arrondissements accompagné de Robert Rossi à partir de 18h30 Et parce que le rock est une musique vivante, impossible de l’évoquer sans un vrai concert en live : Concert Quartiers Nord version full métal, le mardi 28 mai 2024 dans l’auditorium de la Mairie des 1er et 7e arrondissements, accueil du public à 18h30 début du concert à 19h. Publié par : Ville de Marseille
Le spectacle Le cabinet des mystères ; Le maître de l'éventail ; Dragons et lanternes a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Marseille 2024. Le cabinet des mystères ; Le maître de l’éventail ; Dragons et lanternes Tout au long de la soirée, une invitation à libérer sa créativité autour de L’Asie fantasmée, à travers 3 activités au choix Tout public (à partir de 7 ans, selon les activités)- En accès libre tout au long de la soirée, dans la limite des places disponibles (dans l’atelier pédagogique) - À partir de 20h