Événements suggérés

La soprano Amel Brahim-Djelloul, nommée en 2007 dans la catégorie « Révélation Lyrique » des Victoires de la Musique classique, embrasse les musiques de son enfance au fil d'un programme mêlant classiques de la chanson kabyle et compositions originales. Un voyage poétique et musical vers les sommets de Kabylie, en hommage à la culture de son pays natal. La pureté de sa voix et la chaleur communicative de ce répertoire traditionnel, reflétant toute la vitalité et la richesse de la langue et de la culture berbères, sans oublier l'excellence de ses musiciens nous offrira un rare moment de bonheur partagé pour clôturer cette saison de la plus belle des manières. Site web : https://clermont-auvergne-opera.com/evenement/les-chemins-qui-montent/ Infos réservation : Clermont Auvergne Opéra10 rue du Bon Pasteur - 63000 Clermont-Ferrand04 73 29 23 44 - billetterie@clermont-auvergne-opera.com
Le Mercredi 15 Mai à 20h, ne manquez pas le concert de Lisieux et Pyrrhula au Fotomat à Clermont-Ferrand. Lisieux, formé en 2014, propose un genre unique de folk électronique sombre, contemplatif et hantant, inspiré des scènes éthérées et proto-goth des années 80. Pyrrhula, quant à lui, offre un rock ciselé et puissant. Venez découvrir ces deux univers musicaux captivants et laissez-vous emporter par une soirée inoubliable.
Les CONGOS sont un des derniers groupe jamaïcain resté dans sa formation originale depuis les années 70 et on ressent forcément cette unité, cette cohésion puissante lors de leurs concerts qui sont autant de véritables messes rastafariennes. Les GLADIATORS ont été fondés en 1967 par Albert Griffiths qui a choisi ce nom après avoir vu les combats de gladiateurs dans le fim « Ben Hur ». L’idée de ces hommes qui combattaient pour leur liberté, à l’image de la lutte contre Babylone, séduit aussitôt les rastas et colle encore aujourd’hui au combat contre la dureté de la vie en Jamaïque.
Attention spoiler : la révélation songwriter de 2024 est là ! " Élégance, finesse, malice? ", n'en jetez plus. La nouvelle folk-song, dans la plus pure tradition du début des années 70, revue et bonifiée par un jeune homme né en l'an 2001. 2001, les lofteurs triomphent avec Up and Down. Tout est dans le titre. C'est à coup sûr le premier titre que Nino Bonsoir entend, en sortant de la jolie maternité de l'Isle Adam. Cet épiphénomène influencera à jamais sa musique : faire l'inverse. Ne jamais rester enfermé, débrancher les artifices numériques. Un retour aux sources, où l'on allume des guitares rouillées, où l'on égrène d'antiques peaux de banjos et de caisses claires, où l'on dépoussière des orgues ancestraux. Un Donovan en moins sage. Un Cabrel en plus goguenard. Un Creedence Clearwater Revival en plus français à Sûrement. Mais surtout un auteur-compositeur-interprète d'une unicité indéniable. Son esthétisme : classe et insolente tendresse. Et ses textes'tu les aimes ses textes ciselés à Et sa voix?Tu l'aimes sa voix velours à Nino Bonsoir, 21 printemps pour la renaissance d'une folk-song authentique. Merci Bonsoir.
Le Bazar Jour et Nuit revient à La Coopérative de mai pour une soirée spéciale veille de jour férié à Clermont-Ferrand. Venez danser jusqu'au bout de la nuit lors de cet after de l'open air du crew clermontois. Une soirée inoubliable en perspective !
La Compagnie Nosferatu offre avec Une opérette à Ravensbrück une mise en scène résolument pétillante qui donne toute sa profondeur au sujet et où le rire est une résistance. " J'ai écrit une opérette, une chose comique, parce que je pense que le rire, même dans les situations les plus tragiques, est un élément revivifiant. On peut rire jusqu'à la dernière minute. " - Germaine TillionLe 21 octobre 1943, Germaine Tillion est déportée à Ravensbrück pour faits de résistance.Avec ses camarades et alors qu'il est interdit d'écrire, elle rédige, cachée, Une opérette à Ravensbrück. Résister en écrivant, chanter à la barbe des geôliers pour défendre sa dignité, c'est le moyen qu'a trouvé Germaine Tillion pour survivre au camp en 1944. Ce texte met en scène, à la façon d'un music-hall, les déportées de Ravensbrück qu'un étrange naturaliste décrit et harangue tour à tour, avant de s'éclipser. Convoquant le souvenir des rengaines populaires, des joyeuses tablées d'antan, ces femmes luttent contre leur condition inhumaine avec la plus redoutable des armes : la joie de vivre.Une opérette à Ravensbrück donne à voir et entendre l'humanité et la fraternité entretenues, malgré l'horreur dans les camps et défie le mal par le rire.
No future à Sûrement pas. Dans les faubourgs de Leeds, avec une rare intelligence et un sens aigu des arts électriques et déviants, un très jeune trio se fait les dents depuis presque 10 ans sur la brique dure du punk britannique. Aujourd'hui quatuor, Drahla a avalé des dizaines de concerts, les premières parties de METZ, Parquet Courts, Ought et autres parrains genre Buzzcoks. Coiffés des lauriers récoltés par Third Article, premier EP génial et suffisamment minimal pour goûter à l'hypnose de lignes de basse lardées de riffs tranchants comme des rasoirs, Drahla renvoie aux fulgurances jubilatoires et dissonantes des grands Cure ou des Sonic Youth. Le propos est engagé, minimal et entêtant, la mélodie chevauche le chaos, le punk y est moderne et écorché, nourri à chaque plage d'un héritage trois étoiles. Derrière l'abrasif Useless Coordinates, sorti en 2019, on attend incessamment un nouvel album au printemps. C'est le moment ou jamais de découvrir un futur grand groupe, on vous aura prévenus.
"Mazel Tov Cocktail Party". Laissez-vous emporter par le son débridé de la clarinette de David Krakauer et par son groupe de musiciens débordant de joie et d’énergie : aux percussions le batteur iranien et multi-talent Martin Shamoonpour, à la basse le virtuose et gourou du jazz Jerome Harris, à la voix et aux mots la chanteuse et rappeuse soul Sarah MK et enfin au oud et à la guitare le surprenant Yoshie Fruchter. Cette « Mazel Tov Cocktail Party» a été conçue par David Krakauer et la productrice et pianiste sud-africaine Kathleen Tagg comme une « explosion de bonnes vibrations » afin de célébrer notre humanité commune.