Gado/ Klenes /Blondiau trio

Description

Avec Gàbor Gado (gt), Sarah Klenes (voc) & Laurent Blondiau (tp)Gábor Gadó est l'un des grands noms du monde du jazz hongrois depuis des décennies et a enregistré plus de vingt albums. Laurent Blondiau est très actif sur la scène jazz belge et européenne et collabore avec de nombreux groupes et artistes:En parallèle à leurs multiples collaborations depuis plusieurs années, allant de grandes formations européennes à l’intime duo, Laurent Blondiau et Gábor Gadó sont ici rejoints par Sarah Klenes pour un répertoire entièrement composé par Gábor sur des poèmes hongrois.La musique est chambriste et, indépendamment des éléments empruntés au jazz, elle est fortement imprégnée de la grande tradition musicale européenne, depuis la musique ancienne modale liturgique jusqu’aux innovations de la révolution musique de Darmstadt.On peut également percevoir la proximité de la musique des compositeurs russes contemporains : David Schnittke, Sofija Gubajdulina, ou encore d’Arvo Pärt, mais aussi de compositeurs hongrois tels Bartôk, Ligeti et Kurtag.Dans le jeu du trio, le lien entre les aspects modaux et verticaux sert de tremplin à l’inspiration improvisatrice.Comme l’écrit le critique Franck Bergerot de la revue Jazzman/Jazz Magazine au sujet de la musique de Gabor :« Son ascétisme l’a entrainé loin dans la connaissance du langage harmonique, qu’il combine avec un savoir-faire admirable avec les racines modales de la musique hongroise développées aux frontières des cultures orientales et occidentales (…) Nous faisant passer de la dissonance à une consonance d’autant plus inattendue, il nous désoriente, casse nos habitudes, nous ensorcelle et nous coupe le souffle. »Entrée: 12€ tout public7€ étudiantL'accès aux concerts se fait Sans réservation !Ouverture du club dès 19h00Concert à 21h00L'accès au restaurant se fait uniquement sous réservation.Notre confirmation en réponse fait office de réservation.

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Mercredi: de 19:00 à 23:30. Le 21 février

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12€ tout public /7€ étudiant

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Avec Pascal Mohy (pn) & Ben Sluijs (sax)Pascal Mohy et Ben Sluijs jouent ensemble depuis de nombreuses années. Au fil du temps un dialogue intime s’est installé entre le saxophone et le piano. Ils virevoltent dans un répertoire de compositions originales mais aussi de morceaux de Duke Ellington, Thelonious Monk, Lennie Tristano, Jackie Mc Lean et bien d’autres. Les lignes sinueuses de Ben Sluys guident le duo vers une musique bouillonnante, le toucher délicat de Pascal Mohy les ramène vers une ambiance plus méditative où les notes déchirantes du saxophone paraissent comme suspendues.Entrée: 12€ tout public7€ étudiantL'accès aux concerts se fait Sans réservation !Ouverture du club dès 19h00Concert à 21h00L'accès au restaurant se fait uniquement sous réservation.Notre confirmation en réponse fait office de réservation.
Le temps d’une soirée unique, les étudiants de la classe de guitare du Conservatoire royal de Liège investissent la Biennale de l’Image Possible. Cette édition de BIP réunit une cinquantaine d’artistes plasticien.ne.s qui abordent la thématique des mutantx : des incarnations d’une capacité d’action sur un territoire et sur le présent et donc porteur.ses d’espoir. A cette occasion, les guitaristes créent une résonance aux œuvres exposées grâce à un programme musical spécifique. Une opportunité de re-découvrir tant les œuvres de compositeurs interprétés que celles des artistes présentés, leurs accointances ou dissonances… Informations et réservations sur www.chiroux.be et mutantx.bip-liege.org Le programme sera présenté début avril.
THUNDERCAT Thundercat, le maestro musical et bassiste prodige connu pour son mélange transcendant des genres, sera à l’OM à Seraing le 14 avril 2024. De bassiste virtuose à véritable star mondiale, Thundercat, également connu sous le nom de Stephen Bruner, a laissé une empreinte indélébile sur la scène musicale. Le nom Thundercat est à la fois une référence au dessin animé qu’il aime depuis l’enfance et une expression de son approche large, vivante et souvent surhumaine de son métier. En 2020, la boucle est bouclée lorsque Bruner interprète la voix d’un personnage (et écrit un morceau) nommé “Grune the Destroyer” dans la série animée Thundercats Roar de Cartoon Network. Ces dernières années, Thundercat a achevé sa transition de bassiste virtuose à véritable star. Il a sorti “The Golden Age of Apocalypse” (2011), “Apocalypse” (2013), “Drunk” (2017). Son album “It Is What It Is” (2020), sur lequel figurent Ty Dolla $ign, Childish Gambino, Lil B, Kamasi Washington, Steve Lacy, Steve Arrington, BADBADNOTGOOD, Louis Cole, Pedro Martins et Zack Fox, a remporté le Grammy Award du meilleur album de R&B progressif. L’album a été produit par Thundercat et son patron de label, ainsi que son fidèle partenaire, Flying Lotus, qui a reçu une nomination au Grammy Award du “Producteur de l’année, non classique” pour son travail sur l’album. L’année 2022 a été une année faste, avec notamment sa voix et sa basse sur le single et titre “Cracker Island” de Gorillaz, qui s’est hissé à la première place du classement des radios alternatives. Il a également joué dans le clip officiel et a rejoint Gorillaz sur scène à Coachella. En outre, il a assuré la première partie de la tournée des Red Hot Chilli Peppers en Amérique du Nord et en Europe. L’année a commencé en fanfare lorsque Thundercat a rejoint Steve Lacy sur scène lors de la 65e cérémonie des Grammy Awards pour interpréter en direct le tube “Bad Habit”. Parallèlement, il a sorti son dernier single “No More Lies” avec Tame Impala et a donné un concert fantastique à Couleur Cafe. Avec de nouveaux projets à venir, il a annoncé une série de dates de tournée sur les cinq continents, avec un arrêt en Belgique en 2024. Outre ses propres albums phénoménaux, on peut entendre ses lignes de basse sur la musique d’innovateurs musicaux tels que Kamasi Washington, Erykah Badu, Childish Gambino, Vic Mensa et Mac Miller, entre autres. Même Prince en était fan. L4U Créatrice du concept « Who’s That Girl ? » et co-fondatrice du collectif « TransPédéGouines », L4U est une jeune dj habituée de la scène queer Liégeoise et Bruxelloise. Fortement influencée par la culture underground et queer, L4U ne renie pas pour autant l’univers plus commercial et RnB avec lequelle elle a grandit grâce à son père, DJ également. Dans ses sets, L4U aime mélanger les styles et cherche toujours à explorer de nouvelles sonorités pour créer des sets éclectiques, techniques mais toujours dynamiques. Son amour inconditionnel pour le RnB old school et son obsession pour dénicher les meilleurs edits sur Soundcloud l’ont amenée à développer une collection interminable de remix garage, reggaeton, baile funk et même parfois, techno, speed dembow ou drum & bass de vos hits préférés des années 2000. * https://www.instagram.com/lauravioli__/ BIJOUTIER † BIJOUTIER (label Kollectif Bunker – De La Funk) /// Italofunky-Dark discoelectro-FunkyBeats-techno acide. Explorant des styles audacieux, passant par des grooves rares à la Dark disco, de l’italo à la techno, il essayera sans cesse de vous servir ses meilleurs cocktails. Toujours à la recherche de rythmes entraînants et de voix envoûtantes, de basses rondes et lancinantes, le tout conduisant à la transe pour parvenir à s’oublier et à se laisser shaker et danser jusqu’à plus soif.
TICKETS DISPONIBLES LE 8 FÉVRIER À 11H AGORIA Agoria n’est pas un enfant des raves comme les autres. Au début des années 90, il a connu cet âge d’or où l’histoire s’écrivait à chaque nouvelle soirée. La musique électronique n’avait encore ni code ni visage, seulement quelques valeurs qu’elle s’est empressée d’oublier. Et, s’il a fait parti des pionniers qui ont tout inventé de la techno en France, c’est pour mieux s’échapper du cadre qu’il a lui-même contribuer a créé, s’aventurant avec succès dans l’univers du cinéma, de la mode et de l’art contemporain. Tout commence à Lyon, à une époque où l’incompréhension et la répression à l’égard de la techno sont telles que chaque nuit qui ne se termine pas en garde à vue pour les organisateurs de rave est une victoire. Aucune soirée ne se ressemble. C’est dans ce contexte, en décembre 1993, à seulement 17 ans, que Sébastien Devaud qui ne s’appelle pas encore Agoria, prend pour la première fois les platines en public, au Space, un club lyonnais aux multiples couloirs. Il joue avant Richie Hawtin et Carl Cox et… « personne ne danse ». Étudiant en cinéma, il vient de refuser de travailler sur un tournage de James Ivory pour pouvoir mixer à cette soirée : « Je me suis demandé un petit moment si j’avais fait le bon choix ». C’est au micro d’une radio locale lyonnaise, quatre heures durant tous les samedis, puis les mardis quand les engagements de Djs vont se multiplier que sa passion de la musique va grandir et son horizon s’élargir. « Ces années de radio m’ont formé et nourri, c’est comme ça que j’ai compris qu’il y avait des bons morceaux dans tous les styles et qu’il fallait adopter une approche ouverte ». La richesse et la diversité de la musique qu’il compose et joue aujourd’hui est née ainsi. Si Agoria produit des disques dès 1999, « La Onzieme Marche », sortie la première fois en 2001 sur Tekmics, label porté par le DJ français Miloch « qui, dans l’underground, aura autant d’importance que les Daft Punk » marque une étape. Devenue aujourd’hui un classique, mixé et remixé par quantité de DJ, ce morceau est le point de départ de sa rencontre avec le label Pias qui sortira ses deux premiers albums, « Blossom » en 2003 avec un featuring de Tricky, puis « The Green Armchair » en 2006 avec les participations de Neneh Cherry ou de Peter Murphy, leader des légendaires Bauhaus. Avec ces albums Agoria commence à imposer son univers oblique, de la techno bien sûr, souvent inspirée par celle des pionniers de Detroit, mais « twistée » par une drôle de pulsation contemporaine, teintée de pop, de soul ou de hip-hop. Cette envie de composer une véritable musique pour aujourd’hui, tout en se soustrayant aux codes qui souvent l’étouffent, va trouver son apogée avec l’album « Impermanence » en 2011 et plus encore avec « Drift », sorti en collaboration avec Mercury/Universal en 2019. Un disque mis en images par de somptueux clips vidéo, rivalisant avec la qualité des productions cinématographiques. Plus que tout autre de ses albums, « Drift » confirme le talent d’Agoria pour la sensualité des mélodies acoustiques et le raffinement des productions modernistes, sans jamais totalement renier sa culture électronique. « Aujourd’hui encore quand tu es né avec la techno, tu es censé te battre pour elle jusqu’à la mort. Je défendrai toujours la musique de Jeff Mills, mais je ne veux pas refaire éternellement ce que d’autres ont déjà fait très bien. Je ne suis ni un ultra ni un gardien du temple. Je veux garder ma liberté musicale, rester un électron libre. » Une ligne de conduite qu’il applique également à sa résidence de DJ à Ibiza, baptisée « Drift » comme son dernier disque. S’il prouve sa fidélité à la culture électronique en se battant pour que cette scène soit vivante à Lyon, combat qui permettra la naissance en 2003 des Nuits Sonores dont il est « l’ange gardien » selon l’équipe du festival, son désir « de tenter sans cesse des aventures nouvelles », va l’amener à créer deux des plus avant-gardistes labels de la scène électronique française. Infiné en 2006 avec Alexandre Cazac et Yannick Matray, qui découvrira des artistes aussi aventureux que Rone ou Aufgang, puis le label Sapiens, qu’il dirige seul depuis 2016 avec la volonté de publier autant de musiques originales que de « talk », écrits par des chercheurs, des artistes et des passeurs contemporains. En 2006, arrive une nouvelle rencontre décisive avec le cinéma. Estomaqués par la puissance de « Code 1026 », le réalisateur belge Olivier Van Hoofstadt et son producteur Luc Besson qui ne trouvaient pas la vibration musicale de leur film « Go Fast », commande à Agoria une bande originale a cent à l’heure. De cette aventure naîtra un des disques les plus abrasifs d’Agoria, mais surtout une amitié avec Olivier Van Hoofstadt qui l’amène aujourd’hui à composer la bande originale de « Lucky », la nouvelle comédie déjantée du réalisateur de « Dikkenek ». Entre temps, Agoria a également écrit en 2016 la musique de deux documentaires de Jan Kounen, « Mère Océan » et « Vape Wave ». Une collaboration fructueuse puisqu’elle se poursuit en 2018 sur la série « The Show ». La boulimie d’expériences qui caractérise Agoria le conduira également à collaborer avec le monde de la mode et des créateurs, jouant sa musique pour la marque italienne Fendi à Milan, ville où il a lui-même résidé plusieurs années, ou collaborant avec le plasticien Philippe Parreno pour lequel il participe à l’écriture de la bande sonore de l’installation immersive que l’artiste réalise en 2016 pour le Turbine Hall de la Tate Modern de Londres. Mais c’est lors de la dernière édition d’Art Basel Miami Beach, l’une des plus importantes foires d’art contemporain au monde, où Agoria, retrouvant son nom Sébastien Devaud, a été invité à présenter pour la première fois son travail photographique très personnel, qu’un nouveau chapitre s’est ouvert. Ses pièces, jetant un regard nouveau sur le principe des affiches lacérées chères à Jacques Villeglé, figure essentielle du « Nouveau Réalisme » des années 60, ont été saluées par le célèbre magasine Américains « Interior Design » comme l’un des points forts de l’édition 2019. Cela n’empêchera certainement pas Agoria de revenir bientôt avec un nouvel album « pratiquement terminé ».
Tickets disponibles lundi 19 février à 10h INXS XPERIENCE Le 40e ANNIVERSAIRE de l’album THE SWING Produit notamment par Nile Rodgers, à qui on doit les succès du groupe Chic, The Swing est l’album de la consécration pour INXS après trois albums et plusieurs singles pour la plupart bien classés en Australie, puisqu’il est le premier à connaître une sortie internationale dans plusieurs pays, porté par le premier single extrait de l’album, Original Sin, qui rencontre un énorme succès Mondial. En 2024, INXS fêtera les 40 ans de THE SWING sorti en 1984, et la sortie d’un des plus grands best of de la scène Pop-Rock, THE GREATEST HITS, sorti en 1994. Pour fêter cet anniversaire, INXS perience a préparé un concert adapté à l’évènement qui sera suivi par une soirée 80s-90s pour danser sur les plus grands Hits New-Wave, Pop, Dance, animée par Vincent ARENA.
Pour ouvrir notre saison de concerts, nous accueillons l'ensemble de cuivres Tessera, lauréat du Prix E.Ralet. Ce prix est attribué à des musiciens qui se sont particulièrement distingués lors de leurs études et examens au  Conservatoire Royal de Musique de Liège. Ils font l’unanimité à chacune de leur prestation. Un ensemble de cuivres à découvrir absolument !  Au programme des œuvres de Gabrieli – Schubert – Berlioz – Tchaïkovski.
Le Choeur Universitaire de Liège, l'orchestre du Choeur ULiège, les solistes Cynthia Hagelstein, Anaïs Brullez, Kenny Ferreira et Samuel Namotte, sous la direction de Patrick Wilwerth, présentent le Lauda Sion de Félix Mendelssohn - oeuvre composée pour le 600e anniversaire de la Fête Dieu à la Basilique Saint-Martin en 1846 - et le Te Deum de Dettingen de Georg Friedrich Haendel, une oeuvre brillante célébrant la victoire de la bataille de Dettingen.Places Carré d'Or (numérotées) : 30€places normales : 25€
YKONS Ykons made a name for itself in 2021 with its debut single “Sequoia Trees”, followed a few months later by “Time”, which made the rounds on the airwaves. Buoyed by their infectious energy, Ykons continued to climb the ladder, not only at festivals but also by selling out venues such as the Madeleine and the Forum de Liège. They return in 2024 with a new album and an all-new show.