Venez admirer les trésors de la Rome antique, en visitant l'exposition "Les
chefs-d'œuvre de la collection Torlonia", au musée du Louvre, du 26 juin au 11
novembre 2024.
Amoureux de l'art et de la culture, ne manquez pas cette exposition. Le musée du
Louvre dévoile les chefs-d'œuvre de la collection Torlonia, des sculptures
antiques romaines exceptionnelles, qui n'ont pas été montrées en France depuis
près d'un siècle. Venez admirer ces œuvres incroyables du 26 juin au 11 novembre
2024.
Les sculptures de la collection Torlonia appartiennent à une collection privée,
constituée par les princes Torlonia, des nobles Romains qui ont construit leur
fortune entre les XVIIIe et XIXe siècles. Cette famille de collectionneurs a
œuvré durant tout le XIXe siècle pour trouver et acheter ces pièces antiques
incroyables, et créer ce qui est aujourd'hui la plus grande collection privée de
pièces antiques au monde.
Rarement montrées au grand public, ces sculptures s'exposent au musée du Louvre
dans un écrin lui aussi remarquable. On peut les admirer dans les appartements
restaurés d'Anne d'Autriche, le siège des collections permanentes de sculptures
antiques du musée parisien.
Les œuvres françaises et italiennes entament ainsi un dialogue tout en grâce.
Cette exposition permet bien sûr d'admirer des chefs-d'œuvre incroyables. Mais
elle permet aussi d'interroger la passion occidentale pour l'art et la culture
antique, et le rôle de ces objets d'art et d'Histoire dans la création des
musées et des institutions qui préservent la culture.
Le musée du Louvre accueille ainsi une exposition exceptionnelle, dans un cadre
majestueux. Venez sans attendre découvrir l'exposition Chefs-d'œuvre de la
collection Torlonia.
![Événement](/_next/image?url=https%3A%2F%2Fculturius-prod-web-app-photo-cache-s3.s3.eu-west-1.amazonaws.com%2Fphoto_original_filter%2F64fa843d81201179108079.jpeg&w=3840&q=75)
Poetry of the earth, l'exposition de Maya Rochat qui mêle nature et photographe à la MEP
01september 2023
-31december 2026
maison européenne de la photographie
maison européenne de la photographie, 5 rue de Fourcy, Paris, 75004, France
Description
Jusqu'au 1er octobre 2023, la Maison Européenne de la Photographie accueille l'artiste Maya Rochat, une plasticienne belge, lors d'une exposition immersive et colorée.
Depuis le début de l'été, la Maison Européenne de la Photographie (MEP, ndlr), accueille la plasticienne suisse Maya Rochat, qui signe ainsi sa première exposition individuelle. Du début de sa création à ses dernières expositions, Poetry of the earth raconte le lien entre l'Homme et la nature autour d'installations, performances, photographies et vidéos au plus près du vivant.
Maya Rochat photographie la nature : ses arbres centenaires, ses rivières, ses pierres, ce monde minéral et végétal qui l'entoure. De ses clichés, elle en fait d'immenses reproductions sur lesquelles elle essaie, expérimente, provoque des réactions chimiques entre des pigments et des liquides divers, découpe, tord, colorise, superpose... Ses œuvres prennent tantôt la forme de poufs dans lesquels on vous invite à confortablement vous installer, tantôt la forme de caissons lumineux, de tableaux interactifs et de peintures abstraites qui changent de couleur, se meuvent lentement dans leur cadre. Avec cette exposition poétique, toute douce, c'est une vraie immersion dans le monde vivant que Maya Rochat vous propose depuis la Maison Européenne de la Photographie.
Profitez-en, il vous reste jusqu'au 1er octobre 2023 pour vivre cette expérience immersive depuis la MEP de Paris !
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Événements suggérés
La mode et le design se sont donné rendez-vous à l'occasion de la nouvelle
exposition de la Fondation Azzedine Alaïa, "Alaïa/Kuramata, la légèreté en
création", du 24 juin 2024 au 12 janvier 2025.
Prêt.e.s pour une virée arty et stylée ? L'exposition "Alaïa/Kuramata, la
légèreté en création" investit la Fondation Azzedine Alaïa du lundi 24 juin 2024
au dimanche 12 janvier 2025. Un rendez-vous immanquable pour les fans de design
et de mode !
Azzedine Alaïa, grand virtuose de la couture, a toujours été fasciné par l'art
du designer japonais Shiro Kuramata, avec lequel il partage un rapport
indéniable à la sculpture. Kuramata, avec son mobilier en acrylique, défiait les
lois de la gravité, transformant le mobilier en oeuvres d'art légères et
éthérées. Une amitié et une admiration qui se sont transformés en une collection
unique depuis les années 2000, rassemblant des pièces cultes telles que
"Pyramide Furniture" (1968), "Luminous Chair" (1969), "OBA-Q" (1972), "Glass
Chair" (1976), "How High is the Moon" (1986), ou encore "Twilight Time" (1985).
Déjà en 2005, Alaïa avait célébré le designer avec une exposition inédite, mais
cette fois, la Fondation Azzedine Alaïa sort le grand jeu ! L'hôtel particulier,
niché dans le Marais, dévoile plus de vingt pièces de Kuramata, mises en
dialogue avec près de vingt créations haute couture d'Alaïa.
Ici, la maille lurex répond au métal tricoté, l'acrylique transparent s'accorde
aux mousselines délicates. Ensemble, ces oeuvres défient les lignes, et révèlent
une passion commune pour l'abstraction et la perfection.
Alors, ne manquez pas cette nouvelle exposition mode hybride, où la mode flirte
avec le design en plein coeur de Paris !
L'artiste Thomas Mailaender a reçu carte blanche : il expose ses créations
originales à la Maison Européenne de la Photographie, du 12 juin au 29 septembre
2024.
La Maison Européenne de la Photographie accueille Thomas Mailaender et ses
créations loufoques et originales du 12 juin au 29 septembre 2024. L'artiste
présente ses œuvres dans l'exposition Les belles images, et nous entraîne dans
son univers singulier et résolument moderne.
Cette exposition prend la forme d'une rétrospective, qui réunit des
photographies et des installations anciennes, ainsi que des créations pensées
spécifiquement pour cette exposition. L'artiste a reçu carte blanche pour nous
étonner et nous séduire.
Thomas Mailaender est connu pour ses expérimentations et ses recherches
visuelles, qui explorent les limites, l'essence même de la photographie.
L'artiste souhaite redéfinir le rôle de l'image, en jouant à la fois avec des
clichés trouvés dans des brocantes et des marchés aux puces, et avec des images
collectées sur Internet. Un mélange d'ancien et de nouveau qui traduit une
curiosité et un amour profond pour la photographie et l'iconographie.
Tel un savant fou, le photographe français expérimente dans son laboratoire,
pour créer des clichés originaux, souvent décalés. Les objets, les supports sont
détournés, réinventés pour remettre en question notre perception de la norme,
des habitudes, des usages.
Amoureux de la photographie, plongez dans le monde surprenant de Thomas
Mailaender et découvrez une autre vision de l'image et de la photo. Une
exposition à voir cet été à la MEP.
Le musée Delacroix s'intéresse à la manière dont le peintre habille - ou non -
ses sujets, dans un accrochage organisé du 3 juillet 2024 au 3 février 2025.
Le musée Delacroix nous propose une nouvelle plongée dans l'œuvre d'Eugène
Delacroix, à travers une exposition inédite présentée du 3 juillet 2024 au 3
février 2025. Ce parcours inédit prend presque la forme d'un catwalk de la
fashion week : l'accrochage met en lumière le rapport du peintre aux vêtements.
Intitulé Nu comme habillé. Delacroix et le vêtement, cet accrochage aborde donc
le thème de l'habillement, s'interrogeant sur les choix de l'artiste : quel
personnage reste nu, qui est habillé, et comment ?
Différents tableaux sont donc présentés. Les personnages fictifs et les
portraits se retrouvent côte à côte, tantôt habillés de la tête aux pieds,
tantôt nus. La présence ou l'absence de vêtements est forte de symbolisme, et ce
choix nous offre de nombreuses informations sur le sujet, comme sur le style
employé pour la peinture.
Les vêtements peints par Delacroix cachent eux aussi leurs propres symboles.
Textures et textiles, couleurs, détails, broderies, motifs... Dans une manche ou
un col, on peut deviner l'époque, l'identité, le statut du sujet représenté. Ces
habits nous donnent également des indices sur les sources d'inspiration et les
références utilisées par l'artiste pour travailler.
Amoureux de l'art et amateurs de Delacroix, profitez de cette exposition
originale pour en apprendre un peu plus sur l'univers et le travail du peintre
français.
Transumanze est un projet vidéo, pictural et artistique itinérant du street
artiste Alberto Ruce, en collaboration avec la graphiste et vidéaste Carla
Costanza, entrepris en 2019. Découvrez-le à la Galerie Nature Forte du 12 au 29
juin 2024 !
TRANSUMANZE, L’EXPOSITION
La genèse de la série Transumanze d’Alberto Ruce est une recherche sur la
micro-migration, le dépeuplement des petits villages ruraux, l’abandon des
traditions ancestrales et le lien fragile entre l’homme et la nature. Cette
série a été nourrie par la création d’un projet artistique itinérant,
"Transumanze Project", ainsi que par des recherches anthropologiques, des
résidences artistiques, des peintures, des interventions d’art public, ou encore
des interviews vidéo qui ont ensuite donné vie au documentaire «Perché sei qui»
(Pourquoi es-tu ici) réalisé par Carla Costanza.
Les lieux qui ont inspiré la série Transumanze sont des petites réalités
marginales : villages anciens, quartiers isolés et dégradés, campagnes
abandonnées, villes fantômes, réalités présentes partout dans le monde, comme en
Sicile, où Alberto Ruce a vécu jusqu’à ses 19ans.
Cette exposition veut raconter le parcours que cet artiste a entrepris,
physiquement et artistiquement, dans une réalité oubliée par notre société, à
travers les villages et les campagnes. C’est un homme qui regarde ce monde
disparaître, à la fois fasciné et choqué.
C’est le regard d’un citadin, originaire d’un petit village, et parti
s’installer dans des grandes villes européennes, qui, revenant un temps sur sa
terre natale, se passionne pour ce sujet et découvre à proximité immédiate un
monde autrefois prospère qui s’éteint, des méthodes ancestrales oubliées, des
coutumes anciennes qui ont disparu, des lieux et des personnes abandonnés à leur
sort. Des pans entiers de tradition s’effacent, la mémoire des gestes séculaires
et de leurs significations symboliques, ou celle de pratiques comme la
confection du fromage, le paillage de chaises… disparaissent, au bénéfice d’une
vie standardisée des grandes villes.
Ses portraits d’artisans, de pêcheurs traditionnels, de bergers, d’animaux de
pâturages qui nous regardent, ses représentations de méthodes artisanales, sont
toujours le fruit de rencontres avec les hommes et les femmes qui détiennent
encore ces savoir-faire. A travers ses œuvres – peinture, dessin ou photo –
c’est un monde ancestral, complexe et simple à la fois, qui disparaît sous les
yeux de l’artiste, un monde qu’il semble seulement découvrir et qui pourtant
semble déjà évanoui.
"From wall to canvas" est le sous-titre de cette exposition : La plupart des
œuvres de la série prennent comme référence des peintures murales réalisées
ultérieurement par l’artiste, créant ainsi une série d’œuvres qui sont
transportées « du mur à la toile », changeant ainsi de destination, d’éphémère à
pérenne. Les œuvres destinées au regard de tous, deviennent intimes. La volonté
de l’artiste devient alors de garder une trace de sa propre évolution.
TRANSUMANZE, LE PROJET
Transumanze est un projet vidéo, pictural et artistique itinérant, débuté en
mars 2019, en Sicile. Toujours actif, il a été créé par le street artiste
Alberto Ruce en collaboration avec la graphiste et vidéaste Carla Costanza.
En 2019, pendant le projet, les artistes ont mené une recherche sur le
territoire pour choisir leurs lieux d’intervention, en cherchant des réalités
presque perdues, marginales, en Sicile, pour la plupart des petits bourgs
abandonnés ou des villages dépeuplés. Pour chacune des 10 étapes, ils ont
travaillé en étroite relation avec les associations locales qui ont soutenu le
projet et les ont aidés à développer une médiation avec les habitants du
territoire. Les échanges avec les habitants ont contribué à la découverte par
les artistes des coutumes et traditions locales ; en racontant leurs histoires
et les problématiques des lieux qu’ils habitent, ils ont ainsi enrichi la
recherche et le projet.
Chaque étape donne vie à une peinture murale, en accordant une attention
particulière à la création d’un lien entre l’œuvre et le territoire qui
l’accueille. La plupart des images utilisées pour créer les peintures murales et
les autres œuvres sont extraites de séquences vidéo de Carla Costanza. Comme
empreinte de son expérience, elle a réalisé « Perché sei qui » (Pourquoi es-tu
ici), un documentaire intimiste qui parle du rapport de la vidéaste avec ce
territoire, nourri par ses entretiens avec les habitants de ces lieux.
L’ensemble du projet Transumanze est un hommage aux habitants, à l’histoire des
lieux et aux problématiques auxquelles le territoire est confronté. Les thèmes
abordés par le projet ne concernent pas seulement le pays natal des deux
artistes, tous les deux siciliens, mais concernent aussi bien d’autres
territoires, ailleurs. Le projet Transumanze veut poursuivre son parcours en
explorant et en mettant en lumière d’autres réalités similaires à travers le
monde.
L’ARTISTE
Alberto Ruce est né en Sicile en 1988. Artiste peintre, il travaille aussi bien
dans le tissu urbain qu’en atelier.A 13 ans il commence à expérimenter les
sprays, le tag, et se familiarise au monde du graffiti. Il débute son parcours
artistique de façon complètement autodidacte, un parcours fait d’observations et
de confrontations avec d’autres graffeurs.
En 2009, il s’installe à Paris pour cinq ans. Cette période lui donne l’occasion
de rencontrer de nombreux artistes et de participer à divers évènements comme
des festivals nationaux et internationaux.De 2011 à 2014, il suit les cours de
dessin, peinture et perspective à de l’Atelier des Beaux-Arts de
Paris.Actuellement Alberto Ruce vit à Marseille, où il a installé son atelier.
Il y travaille sur différents projets artistiques qui lui permettent notamment
de tisser du lien entre la France et l’Italie.
L’univers pictural d’Alberto Ruce est poétique, onirique et délicat. Sa
recherche picturale est axée sur la transparence et sur le ton sur ton. Les
thèmes qu’il aborde sont souvent liés à la perception sensorielle, aux liens qui
lient l’Homme et la nature.C’est l’évanescence de ses sujets qui caractérise ses
œuvres. La peinture se fond aux supports qui l’accueillent (bois anciens,
cartons, pierres, toiles…). Dans la rue il joue avec les teintes et aspérités
des murs et porte une attention particulière au contexte et à l’histoire des
lieux qu’il investi.
Envie de visiter les collections de la Bourse de Commerce ? Profiter de la
nocturne gratuite, ce samedi 6 juillet 2024, pour découvrir ce lieu d'art
incontournable à Paris.
Chaque premier samedi du mois, la Bourse de Commerce nous ouvre ses portes
gratuitement pour une visite nocturne en toute décontraction. De 17 heures à 21
heures, l'entrée de ce musée d'art contemporain vous est ouverte, profitez-en
pour explorer les riches collections exposées dans les étages de la Bourse.
La prochaine visite en nocturne est prévue pour ce samedi 6 juillet 2024. À
cette occasion, découvrez les différentes expositions installées en ce moment.
Au programme, art contemporain, artistes internationaux, installations éphémères
et époustouflantes ou encore témoignages iconographiques passionnants. Ce musée
a été pensé pour être un lieu d'accueil pour les artistes, un lieu
d'apprentissage et de transmission : ici, les visiteurs et les créateurs peuvent
partager leur amour pour l'art.
En marchant dans les allées du musée, observez un instant le mur, les plafonds,
le bâtiment : après des années de travaux, la Bourse de Commerce a été rénovée
de fond en comble et est devenue elle-même une œuvre monumentale à admirer.
Dans les sept galeries qui entourent la Rotonde, véritable pièce d'art, et parmi
les 6 800 m² d'espaces d'exposition, on retrouve plus de 10 000 œuvres issues de
la collection Pinault.
Entre les cartes blanches, les expositions spéciales, les projets temporaires,
les parcours de visite changent fréquemment. Revenez donc chaque premier samedi
du mois pour découvrir ces nouveautés !
Le monde comme il va : l'exposition d'art contemporain à la Bourse de Commerce,
nos photosLa Bourse de Commerce dévoile une exposition monumentale, une vraie
lettre d'amour à l'art contemporain, avec "Le monde comme il va", à découvrir du
20 mars au 2 septembre 2024. [Lire la suite]
Arte Povera : une exposition sur le mouvement artistique italien à la Bourse de
CommerceL’Arte Povera s’expose à la Bourse de Commerce à Paris du 9 octobre 2024
au 24 mars 2024. L’occasion d’en apprendre davantage sur ce mouvement artistique
italien grâce à un ensemble d’œuvres réalisées par treize principaux
protagonistes de l’Arte Povera. [Lire la suite]
Vertiges, l'exposition qui bouscule nos sens à la Bourse de CommerceLes artistes
de la Bourse de Commerce nous entraînent dans une spirale artistique
étourdissante, avec l'exposition Vertiges, à découvrir du 20 mars au 23
septembre 2024. [Lire la suite]
A partir du 2 juillet, la Cité des Sciences active le mode "danse" avec sa toute
nouvelle exposition immersive, Danser.
Pile à temps pour les grandes vacances d'été, la Cité des Sciences inaugure sa
toute nouvelle exposition jeune public dès le 2 juillet 2024, autour d'un thème
universel : la danse. Du flamenco à la danse classique, en passant par la salsa,
le contemporain, la valse et autres danses traditionnelles, la danse fait partie
intégrante de la culture de chaque pays, de chaque région du monde. Art à part
entière, moyen d'expression qui raconte tout par la gestuelle, la danse est
aussi fédératrice que diverse : pour cette exposition inédite, la Cité des
Sciences vous propose de placer le corps en mouvement, afin d'apprendre vous
aussi, à vous exprimer à travers la danse.
Pensé autour d'une expérience de visite insolite, Danser vous propose de mettre
votre corps en mouvement lors d'un moment collectif dansé. À l'aide de
dispositifs conçus en collaboration avec des danseurs et chorégraphes, c'est
désormais vous, le roi ou la reine du dancefloor ! Sauter, tourner, marcher, se
rencontrer, se poser : l'exposition est construite sur cinq parties avec un
grand bal final au programme !
L'exposition est conçue pour les enfants de 4 à 8 ans, mais il est évidemment
possible de vous y rendre en famille : pour la découvrir, il suffit de vous
acquitter d'un billet d'entrée à la Cité des Sciences. Alors, on part y danser à
la Cité des Sciences à partir de juillet ?
À l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, Lafayette
Anticipations vous invite à découvrir sa nouvelle exposition, La Ruée vers l'or,
du 19 juin au 1er septembre 2024. Un parc de loisirs artistique en accès libre
et gratuit, imaginé par les élèves de la filière professionnelle du lycée Alfred
Nobel de Clichy-sous-Bois, également proposé à l'Atelier Médicis de
Clichy-sous-Bois du 1er juin au 28 juillet 2024.
Lafayette Anticipations se met à l'heure des Jeux Olympiques de Paris 2024 et se
transforme en un terrain de jeu inédit ! Le musée propose aux curieux et
amateurs d'art une toute nouvelle exposition, intitulée La Ruée vers l'or, du 19
juin au 1er septembre 2024. Bien plus qu'une exposition, il s'agit d'une
immersion totale dans un parc de loisirs conçu par les esprits innovants de 40
lycéens, en collaboration avec les Ateliers Médicis et ebb.global. Ces jeunes
talents nous invitent à explorer leurs rêves et préoccupations à travers une
expérience ludique et interactive, reflétant un monde à la fois déréglé et
idéal. Notez également que les Ateliers Médicis propose aussi une partie des
œuvres, du 1er juin au 28 juillet 2024.
Ce projet est le fruit d'un travail minutieux et pluriannuel, orchestré par
ebb.global, le corps enseignant, et bien sûr, les lycéens eux-mêmes. Le parc se
veut une réflexion profonde sur de nouvelles pratiques sportives, nées de
l'imagination débordante de ces jeunes, s'inspirant de parcours sportifs
atypiques ou proposant des règles du jeu inédites. L'espace d'exposition,
empruntant les codes visuels de l'industrie du divertissement, propose une
alternative audacieuse à notre société, questionnant ses valeurs et ses normes
établies.
La collaboration entre le lycée Alfred Nobel de Clichy-sous-Bois, les Ateliers
Médicis et ebb.global tendent ainsi, à travers cette exposition, à valoriser les
compétences des jeunes et à ouvrir de nouvelles voies professionnelles. La Ruée
vers l'or ne se contente pas d'offrir un divertissement : elle représente une
véritable machine à rêves, réimaginant les parcs de loisirs comme des lieux de
réflexion et d'inspiration. À travers maquettes, installations et un manga édité
pour l'occasion, ce projet pluridisciplinaire offre une vision unique sur les
grands mythes contemporains, invitant chacun à se laisser emporter dans un
voyage au cœur de l'imaginaire collectif. Prêt pour un voyage divertissant et
coloré ?
Avis aux amateurs de Shepard Fairey ! Le célèbre street artiste américain,
également connu sous le nom d’Obey, revient à la galerie Itinerrance, située
dans le 13e arrondissement de Paris, pour y dévoiler "Swan Song". Cette nouvelle
exposition personnelle de Shepard Fairey est à découvrir gratuitement du 20 juin
au 26 juillet 2024.
Les férus de street-art le savent, le 13e arrondissement de Paris est un
véritable terrain de jeu pour de nombreux artistes. Cet été, la galerie
Itinerrance, à l’origine du très beau projet Boulevard Paris 13, en partenariat
avec la Mairie du 13e, fait de nouveau parler d’elle à travers une nouvelle
exposition signée Shepard Fairey.
Baptisée « Swan Song », cette installation est la troisième exposition du street
artiste américain à la Galerie Itinerrance. Entre la galerie parisienne et
Shepard Fairey, alias Obey, il y a donc une complicité et une belle fidélité qui
se confirment au fil des années.
Leur première collaboration remonte ainsi à 2016. Cette année-là, l’artiste
contemporain originaire de Caroline du Sud investit la galerie du 13e pour y
présenter son travail dans le cadre de l'exposition "Earth Crisis". En 2019,
Shepard Fairey revient à la Galerie Itinerrance pour y dévoiler de nouvelles
œuvres lors d’une rétrospective baptisée "Facing The Giant : 3 decades of
dissent".
En 2024, Obey réinvestit donc cette galerie d'art contemporain spécialisée dans
l'art urbain à l’occasion de sa nouvelle exposition personnelle, "Swan Song". A
découvrir gratuitement du 20 juin au 26 juillet 2024, cette nouvelle
installation se veut une fois encore engagée et militante. « Les œuvres de mon
exposition 'Swan Song' abordent les multiples menaces actuelles, dans l'espoir
que l'art suscite un appel collectif suffisamment puissant pour inspirer un
changement de cap, plutôt que de simplement servir de chant du cygne à notre
tragédie collective » explique Shepard Fairey dans un communiqué publié par la
Galerie Itinerrance.
Le public et les nombreux admirateurs du travail de Shepard Fairey pourront
ainsi y admirer de nouvelles œuvres de l’artiste présentées sous forme de
peintures, de monogravures ou encore d’estampes. Attention, notez qu’un
vernissage ouvert au public se tiendra le jeudi 20 juin 2024 de 18h à 22h, en
présence de l'artiste !
On rappelle que Shepard Fairey a débuté sa carrière en apposant dans les rues
des stickers « André the Giant has a Posse », représentant le catcheur français
André Roussimoff. Certaines de ses œuvres sont devenues de véritables références
comme ce portrait de Barack Obama accompagné du terme « hope ».
Shepard Fairey a également créé un véritable lien avec la France. On se souvient
notamment de l’installation éphémère en trois dimensions "Earth Crisis" sous la
Tour Eiffel, durant la tenue de la COP21 à Paris ou encore sa fresque
représentant la figure symbolique de Marianne sur fond tricolore, réalisée suite
aux tragiques attentats du 13 novembre 2015.
À l’occasion de l’exposition "Mexica, des dons et des dieux au Templo Mayor", le
musée du Quai Branly - Jacques Chirac organise une soirée "Mexica" inédite le
vendredi 5 juillet 2024. Accessible en entrée libre, cet événement vous invite à
vivre un fabuleux voyage au Mexique rythmé par de la musique, des initiations et
performances de danse ou encore un drag show et un live painting. Par ici le
programme complet !
Cet été, le Musée du Quai Branly – Jacques Chirac nous emmène en voyage au
Mexique à l’occasion de sa nouvelle exposition. Jusqu’au 8 septembre 2024, le
célèbre musée parisien nous dévoile l’installation "Mexica, des dons et des
dieux au Templo Mayor". Comme son nom l’indique, cette expo nous plonge dans la
très riche et fascinante histoire de l’archéologie mésoaméricaine.
Dans le cadre de cette exposition, le Musée du Quai Branly – Jacques Chirac
propose une soirée "Mexica" à découvrir gratuitement (dans la limite des places
disponibles) le vendredi 5 juillet 2024 dès 20h.
Pour cet événement inédit, le musée du Quai Branly annonce un ensemble
d’animations avec au programme de la musique (DJ set et concert), un drag show,
des initiations et performances de danse, du live painting, des mini-visites ou
encore des démos de cocktails. L’occasion d’en apprendre davantage sur la
culture mexica et son héritage. Autre bonne nouvelle, cette soirée "Mexica" est
gratuite (sans réservations), accessible toutefois dans la limite des places
disponibles. Elle se déroulera dans les différents espaces du musée, mais
également en plein cœur du jardin.
Vendredi 5 juillet 2024 de 20h à 1h du matin (programme sous réserve de
modifications)
Retrouvez également tout au long de la soirée un bar éphémère et un photocall.
Le programme complet de la soirée est disponible sur le site officiel du Musée
du Quai Branly.