EXPOSITION METTANT EN PARALLÈLE DES OBJETS HISTORIQUES ISSUS DE MUSÉES ET OBJETS
ISSUS DU MILIEU CINÉMATOGRAPHIQUE.
Quand la réalité rencontre la fiction…
Visite accessible de 11h à 18 et ouverture spéciale jusqu’à 20h dans le cadre de
l’événement « les Médiévales de la citadelle ». Au Hangar aux affûts.
+32 (0)81 24 73 70https://citadelle.namur.be/
info@citadelle.namur.be [info@citadelle.namur.be]
https://citadelle.namur.be/ [https://citadelle.namur.be/]
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Exposition d'aquarelle
Description
Exposition d'aquarelles de moto gp, avec les pilotes: Valentino Rossi, Marc Marquez, Barry Baltus, Pedroza, Doohan, etc...Par Laurence Delsipée AquarellisteAu Moulin Brasserie de l'Abbaye de Floreffe tous les jours durant le mois de mai, de 11h00à 18h00 et le week-end jusque 19h00.
Peinture
Information sur la date
Lundi: de 11:00 à 18:00. Mardi: de 11:00 à 18:00. Mercredi: de 11:00 à 18:00. Jeudi: de 11:00 à 18:00. Vendredi: de 11:00 à 18:00. Samedi: de 11:00 à 18:00. Dimanche: de 11:00 à 18:00. Du 1er au 31 mai. >> Autres dates pour Exposition d'aquarelle
Lieu
Organisateur
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Événements suggérés
Nézir Muhadri explore l'influence du temps et des chemins que nous prenons. Il
n'y a pas de retour possible. Ces chemins nous guident droit devant, parfois en
empruntant des sentiers de traverse mais toujours vers l'avant. Chaque
photographie de l'exposition tend à montrer l'irréversibilité du temps et du
chemin parcourus tout en évoquant la nostalgie des instants passés "figés" dans
nos mémoires (personnelle, familiale, collective...).
Nézir Muhadri est né à Saint-Josse il y a 52 ans. Assistant social de formation,
il habite la province de Namur depuis de nombreuses années. Passionné par la
photographie, il affectionne tout particulièrement le travail du noir et blanc.
Pour lui, il ne peut y avoir de lumière sans
obscuhttp://www.facebook.com/galeriedubeffroirité. Tout est question d’équilibre
entre les noirs et les blancs et, au centre, la lumière comme médiatrice de deux
extrêmes.
Ses terrains de prédilection sont les ambiances brumeuses des bords de Meuse,
les flâneries en solitaire lors de ses pérégrinations nocturnes. Il considère le
langage photographique comme une écriture et un prolongement de soi. Ces clichés
sont les reflets d’une partition intérieure toute personnelle.
081 22 84 76.
http://www.facebook.com/galeriedubeffroi
[http://www.facebook.com/galeriedubeffroi]
ART, SCIENCE,TECHNOLOGIE & SOCIÉTÉ
La 5ème exposition du Pavillon s’immergera dans la thématique de l’astronomie et
de l’exploration spatiale. De tous temps, l’exploration spatiale et la conquête
des lieux inconnus ont fait rêver les êtres humains, nous entrons actuellement
dans un nouveau volet de la conquête spatiale où découvertes scientifiques et la
recherche de la vie extra-terrestre se mêlent à des considérations bien plus
économiques comme la quête des métaux rares et de nouvelles zones exploitables.
INFOS PRATIQUEShttp://www.le-pavillon.be
HORAIRE :TARIFS :
VISITES GUIDÉES
Vous souhaitez nous rendre visite en groupe et bénéficier d’une visite
accompagnée? Ça tombe bien, les visites guidées sont organisées tout au long de
l’exposition.
INFO
L’exposition est accessible dès 8 ans. Un guide du visiteur, un dossier
pédagogique et un carnet d’activités pour les plus jeunes (8-12 ans) seront à
disposition du public.
Vous souhaitez nous rendre visite en groupe et bénéficier d’une visite
accompagnée? Ça tombe bien, les visites guidées sont organisées tout au long de
l’expo
Pour plus de renseignements, consultez le site Internet du Pavillon
[http://www.le-pavillon.be]
Bercé entre les influences internationales et le développement de
caractéristiques spécifiquement régionales, l’art belge se déploie et se
découvre dans les salles du Musée L. Cette promenade dans les collections vous
permettra d’appréhender les différentes déclinaisons et quelques périodes de
l’art belge par le biais de créations d’artistes emblématiques de nos régions
tels Magritte, Quinet ou encore Alechinsky.Prix : 6 € / pers. (entrée au musée
comprise)Réservation obligatoire : www.museel.be ou 010/47 48 41
L’ASBL Musée du Souvenir 40-45 organise les 12, 13 et 14 juillet 2024, la
quinzieme édition de la manifestation « Field Depot ».Cette manifestation
consiste en une reconstitution d'un camp militaire allié de la seconde guerre
mondiale. Cet événement permet de découvrir de manière didactique et vivante, en
complément de l'exposition statique du musée, l'histoire de la seconde guerre
mondiale dans la région ainsi que les uniformes, véhicules et équipements
utilisés lors de cette période.Celle-ci prendra place à proximité du Musée du
Souvenir 40-45 situé Rue d’Orbais, 2 dans le village de Malèves (1360 Perwez -
Belgique), au plein centre de la Belgique.Le programme de notre manifestation
Field Depot 2024 est disponible sur notre site internet
:https://www.museedusouvenir.be/ENTREE Gratuite pour les visiteurs au camp
(entrée au musée = 3€ / gratuite pour les reconstituteurs)Visite du camp
recommandée le samediLes bénéfices engendrés permettent de subvenir aux frais de
fonctionnement du Musée du Souvenir 40-45, musée privé, qui a pour vocation de
faire découvrir l’histoire locale de la seconde guerre mondiale aux personnes de
la région ainsi qu’aux enfants.
Tout un panel d'outils créatifs est mis à disposition afin que chaque famille,
petits et grands réunis, puisse laisser libre cours à son imagination. Ensuite,
le public est invité à exposer son travail au cœur même de la maquette afin que
tout le monde puisse l’admirer.
Où trouver l’inspiration ? Dans sa propre imagination, par ses découvertes lors
de la visite du musée ou en piochant dans la boite à idées concoctée par
nos animatrices.
Ce Lab Expo est temporaire et accessible jusqu’au 25 août 2024. Il complète les
autres Labs présentés dans l’exposition permanente et les dispositifs mis en
place pour une escapade culturelle en famille !
Située dans la vallée de la Lesse, la réserve naturelle de Furfooz vous invite à
la découverte d’un patrimoine archéologique et naturel, le temps d'une balade
d’environ 4 km. Au paléolithique, les chasseurs du Magdalénien en remontant du
sud de l’Europe ont laissé des traces de leur présence dans des abris sous roche
au pied des falaises de Furfooz. Occupé à la fin du Bas Empire romain et au
Moyen Age, le plateau du massif rocheux a constitué un site d’habitat défensif
exceptionnel.
* Tarif : 5 euros/personne
* Paiement sur place en espèces
* Réservation obligatoire
Pour la première exposition du cycle "Carte blanche", le BPS22 a sollicité le
critique d’art et commissaire d’exposition Claude Lorent (Charleroi, 1943).
Celui-ci a choisi de retracer l’itinéraire pictural d'Éric Fourez (Tournai,
1946) qui s’étend de 1974 à nos jours.
Dès les années 1970, l’artiste réalise des petites peintures d’inspiration
surréaliste et littéraire dont ne subsistent que deux exemplaires, témoins d’une
influence rapidement abandonnée. Sa pratique artistique change alors rapidement.
Attiré par l’hyperréalisme à base de photographie, il s’en distingue d’emblée en
optant pour une peinture à tonalité monochrome bleue, légère et lumineuse. Ses
sujets de prédilection sont les vagues et des vues de la mer du Nord ; elles
évoquent l’ailleurs, le voyage, l’évasion. Ce sont des rochers à Ploumanach, des
autoroutes, des aéroports, des cabines de plage… et bientôt les premières traces
de pas dans le sable. En 1984, ses toiles passent au gris, puis s’estompent
légèrement et, dès 1986, le blanc s’impose. Le sujet devient trace, la
figuration devient allusive et semble parfois se dissoudre dans l’abstraction.
Pour Claude Lorent, l’itinéraire est remarquable : "Depuis, selon un processus
créatif invariable, inlassablement, résolument, Éric Fourez peint des paysages
marins fascinants, des bords de plages ravinés, creusés, modelés par le flux, le
reflux, le ressac, par la puissance ou la douceur des vagues qui vont, viennent,
se retirent et reviennent. Qui meurent sur le sable avant de remonter à
l’assaut, plus déterminées et plus vivantes que jamais.
Hymne à la vie et à la nature, images du destin, vanités autant que paysages,
ces peintures de l’espace infini et de la blancheur, silencieuses, solitaires,
évocation du passage du temps, de la fragilité des êtres et des choses, de
l’éphémère et du combat contre l’inéluctable effacement jusqu’à la disparition,
se déclinent en toutes tailles, en tous formats, invitent à regarder et
réfléchir, à vivre l’enchantement, à méditer, à prendre conscience de soi, de
notre terre à respecter et de l’univers incommensurable."
Première grande rétrospective muséale de l’artiste, l’exposition rassemblera
plus d’une cinquantaine de peintures sur toile, de formats intimes à des œuvres
de 4,2 m x 2 m, ainsi que des documents. À cette occasion, Éric Fourez rend
aussi hommage à ses amis artistes, avec des œuvres de Gabriel Belgeonne, Pierre
Courtois, Gaston De Mey, Jephan de Villiers, Patricia Dopchie, Francis
Dusépulchre, Jean-Michel François, Jack Keguenne, André Lambotte, Michel
Mineur, Baudouin Oosterlynck et Guy Vandenbranden.
Éric Fourez
Devenue le Delta, la Maison de la Culture de Namur fête ses 60 ans en 2024.
Première du genre sur le territoire belge, elle n’aura de cesse, durant ces 60
années, de démocratiser et diffuser la Culture au public le plus large.
Cette exposition vous invite au travers de diverses archives photographiques,
affiches, maquettes, plans et oeuvres à vous replonger dans l’historique de ce
lieu. Vous pourrez vous remémorer ses transformations architecturales et
redécouvrir quelques unes des animations, expositions et spectacles qui y ont
été présentés.
Découvrez cette exposition en avant-première le vendredi 24 mai en continu de
18h à minuit, dans le cadre de la Nuit blanche
[https://www.ledelta.be/evenements/nuit-blanche-de-la-culture/] de la culture.
Rejoignez-nous le temps d‘une soirée placée sous le signe des ‘sixties’ avec au
programme la visite de nos deux expositions en compagnie de nos
médiateur.trice.s, un apéritif vintage à partager avec les équipes du Delta dans
une ambiance musicale des années 60.
Vince Briffa Marginalia.
Professor Vince Briffa was born in Malta but pursued his academic career in the
United Kingdom. In 2000, he completed his Master's in Fine Arts with honours at
Leeds University. In 2009, he obtained his doctorate from the University of
Preston in the United Kingdom.
Briffa heads the Department of Digital Arts at the University of Malta and is
also an associate professor there.
Briffa's works have been showcased twice at the Venice Biennale.
The artist received significant awards, including the "Omaggio all'Arte ed
all'Innovazione a Venezia 2019" distinction awarded by the Union of Honorary
Consuls of Italy (UCOI) and the National Association of Young Innovators (ANGI)
during the Venice Biennale and the Arts Council Malta award.
CONCEPT NOTE V1 BY VINCE BRIFFA:
“I often think of my work as an ongoing book, where each work, like a mark, a
note or a thought made in its margins, adds a new layer of reflection and
meaning to the organic and entwining flow of the narrative of the main text.
Although hardly considered marginal, this distinctive activity in the margins is
mainly defined by its relation to the main text since the margins are perceived
as the excess at the periphery and surrounding it. Margins also define the
physical limits of the book, and yet, too frequently, the habitability of the
margins through writing and other marks is perceived as simple observations or
notes, being less valuable and with little to no influence on the main book.
Therefore, the works in the exhibition are marginalia extracted from a current
chapter, in themselves in a state of becoming, that dialogically contribute and
become one with my current narrative concerning the interdependence of form,
paint, colour, materials and gesture, and anything else in between.”
Vince Briffa
REDEFINING PRACTICE BY VINCE BRIFFA
"Following years of eventful practice and exhibitions that have taken my
painting and multi-mediatic art installations to numerous international
galleries and museums, including, amongst others, twice representing Malta at
the Venice Biennale (1999 & 2019), the Covid-19 pandemic lockdown in 2020
brought with it a well-needed hiatus in the flow and direction of production,
giving me time to reflect on my original vocation as a painter. More precisely,
the last four years have been spent reflecting on the activities of drawing and
painting – the processes I intentionally fuse into a single act – and redefining
this act’s significance and position within my practice. PHILOSOPHICAL
UNDERPINNING My original training in drawing and painting in the 1970s and 1980s
has fostered in me a lifelong commitment to the refinement of a particular act
of seeing, shaping a personalised method of encountering and experiencing the
world, one that primarily rests on colour (and its translation in paint) as the
main instigator of an emotional state. Based on an early interest in how the
Impressionists interpreted light and form and honed by my academic involvement
in the fusion of the art and science of vision mediated through the artist’s
body, my most recent output explores the act of painting as a perpetual state of
becoming articulated through a tight kneading the function of seeing, the
materiality of paint, and the performance of hand and body gesture. As a result
of this, through studio practice, I try to understand how the matter that I use
(paint and related materials), through my intervention on the work’s surface,
becomes the central premise of the work, in a sense, placing the work done on
the work as the work of art itself (Bird, 2011), thus challenging the more
conventional notions and historical application of matter in the practice of
painting. Like active magma, the work produced by this agency is constantly
transitional and intermedial, perpetually redefining itself through its becoming
and not signifying anything external to itself. My work, therefore, acts at the
junction of matter and form, with matter passing through contexts rather than
being disclosed by them (Massumi, 2002), acknowledging the activity of working,
erasing and further reworking of materials to be understood not as an imposition
of theme, form or meaning, but as movement through matter (Bird, 2011). Such an
organic process feeds equally from my subconscious visual and cultural
affinities as it does from a highly personal sensibility towards abstraction.
This undulating and largely lemniscatic method (as it always starts from and
ends with the medium as its focus, revisiting it repeatedly on a variety of
levels throughout the work’s timeline), while giving value to the specificities
of the materials being used, is open to and also interrupted by the same
materials’ intrusive chance occurrences. Moreover, I choose to obfuscate the
raison d'être of the work further through a playful metalinguistic exercise of
titling, which I impose on the work posthumously. The given title, at times,
teases the viewer to acknowledge a specific element that has contributed to the
process, such as a forced visual reference, an allusion to history or a comment
on a scientific phenomenon. Such a burden is intended to tease the viewer into
colouring her interpretation of the work, making it harder to experience the
work for what it really is and, therefore, skewing any further attempts at
interpretation."
References: Bird, T., (2011), Figuring Materiality, Angelaki, 16:1, p. 5-15.
Massumi, B., (2002), Parables for the Virtual: Movement, Affect, Sensation,
Durham, NC: Duke University Press, p. 228.
Vince Briffa works in painting, sculpture, video, and installation. He is a
Professor of Art at the University of Malta, a Fellow of Civitella Ranieri
Foundation, New York, and an International Associate at CUT Contemporary Fine
Arts Lab, Cyprus University of Technology, Cyprus; Fine Arts Department, Bilkent
University, Ankara, Turkey and the Scuola di Cinema, Accademia di Belle Arti,
Catania, Sicily. He was awarded the prize ‘Omaggio all’Arte ed all’Innovazione a
Venezia 2019’ at the 2019 Venice Art Biennale. Briffa’s work has been exhibited
in numerous prestigious venues, including the Malta Pavilion, Venice Art
Biennale, 1999 and 2019; Pierides Museum, Cyprus; Palais des Nations,
Switzerland; Museum of Modern Art, Liechtenstein; Casoria Museum, Naples; Villa
Manin Contemporary Art, Italy; MAC, Argentina; Palais Liechtenstein, Austria;
Museum of Fine Arts, Romania and Museum of Modern Art, Israel. He was
commissioned to design the monument to commemorate the Valletta Summit on
Migration in Valletta in 2015. His work forms part of many local and
international private and public collections. Briffa has also curated
exhibitions internationally, including the NRW-Forum, Düsseldorf; the Münchner
Künstlerhaus, Munich; Les Rencontres Arles; De Harmonie, Leeuwarden; and the
Museum of Fine Arts, Valletta amongst many others.