Les 39 marches – Théâtre du Quiproquo

Description

Après « Le Tour du Monde en 80 jours » retrouvez l’équipe du Quiproquo Tour avec la comédie Les 39 Marches

Avec le meurtre de Scudder, Richard Hannay se trouve, du jour au lendemain, mêlé à une extraordinaire aventure. Au centre de l’histoire: une organisation secrète, mais terriblement puissante, un complot international et… un mot de code incompréhensible.

Pour rassembler les morceaux de ce puzzle déconcertant, Richard Hannay n’a que vingt jours devant lui… Vingt jours pendant lesquels on va voir ce flegmatique Britannique fuir à travers toute l’Ecosse, se travestir pour échapper à ses poursuivants, mettre le feu aux poudres d’un étrange château.

« Les 39 marches » est une parodie du film éponyme d’ Hitchcock, sorti en 1935. La pièce de théâtre a reçu le Molière de la pièce comique 2010 et de la meilleure adaptation.

5 comédiens interprètent de multiple personnages et restituent avec loufoquerie l’univers d’Alfred Hitchcock: Londres, Les Landes écossaise, des cascades, des poursuites de voiture, une histoire d’amour, d’espionnage et de suspense, retrouvez tous les moments fort du film !

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Le Point d'Eau - Ostwald17 allée René Cassin67540 Ostwald

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Événements suggérés

Londres 1909. Un 31 décembre, soir de réveillon et inauguration du nouveau Théâtre Somerset. Pour l’occasion, la comédie musicale à succès Peter Pan a été programmée. Tout le gratin de Londres est réuni, et alors que le public s’installe dans la salle, un petit groupe de privilégiés s’est réuni au dernier étage du bâtiment, dans le foyer privé de Philip Somerset, le patron des lieux, richissime homme d’affaires anglais ayant fait fortune aux Etats-Unis. Parmi eux, Miss Belgrave, la sœur bien-aimée de Somerset et cantatrice à ses heures perdues, Arthur Conan Doyle célèbre romancier père de Sherlock Holmes, le dramaturge engagé et enragé George Bernard Shaw, Bram Stocker l’administrateur du théâtre connu pour son roman Dracula, John Hartford l’américain, homme d’affaires aux mœurs controversés et bras droit de Somerset et la belle Miss Lime, l’assistante personnelle de ce dernier. Alors que la cloche retentit pour annoncer le début du spectacle, Somerset est retrouvé mort sur le balcon. Impossible de donner l’alerte, le salon privé a été fermé à clef. Une comédie de Julien Lefebvre. Mise en scène par Elie Rapp et Ludovic Laroche. Avec Stéphanie Bassibey, Pierre-Arnaud Juin, Ludovic Laroche, Ninon Lavalou, Jérôme Paquatte et Nicolas Saint-Goerges.   INFOS PRATIQUES : * Tarif : Catégorie 1 : 30 € Catégorie 2 : 25 € Catégorie 3 : 15 €   * Réservations : Billetterie en ligne [https://theatre-sinne.notre-billetterie.fr/billets?&kld=2324&seance=1340] Par téléphone ou sur place. Plus d’infos [https://www.theatre-sinne.fr/reserver/]   * Stationnement : * Parking Réunion : 2 € les 4h, * Parking des Maréchaux, ouvert tous les jours 24h sur 24h. En empruntant l’issue piétonne « Cour des Maréchaux », la sortie du parking s’effectue à proximité de la place de la Réunion, à deux pas du théâtre. Plus d'informations : * L'événement [ https://www.theatre-sinne.fr/evenement/lheure-des-assassins/]
Ensemble ! Encrages poursuit son chemin avec une quatrième édition. Ce projet met à l’honneur la pratique théâtrale amateur et réunit sur scène un groupe de participant·e·s d’âges et d’horizons très divers. Leur seul point commun est ce même élan de curiosité, de désir de rencontre et d’expérimentation. Une vraie fête du théâtre où partage et plaisir sont les maîtres mots ! Depuis quatre saisons, la vie de la Comédie de Colmar est rythmée par l’aventure Encrages. Pendant plusieurs week-ends, amateur·rice·s et professionnel·le·s se retrouvent pour travailler, imaginer et créer ensemble, avec l’envie d’expérimenter le théâtre sous toutes ses formes. Encrages est un projet atypique au long cours, une démarche participative s’intéressant aux habitant·e·s, en adéquation avec les missions d’un centre dramatique. Porté par l’ensemble de l’équipe, vécu par les artistes de la jeune troupe de Colmar à Reims, il permet au théâtre d’ouvrir une fenêtre sur le monde. Au jour où s’écrit ce texte, les participant·e·s ne sont pas encore connu·e·s, non plus que le thème qui se jouera. Mais il est possible d’ores et déjà de convier le public à cette rencontre pleine d’énergie et d’humanité, qui prend toute sa place au sein de la programmation. Pour découvrir une autre facette du théâtre ! Plus d'informations : * Billetterie en ligne [ https://www.billetterie-legie.com/comedie-colmar/#] * Site Web [ https://comedie-colmar.com/spectacle/101.encrages-4?m=2024-05]
Un nouveau professeur de français arrive en salle de classe pour donner son tout premier cours. Une jeune femme est là, parmi les élèves. Elle se présente comme étant médiatrice et pourtant, elle semble bien décidée à faire déraper la séance… Ces deux-là se sont connus autrefois. Très vite les souvenirs reviennent : leur classe, la bande, les premiers flirts, les tubes, les Walkmans, le voyage scolaire et la cruauté parfois. Pendant une heure de cours, les comédiens incarnent et font resurgir au milieu des élèves plus d’une dizaine de personnages, telle une bourrasque joyeuse et dramatique. Au cœur de cette histoire se cache un secret enfoui, inavouable, douloureux. Une pièce drôle et sensible pour évoquer un sujet aussi brûlant que le harcèlement dans l’enceinte d’un collège. Un spectacle immersif où le public devient élève de la salle de classe, complètement embarqué dans la dramaturgie.     Plus d'informations : * Site web [ https://www.lacometehesingue.fr/programmation/we-just-want-you-love-us]
Pour l’écriture de ce projet qui interroge la place des images dans notre manière d’appréhender et de percevoir le réel, des entretiens ont permis la collecte de témoignages de personnes aveugles ou malvoyantes. Lorraine de Sagazan à la mise en scène et Guillaume Poix à l’écriture ont créé cette proposition théâtrale touchante pour questionner, avec leur public, les notions de réalité, de perception et de souvenir. Au plateau, dans un lieu presque sans décor, Thierry, déficient visuel depuis près de quarante ans suite à un accident de voiture, interroge notre commune incapacité à saisir le réel et la place déterminante des fictions dans nos vies. Il est acteur amateur et, s’aventurant sur le chemin de sa mémoire sans image, il reconstitue avec deux comédien·nes professionnel·les le souvenir d’un spectacle qui l’a bouleversé mais dont il ne se rappelle ni le titre, ni le nom des personnages. De réminiscences en fulgurances, au fil d’une enquête, resurgit tout un pan de son histoire personnelle. Ce spectacle est une proposition théâtrale pour voir autrement.   Plus d'informations : * Billetterie [ https://lafilature.notre-billetterie.org/billets?spec=2758] * Site Web [ https://www.lafilature.org/la-vie-invisible]
Qui est Michelle ? Ou plutôt : qui est @uneviedechat ? Une adolescente insouciante ou mal élevée ? Le spectacle revient sur cette affaire qui avait fait grand bruit en 2014 : une ado américaine s’est prise en selfie tout sourire dans le camp de concentration d’Auschwitz. Cette photo en quelques heures a fait un « bad buzz » et a fait le tour de la planète. On assiste ici à la confrontation de deux mondes : celui des « vieux » qui regardent défiler le paysage et celui des jeunes prompts à mettre en boîte ce beau décor avec leurs smartphones tout équipés et ultra connectés. C’est à ce nouveau monde qu’appartiennent Kim, Angèle, Michelle, Sélim et Abel. Et c’est l’ancien monde qu’ils viennent visiter en allant découvrir à Auschwitz l’horreur des camps de concentration, ce souvenir ne résistera pas au sourire de Michelle et au déclenchement de son appareil photo… A-t-elle accompli son devoir de mémoire en prenant un selfie ? A-t-elle sali le passé en posant devant les vestiges de la Shoah ? Avec cette pièce chorale inspirée d’un fait divers réel, Sylvain Levey nous laisse libres d’exercer notre regard – et notre jugement – sur cette société du paraître que nous avons bâtie. Grâce à une dramaturgie jouant de l’immédiateté d’Internet, il démonte le mécanisme de l’emballement virtuel, qui confine au harcèlement.   Plus d'informations : * Site web [ https://www.lacometehesingue.fr/programmation/michelle-doit-ten-vouloir-davoir-fait-un-selfie-auschwitz]
Cie des 4 coins Serait-ce Méduse dans sa chambre sur l’Île de Sériphos ? Dans la langue de Michel Simonot, Laetitia Pitz se fraye un chemin : Avancer encore et encore pour atteindre son but : rendre la parole au Mort pour réveiller les Vivants. Cette langue est trouble. Elle traverse l’invisible. Je & Tu sont pluriels. La comédienne dialogue avec les Vaincus, énonce les Faits, partage sa pensée pour que nous soyons frappés par l’urgence de résister. Encore. Méduse nous oblige à faire face. Homère la décrit campant aux portes de l’Hades, à la frontière entre le monde des vivants et celui des morts, à la lisière du visible. Elle nous oblige à voir, à traverser l’Histoire et comprendre que les extermines ne sont pas des victimes, mais des vaincus, pour reprendre la distinction d’Enzo Traverso. Le théâtre offre au Mort la possibilité de revenir parler aux vivants pour leur insuffler l’Idée d’Insoumission. Traverser la Cendre est un spectacle éminemment puissant par sa force de vie, par sa vitalité et sa nécessité de bâtir un monde dépourvu d’inhumanite. En définitive, ce monologue regorge de dialogues. Depuis mai 2020, la Cie des 4 Coins développe au Point d’Eau sa création et ses réflexions autour de la question de Résister. Mise en scène : Nadège Coste – Collaboration artistique : Grégory Alliot Dans cadre du parcours Simonot, en partenariat avec la Maison des Arts de Lingolsheim et la Maison Théâtre, sont présentés : 15 mai à 10h & 19h : Même arrachée (Maison des Arts – Lingolsheim) 18-19 & 20 mai : Rencontres ados de la pratique du théâtre par La Maison Théâtre Plus d'informations : * Billetterie [ https://ardei-soft.com/ostwald/evenements.html] * Site du Point d'Eau [ https://lepointdeau.com/agenda/traverser-la-cendre/]
Qui est Michelle ? Ou plutôt : qui est @uneviedechat ? Une adolescente insouciante ou mal élevée ? Le spectacle revient sur cette affaire qui avait fait grand bruit en 2014 : une ado américaine s’est prise en selfie tout sourire dans le camp de concentration d’Auschwitz. Cette photo en quelques heures a fait un « bad buzz » et a fait le tour de la planète. On assiste ici à la confrontation de deux mondes : celui des « vieux » qui regardent défiler le paysage et celui des jeunes prompts à mettre en boîte ce beau décor avec leurs smartphones tout équipés et ultra connectés. C’est à ce nouveau monde qu’appartiennent Kim, Angèle, Michelle, Sélim et Abel. Et c’est l’ancien monde qu’ils viennent visiter en allant découvrir à Auschwitz l’horreur des camps de concentration, ce souvenir ne résistera pas au sourire de Michelle et au déclenchement de son appareil photo… A-t-elle accompli son devoir de mémoire en prenant un selfie ? A-t-elle sali le passé en posant devant les vestiges de la Shoah ? Avec cette pièce chorale inspirée d’un fait divers réel, Sylvain Levey nous laisse libres d’exercer notre regard – et notre jugement – sur cette société du paraître que nous avons bâtie. Grâce à une dramaturgie jouant de l’immédiateté d’Internet, il démonte le mécanisme de l’emballement virtuel, qui confine au harcèlement.   Plus d'informations : * Site web [ https://www.lacometehesingue.fr/programmation/michelle-doit-ten-vouloir-davoir-fait-un-selfie-auschwitz]
Plongez dans l'univers captivant de C'était Très Bien au Relais culturel Pierre-Schielé à Thann. Un récit émouvant sur la relation entre un homme des années 80 et un acteur comique français. Découvrez un lien indéfectible, une admiration touchante et des anecdotes surprenantes. Un hommage vibrant à une passion qui perdure. Billets disponibles en ligne ou par téléphone.
«J’aime c’est l’histoire de l’une d’entre nous qui accepte de révéler qui elle aime pour apprivoiser qui elle est, sa multiplicité, et y trouver sa force. Pour cela, elle entre dans un espace où la parole peut se déployer. Un cabinet, une pièce à l’écart, là où le dire n’est pas contraint mais attendu et espéré, là où le dire tra- vaille l’être. J’aime est une mise en scène d’actrice, pensée depuis la scène vers le public et faisant du spectacle une expérience qui s’incarne autant en vous spectateur, spectatrice, qu’en moi-même. Sur la scène, peu d’éléments pour une infinité de combinaisons. J’aime est un spectacle qui tient dans nos paumes et croit en la capacité du simple à bouleverser les cœurs.» Laure Werckmann. Plus d'informations : * Site Web [ https://vendenheim.fr/culture-loisirs/culture/espace-culturel/]
Sept personnes sont réunies dans une galerie d’art contemporain. Elles ont sept jours pour monter l’exposition de Julia Armutt, plasticienne méconnue et épouse d’un célèbre sculpteur. Morte deux ans plus tôt, elle n’a jamais vu son travail reconnu par ses pairs et reste pour beaucoup la « femme de ».  Sachant sa mort prochaine, Julia a créé une dernière œuvre, qui prendra la forme du montage de son exposition posthume. C’est dans ce cadre-là que sept de ses proches sont réuni·es. Tous·tes ont un lien avec elle et ont influencé son travail d’une manière ou d’une autre. Durant une semaine, ils·elles vont suivre une série de protocoles laissée par Julia afin de mettre en scène son travail et qui leur demandera une implication inattendue. Cette œuvre révélera de nombreux aspects restés dans l’ombre de la vie de Julia, mais surtout exposera ses proches bien plus qu’ils·elles n’auraient pu l’imaginer. Cette exposition posthume, dernière tentative de Julia Armutt, prendra la forme d’un requiem, celui d’une femme remarquable, complexe et follement libre.   Plus d'informations : * Billetterie en ligne [ https://lafilature.notre-billetterie.org/billets?spec=2759] * Site Web [ https://www.lafilature.org/une-exposition]