Fête de la Science 2023 : explorez l'archéozoologie et le paléolithique au Musée de l'Homme

Description

Le Musée de l'Homme vous donne rendez-vous du 6 au 8 octobre 2023, pour célébrer la 32e édition de la Fête des Sciences, à Paris. Au programme, activités ludiques et gratuites pour petits et grands et ateliers scientifiques en tête à tête avec les chercheurs du Museum pour se creuser les méninges.

Comme chaque automne, la Fête de la Science est de retour dans la capitale, cette fois-ci pour une 32e édition sur le thème du sport et de la science ! À cette occasion, découvrez les laboratoires, universités, musées et centres scientifiques près de chez vous, comme vous ne les avez jamais vus.

Cet événement est aussi l'occasion de profiter d'animations gratuites et ludiques pour développer les connaissances de toute la famille. Ce parcours, semé d'activités et de rencontres enrichissantes, est une véritable ode au partage du savoir et au plaisir de la découverte !

Le Musée de l'Homme s'inscrit, une fois encore, dans le calendrier de la Fête de la Science à Paris, les vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 octobre 2023. Pour cet événement exceptionnel, les chercheurs du Museum proposent aux férus de sciences et autres curieux, petits et grands, des ateliers pour s'initier à la démarche scientifique.

Un week-end instructif, dans cet édifice incontournable du Trocadéro, porté sur les grandes thématiques de l'humanité - Qui sommes-nous ? D'où venons-nous ? Où allons-nous ? - et au cours duquel vous pourrez découvrir ou redécouvrir gratuitement la Galerie de l'Homme.

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Événements suggérés

"Timeshot" : voilà le nom de la toute première exposition solo de Saype à Paris ! Le célèbre land artiste français, dont les œuvres monumentales et éphémères sont connues dans le monde entier, expose son travail à travers des photographies et dessins à admirer au sein de la galerie Danysz du 26 avril au 15 juin 2024. Si vous êtes un amoureux de Land Art, alors vous connaissez forcément l’artiste français Guillaume Legros, plus connu sous le pseudo de Saype. Depuis 2015, le land artiste dévoile sur les réseaux sociaux ses fascinantes et monumentales œuvres éphémères, disséminées aux quatre coins du globe (Paris, Buenos Aires, Liverpool, Genève, Turin, Istanbul, New York, Nairobi, Tokyo, Montréal, La Plagne...). Voilà bientôt 10 ans que Saype réalise ainsi des œuvres en noir et blanc et grandeur nature à même le sol, principalement sur l’herbe, mais aussi parfois sur la terre, le sable ou encore la neige. Objectif ? « Impacter les mentalités sans impacter la nature » et, ce, grâce à une peinture dite "éco-responsable", conçue essentiellement à base de craie et de charbon. « Ça m’a pris 3 ans de recherche et développement et après 5 ans d'études environnementales » avait expliqué l’artiste contemporain à nos confrères de France Info en 2023. Aussi, ses œuvres, aussi poétiques qu’engagées, ont la particularité de s’effacer avec la nature (herbe qui repousse) et la météo (pluie, orages...). Il faut dire que le land artiste est du genre prolifique. Depuis 2015, Saype a réalisé plus d’une cinquantaine d’œuvres, dont 19 autour de son fameux projet « Beyond Walls ». Ce projet, qui a débuté en 2019 à Paris, dévoile des mains entrelacées, qui se tendent, se serrent et s’unissent. Une œuvre engagée qui veut avant tout faire passer un message positif et d’entraide à travers le monde. Un travail fascinant que la galerie Danysz a décidé de mettre à l’honneur ce printemps en organisant la toute première exposition solo de Saype dans la capitale. Intitulée « Timeshot », cette installation est à ne pas manquer du 26 avril au 15 juin 2024. Annoncée sur les trois niveaux de la galerie, cette exposition entend témoigner des travaux de Saype à travers des photographies et dessins du land artiste. Et comme l’entrée est libre, vous auriez vraiment tort de vous en priver ! Pour couronner le tout, la galerie Danysz annonce un vernissage en présence de Saype, prévu le jeudi 25 avril de 18h à 21h.
A quelques mois de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le Mobilier national présente au public le travail mené pour restaurer les décors du monument, lors d'une exposition gratuite du 25 avril au 26 juillet 2024. Après l'incendie du 15 avril 2019, la cathédrale de Notre-Dame de Paris n'a jamais été aussi proche de rouvrir ses portes au public ! En décembre 2024, nous pourrons enfin redécouvrir ce monument emblématique de la capitale, reconstruit grâce au savoir-faire de nos artisans français. Du 25 avril au 26 juillet 2024, la DRAC Île-de-France et le Mobilier national s'associent pour présenter une exposition gratuite autour des décors de Notre-Dame de Paris, au sein de la Galerie des Gobelins. L'occasion d'admirer des chefs-d’œuvre sauvegardés après l’incendie mais aussi des pièces contemporaines imaginées pour remeubler la cathédrale et apporter une touche de modernité. L'exposition souligne le travail mené depuis cinq ans pour restaurer et repenser le décor intérieur de la cathédrale, avec un savoir-faire d'excellence. Parmi les œuvres majeures, on peut trouver treize grands Mays, dus aux meilleurs peintres du XVIIe siècle, montrés pour la première fois depuis deux siècles dans une même scénographie, ainsi qu'un tapis de chœur monumental offert par Charles X. Découvrez également le nouveau mobilier liturgique et les assises de la cathédrale, issus d’un concours lancé en 2023 !
La galerie Itinerrance, nichée dans le 13e arrondissement de Paris, convie Hush pour sa nouvelle exposition gratuite. Du vendredi 26 avril au samedi 1er juin 2024, retrouvez le street artiste britannique autour d’une expo personnelle mettant à l’honneur la féminité. Située dans le 13e arrondissement de Paris, la galerie Itinerrance accueille régulièrement les œuvres et les installations de talentueux artistes urbains. Ces dernières années, la galerie Itinerrance a par exemple ouvert ses portes à l'incontournable Shepard Fairey, mais aussi à Seth, Add Fuel, Inti ou encore Wen2. Fondée en 2004 par Mehdi Ben Cheikh, cette célèbre galerie parisienne de street art est également à l’initiative, depuis 2013, de plusieurs projets 'Hors les murs' réalisés à l’échelle de la ville. Ce printemps, la galerie de street art parisienne convie un nouvel artiste qui risque fort de surprendre et de vous en mettre plein les yeux. Son nom ? Hush. L’artiste britannique, né à Newcastle et considéré comme l’un des 20 artistes issu de la scène d'art contemporain urbain à suivre de près par le journal anglais The Independent, va donc dévoiler ses œuvres lors d’une exposition personnelle à découvrir gratuitement du vendredi 26 avril au samedi 1er juin 2024. Utilisant différentes techniques artistiques, comme la peinture, la sérigraphie, le collage, le pochoir ou encore le dessin et le graffiti, Hush est connu pour mettre à l’honneur la féminité sous toutes ses formes. La féminité sera donc à l’honneur de cette nouvelle et seconde exposition personnelle de l’artiste Hush à la galerie Itinerrance. L’occasion de mieux découvrir et d'admirer son travail autour de ces femmes énigmatiques, aux multiples visages de modèles venues des quatre coins du monde. Des toiles et des œuvres à découvrir donc ce printemps, du 26 avril au 1er juin, à la galerie Itinerrance dans le 13e arrondissement à Paris ! Notez qu'un vernissage de l'exposition personnelle de Hush, ouvert au public, est prévu le 26 avril à partir de 18h.
C'est le bon plan de ce week-end du 27 et 28 avril 2024 : les familles (avec enfants) peuvent profiter de tout plein d'activités, d'animations et de visites guidées gratuites au musée d'Art Moderne de Paris, ce samedi et dimanche. Dans le cadre des week-ends gratuits en famille organisés par Paris Musées, le samedi 27 et le dimanche 28 avril 2024 l'entrée est non seulement gratuite pour toute la famille au musée d'Art Moderne, mais surtout, c'est tout un programme qui attend les petits comme les grands lors de ce week-end placé sous le signe de la culture. Au programme ? Des visites contées, des ateliers créatifs pour s'initier aux arts plastiques, mais aussi, visite guidée sensorielle du musée d'Art Moderne en famille, une session de yoga kids friendly face aux œuvres... Pour ce week-end en famille au musée d'Art Moderne, le sport domine la programmation à l'occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, à vous de découvrir comment art et sport sont liés au sein du musée ! Vous l'aurez compris, ce week-end du 27 et 28 avril est non seulement un super bon plan pour visiter un musée en famille sans dépenser un sou, mais surtout, c'est l'occasion de découvrir les belles animations ludiques, poétiques, artistiques, pour émerveiller petits et grands pendant ces deux jours exceptionnels. Petits artistes sportifs Parents et enfants dans la visite reprennent les postures de sportifs représentées dans des œuvres, comme l’Equipe de Cardiff de Robert Delaunay. En atelier, les participants commencent par un échauffement artistique où ils explorent différents mouvements puis esquissent rapidement des gestes en laissant le crayon suivre le rythme des imaginations ! Histoires partagées Clotilde Lebas raconte pour petit.e.s et grand.e.s, avec l'envie de suspendre le temps. Elle aime tout particulièrement travailler dans des musées, pour faire y résonner histoires et oeuvres d'art. Autant d'histoires qui se déploieront devant des tableaux (La Danse de Matisse, L'équipe de Cardiff de Delaunay...) qui, sous vos yeux, prendront un autre sens. Yoga face aux oeuvres Une séance de yoga Iyengar en famille devant l’œuvre La danse d’Henri Matisse. Visite danse hip-hop face aux oeuvres Venez découvrir en famille les collections du musée à travers une visite active de danse Hip-Hop. Hand-hop - Scopitone & Cie Hand Hop est un appel à se saisir de sa liberté à danser où bon nous semble, une invitation au mouvement continu face aux règles et normes imposées. Autour d’une course-poursuite effrénée entre l’autorité et la désinvolture, Hand Hop entend rendre à la rue son énergie contagieuse, vivante de rassemblement, de corps et de musique. Une allusion aux premiers clips de Hip Hop, combinée d’un clin d’œil à Tex Avery, pour célébrer la Street dance qui s’impose aujourd’hui comme une incontournable du paysage chorégraphique contemporain et une victoire sur l’espace public.
Artiste contemporain d’origine néerlandaise, Levi van Veluw vous propose de venir découvrir son monde intérieur lors d’une exposition personnelle intitulée « We do not remember ». C’est à découvrir gratuitement à la galerie Les Filles du Calvaire à Paris du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024. Levi van Veluw, vous connaissez ? Artiste contemporain et pluridisciplinaire, Levi van Veluw est à l’origine de plusieurs œuvres comprenant des photographies, des vidéos, des sculptures, des installations ou encore des dessins. Né en 1985, l’artiste néerlandais a déjà reçu plusieurs prix dont celui du photographe de l'année aux IPA International Photo Awards aux États-Unis, ainsi que le prix du public De Volkskrant Beeldende Kunst prijs au Stedelijk Museum Schiedam. Ce printemps, la galerie Les Filles du Calvaire lui offre sa première exposition personnelle à Paris. A découvrir dans le 3e arrondissement de la capitale du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024, cet événement artistique entend plonger le visiteur dans le monde intérieur de Levi van Veluw, retranscrit à travers des installations monumentales et insolites ainsi que des sculptures intimistes. Avec cette exposition gratuite, intitulée "We do not remember", Levi van Veluw entend surprendre les passants en transformant la vitrine de la galerie en une œuvre d'art, réalisée à partir de 120 répliques de sa propre effigie.Un peu plus loin dans la galerie Les Filles du Calvaire, au centre plus exactement, Levi van Veluw a imaginé une installation monumentale prenant la forme d’un objet cylindrique de 6 mètres de haut et traversant les deux étages de la galerie. Sur les murs de cette pièce, des étagères dévoilent des centaines de têtes, du haut jusqu'en bas. Outre ces deux installations insolites, Levi van Veluw compte également exposer des sculptures, des dessins ou encore des films autobiographiques, directement inspirés de ses souvenirs d'enfance. À travers ses différentes œuvres, qui remettent en question notre logique humaine, Levi Van Veluw interpelle et nous invite à nous interroger notamment sur l’obsession du contrôle et la recherche d’infini. Rendez-vous du 2 mai au 8 juin 2024 à la Galerie Les Filles du Calvaire à Paris pour découvrir ces œuvres et installations signées Levi van Veluw.
Explorez l'univers enchanteur des minéraux et des gemmes précieuses ! Découvrez plus de 600 trésors exposés, dont d'incroyables cristaux géants. Préparez-vous à être émerveillé par le majestueux Grand Saphir de Louis XIV ainsi que d'autres joyaux de la couronne. Plongez dans l'histoire de leur formation et de leur recherche. Une expérience captivante à ne manquer sous aucun prétexte !
Célèbre pour ses toiles tressées, l'artiste Fran?ois Rouan expose cette fois-ci à la galerie Templon une quarantaine de tableaux photographiques inédits créés depuis 2020. Pendant près de 40 ans, Rouan s'attache à la déconstruction de la notion de tableau, à travers un procédé nouveau qui deviendra sa marque de fabrique : le tressage pictural. Cependant, dès la fin des années 1980, il se tourne vers la photographique, un procédé qu'il explore et détourne sans relâche depuis 25 ans, en parallèle de son travail de peintre. L'exposition déploie une série d'oeuvres photographiques de petit format. Fruits d'une insatiable expérimentation et exploration d'un medium insaisissable, les clichés retravaillés se déclinent autour d'une palette volontairement dépouillée. Tout en retenue, le noir et blanc se marie de temps à autre avec des nuances corail ou saumon. Cette apparente simplicité chromatique laisse ainsi la part belle à quelques-uns des questionnements métaphysiques et obsessionnels de l'artiste : l'image du corps et le mystère de l'origine du monde. « Je suis intéressée par l'idée de construire un cadre qui parle du corps féminin » explique Fran?ois Rouan.
Célèbre pour ses toiles tressées, l'artiste Fran?ois Rouan expose cette fois-ci à la galerie Templon une quarantaine de tableaux photographiques inédits créés depuis 2020. Pendant près de 40 ans, Rouan s'attache à la déconstruction de la notion de tableau, à travers un procédé nouveau qui deviendra sa marque de fabrique : le tressage pictural. Cependant, dès la fin des années 1980, il se tourne vers la photographique, un procédé qu'il explore et détourne sans relâche depuis 25 ans, en parallèle de son travail de peintre. L'exposition déploie une série d'oeuvres photographiques de petit format. Fruits d'une insatiable expérimentation et exploration d'un medium insaisissable, les clichés retravaillés se déclinent autour d'une palette volontairement dépouillée. Tout en retenue, le noir et blanc se marie de temps à autre avec des nuances corail ou saumon. Cette apparente simplicité chromatique laisse ainsi la part belle à quelques-uns des questionnements métaphysiques et obsessionnels de l'artiste : l'image du corps et le mystère de l'origine du monde. « Je suis intéressée par l'idée de construire un cadre qui parle du corps féminin » explique Fran?ois Rouan.
Le musée de l'Armée nous parle de l'art de l'escrime à travers l'exposition "Duels, l'art du combat", à découvrir du 24 avril au 18 août 2024. Quel point commun entre David et Goliath, le jeu Mortal Kombat, Cyrano de Bergerac et le vicomte de Valvert, Batman contre Superman, Federer et Nadal... ? Ces duels célèbres ont marqué les esprits, les cultures. Histoire, sport, politique, littérature, jeux vidéo, conflits personnels : depuis des millénaires, les hommes luttent et s'affrontent pour prouver leur valeur, sauver leur honneur, rabaisser leur ennemi. Le musée de l'Armée s'intéresse à ces duels dans une exposition inédite et multidisciplinaire. Du 24 avril au 18 août 2024, venez admirer Duels. L'art du combat, et apprenez-en plus sur cette pratique si répandue et très codée. Des samouraïs aux chevaliers français en passant par l'Egypte antique ou la pop culture américaine, le duel est une pratique très ancrée dans les sociétés, à la fois romancée, régulée, bannie... Les duels répondent à de nombreuses règles : selon l'époque, le pays, la raison, ces combats singuliers seront applaudis ou proscrits. L'exposition du musée de l'Armée nous offre donc un tour d'horizon sur ces différentes coutumes, en commençant par une explication historique du duel, de son but originel à son image fantasmée au XXIe siècle. Jeux olympiques obligent, impossible de ne pas parler des duels sportifs : escrime, judo ou karaté, course, tennis, tir... Les disciplines sont nombreuses. Ce chapitre de l'exposition présente les divers moyens de s'affronter, en mettant en lumière différentes armes, comme les épées, les sabres, les pistolets, les dagues, les raquettes de sport, les navajas... Et pour que cette expérience soit encore plus pédagogique, le musée nous propose une mise en situation, avec un décor immersif et théâtralisé. Le musée de l'Armée revient ensuite sur les grands duellistes de l'Histoire, hommes et femmes dont les combats sont restés dans les mémoires. À travers les pays et les siècles, les récits se multiplient et nous fascinent toujours autant. La dernière partie de l'exposition explore justement cette fascination, cet attrait que l'on peut avoir pour ces histoires de combat. Lorsque les artistes s'en mêlent, et transforment les duels en spectacle, tout un pan de la culture se trouve transformé : cinéma, littérature, jeux vidéo, peinture, poèmes... Les duels et les duellistes ont acquis une renommée éternelle grâce à ces œuvres et ces styles. Le musée de l'Armée nous entraîne ainsi dans une exposition passionnante, qui devrait plaire autant aux amateurs d'Histoire qu'aux amoureux du sport ou de l'art. À voir dès le printemps 2024.
? Jeudi 25 avril à 20H00, quatrième séance du ciné-club Animation en courts, en partenariat avec l'AFCA et L'Agence du court métrage ! 1. Matar Naem d'Ekin Koka (4'32) 2. Box Cutters de Naomi Van Niekerk (8'24) 3. Hammam de Zélie Elkihel (5') 4. Herbe verte d'Elise Augerten (12') 5. El ombligo de la Luna de Sara Antonio, Julia Grupinska, Bokang Koatja, Tian Westraad et Ezequiel Garibay (7'36) 6. Météores d'Agnès Patron et Morgane Le Péchon (4'30) 7. La Mort du Petit Cheval de Gabrielle Selnet (4'24) 8. Miracasas d'Augosto Zanovello et Rahpaëlle Stolz (13'37) Site web : https://parisstandredesarts.cine.boutique/ Infos réservation : Plein tarif : 9,50?/tarif réduit : 7,50? / cartes ugc illimitées, cartes cip et ciné-chèques gaumont-pathé acceptés !