MR. BIG VIP 2024 // Apr 14 Maastricht, NL

Description

VIP Experience Includes:

* Private Soundcheck Viewing

* Tour VIP Laminate and Lanyard

* Unique Autographed Poster

* 8x10 Photo

* Meet & Greet with MR. BIG

* ONE personal photo opportunity with MR. BIG

The VIP Experience will occur BETWEEN 3PM-6PM local time and will last 30 MINUTES TO AN HOUR. Please be aware of this before purchasing. We will communicate to you as soon as possible, usually 1-2 days before the show, so please plan ahead. If you miss this time, there will be NO additional opportunities or refunds.

Does NOT include admission to the concert. Show tickets are NOT included and sold separately. Please purchase prior to attending the VIP Experience.

Absolutely NO photos or videos during the soundcheck or you will be escorted out of the venue!

Please Note: NO OUTSIDE ITEMS CAN BE BROUGHT IN TO BE SIGNED. THERE ARE NO ADDITIONAL AUTOGRAPHS ALLOWED!!

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Événements suggérés

Deuren open: 20u Begin concert: 21u NL: De Turkse Rock-/popzangeres Fatma Turgut komt naar België voor een exclusief concert in Genk. Fatma Turgut behoort tot de meest vooraanstaande vrouwelijke rockartiesten van Turkije en wordt geroemd om haar kenmerkende stem. Met dit concert zal ze haar eerste Europese optreden geven. De zangeres maakte in 2007 een vliegende start in Turkije met haar band “Model” waar ze de leadzangeres van was. De band was heel populair in Turkije en hun albums bereikte hele hoge cijfers. Helaas ging de band in uit elkaar en ging Fatma Turgut als soloartiest verder met haar carrière. Haar debuutalbum “Elimde Dünya” (de wereld in mijn hand) kwam in 2019 uit en werd heel goed ontvangen. Sindsdien heeft ze samengewerkt met grote namen als Sertab Erener, Sabri Tuluğ Tırpan, Emre Aydın en is ze in eigen land een graag gezien artiest. En nu is het tijd aan Europe om met dit bijzondere artiest kennis te maken! EN: The Turkish rock/pop singer Fatma Turgut is coming to Europe for a long-awaited Europe tour. Fatma Turgut is one of the most prominent female rock artists in Turkey and is acclaimed for her distinctive voice. With this concert, she will be making her first European appearance. In 2007, the singer had a soaring start in Turkey with her band "Model," where she was the lead vocalist. The band was highly popular in Turkey, and their albums achieved remarkable success. Unfortunately, the band eventually disbanded, and Fatma Turgut continued her career as a solo artist. Her debut album, "Elimde Dünya" (The World in My Hands), was released in 2019 and received a very positive reception. Since then, she has collaborated with notable figures such as Sertab Erener, Sabri Tuluğ Tırpan, and Emre Aydın, and she is a well-respected artist in her home country. Now, it's Europe's turn to get acquainted with this exceptional artist!
Programme : Projection de "Rencontre sous notre lune" d'Isabelle Français - Musique : Alithéa Ripoll - avec le Trio Spilliaert et Mami Kitagawa. Alithéa Ripoll : création (2024) Gabriel Fauré : Sonate pour violon et piano en la mineur, op. 13 (1875) *** Eugénie Alécian : Triptyque à l'Artsakh (2023) 1. Colora Me 2. Noir et Blanc 3. Fantaisie Artsakh Alexandër Peçi : Energie Caléidoscopique (2024) – création Lili Boulanger : Nocturne (1911) - D'un Matin de Printemps (1917) Quelques mots au sujet des interprètes... Fruit d'une rencontre musicale en juillet 2016 au Festival Orford Musique, le duo formé par le violoniste français Jean-Samuel Bez et le pianiste québécois Jean-Luc Therrien reçoit en avril 2017, moins d'un an après leur formation, la plus haute récompense au Concours international Luigi Zanuccoli (Italie). Depuis lors, les deux musiciens se produisent régulièrement en tournée, tant en Europe qu'en Amérique du Nord. Ce concert est à la fois l'occasion de la présentation de leur enregistrement Fantaisies (Klarthe), et de fêter la musique très colorée de Gabriel Fauré et Lili Boulanger. Tel un miroir caléidoscopique, trois compositeurs d'aujourd'hui donnent leur vision de la couleur en musique...
TICKETS DISPONIBLES LE 8 FÉVRIER À 11H AGORIA Agoria n’est pas un enfant des raves comme les autres. Au début des années 90, il a connu cet âge d’or où l’histoire s’écrivait à chaque nouvelle soirée. La musique électronique n’avait encore ni code ni visage, seulement quelques valeurs qu’elle s’est empressée d’oublier. Et, s’il a fait parti des pionniers qui ont tout inventé de la techno en France, c’est pour mieux s’échapper du cadre qu’il a lui-même contribuer a créé, s’aventurant avec succès dans l’univers du cinéma, de la mode et de l’art contemporain. Tout commence à Lyon, à une époque où l’incompréhension et la répression à l’égard de la techno sont telles que chaque nuit qui ne se termine pas en garde à vue pour les organisateurs de rave est une victoire. Aucune soirée ne se ressemble. C’est dans ce contexte, en décembre 1993, à seulement 17 ans, que Sébastien Devaud qui ne s’appelle pas encore Agoria, prend pour la première fois les platines en public, au Space, un club lyonnais aux multiples couloirs. Il joue avant Richie Hawtin et Carl Cox et… « personne ne danse ». Étudiant en cinéma, il vient de refuser de travailler sur un tournage de James Ivory pour pouvoir mixer à cette soirée : « Je me suis demandé un petit moment si j’avais fait le bon choix ». C’est au micro d’une radio locale lyonnaise, quatre heures durant tous les samedis, puis les mardis quand les engagements de Djs vont se multiplier que sa passion de la musique va grandir et son horizon s’élargir. « Ces années de radio m’ont formé et nourri, c’est comme ça que j’ai compris qu’il y avait des bons morceaux dans tous les styles et qu’il fallait adopter une approche ouverte ». La richesse et la diversité de la musique qu’il compose et joue aujourd’hui est née ainsi. Si Agoria produit des disques dès 1999, « La Onzieme Marche », sortie la première fois en 2001 sur Tekmics, label porté par le DJ français Miloch « qui, dans l’underground, aura autant d’importance que les Daft Punk » marque une étape. Devenue aujourd’hui un classique, mixé et remixé par quantité de DJ, ce morceau est le point de départ de sa rencontre avec le label Pias qui sortira ses deux premiers albums, « Blossom » en 2003 avec un featuring de Tricky, puis « The Green Armchair » en 2006 avec les participations de Neneh Cherry ou de Peter Murphy, leader des légendaires Bauhaus. Avec ces albums Agoria commence à imposer son univers oblique, de la techno bien sûr, souvent inspirée par celle des pionniers de Detroit, mais « twistée » par une drôle de pulsation contemporaine, teintée de pop, de soul ou de hip-hop. Cette envie de composer une véritable musique pour aujourd’hui, tout en se soustrayant aux codes qui souvent l’étouffent, va trouver son apogée avec l’album « Impermanence » en 2011 et plus encore avec « Drift », sorti en collaboration avec Mercury/Universal en 2019. Un disque mis en images par de somptueux clips vidéo, rivalisant avec la qualité des productions cinématographiques. Plus que tout autre de ses albums, « Drift » confirme le talent d’Agoria pour la sensualité des mélodies acoustiques et le raffinement des productions modernistes, sans jamais totalement renier sa culture électronique. « Aujourd’hui encore quand tu es né avec la techno, tu es censé te battre pour elle jusqu’à la mort. Je défendrai toujours la musique de Jeff Mills, mais je ne veux pas refaire éternellement ce que d’autres ont déjà fait très bien. Je ne suis ni un ultra ni un gardien du temple. Je veux garder ma liberté musicale, rester un électron libre. » Une ligne de conduite qu’il applique également à sa résidence de DJ à Ibiza, baptisée « Drift » comme son dernier disque. S’il prouve sa fidélité à la culture électronique en se battant pour que cette scène soit vivante à Lyon, combat qui permettra la naissance en 2003 des Nuits Sonores dont il est « l’ange gardien » selon l’équipe du festival, son désir « de tenter sans cesse des aventures nouvelles », va l’amener à créer deux des plus avant-gardistes labels de la scène électronique française. Infiné en 2006 avec Alexandre Cazac et Yannick Matray, qui découvrira des artistes aussi aventureux que Rone ou Aufgang, puis le label Sapiens, qu’il dirige seul depuis 2016 avec la volonté de publier autant de musiques originales que de « talk », écrits par des chercheurs, des artistes et des passeurs contemporains. En 2006, arrive une nouvelle rencontre décisive avec le cinéma. Estomaqués par la puissance de « Code 1026 », le réalisateur belge Olivier Van Hoofstadt et son producteur Luc Besson qui ne trouvaient pas la vibration musicale de leur film « Go Fast », commande à Agoria une bande originale a cent à l’heure. De cette aventure naîtra un des disques les plus abrasifs d’Agoria, mais surtout une amitié avec Olivier Van Hoofstadt qui l’amène aujourd’hui à composer la bande originale de « Lucky », la nouvelle comédie déjantée du réalisateur de « Dikkenek ». Entre temps, Agoria a également écrit en 2016 la musique de deux documentaires de Jan Kounen, « Mère Océan » et « Vape Wave ». Une collaboration fructueuse puisqu’elle se poursuit en 2018 sur la série « The Show ». La boulimie d’expériences qui caractérise Agoria le conduira également à collaborer avec le monde de la mode et des créateurs, jouant sa musique pour la marque italienne Fendi à Milan, ville où il a lui-même résidé plusieurs années, ou collaborant avec le plasticien Philippe Parreno pour lequel il participe à l’écriture de la bande sonore de l’installation immersive que l’artiste réalise en 2016 pour le Turbine Hall de la Tate Modern de Londres. Mais c’est lors de la dernière édition d’Art Basel Miami Beach, l’une des plus importantes foires d’art contemporain au monde, où Agoria, retrouvant son nom Sébastien Devaud, a été invité à présenter pour la première fois son travail photographique très personnel, qu’un nouveau chapitre s’est ouvert. Ses pièces, jetant un regard nouveau sur le principe des affiches lacérées chères à Jacques Villeglé, figure essentielle du « Nouveau Réalisme » des années 60, ont été saluées par le célèbre magasine Américains « Interior Design » comme l’un des points forts de l’édition 2019. Cela n’empêchera certainement pas Agoria de revenir bientôt avec un nouvel album « pratiquement terminé ».
Tickets disponibles lundi 19 février à 10h INXS XPERIENCE Le 40e ANNIVERSAIRE de l’album THE SWING Produit notamment par Nile Rodgers, à qui on doit les succès du groupe Chic, The Swing est l’album de la consécration pour INXS après trois albums et plusieurs singles pour la plupart bien classés en Australie, puisqu’il est le premier à connaître une sortie internationale dans plusieurs pays, porté par le premier single extrait de l’album, Original Sin, qui rencontre un énorme succès Mondial. En 2024, INXS fêtera les 40 ans de THE SWING sorti en 1984, et la sortie d’un des plus grands best of de la scène Pop-Rock, THE GREATEST HITS, sorti en 1994. Pour fêter cet anniversaire, INXS perience a préparé un concert adapté à l’évènement qui sera suivi par une soirée 80s-90s pour danser sur les plus grands Hits New-Wave, Pop, Dance, animée par Vincent ARENA.
YKONS Ykons made a name for itself in 2021 with its debut single “Sequoia Trees”, followed a few months later by “Time”, which made the rounds on the airwaves. Buoyed by their infectious energy, Ykons continued to climb the ladder, not only at festivals but also by selling out venues such as the Madeleine and the Forum de Liège. They return in 2024 with a new album and an all-new show.
Pour ouvrir notre saison de concerts, nous accueillons l'ensemble de cuivres Tessera, lauréat du Prix E.Ralet. Ce prix est attribué à des musiciens qui se sont particulièrement distingués lors de leurs études et examens au  Conservatoire Royal de Musique de Liège. Ils font l’unanimité à chacune de leur prestation. Un ensemble de cuivres à découvrir absolument !  Au programme des œuvres de Gabrieli – Schubert – Berlioz – Tchaïkovski.