Candlelight : Les 4 Saisons de Vivaldi

Description

Plongez dans une expérience musicale magique avec Candlelight à Lyon. Redécouvrez Les 4 Saisons de Vivaldi interprétées par un quatuor à cordes au Théâtre L'Ile Ô, un lieu magnifique éclairé à la bougie.

Programme :

- Vivaldi - Les Quatre Saisons

Information sur la date

Dimanche 5 mai 2024

19h30 • 21h30

Billets

Info:

A partir de 34.00 €

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La comédie de Shakespeare Beaucoup de bruit pour rien inspire Béatrice et Bénédict, la dernière oeuvre lyrique de Berlioz, le plus controversé des compositeurs romantiques. La création à Baden-Baden, en 1862, est un triomphe. Entre quatre jeunes gens se jouent deux conceptions de l’amour : la sécurité du foyer, la sauvagerie du désir. Claudio et Héro incarnent innocemment l’amour conjugal. Béatrice et Bénédict ont si peur de la prison du mariage qu’ils refusent de reconnaître leur mutuelle attirance et inventent de se haïr. La conspiration de leur milieu, société de surveillance et de contrôle, a raison de leur résistance. Berlioz compose, pour porter cette histoire, une musique qu’il décrit comme « une des plus vives et des plus originales, qui exige une excessive délicatesse d’exécution. » Le metteur en scène Damiano Michieletto, pour sa part, est fasciné par le génie visionnaire de Berlioz, qui « ne s’arrête pas à la narration d’une histoire mais la transforme en un voyage personnel, où sa musique agrandit les espaces, élargit l’horizon. » Opéra-comique en 2 actes Livret du compositeur d’après la pièce de Shakespeare Beaucoup de bruit pour rien Création à Baden-Baden en 1862 Nouvelle production Mise en scène : Damiano Michieletto Direction musicale : Johannes Debus Orchestre et Chœurs de l’Opéra de Lyon, Solistes du Lyon Opéra Studio
Iels s’En Marrent est tout d’abord un joyeux récital autour de l’eau, agrémenté d’humour vaseux et chanté par les plus grands choristes de tout l’étang ! Ce spectacle est articulé autour d'un répertoire varié, mélangeant les époques et les genres. A travers une quinzaine de chants polyphoniques, petits et grands découvriront à un vaste répertoire musical (allant de la musique ancienne à la création contemporaine en passant par le gospel et autres chants du monde) et se questionneront sur l’impact de l’eau et de la biodiversité sur nos vies. Iels En Voix sautent tel des batraciens de la musique au théâtre et réservent aux spectateurs plus d’une surprise ! Intimement, ils pensent que le chant et l’humour permettent d’aborder des questions sérieuses et que les voix nues rendent l’expérience émotionnelle encore plus intense. Puis le concert laissera place à des stands où le public pourra choisir entre jeux éducatifs Eau’Rigine (créés par l’association Eau’Dyssée), ateliers d’eaunologie et… buvette !
Le concert Nuits sonores : Troubles est au programme du festival Nuits Sonores 2024. Le projet Troubles est de retour à Lyon pour un concert spécial lors de Nuits sonores 2024. Ce concert littéraire réunit l'auteure Virginie Despentes, la rappeuse Casey, l'actrice Béatrice Dalle et le groupe de rock-noise lyonnais Zëro. Une proposition scénique audacieuse qui explore des thèmes sociaux et culturels contemporains à travers des textes poignants des années 60 à nos jours.
Elle est la nouvelle voix du jazz et, à 34 ans, l’une des artistes les plus imaginatives de la scène contemporaine. Née d’une mère française et d’un père haïtien, Cécile McLorin Salvant grandit à Miami où elle commence sa formation musicale classique avant de rejoindre Aix-en-Provence pour y étudier le droit et l’opéra. De sa voix en or, elle illumine ses choix particulièrement audacieux de répertoire et de compositions : un savant équilibre de jazz, d’inspirations classiques, de racines folkloriques et de reprises pop. Auréolée de prestigieuses récompenses, souvent comparée aux légendaires Sarah Vaughan ou Ella Fitzgerald, Cécile McLorin Salvant impressionne par l’originalité et l’exigence de sa discographie, à l’instar des récents Mélusine et Ghost Song. Et c’est probablement Wynton Marsalis qui en parle le mieux : «Elle possède l’assurance, l’élégance, l’âme, l’humour, la sensualité, la puissance, le registre, la perspicacité, l’intelligence, la profondeur et la grâce ; on ne trouve une telle chanteuse qu’une seule fois sur une voire deux générations.» Rien que ça. Programme : Orchestre national de Lyon Dirk Brossé, direction Cécile McLorin Salvant, voix Sullivan Fortner, piano
Il était une fois… L’ouverture d’Oberon commence comme un conte de fée, merveilleuse introduction à l’opéra de Weber inspiré par Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare. Comment pourrait-on, après cela, douter de la capacité de l’orchestre à raconter une belle histoire ? Dans sa Sixième Symphonie, Tchaïkovski précise toutefois que le programme est «profondément subjectif» et qu’il revient au public d’en dessiner les lignes. Toutefois, le titre est sans ambiguïté : «Pathétique», comme l’une des plus célèbres sonates de Beethoven. Tchaïkovski compose une musique bouleversante ; jusqu’au finale lamentoso, chaque émotion y est puisée dans une indicible souffrance. Et tout aussi secret s’annonce le Concerto pour piano de Schumann, avec son motif formé sur les lettres du prénom de sa bien-aimée Clara. Après les doutes et la douleur inspirés par une séparation forcée, la joie des retrouvailles s’y impose. Programme : Carl Maria von Weber, Ouverture d’Oberon Robert Schumann, Concerto pour piano en la mineur, op. 54 Piotr Ilitch Tchaïkovski, Symphonie n° 6, en si mineur, op. 74, «Pathétique» Orchestre national de Lyon Sir Andrew Davis, direction Garrick Ohlsson, piano
Cette rencontre chorale est organisée par Destinations Chœurs pour le chœur mixte International Choir Frankfurt dont le chef de chœur est Rhodri BRITTON (50 choristes) et le chœur mixte de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon dont le chef de chœur est Jean-François Le Maréchal (30 choristes) Les deux chœurs vont proposer un programme classique avec des oeuvres de Mendelssohn, Lewandowski, Sandford, Dvorak, Wesley, Mozart, Haydn, Wood et Parry. Les deux choeurs seront accompagnés à l’orgue par Marie-Louise Tocco.
En pleine guerre, l’écrivain Charles-Ferdinand Ramuz et le compositeur Igor Stravinsky imaginent un spectacle «ambulant» qui attirerait le plus large public sans réclamer de grands moyens. Il était sous-entendu, explique Stravinsky, «que le soldat, en 1918, était la victime du conflit mondial alors en cours». Marches, tango, valse, ragtime, pastorale et Dies iræ empli de gravité : les motifs se succèdent et ne se ressemblent pas. Le soldat chante une sorte de chanson à la mode, la «Marche royale» se souvient d’un paso doble entendu par Stravinsky à Séville, et des chorals luthériens surgissent sans qu’on sache s’ils sont sacrés ou diaboliques. Bien sûr, cette histoire n’a rien perdu de son actualité. Et peut-être est-ce bien le même soldat musicien qu’on retrouve dans le Conte du violoneux de Wynton Marsalis. Cette fois-ci, le diable est bien réel, méphistophélique directeur d’une maison de disque. Le compositeur trompettiste, aussi à l’aise dans le monde classique que dans celui du jazz, de répondre à l’audace stravinskienne pour prolonger joyeusement le spectacle. Programme : Wynton Marsalis, A Fiddler’s Tale Igor Stravinsky, L’Histoire du Soldat Benjamin Zekri, violon Benoist Nicolas, contrebasse Nans Moreau, clarinette Olivier Massot, basson Christian Léger, trompette Charlie Maussion, trombone Stéphane Pelegri, percussion NN, récitant