Solid’Art, le salon solidaire d’art contemporain du Secours populaire

Description

Déjà organisé à Lille, Montpellier et Marseille, Solid’Art revient pour la 2ème édition à Paris au Carreau du Temple.

Solid’Art c'est le salon solidaire d’art contemporain du Secours populaire. Ce salon revient pour la 2ème édition à Paris les 20, 21, 22 et 23 avril au Carreau du Temple.

Peintres, photographes, sculpteurs, street-artistes, dessinateurs, sérigraphes, … près de 110 artistes seront présents durant les 4 jours du salon. Il y en aura pour tous les goûts et tous les budgets.

Une œuvre achetée, c’est un enfant qui part en vacances !

Venez rencontrer les artistes et soutenir le Secours populaire … plus nous serons nombreux, plus forte sera la solidarité !

Crédit photos : Nicolas Simon.

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L'IA et l'art s'entremêlent au Grand Palais Immersif à Paris avec Artificial Dreams, une exposition-performance mettant à l'honneur des oeuvres assistées par l'intelligence artificielle qui nous attend du 16 mai au 8 juin 2024. L'Intelligence Artificielle dans le monde l'art, c'est ce qui nous attend à Paris, au Grand Palais Immersif, avec une exposition-performance. Artificial Dream nous entraine au coeur de l'art numérique avec des oeuvres dont la réalisation a été assistée par l'IA. Le rendez-vous nous est donné tous les jeudis, vendredis et samedis soirs, du 16 mai au 8 juin 2024, pour aller à la découverte des créations de 12 artistes, studios et collectifs internationaux. À l'heure où les outils IA se multiplient, cette révolution technologique est redoutée par les uns, adulée par d'autres. Tour à tour source de craintes et d'opportunités, l'Intelligence Artificielle s'étend et montre l'impact qu'elle peut avoir sur différents aspects de la société, qu'il s'agisse des réseaux sociaux, du domaine médical, de l'information ou encore de l'éducation. Et quid du monde des arts ? L'IA menace-t-elle la création ou peut-elle permettre d'en repousser les limites ?L'exposition Artificial Dream devrait ainsi nous faire la démonstration de ce que peut permettre l'intelligence artificielle lorsqu'elle est au service de l'imaginaire. Au casting de ce rendez-vous onirique on retrouve les artistes, collectifs et studios Markos Kay, Andy Thomas, Tryphème & Ulysse Lefort, Ryoichi Kurokawa, IMMERSIVE ARTS SPACE/ZHdK, Mots, Daito Manabe, MSHR, Sabrina Ratté, Justine Emard, Visual System, Emi Kusano, Iconem et Niceaunties. Cette exposition qui se déroule en nocturne promet une " projection immersive spectaculaire" qui nous attend du côté de la grande salle, ainsi qu'un parcours d'installations qui nous attend dans les étages. Plusieurs événements lives, performances, conférences et table-rondes sont également prévues lors de ces soirées au coeur de rêves artificiels.
Le Goethe-Institut de Paris vous invite à découvrir sa nouvelle exposition gratuite, intitulée The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, du 13 mai au 27 août 2024. Explorez comment l'art, la technologie et la science se rencontrent pour transformer notre perception du monde. Une exposition qui promet une immersion dans les œuvres avant-gardistes, redéfinissant les frontières entre les disciplines artistiques et scientifiques. Vernissage le 13 mai à 19h. Quand l'art et les nouvelles technologies se rencontrent... Le Goethe-Institut de Paris se transforme en un espace de réflexion et d'innovation artistique avec l'exposition gratuite The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, à découvrir du 13 mai au 27 août 2024. Une manifestation qui invite les curieux et les passionnés d'art à plonger dans une ère nouvelle où art, technologie et science fusionnent pour révéler ce qui demeure habituellement invisible. Conçue par le ZKM Karlsruhe en Allemagne, cette exposition est non seulement un hommage à Peter Weibel et à son projet "Renaissance 3.0", mais elle pose également les jalons d'un futur artistique révolutionnaire. L'exposition puise dans les œuvres d'art initialement présentées à Karlsruhe et y ajoute une sélection spécialement adaptée au contexte parisien. Les visiteurs peuvent découvrir des pièces telles que les "Architectures Imaginaires" d’Otto Beckman, qui interrogent l'évolution de l'art à travers le prisme des technologies avancées. Des œuvres comme "93% Human" de Helen Pynor offrent une méditation profonde sur le vivant, tandis que "METABOLICA Camp" de Thomas Feuerstein entrelace directement la science et l'histoire de l'art avec des éléments de science-fiction. Ces œuvres illustrent parfaitement l'idée de transcender les conventions artistiques pour explorer de nouvelles forces créatives et sensibilités. Au-delà de son aspect artistique, The Next Renaissance est un carrefour d'innovation culturelle et scientifique. Cette exposition illustre comment la collaboration entre l'art et la science peut engendrer des changements profonds, poussant notre société à repenser son avenir. En incarnant une "renaissance 3.0", elle s'inspire des bouleversements de la Renaissance italienne pour stimuler une révolution dans notre compréhension et interaction avec le monde. Le Goethe-Institut, en collaboration avec l’EIT Culture & Creativity et le MSC, offre ainsi une plateforme unique pour les acteurs du changement qui aspirent à redéfinir les frontières entre les disciplines culturelles et scientifiques. Avec la participation d'artistes internationaux tels que Rafael Lozano-Hemmer, Manfred P. Kage et Joel Ong, The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible est une expérience incontournable pour quiconque s'intéresse à la manière dont l'art peut remodeler notre réalité. L'occasion également de voir comment l'art médiatique scientifique peut ouvrir de nouvelles perspectives et influencer notre société de façon durable. Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Artiste contemporain d’origine néerlandaise, Levi van Veluw vous propose de venir découvrir son monde intérieur lors d’une exposition personnelle intitulée « We do not remember ». C’est à découvrir gratuitement à la galerie Les Filles du Calvaire à Paris du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024. Levi van Veluw, vous connaissez ? Artiste contemporain et pluridisciplinaire, Levi van Veluw est à l’origine de plusieurs œuvres comprenant des photographies, des vidéos, des sculptures, des installations ou encore des dessins. Né en 1985, l’artiste néerlandais a déjà reçu plusieurs prix dont celui du photographe de l'année aux IPA International Photo Awards aux États-Unis, ainsi que le prix du public De Volkskrant Beeldende Kunst prijs au Stedelijk Museum Schiedam. Ce printemps, la galerie Les Filles du Calvaire lui offre sa première exposition personnelle à Paris. A découvrir dans le 3e arrondissement de la capitale du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024, cet événement artistique entend plonger le visiteur dans le monde intérieur de Levi van Veluw, retranscrit à travers des installations monumentales et insolites ainsi que des sculptures intimistes. Avec cette exposition gratuite, intitulée "We do not remember", Levi van Veluw entend surprendre les passants en transformant la vitrine de la galerie en une œuvre d'art, réalisée à partir de 120 répliques de sa propre effigie.Un peu plus loin dans la galerie Les Filles du Calvaire, au centre plus exactement, Levi van Veluw a imaginé une installation monumentale prenant la forme d’un objet cylindrique de 6 mètres de haut et traversant les deux étages de la galerie. Sur les murs de cette pièce, des étagères dévoilent des centaines de têtes, du haut jusqu'en bas. Outre ces deux installations insolites, Levi van Veluw compte également exposer des sculptures, des dessins ou encore des films autobiographiques, directement inspirés de ses souvenirs d'enfance. À travers ses différentes œuvres, qui remettent en question notre logique humaine, Levi Van Veluw interpelle et nous invite à nous interroger notamment sur l’obsession du contrôle et la recherche d’infini. Rendez-vous du 2 mai au 8 juin 2024 à la Galerie Les Filles du Calvaire à Paris pour découvrir ces œuvres et installations signées Levi van Veluw.
Découvrez "Identité Artificielle", le solo show de l'artiste SKIO à la galerie Goldshteyn-Saatort, qui explore la fascinante intersection entre l'art et l'intelligence artificielle du 16 mai au 16 juillet 2024. Plongez dans un monde où tradition artistique et innovation technologique se rencontrent pour redéfinir la création contemporaine. Vernissage le 16 mai dès 18h, inscription au vernissage obligatoire. Quand l'intelligence artificielle rencontre l'art... La galerie Goldshteyn-Saatort vous propose de découvrir sa nouvelle exposition, autour des œuvres de SKIO, intitulée Identité Artificielle, du 16 mai au 16 juillet 2024. À travers cette exposition, SKIO questionne et explore les effets de l'IA sur l'expression artistique, en offrant une perspective innovante sur le dialogue entre nouvelles technologies et méthodes traditionnelles. Notez que le vernissage se tient le 16 mai, de 18h à 22h, en présence de l'artiste. Inscription au vernissage obligatoire (mail dans les infos pratiques). SKIO, dont les racines artistiques plongent dans le néoclassicisme et le Bauhaus, utilise ses influences pour créer un pont entre le passé artistique et l'avenir numérique. Dans Identité Artificielle, ses œuvres manifestent un équilibre impressionnant entre les lignes claires et fonctionnelles du Bauhaus et la grandeur esthétique du néoclassicisme, tout en intégrant des éléments d'intelligence artificielle. Cette combinaison donne naissance à des toiles qui ne sont pas seulement des œuvres d'art, mais aussi des réflexions sur notre relation avec la technologie dans le contexte de la création artistique. L'approche de SKIO est résolument artisanale : chaque toile exposée à la galerie Goldshteyn-Saatort est peinte à la main, ce qui accentue l'unicité et l'authenticité de chaque pièce. Cette méthodologie artisanale enrichit ses créations d'une dimension personnelle et introspective, invitant le spectateur à une réflexion profonde sur l'évolution de l'art à l'ère numérique. Une exposition qui se veut également être une plateforme pour débattre et méditer sur les implications futures de l'intégration de l'intelligence artificielle dans les disciplines créatives. L'occasion de découvrir comment l'intelligence artificielle peut coexister avec la créativité humaine pour former un nouveau domaine artistique. On passe y faire un tour ? Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
"Timeshot" : voilà le nom de la toute première exposition solo de Saype à Paris ! Le célèbre land artiste français, dont les œuvres monumentales et éphémères sont connues dans le monde entier, expose son travail à travers des photographies et dessins à admirer au sein de la galerie Danysz du 26 avril au 15 juin 2024. Si vous êtes un amoureux de Land Art, alors vous connaissez forcément l’artiste français Guillaume Legros, plus connu sous le pseudo de Saype. Depuis 2015, le land artiste dévoile sur les réseaux sociaux ses fascinantes et monumentales œuvres éphémères, disséminées aux quatre coins du globe (Paris, Buenos Aires, Liverpool, Genève, Turin, Istanbul, New York, Nairobi, Tokyo, Montréal, La Plagne...). Voilà bientôt 10 ans que Saype réalise ainsi des œuvres en noir et blanc et grandeur nature à même le sol, principalement sur l’herbe, mais aussi parfois sur la terre, le sable ou encore la neige. Objectif ? « Impacter les mentalités sans impacter la nature » et, ce, grâce à une peinture dite "éco-responsable", conçue essentiellement à base de craie et de charbon. « Ça m’a pris 3 ans de recherche et développement et après 5 ans d'études environnementales » avait expliqué l’artiste contemporain à nos confrères de France Info en 2023. Aussi, ses œuvres, aussi poétiques qu’engagées, ont la particularité de s’effacer avec la nature (herbe qui repousse) et la météo (pluie, orages...). Il faut dire que le land artiste est du genre prolifique. Depuis 2015, Saype a réalisé plus d’une cinquantaine d’œuvres, dont 19 autour de son fameux projet « Beyond Walls ». Ce projet, qui a débuté en 2019 à Paris, dévoile des mains entrelacées, qui se tendent, se serrent et s’unissent. Une œuvre engagée qui veut avant tout faire passer un message positif et d’entraide à travers le monde. Un travail fascinant que la galerie Danysz a décidé de mettre à l’honneur ce printemps en organisant la toute première exposition solo de Saype dans la capitale. Intitulée « Timeshot », cette installation est à ne pas manquer du 26 avril au 15 juin 2024. Annoncée sur les trois niveaux de la galerie, cette exposition entend témoigner des travaux de Saype à travers des photographies et dessins du land artiste. Et comme l’entrée est libre, vous auriez vraiment tort de vous en priver ! Pour couronner le tout, la galerie Danysz annonce un vernissage en présence de Saype, prévu le jeudi 25 avril de 18h à 21h.
La Gaité Lyrique vous invite à découvrir sa nouvelle exposition, Coalition, du 24 avril au 2 juin 2024. Au total, les oeuvres de cinquante artistes vous attendent pour une immersion dans les liens entre création artistique et engagement environnemental. Quand l'art et l'écologie se rencontrent... La Gaîté Lyrique vous invite à découvrir sa dernière exposition, intitulée Coalition, du 24 avril au 2 juin 2024. Célébrant le quinzième anniversaire de COAL, l'association de référence pour l'art et l'écologie, l'exposition promet d'aiguiser nos sens et notre conscience écologique. En rassemblant près de cinquante artistes issus de divers horizons, cette grande exposition pluridisciplinaire vise à mettre en lumière la richesse et la variété des démarches artistiques engagées pour l'environnement. Dans le cadre de la Gaîté Lyrique, connue pour son engagement en faveur d'une culture régénérative et collaborative, l'exposition incarne une vision partagée par ses partenaires fondateurs tels qu'Arty Farty, ARTE, makesense, Singa, et Actes Sud. Ce projet ambitieux s'ancre profondément dans l'idéal d'un lieu culturel devant assumer non seulement une responsabilité artistique, mais également sociale et économique. L'objectif ? Aller au-delà de la simple réduction des impacts environnementaux pour véritablement générer un impact positif, faisant de la Gaîté Lyrique un modèle de lieu culturel régénératif où le travail en écosystème occupe une place centrale. Coalition, sous le commissariat avisé de Lauranne Germond et Sara Dufour, se distingue par son ampleur et sa diversité. Des artistes de renom aux talents émergents, tels qu'Angelika Markul, Shaun Gladwell, Hypercomf, et bien d'autres, s'unissent pour retracer une communauté d'imaginaires. Ces imaginaires se sont constitués au fil des quinze éditions du Prix COAL, une initiative majeure de l'association visant à promouvoir, accompagner, et diffuser les artistes qui, partout dans le monde, témoignent, imaginent, et expérimentent autour de la révolution écologique. Coalition ne se contente pas de présenter des œuvres ; elle invite à une prise de conscience des liens qui nous unissent à notre environnement, à travers une programmation enrichie et accessible gratuitement au public. Faire l'expérience de Coalition à la Gaîté Lyrique, c'est donc participer à un moment unique où l'art et l'écologie se rencontrent pour inspirer, éduquer et inciter à l'action. LE rendez-vous incontournable pour tous les passionnés d'art, d'innovation et d'engagement écologique ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Le musée de la Vie Romantique célèbre le bicentenaire de la mort de Théodore Géricault, avec une exposition thématique présentée du 15 mai au 15 septembre 2024. Le célèbre peintre Théodore Géricault est décédé en 1824, après une riche carrière, et de nombreux chefs-d'œuvre toujours admirés de nos jours. Pour commémorer ce bicentenaire particulier, le musée de la Vie Romantique dédie une exposition à l'artiste français, et plus particulièrement à l'une de ses passions... Du 15 mai au 15 septembre 2024, venez découvrir Les chevaux de Géricault, une exposition de peinture thématique, qui explore ce motif si fréquent dans les œuvres de l'artiste. Une centaine de peintures, venues de collections publiques et privées, sont réunies pour cette exposition inédite. Les chevaux sont la passion immuable de Géricault : de ses premiers dessins à ses plus grands tableaux, le peintre a toujours été fasciné par ces animaux, leur anatomie, leurs émotions, leur vie... On recense une dizaine de tableaux et plusieurs centaines de dessins de chevaux signés Géricault : l'artiste a admiré, analysé, étudié chaque aspect de cet animal. On peut ainsi découvrir des œuvres représentant des chevaux à l'armée, au champ de courses, dans les écuries ou les champs, en parade ou au repos, de leur naissance à leur mort... Chaque mouvement, chaque sentiment, réaction et émotion sont représentés avec une grande finesse, un soin particulier. Pour Géricault, le cheval un être très esthétique, un symbole de puissance. Le musée de la Vie Romantique explore donc cette passion dévorante dans un parcours divisé en cinq chapitres : Le cheval politique, L’écurie sanctuaire, Rome : la course des chevaux libres, Londres : dandies et prolétaires et La mort du cheval. Une manière originale de rendre hommage à ce peintre incontournable !
Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024. Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à l'existence ! Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024. Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard cosmopolite sur l'art contemporain. Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante, oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la relation entre la chair et notre environnement. L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation, spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre, symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie s'épanouit. La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives. Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky. En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe du 23 avril au 27 octobre 2024. Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce que pourrait être notre futur. Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu. L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés. Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir les mondes de demain. En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses défauts, et, peut-être, de se redéfinir. Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
Le Petit Palais met ses collections permanentes à l'honneur, et relie sport et art avec une exposition inédite : découvrez gratuitement "Le corps en mouvement" du 15 mai au 17 novembre 2024. Le Petit Palais se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ! Le musée des Beaux-Arts présente sa nouvelle exposition, Le corps en mouvement, du 15 mai au 17 novembre 2024. Ce parcours inédit mêle sport et art, grâce à la participation de plusieurs "art-thlètes", qui nous parlent de leur sport à travers les collections du Petit Palais. Cette exposition est donc constituée de 50 œuvres : peintures, sculptures, objets anciens, dessins et estampes évoquent les liens entre l'art, le sport, et les mouvements du corps. Des interviews d'athlètes complètent cette sélection. Le parcours évoque les couleurs de l'olympisme, et est divisé en sept chapitres. On commence en Grèce antique, aux premiers Jeux, avec des œuvres qui illustrent les sports de l'époque : lancer de javelot, de disque, course... Ensuite, c'est le corps qui est étudié, le corps du héros, la musculature du sportif, les subtilités de l'anatomie humaine qui se dévoilent dans des peintures, des dessins et des croquis d'artistes, qui ont analysé ce corps dans ses moindres détails. L'exposition accorde une place particulière la danse, et aux nombreuses œuvres que cette activité a inspiré aux artistes. Peintres et sculpteurs ont tenté d'immortaliser ces mouvements plein de grâce, cette étincelle de beauté qui prend vie sur les parquets de danse, et sur les toiles des créateurs. Figer le mouvement sans l'éteindre, c'est toute la difficulté du défi que les sculpteurs ont souhaité relever dans la suite du parcours. Un défi hautement compliqué, mais pas impossible, comme le montrent les œuvres exposées. Le Petit Palais évoque aussi l'aspect social du sport, avec l'émancipation des femmes et le contrôle de leurs corps par le sport et la compétition. Les enfants aussi sont de la partie : sur les œuvres des artistes, on les voit s'amuser et se dépenser avec les jeux et sports de leur temps. On termine cette aventure chronologique avec les Jeux modernes, les sports qui se démocratisent au XXe siècle, et les pratiques d'aujourd'hui. Une longue épopée qui nous entraîne à la rencontre de plusieurs athlètes olympiques et paralympiques, qui expliquent en vidéo l'importance de leur sport, et la place du corps dans cette discipline. Tout au long du parcours, on peut admirer les créations de grands artistes, tels que Rembrandt, Dürer, Léon Comerre, Youriévitch... Des artistes d'époques, de style, de pays différents, réunis dans cette exposition inédite à découvrir au Petit Palais.