La Loi des montagnes d'Erich von Stroheim ?(Blind Husbands, États-Unis, 1919,
1h42, N&B)
Dans un village du Tyrol, un lieutenant tente de séduire l'épouse d'un médecin.
Ce dernier finit par avoir des soup?ons et propose au séducteur de l'accompagner
en montagne... Premier long métrage du génial Erich von Stroheim, et l'un des
premiers succès public et critique des Studios Universal. Un mélodrame singulier
bousculant les conventions.
Restauration 4K par the Austrian Film Museum à partir d'une copie nitrate 35mm
de sa collection et les intertitres originaux provenant d'un internégatif 35mm
des collections du Museum of Modern Art (New York).
Accompagnement au piano par Didier Martel
Site web :
https://billetterie.institut-lumiere.org/la-loi-des-montagnes-loisirs-institut-lumiere-hangar-lyon-12-mai-2024-css5-institutlumiere-pg101-ri10315617.html
Concert de l'ensemble Musicâme France
Description
Interprétation d'œuvres de musique baroque italienne de Vivaldi : "Quatre saisons" et sélection de concerti.
Information sur la date
le 30/04/2024 à 20h30. Eglise Saint-Paul
Billets
Info:
- Plein tarif : 25.00 €
- Demandeurs d'emploi : 15.00 €
- Etudiants / Scolaires : 15.00 €
- Jeunes : 15.00 €
- Enfants (Pour les - de 12 ans) : gratuit
- intermittents et personnes invalides : 15.00 €
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Événements suggérés
La comédie de Shakespeare Beaucoup de bruit pour rien inspire Béatrice et
Bénédict, la dernière oeuvre lyrique de Berlioz, le plus controversé des
compositeurs romantiques. La création à Baden-Baden, en 1862, est un triomphe.
Entre quatre jeunes gens se jouent deux conceptions de l’amour : la sécurité du
foyer, la sauvagerie du désir. Claudio et Héro incarnent innocemment l’amour
conjugal. Béatrice et Bénédict ont si peur de la prison du mariage qu’ils
refusent de reconnaître leur mutuelle attirance et inventent de se haïr. La
conspiration de leur milieu, société de surveillance et de contrôle, a raison de
leur résistance.
Berlioz compose, pour porter cette histoire, une musique qu’il décrit comme «
une des plus vives et des plus originales, qui exige une excessive délicatesse
d’exécution. » Le metteur en scène Damiano Michieletto, pour sa part, est
fasciné par le génie visionnaire de Berlioz, qui « ne s’arrête pas à la
narration d’une histoire mais la transforme en un voyage personnel, où sa
musique agrandit les espaces, élargit l’horizon. »
Opéra-comique en 2 actes
Livret du compositeur d’après la pièce de Shakespeare Beaucoup de bruit pour
rien
Création à Baden-Baden en 1862
Nouvelle production
Mise en scène : Damiano Michieletto
Direction musicale : Johannes Debus
Orchestre et Chœurs de l’Opéra de Lyon, Solistes du Lyon Opéra Studio
Il était une fois… L’ouverture d’Oberon commence comme un conte de fée,
merveilleuse introduction à l’opéra de Weber inspiré par Le Songe d’une nuit
d’été de Shakespeare. Comment pourrait-on, après cela, douter de la capacité de
l’orchestre à raconter une belle histoire ? Dans sa Sixième Symphonie,
Tchaïkovski précise toutefois que le programme est «profondément subjectif» et
qu’il revient au public d’en dessiner les lignes. Toutefois, le titre est sans
ambiguïté : «Pathétique», comme l’une des plus célèbres sonates de Beethoven.
Tchaïkovski compose une musique bouleversante ; jusqu’au finale lamentoso,
chaque émotion y est puisée dans une indicible souffrance. Et tout aussi secret
s’annonce le Concerto pour piano de Schumann, avec son motif formé sur les
lettres du prénom de sa bien-aimée Clara. Après les doutes et la douleur
inspirés par une séparation forcée, la joie des retrouvailles s’y impose.
Programme :
Carl Maria von Weber, Ouverture d’Oberon
Robert Schumann, Concerto pour piano en la mineur, op. 54
Piotr Ilitch Tchaïkovski, Symphonie n° 6, en si mineur, op. 74, «Pathétique»
Orchestre national de Lyon
Sir Andrew Davis, direction
Garrick Ohlsson, piano
Récital d’orgue : interprétation d'oeuvres de Bach, Brahms, Mendelssohn et
Franck dont "Grand pièce symphonique (retransmission sur grand écran).
En pleine guerre, l’écrivain Charles-Ferdinand Ramuz et le compositeur Igor
Stravinsky imaginent un spectacle «ambulant» qui attirerait le plus large public
sans réclamer de grands moyens. Il était sous-entendu, explique Stravinsky, «que
le soldat, en 1918, était la victime du conflit mondial alors en cours».
Marches, tango, valse, ragtime, pastorale et Dies iræ empli de gravité : les
motifs se succèdent et ne se ressemblent pas. Le soldat chante une sorte de
chanson à la mode, la «Marche royale» se souvient d’un paso doble entendu par
Stravinsky à Séville, et des chorals luthériens surgissent sans qu’on sache
s’ils sont sacrés ou diaboliques. Bien sûr, cette histoire n’a rien perdu de son
actualité. Et peut-être est-ce bien le même soldat musicien qu’on retrouve dans
le Conte du violoneux de Wynton Marsalis. Cette fois-ci, le diable est bien
réel, méphistophélique directeur d’une maison de disque. Le compositeur
trompettiste, aussi à l’aise dans le monde classique que dans celui du jazz, de
répondre à l’audace stravinskienne pour prolonger joyeusement le spectacle.
Programme :
Wynton Marsalis, A Fiddler’s Tale
Igor Stravinsky, L’Histoire du Soldat
Benjamin Zekri, violon
Benoist Nicolas, contrebasse
Nans Moreau, clarinette
Olivier Massot, basson
Christian Léger, trompette
Charlie Maussion, trombone
Stéphane Pelegri, percussion
NN, récitant
Cette rencontre chorale est organisée par Destinations Chœurs pour le chœur
mixte International Choir Frankfurt dont le chef de chœur est Rhodri BRITTON (50
choristes) et le chœur mixte de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon dont le chef
de chœur est Jean-François Le Maréchal (30 choristes)
Les deux chœurs vont proposer un programme classique avec des oeuvres de
Mendelssohn, Lewandowski, Sandford, Dvorak, Wesley, Mozart, Haydn, Wood et
Parry.
Les deux choeurs seront accompagnés à l’orgue par Marie-Louise Tocco.
Le "Trio à cordes peincées , formation de musique de chambre originale, est née
de la rencontre de trois artistes exceptionnels d’horizons différents.
ce concert vous invite à un voyage à travers les musiques savantes de la
Renaissance, Baroque, et contemporaines d'Europe jusqu'aux œuvres du répertoire
d'Amérique du sud.
Trois concertistes virtuoses vous offrent une musique unique, alliance inouie
d'arrangements savants et originaux
Gérard VERBA : guitare. Il a donné à ce jour plus de 1000 concerts dans des
salles prestigieuses tant en France ainsi qu’à l’étranger
Zdenka OSTADALOVA: clavecin Spécialisée en musique ancienne. Son intérêt la
porte vers le répertoire des instruments à clavier historiques : le clavecin, le
pianoforte, l’orgue et le clavicorde.
José MENDOZA : D'origine Bolivienne il joue depuis son enfance du charango et
autres instruments d'Amérique du Sud. Dans son pays natal, il est reconnu comme
l’une des grandes figures de son instrument.
Un trio original qui remporte un immense succès depuis sa création. 2011. Chaque
concert du Trio à cordes pincées de Paris enthousiasme un public ravi .
Soirée avec le duo acoustique (reprises d'Alanisse Moricette, Skunk Anansie...).
Walter Astral est le duo formé par Tristan Thomas, alias Zaspero, et Tino Gelli
de Polycool. Leur musique allie la pop psychédélique à l'univers de la techno,
de l'acid et de la house, créant un style hybride unique. Inspirés par des
artistes tels que King Gizzard and the Lizard Wizard, Flavien Berger, Altin Gun
et Mehmet Aslan, ils ont enregistré leur premier EP dans une ancienne maison
près de Sancerre. Chaque chanson incarne un des quatre éléments naturels,
plongeant l'auditeur dans un voyage mystique à la rencontre d'êtres fantastiques
et d'une nature envoûtante.
Dali est un jeune artiste de 21 ans, dont les inspirations s'étendent de la
chanson française au r'n'b US. Accompagné de son compositeur Kura, l'artiste
développe une esthétique à la croisée des chemins entre rap et chanson, mêlant
thématiques fortes et mélodies légères. Fort de ses premières sorties qui l'ont
placé sur le devant de la scène émergente actuelle, il revient avec un nouveau
projet intitulé Muse qui retrace ses expériences et souvenirs de ses moments
passés auprès des figures féminines qui l'ont marqué.