Venez vivre l'expérience unique du Festival International d'improvisation 2024,
organisé par le Cippil à l'occasion des Jeux Olympiques de Paris 2024. Du
vendredi 10 mai au dimanche 12 mai, plongez dans 30 heures d'improvisation
non-stop avec des équipes internationales invitées pour des rencontres
théâtrales spontanées. Découvrez un programme riche et varié mêlant cultures et
sports, pour une immersion totale dans l'art de l'improvisation.
PASS 30h Non-Stop (bracelet Or) 20 à ; Entrée période adulte 5 à (1 bracelet = 1
période)
Tous publics
24april
20:30
13 Rue Maurice Labrousse, 92160 Antony, France
Description
Anissa n'a pas connu son père et le recherche depuis son plus jeune âge. Ahmed Madani, fasciné par son histoire, lui propose de partir le retrouver et de l'accompagner. En allant vers ce père et ce pays inconnus, c'est d'abord elle-même qu'Anissa va découvrir. De ce voyage initiatique naîtra une narration qui brouille les frontières entre réel et fiction.
Information sur la date
Dumercredi 24 avril 2024aujeudi 25 avril 2024
20h30
Billets
Info:
Prix : De 10.00 € à 20.00 €
1 Photo
Événements suggérés
« De l'or au bout des doigts » c'est un spectacle en forme d'expédition, un
voyage entre ami-e-s, au centre de la Terre pour explorer comment c'est
là-dessous, loin sous la croûte, là où ça vibre, là où ça bouillonne, où ça
frotte, où il fait chaud. À travers un ingénieux mélange entre théâtre, poésie
et paysage d'objets, Fanny Bouffort accompagnée de trois interprètes sur scène
et d'une autrice met en scène une quête initiatique singulière au coeur de notre
planète, pour questionner ce qui fait de nous des êtres profondément humains.
Claire et Koen forment un vieux couple à la scène comme à la ville, condamné à
vie à jouer la même pièce depuis des années dans des villes de province : un
standard du répertoire populaire qui met en scène un couple d’intellectuels
alcooliques et obscènes. Leur carrière est à bout de souffle, leurs rapports
plus que tendus, mais ce soir un jeune acteur et une jeune actrice vont
peut-être les sauver de la noyade. Ces deux-là? sont « d’origine étrangère », et
s’ils les engagent pour jouer les deux rôles secondaires de la pièce, ils vont
pouvoir bénéficier d’une subvention de l’Etat. Leila et Khadim arrivent,
l’audition va commencer, et comme dans Qui a peur de Virginia Woolf, l’alcool
aidant, ça va tourner aigre. Chacun et chacune va déballer sans retenue ses
quatre vérités et autant de mensonges. Le jeu entre les deux monstres sacré e.s
et les deux débutant.e.s ne fait que commencer... Le théâtre à l’ère de la
post-colonisation, les conflits de génération, le #metoo dans le monde de l’art,
le politiquement correct, les relations de pouvoir, d’amour et de haine entre
soi : tout y passe en vrac sans être clairement énoncé et tout le monde va en
prendre pour son grade. Qui a peur est une comédie en vase clos cruelle et drôle
de Tom Lanoye. Dans la mise en scène d’Aurore Fattier qui démultiplie les jeux
de miroir, le théâtre devient la scène métaphorique des dérives de notre
société? contemporaine et le lieu de tous les règlements de compte. Vous serez
placé à votre arrivé en échange de votre billet (contremarque)
« Par où t'es rentré on t'a pas vu sortir ? ». Oui, il était un temps où l'on
pouvait donner pareil titre à une comédie de cinéma. C'était l'époque de Bébel,
le Splendid, Audiard, Laforêt, de Funès et celle des films Deux heures moins le
quart avant Jésus Christ, La Boum, L'Aventure c'est l'aventure jusqu'à La Vie
est un long fleuve tranquille.
Seul en scène, Thomas Croisière chroniqueur cinéma émérite sur France Inter,
rend à César ce qui appartient aux films qui n'ont pas eu de César.
Durant ce Voyage en comédie nostalgique, émouvant, instructif et surtout
hilarant, certain·es plongeront dans leurs souvenirs franco-cinéphiles avec
délice, et les autres, plus jeunes, découvriront incrédules un pan insoup?onné
du cinéma hexagonal.
Avant le spectacle... À partir de 19h, dans le hall, découverte musicale jazz et
bossa nova, avec les musiciens Duylinh Nguyen et Matthieu Kochersperger
Restauration légère 1h avant la représentation
Jeu : Thomas Croisière
Mise en scène : Thibault Ameline
Durée : 1h30
À partir de 12 ans
Tarifs : plein 18 ? / réduit 12 ?
Tarif forfait 6 places : 45 ? (soit 7,50 ? la place)
Infos réservation :
Réservations au 01 41 24 25 55 ou à jeanvilar-accueil@mairie-arcueil.fr
Une performance immersive féministe à ne pas manquer !
SODOME, MA DOUCE de Laurent Gaudé est une performance scénique mélangeant les
arts visuels, le chant et le théâtre.
C'est le soliloque d'une femme, figure sans doute inspirée d'Edith (ou Ado),
femme de Loth (roi de Sodome), qui fut transformée en statue de sel après avoir
regardé derrière elle en fuyant Sodome.
À travers un tableau mouvant, nous donnons vie à la violence des mots (maux) et
à la poésie du corps.
Avec : Clair Bluteau
Mise en scène : Julie Louart
Création lumière : Ilona Dinis
Régie Son : Lucien Saintgaudens
Costume : Chloé Courcelle
site de la compagnie : laciedescriarts.com
Site web : https://laciedescriarts.com
Infos réservation :
Réservation :Par téléphone au 01 46 70 56 85 ou 06 08 58 80 29Par mail à
l'adresse theatrealeph@wanadoo.frOu éventuellement sur BilletReduc
Vous voulez rire à Découvrir de nouveaux humoristes de pleins d'univers
différents à C'est le Schmilblick comedy club qu'il vous faut ! Au programme 5
humoristes, sûrement les Paul Mirabel et Florence Foresti de demain ! Tout ça
dans un bar associatif en plein Montrouge. Et l'unique de la ville d'ailleurs. A
taille humaine donc l'interaction avec le public y est souvent propice ! Mais
toujours dans la bienveillance et le consentement de chacun.e. Convivialité et
rire sont les maîtres mots!
En 1981, Bernard Pivot révèle qu'Émile Ajar et Romain Gary n'étaient qu'une
seule et même personne.
En se tirant une balle dans la gorge, Romain Gary supprime également Émile Ajar
: premier suicide littéraire sans consentement.
Sur scène, commence alors cette histoire : la rencontre avec Abraham Ajar qui se
déclare être le fils d'Émile Ajar, fils d'un père fictif, enfant d'un livre.
Il interpelle le monde avec acidité du fond de sa cave, ce trou juif comme il le
nomme. Il se métamorphose, questionne le monde contemporain et avec humour, il
nous invite à rire du dogme, de nos identités et de nos certitudes.
Et vous comment disparaissez-vous de vous-mêmes ? demande la jeune autrice
Rébecca Déraspe.
Jeune femme trentenaire, mère, conjointe, fille, amie, Emma menait une vie
normale, qu'est-ce qui l'a poussé à disparaître ? Ses proches tentent de
comprendre.
Avec beaucoup d'émotion et non sans humour, multipliant les approches
dramaturgiques, l'autrice explore les multiples visages des enfermements, ceux
qui sont de nature à susciter l'envie de s'évaporer. Elle compose ainsi un
véritable oratorio qui célèbre l'unicité de chaque être, son mystère et sa
singularité.
Signée par Fabian Chappuis, la mise en scène de ce drame intime et familial
dessine en creux un portrait sans concession de l'époque, et joue avec bonheur
de la proximité avec le public.
Tout part de la plus grande mystification littéraire de l'Histoire : Émile Ajar,
pseudonyme voire alter-ego de l'écrivain Romain Gary.
Dans Il n'y a pas de Ajar, la conteuse et célèbre rabbin Delphine Horvilleur
imagine un fils à ce double fictif, que l'actrice Johanna Nizard incarne dans un
seule en scène singulier qui porte une réflexion profonde contre l'identité.
Depuis son refuge, un personnage indéfinissable interpelle le public : c'est
Abraham Ajar, le fils imaginaire d'un être tout aussi imaginaire. L'actrice et
metteuse en scène Johanna Nizard donne corps à cet individu qui revendique sa
non-existence . Ni homme, ni femme, Abraham Ajar est un caméléon qui se fond
dans les histoires des autres, qui disparaît dès que l'on croit le saisir.
À l'heure des revendications identitaires et de la multiplication des étiquettes
pour se définir soi-même, Il n'y a pas de Ajar, est une réflexion par l'humour
sur cette prison qu'est l'identité. Le texte de Delphine Horvilleur porte la
philosophie du pas que : on n'est pas que juif, pas que femme... On est toujours
plus que ce que l'on pense. Un spectacle unique, une performance de comédienne
brillante, qui nous fait sortir de nous-mêmes, pour finalement se trouver plus
uni·es.
Le seul 6ème de la planète a n'avoir jamais joué aux jeux vidéo, c'est le petit
Martin. Pour s'en sortir, il invente le meilleur jeu de la terre, qui, en
quelques jours, fait le tour du collège. Tout dérape quand une élève disparait
dans le monde virtuel. Comme un bon dessinateur de BD, le conteur croque avec
une grande justesse le monde des ados sur leur console et de leurs parents qui
aimeraient les voir ailleurs. Une occasion joyeuse de renouer le fil entre les
générations autour d'un sujet habituellement source de tensions et
d'incompréhension.
Site web : https://www.theatrechevillylarue.fr/spectacles/loiseau-feu