Au non du père

Description

Anissa n'a pas connu son père et le recherche depuis son plus jeune âge. Ahmed Madani, fasciné par son histoire, lui propose de partir le retrouver et de l'accompagner. En allant vers ce père et ce pays inconnus, c'est d'abord elle-même qu'Anissa va découvrir. De ce voyage initiatique naîtra une narration qui brouille les frontières entre réel et fiction.

Information sur la date

Dumercredi 24 avril 2024aujeudi 25 avril 2024

20h30

Billets

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Prix : De 10.00 € à 20.00 €

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« De l'or au bout des doigts » c'est un spectacle en forme d'expédition, un voyage entre ami-e-s, au centre de la Terre pour explorer comment c'est là-dessous, loin sous la croûte, là où ça vibre, là où ça bouillonne, où ça frotte, où il fait chaud. À travers un ingénieux mélange entre théâtre, poésie et paysage d'objets, Fanny Bouffort accompagnée de trois interprètes sur scène et d'une autrice met en scène une quête initiatique singulière au coeur de notre planète, pour questionner ce qui fait de nous des êtres profondément humains.
Claire et Koen forment un vieux couple à la scène comme à la ville, condamné à vie à jouer la même pièce depuis des années dans des villes de province : un standard du répertoire populaire qui met en scène un couple d’intellectuels alcooliques et obscènes. Leur carrière est à bout de souffle, leurs rapports plus que tendus, mais ce soir un jeune acteur et une jeune actrice vont peut-être les sauver de la noyade. Ces deux-là? sont « d’origine étrangère », et s’ils les engagent pour jouer les deux rôles secondaires de la pièce, ils vont pouvoir bénéficier d’une subvention de l’Etat. Leila et Khadim arrivent, l’audition va commencer, et comme dans Qui a peur de Virginia Woolf, l’alcool aidant, ça va tourner aigre. Chacun et chacune va déballer sans retenue ses quatre vérités et autant de mensonges. Le jeu entre les deux monstres sacré e.s et les deux débutant.e.s ne fait que commencer... Le théâtre à l’ère de la post-colonisation, les conflits de génération, le #metoo dans le monde de l’art, le politiquement correct, les relations de pouvoir, d’amour et de haine entre soi : tout y passe en vrac sans être clairement énoncé et tout le monde va en prendre pour son grade. Qui a peur est une comédie en vase clos cruelle et drôle de Tom Lanoye. Dans la mise en scène d’Aurore Fattier qui démultiplie les jeux de miroir, le théâtre devient la scène métaphorique des dérives de notre société? contemporaine et le lieu de tous les règlements de compte. Vous serez placé à votre arrivé en échange de votre billet (contremarque)
« Par où t'es rentré on t'a pas vu sortir ? ». Oui, il était un temps où l'on pouvait donner pareil titre à une comédie de cinéma. C'était l'époque de Bébel, le Splendid, Audiard, Laforêt, de Funès et celle des films Deux heures moins le quart avant Jésus Christ, La Boum, L'Aventure c'est l'aventure jusqu'à La Vie est un long fleuve tranquille. Seul en scène, Thomas Croisière chroniqueur cinéma émérite sur France Inter, rend à César ce qui appartient aux films qui n'ont pas eu de César. Durant ce Voyage en comédie nostalgique, émouvant, instructif et surtout hilarant, certain·es plongeront dans leurs souvenirs franco-cinéphiles avec délice, et les autres, plus jeunes, découvriront incrédules un pan insoup?onné du cinéma hexagonal. Avant le spectacle... À partir de 19h, dans le hall, découverte musicale jazz et bossa nova, avec les musiciens Duylinh Nguyen et Matthieu Kochersperger Restauration légère 1h avant la représentation Jeu : Thomas Croisière Mise en scène : Thibault Ameline Durée : 1h30 À partir de 12 ans Tarifs : plein 18 ? / réduit 12 ? Tarif forfait 6 places : 45 ? (soit 7,50 ? la place) Infos réservation : Réservations au 01 41 24 25 55 ou à jeanvilar-accueil@mairie-arcueil.fr
Une performance immersive féministe à ne pas manquer ! SODOME, MA DOUCE de Laurent Gaudé est une performance scénique mélangeant les arts visuels, le chant et le théâtre. C'est le soliloque d'une femme, figure sans doute inspirée d'Edith (ou Ado), femme de Loth (roi de Sodome), qui fut transformée en statue de sel après avoir regardé derrière elle en fuyant Sodome. À travers un tableau mouvant, nous donnons vie à la violence des mots (maux) et à la poésie du corps. Avec : Clair Bluteau Mise en scène : Julie Louart Création lumière : Ilona Dinis Régie Son : Lucien Saintgaudens Costume : Chloé Courcelle site de la compagnie : laciedescriarts.com Site web : https://laciedescriarts.com Infos réservation : Réservation :Par téléphone au 01 46 70 56 85 ou 06 08 58 80 29Par mail à l'adresse theatrealeph@wanadoo.frOu éventuellement sur BilletReduc
Vous voulez rire à Découvrir de nouveaux humoristes de pleins d'univers différents à C'est le Schmilblick comedy club qu'il vous faut ! Au programme 5 humoristes, sûrement les Paul Mirabel et Florence Foresti de demain ! Tout ça dans un bar associatif en plein Montrouge. Et l'unique de la ville d'ailleurs. A taille humaine donc l'interaction avec le public y est souvent propice ! Mais toujours dans la bienveillance et le consentement de chacun.e. Convivialité et rire sont les maîtres mots!
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Et vous comment disparaissez-vous de vous-mêmes ? demande la jeune autrice Rébecca Déraspe. Jeune femme trentenaire, mère, conjointe, fille, amie, Emma menait une vie normale, qu'est-ce qui l'a poussé à disparaître ? Ses proches tentent de comprendre. Avec beaucoup d'émotion et non sans humour, multipliant les approches dramaturgiques, l'autrice explore les multiples visages des enfermements, ceux qui sont de nature à susciter l'envie de s'évaporer. Elle compose ainsi un véritable oratorio qui célèbre l'unicité de chaque être, son mystère et sa singularité. Signée par Fabian Chappuis, la mise en scène de ce drame intime et familial dessine en creux un portrait sans concession de l'époque, et joue avec bonheur de la proximité avec le public.
Tout part de la plus grande mystification littéraire de l'Histoire : Émile Ajar, pseudonyme voire alter-ego de l'écrivain Romain Gary. Dans Il n'y a pas de Ajar, la conteuse et célèbre rabbin Delphine Horvilleur imagine un fils à ce double fictif, que l'actrice Johanna Nizard incarne dans un seule en scène singulier qui porte une réflexion profonde contre l'identité. Depuis son refuge, un personnage indéfinissable interpelle le public : c'est Abraham Ajar, le fils imaginaire d'un être tout aussi imaginaire. L'actrice et metteuse en scène Johanna Nizard donne corps à cet individu qui revendique sa non-existence . Ni homme, ni femme, Abraham Ajar est un caméléon qui se fond dans les histoires des autres, qui disparaît dès que l'on croit le saisir. À l'heure des revendications identitaires et de la multiplication des étiquettes pour se définir soi-même, Il n'y a pas de Ajar, est une réflexion par l'humour sur cette prison qu'est l'identité. Le texte de Delphine Horvilleur porte la philosophie du pas que : on n'est pas que juif, pas que femme... On est toujours plus que ce que l'on pense. Un spectacle unique, une performance de comédienne brillante, qui nous fait sortir de nous-mêmes, pour finalement se trouver plus uni·es.
Le seul 6ème de la planète a n'avoir jamais joué aux jeux vidéo, c'est le petit Martin. Pour s'en sortir, il invente le meilleur jeu de la terre, qui, en quelques jours, fait le tour du collège. Tout dérape quand une élève disparait dans le monde virtuel. Comme un bon dessinateur de BD, le conteur croque avec une grande justesse le monde des ados sur leur console et de leurs parents qui aimeraient les voir ailleurs. Une occasion joyeuse de renouer le fil entre les générations autour d'un sujet habituellement source de tensions et d'incompréhension. Site web : https://www.theatrechevillylarue.fr/spectacles/loiseau-feu