Diana - Dernières heures à Paris

Description

Daniel Bourdon était le policier en charge de la sécurité de Lady Diana lorsqu'elle a été transférée à l'hôpital de la Salpêtrière après son accident, dans la nuit du 31 août 1997.
Incarné sur scène par Dominique Thomas (qui a notamment joué dans les films et séries Barbe-Bleue, Le Placard, Petits meurtres d'Agatha Christie, Commissaire Moulin...), Daniel Bourdon revient sur les faits qui ont mené au drame (une voiture vouée à la casse quelques années avant l'accident, le stratagème mis en place par Dodi Al Fayed pour échapper aux paparazzis...) ainsi que sur ses derniers instants aux côtés de la princesse.
L'acteur incarne le flic, nous livre ses états d'âme, et déroule le récit des derniers instants de la princesse. Comme pour une enquête policière, les circonstances de l'accident sont dévoilées, avec une mise en scène et une dramaturgie puissante, qui plongeront le spectateur au coeur de l'action.
C'est une histoire particulière contée avec émotion, dans laquelle le flic parisien s'est retrouvé par les hasards de la vie, à veiller sur la femme la plus aimée de sa génération.
La représentation sera suivie d'un bord plateau avec Daniel Bourdon, le vrai, au cours duquel les spectateurs pourront poser les questions qui leur tiennent à coeur.
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Ouverture des portes : 18h
Spectacle : 19h

Billets

Info:
20€

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Événements suggérés

Dans Europe connexion, Alexandra Badea dépeint le trajet d’un lobbyiste qui met tout en œuvre pour modifier les textes de lois votés au Parlement Européen afin de servir les intérêts de l’agro- business. Le lobbyiste parle, il s’empare des mots avec élégance les lisse au besoin sous d’autres plus fréquentables. Qui pourrait douter de lui ? Pourtant derrière chacun de ses succès, réside un désastre pour l’humanité… Le G.I.E.C. crie. Le monde est sourd. Notre système économique engloutit le vivant dans une boulimie démesurée. Nous sommes devenus nos propres prédateurs. Les monstres mythologiques étaient censés inspirer au public « terreur et pitié », les nôtres, devenus prescripteurs des normes et règles de nos vies, y substituent « fiabilité et admiration », aidés du pouvoir de la rhétorique qui transfigure le réel, et dont Alexandra Badea nous invite à disséquer les mécanismes impitoyables, dans une écriture au scalpel aussi politique que poétique qui glace par le réalisme de ses propos, ne nous laissant à son issue qu’une rage salvatrice. La reprise d’un succès en phase avec l’actualité qui, sans didactisme, nous nous encourage à combattre l’inertie du temps.
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle. Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
D’un côté, il y a les archives télévisées conservées par la Sonuma ; de l’autre, il y a Laurence Bibot qui s’en amuse dans des capsules parodiant les archétypes féminins : shampouineuse, directrice d’école, nymphette, ménagère de plus de 50 ans, femme dépressive ou exaltée, mais aussi des personnages connus, Barbara, Juliette Gréco, Sœur Sourire ou encore Amélie Nothomb. Le résultat est drôle, absurde et mélancolique. Parce que Laurence pose un regard sur une époque : des langages, des coiffures, des folklores ; mais aussi parce qu’elle éclaire la place de la femme dans les médias et la manière dont nos traditions et notre société ont évolué depuis l’avènement de la télévision. Ce ne sera pas un one-woman-show, ce ne sera pas un documentaire ; ce sera un spectacle-playback, une forme en chair et en son à partager avec le public, en toute confidentialité.
********** Français ********** Dany nait aux abords du lac Saint-Jean au Canada, dans un milieu rural et isolé. Gurshad voit le jour dans la République islamique d’Iran où il passe les douze premières années de sa vie. L’art les a réunis, alors que tout, à commencer par leurs origines, était prédestiné à les éloigner. Qu’est-ce qui prépare à devenir artiste dans un contexte où rien ne s’y prête ? Le spectacle convoque les personnes-clés et les moments-pivots qui les ont fait devenir ceux qu’ils sont aujourd’hui. À partir d’une liste de personnes – famille, premières amours, ami·es, voire ennemi·es – et de lieux qui ont marqué les ébats et les combats de leur jeunesse, Dany et Gurshad se donnent pour mission de remonter le fleuve de la vie de l’autre à contre-courant, afin de réaliser un portrait inédit l’un de l’autre. Rassemblés par des visions du monde proches, Dany et Gurshad sont parcourus par des obsessions communes comme l’autofiction et le récit intime inextricablement lié à la grande histoire, l’importance accordée aux voix marginales ou encore l’identité. Pour ce projet, ils s’entourent tous les deux de leurs collaborateur·rices historiques pour une mise en commun de leurs savoir-faire. Rencontrer l’autre sur un plan plus intime est un puissant moteur de création. Dany et Gurshad s’offrent mutuellement les clés de leurs archives personnelles. En parlant de l’autre, on finit inévitablement par parler de soi, mais aussi et surtout des autres. Par-delà les océans, les récits intimes et politiques se lient et trouvent un écho universel. En co-présentation avec le Kunstenfestivaldesarts. ********** Nederlands ********** "Sur tes traces" is een duo-portret van twee kunstenaars, Gurshad Shaheman en Dany Boudreault. Met deze kruising tussen reisdagboek en identiteitsstudie geeft de voorstelling een ongecensureerde inkijk in hun intieme wereld en brengt een verhaal dat zich afspeelt in drie continenten. ********** English ********** "Sur tes traces" is a twin portrait of two artists, Gurshad Shaheman and Dany Boudreault. With this cross between a travel diary and a identify study, the performance grants an uncensored insight into their intimate world and presents a story set across three continents.
Dans Europe connexion, Alexandra Badea dépeint le trajet d’un lobbyiste qui met tout en œuvre pour modifier les textes de lois votés au Parlement Européen afin de servir les intérêts de l’agro- business. Le lobbyiste parle, il s’empare des mots avec élégance les lisse au besoin sous d’autres plus fréquentables. Qui pourrait douter de lui ? Pourtant derrière chacun de ses succès, réside un désastre pour l’humanité… Le G.I.E.C. crie. Le monde est sourd. Notre système économique engloutit le vivant dans une boulimie démesurée. Nous sommes devenus nos propres prédateurs. Les monstres mythologiques étaient censés inspirer au public « terreur et pitié », les nôtres, devenus prescripteurs des normes et règles de nos vies, y substituent « fiabilité et admiration », aidés du pouvoir de la rhétorique qui transfigure le réel, et dont Alexandra Badea nous invite à disséquer les mécanismes impitoyables, dans une écriture au scalpel aussi politique que poétique qui glace par le réalisme de ses propos, ne nous laissant à son issue qu’une rage salvatrice. La reprise d’un succès en phase avec l’actualité qui, sans didactisme, nous nous encourage à combattre l’inertie du temps.
Ça y est, la peinture est terminée ! Jan a travaillé longtemps. Des jours. Des semaines. Des mois. Jan a travaillé précisément. Méticuleusement. Dans les moindres détails. Il a cherché les meilleures couleurs, la plus belle composition. Et aujourd'hui, le nouveau chef-d’œuvre est enfin terminé… Prêt à être admiré par tous. Tadam! Lagneau de Jan ! ... Mais que se passe-t-il? Il y a un trou dans le tableau ! LAGNEAU A DISPARU! Avec liberté et espièglerie, Audrey Dero et Deborah Marchal s’emparent d’un chef d’œuvre et nous emportent dans une bulle de poésie visuelle, dans un suspense pictural, dans l’univers de Van Eyck… et celui de Sarah Yu Zeebroek.
Venez découvrir le Club des 3x20 du Comme Eddy Club, dans une salle cosy située au 1er étage du Sister Brussels Café, à 2 pas de la Grand-Place de BXL. Au menu de ces soirées : 3 humoristes en devenir auront chacun.e 20 minutes pour vous surprendre, vous faire rire, vous émouvoir ! > Jeudi 21/3 : Flora, Guillaume & Amandine > Jeudi 18/4 : Bilette, Liane & Vincent Van Parys > Jeudi 23/5 : Ness, Luis Bellis & Le Duo Complice +++ FOOD & DRINKS : Venez plus tôt pour manger et/ou boire un verre sur place avant le spectacle : carte bio, sans gluten, vegan, bières locales et jus maison ! +++ Le "Comme Eddy Club", c'est un jeu de mots pourri (vous l'avez ?), mais ce sont surtout des soirées d'humour (presque) tous les jeudis à l'étage du Sister Brussels Café. Pour être tenu.e au courant de nos activités, suivez-nous sur Instagram : @commeeddyclub Une co-production The Sister Brussels Café et Comme Eddy Club, à l'initiative d'Edgar Kosma (Eddy pour les intimes, vous l'avez cette fois ?)
********** English ********** Italy, the late 1990s. Olga, a 40-year-old woman with two children, is a devoted mother and wife. She does her best to lead a life in perfect harmony with what society imposes on her. One day, her husband leaves her for a young woman, as in the most pathetic soap opera. Her whole world collapses. In the grip of a permanent feeling of danger, Olga sinks into a state of rage. She becomes vulgar, violent, grotesque. After she has removed her make-up and given up appearances, an unexpected woman emerges. Scandalous and powerful. Almost mythical, she steps forward in all her tragedy: a contemporary Medea, who no longer needs to kill to exist. In this adaptation of Elena Ferrante’s book, actress and director Gaia Saitta plays this woman, accompanied by her children and her dog. Trading her oppressed body for a resistant one, she lets herself go, finally liberated.  Everything has to be rebuilt, starting with language. The audience, scattered on and off the stage, is both part of and witness to this transformation. Gaia Saitta is an associate artist at the Théâtre National Wallonie-Bruxelles Première Création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles Corealisation Kunstenfestivaldesarts, Théâtre National Wallonie-Bruxelles ********** Français ********** Dans l’Italie de la fin des années 1990, Olga, 40 ans et deux enfants, est une mère et une épouse dévouée. Elle tente de mener une vie en parfaite adéquation avec ce que la société lui impose. Un beau jour, son mari la quitte pour une jeune fille, comme dans le plus pathétique des feuilletons. Et tout son univers s’écroule. En proie à un sentiment de danger permanent, Olga sombre alors dans un état de rage, elle devient vulgaire, violente, grotesque. Une fois le maquillage retiré et les apparences dissipées, c’est une femme inattendue qui prend place. Scandaleuse et puissante. Presque mythique, elle apparaît dans toute sa tragédie : une Médée contemporaine, qui n’a plus besoin de tuer pour exister. Dans cette adaptation du livre d’Elena Ferrante, l’actrice et metteuse en scène Gaia Saitta incarne cette femme, accompagnée de ses enfants et de son chien. Délaissant un corps opprimé pour un corps résistant, elle s’abandonne, enfin libérée.  Tout est à reconstruire, à commencer par les mots. Le public, dispersé sur le plateau et en dehors, est à la fois partie et témoin de cette transformation. Gaia Saitta est artiste associée au Théâtre National Wallonie-Bruxelles Première Création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles Coréalisation Kunstenfestivaldesarts, Théâtre National Wallonie-Bruxelles ********** Nederlands ********** In het Italië van het einde van de jaren 1990 is Olga met haar 40 jaar en twee kinderen een toegewijde moeder en echtgenote. Ze probeert een leven te leiden dat perfect past bij wat de maatschappij haar oplegt. Op een dag verlaat haar man haar voor een jong meisje, zoals in de meest pathetische soapseries. En haar hele wereld stort in. Ze valt ten prooi aan een gevoel van permanente dreiging en glijdt af naar een staat van woede. Ze wordt vulgair, gewelddadig, grotesk. Als de make-up is verwijderd en de schijn is opgeheven, neemt een onverwachte vrouw haar plaats in. Schandalig en machtig, haast mythisch verschijnt ze in al haar tragiek: een hedendaagse Medea, die niet meer hoeft te doden om te bestaan. In deze bewerking van het boek van Elena Ferrante speelt actrice en regisseuse Gaia Saitta deze vrouw, vergezeld door haar kinderen en haar hond. Ze wisselt haar onderdrukte lichaam in voor een weerbaar lichaam, en laat zich gaan, eindelijk bevrijd.  Alles moet opnieuw worden opgebouwd, te beginnen met de woorden. Het publiek, verspreid over en naast de scène, is zowel deel als getuige van deze transformatie. Gaia Saitta is een artiest verbonden met het Théâtre National Wallonie-Bruxelles Première Création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles Corealiasatie Kunstenfestivaldesarts, Théâtre National Wallonie-Bruxelles
Deux femmes sont assises devant une caravane. L’une est déjà réveillée, l’autre vient de se lever. Café? Thé? Une conversation commence, alors que la journée se déploie dans une ambiance légèrement fébrile. Nancy et Gaby reçoivent de la visite aujourd’hui entre 10h et 17h. Que porteront-elles pour faire bonne impression? En de courts dialogues très animés, les deux femmes se répètent en boucle et tournent avec panache autour du pot. Combien de temps vont-elles tenir? Petit à petit, on découvre ce qui s’est joué dans leur passé. Et c’est loin d’être beau. Spectacle bilingue avec surtitres en néerlandais et en français. Tweetalige voorstelling met boventiteling in het Nederlands en het Frans. Avec l’aide de: Sabam, GC De Kroon, GC De Markten Production BXL WILD, Coproduction Tristero. Avec le soutien de SABAM for Culture, la Communauté Flamande, le VGC, Culturecultuur1060, GC De Markten, GC Nekkersdal, GC De Kriekelaar, GC De Kroon. La traduction a été réalisé avec le soutien de la Maison Antoine Vitez. ___________ TARIFS Tarifs libres 8€ / 12€ / 16€ / 20€ Tarif de soutien à partir de 25€ Places individuelles : CHOOSE CE QUE TU BETAALT (tarif libre) C'est vous qui choisissez le prix que vous souhaitez mettre, en fonction de vos moyens et de vos valeurs. À l'exception des Lundi-Théâtre qui restent à 6€ pour tout le monde, nous vous indiquons un prix conseillé qui permet une rémunération juste pour les artistes et une gestion optimale pour le fonctionnement du théâtre, mais à vous de décider ! Payez ce que vous pouvez, ce que vous voulez, ce qui vous fait plaisir, ce qui vous paraît juste, indispensable, équitable et acceptable ! Vous êtes en mesure de payer un peu plus pour le billet? Vous permettez de la sorte que d'autres paient un peu moins. Merci de contribuer à un accès à la culture pour tou.te.s! PREVENTE : en réservant et payant vos places à l'avance, vous évitez le supplément de 2€ pour les achats le soir-même. Vous êtes étudiant.es en Arts du spectacle ou bénéficiaire des tickets Article 27? Ces tarifs restent valables! ___________ HORAIRES mercredi 15/05 - 19h00 jeudi 16/05 - 20h30 vendredi 17/05 - 20h30 mercredi 22/05 - 19h00 jeudi 23/05 - 14h00 jeudi 23/05 - 20h30 vendredi 24/05 - 20h30 mercredi 29/05- 19h00 jeudi 30/05 - 20h30 vendredi 31/05 - 20h30
Et si l’amour des humains n’était pas si différent de celui des poissons ? Il et Elle s’aiment d’un amour sans retenue, celui des comédies romantiques où on lèche la mayo sur la bouche de l’autre après avoir mangé une bonne frite. Leur histoire si parfaite n’échappera cependant pas à la lassitude du quotidien. Façon Titanic sans les petits fours et cette planche en bois trop étroite, le naufrage est annoncé. Sur le plateau, un troisième personnage un peu loufoque donne une conférence scientifique sur l’amour en s’appuyant sur l’histoire qui se déroule sous ses yeux. Comme si cela ne suffisait pas, le plateau se retrouve petit à petit envahi de spécimens marins avec lesquels il va falloir cohabiter. L’Aquarium est une forme essentiellement théâtrale où les dialogues s’envolent, se décuplent et se libèrent de toute contrainte réaliste. La frontière entre les genres s’éclate pour laisser place à un joyeux chaos dans lequel il fait bon vivre. Soutiens : L'entrela, La Roseraie, La Maison des cultures et de la Cohésion Sociale de Molenbeek, L'Acteur et l'écrit, Le théâtre 140, le festival Cocq'arts, le festival Nouvelle Senne, le Printemps Ravie. ___________ TARIFS Tarifs libres 8€ / 12€ / 16€ / 20€ Tarif de soutien à partir de 25€ Places individuelles : CHOOSE CE QUE TU BETAALT (tarif libre) C'est vous qui choisissez le prix que vous souhaitez mettre, en fonction de vos moyens et de vos valeurs. À l'exception des Lundi-Théâtre qui restent à 6€ pour tout le monde, nous vous indiquons un prix conseillé qui permet une rémunération juste pour les artistes et une gestion optimale pour le fonctionnement du théâtre, mais à vous de décider ! Payez ce que vous pouvez, ce que vous voulez, ce qui vous fait plaisir, ce qui vous paraît juste, indispensable, équitable et acceptable ! Vous êtes en mesure de payer un peu plus pour le billet? Vous permettez de la sorte que d'autres paient un peu moins. Merci de contribuer à un accès à la culture pour tou.te.s! PREVENTE : en réservant et payant vos places à l'avance, vous évitez le supplément de 2€ pour les achats le soir-même. Vous êtes étudiant.es en Arts du spectacle ou bénéficiaire des tickets Article 27? Ces tarifs restent valables! ___________ HORAIRES mercredi 15/05 - 19h00 jeudi 16/05 - 20h30 vendredi 17/05 - 20h30 lundi 20/05 20h30 mercredi 22/05 - 19h00 jeudi 23/05 - 20h30 vendredi 24/05 - 20h30 mercredi 29/05- 19h00 jeudi 30/05 - 20h30 vendredi 31/05 - 20h30