Trois Petits Cochons

Description

L’histoire populaire est ici revisitée de manière joyeusement décalée. Trois petits cochons un peu paumés construisent leurs maisons près de la forêt. Mais dans la forêt, ça sent le sapin, car un loup y vit, et il est malin ! L’histoire populaire est ici revisitée en théâtre d’objet décalé grâce à l’imagination d’un narrateur exalté. Il égratigne avec humour le vernis de bons sentiments qui émaille la version édulcorée connue de tous.

Les Mercredis des Carmes : cette année encore, les Chiroux Centre Culturel et la Gestion Centre-Ville de Liège vous donnent rendez-vous tous les mercredis après-midi de cet été sur la place des Carmes pour vivre des spectacles, concerts et animations… Ces spectacles familiaux sont accessibles à toutes et tous gratuitement. Toutefois pour le plaisir, et le confort, de chacun.e, merci de respecter les tranches d’âge minima indiquées.

Tout public dès 6 ans
Gratuit

Information sur la date

2023-06-28: 14:00:00 - 14:20:00

2023-06-28: 15:00:00 - 15:20:00

2023-06-28: 16:00:00 - 16:20:00

Billets

Gratuit

Organisateur

Vous organisez cet événement ?

Contactez-nous si vous souhaitez mettre à jour les informations et autres.

Nous contacter

1 Photo

Événements suggérés

Unique en son genre, ce sont des lectures de contes pour les enfants de 6 à 12 ans, présentées par des artistes drag et des artistes de cabaret. Ce projet est une expérience ouverte à tou·te·s pour laisser libre cours à l'imagination et à la curiosité, célébrer la différence et évoquer les questions de genre. La séance sera suivie d'une visite animée de l'exposition "Jouer, c'est mon genre...".
📖✨ Les Contes de la Chartreuse, le plus grand festival de contes liégeois entièrement gratuit, est de retour le samedi 18 mai entre 13h et 17h ❗ Préparez-vous à une après-midi pleine de surprises, de rires et de rencontres dans le Parc de la Chartreuse. Baladez-vous librement dans cet espace vert remarquable et venez écouter des histoires plus exceptionnelles les unes que les autres. Cette année, les Créatures Magiques de la Forêt sont de sortie. Participez à des ateliers créatifs et éducatifs, écoutez de la musique ou, tout simplement, faites une pause en famille ou entre amis dans la partie centrale du parc (bar & foodtruck). Les enfants, déguisez-vous ! En clôture de l’événement, les costumes les plus originaux seront récompensés !🧝‍♀️🧙‍♂️🧚‍♀️🧙‍♀️👹🧝 La programmation détaillée de l’après-midi est à votre disposition à l’entrée du site et une « donnerie » de livres pour petits et grands est organisée à l’issue du parcours. 📍 ACCÈS :  L’accès au site se fait par la rue Thier de la Chartreuse, dans le prolongement de la rue des Fusillés. Des barrières pour stationnement de vélos sont à votre disposition à l’entrée du parc. Le parc est accessible en bus avec la ligne 10 ( Arrêt BRESSOUX, Rue des Fusillés > Environ 6 minutes à pied (550 m) jusqu’à la rue Thier de la Chartreuse) * www.liege-lettres.be/les-contes-de-la-chartreuse-2024 [http://www.liege-lettres.be/les-contes-de-la-chartreuse-2024/] * Facebook : https://fb.me/e/gDfJkT0v9 [https://fb.me/e/gDfJkT0v9] Une organisation de l’Echevinat de la Culture et de l’Interculturalité de la Ville de Liège en partenariat avec le Service de la Lecture Publique, l’ASBL Lis-moi qui tu es, les Services sociaux et de Proximité, le PAC Liège et l’Article 27 de Liège, la MAdiL et Intradel.
Il y a la voix, il y a le geste, Il y a dedans, il y a dehors Il y a la mousse, il y a l’écorce Il y a le chant, il y a le corps Notre Bosco est parsemé de couleurs et on y chante. Curieuses de tout, on s’y laisse surprendre par ce que l’on voit, ce que l’on touche, ce qu’on entend. Tu peux entrer dans ton Bosco toi aussi et même, t’y envelopper, en profiter. Est-il doux ? Frais ? Moelleux ? Qu’est-ce qu’il s’y dit ? Qu’est-ce qu’on y parle ? Tu es le bosco. Le bosco c’est toi. *bois en italien De 18 mois à 4 ans 
Les Grands Textes, c'est bien joli, mais les petites merveilles et les raretés un peu sales, c'est bien aussi. Avec sa finesse légendaire (ou son manque de...), sa voix de camionneur et ses talons de 10cm, Peggy Lee Cooper va tenter un exercice périlleux : faire cohabiter dans un récital des auteur.e.s que tout sépare. Peut-on chanter du Barbara après de l'Annie Cordy ? Peut-on enchaîner du Piaf et du Julio Iglesias ? Peut-on déclamer du Cora Vaucaire et du Grand Jojo avec la même verve ? Peut-on chanter le Sadomasochisme et la sexualité des Suisses dans un même souffle ? Accompagnée de son fidèle Grand Malade, ils vont mélanger « grand.e.s » auteur.e.s et « petit.e.s » génies de la littérature musicale. Un récital tout en français, avec de la grâce, beaucoup d'irrévérence, juste un soupçon de vulgarité pour donner du goût. Le spectacle sera précédé de la diffusion d'interviews filmées réalisées dans le cadre de la journée internationale de lutte contre l'homophobie, la biphobie et la transphobie. Ouverture des portes à 18h30, diffusion de vidéos du projet Pub Fiction, de 19h à 19h30
Rabibochées. Ça c’est sûr, on l’est. Nous deux-là, Lulu et Sacha. Ça fait longtemps et on est toujours là à rire aux éclats. Depuis quand, comment, on sait plus. Et quand on est toutes les deux, il n’y a rien de mieux !   Tu ris ? Alors moi aussi. Tu joues ? Oui, alors moi aussi je joue. Au coin d’une entourloupe, au bord d’un éclat de joie, en plein milieu d’un moment dansé spontané. C’est une porte qui s’ouvre sur deux êtres qui continuent de construire leur relation, d’accords en désaccords, iels jonglent sur le fil de la sincérité. De 3 à 6 ans Dans le cadre de Babillage, l’art et les tout-petits
La thèse de doctorat de Nicolas Duriau (ULB) portait sur les représentations des prostitutions masculines dans le roman d'expression française, du tournant des Lumières à l'Après-guerre. Plus largement, ses centres d'intérêts s'intègrent en histoire littéraire francophone des XVIII-XIXe siècles, étudiés aux prismes des questions de genre, de prostitution(s) et d'homosexualité(s) masculine(s). Ses outils sont essentiellement ceux de l'analyse du discours, de la sociocritique (étude des manifestations du "sens social" dans le roman) et des études féministes (principalement matérialistes et queer) pour aborder ces questions.
Sur un tempo d’enfer, le Collectif Mensuel poursuit son exploration d’un théâtre composite, surgi de la rencontre entre le charme désuet du roman-photo, l’énergie électrique du live, la liberté fantasque de la bande dessinée, la minutie du bruitage et le plaisir du jeu. Ce road-movie absurde et délirant dresse le portrait d’une société à bout de souffle, où la médiatisation permanente et l’indignation stérile propagent en continu le vide abyssal d’un blabla informe. Alors qu’il semble déformer le réel, Zaï Zaï, comme un miroir, révèle avec ironie un monde hypnotisé qui a soldé à Coca-Cola et consorts l’entièreté de son temps de cerveau disponible.
Comme tous les vendredis matin, Madame M fait ses courses hebdomadaires. Devant le rayon plaisir numéro un, elle voit un orang-outan, assis dans son caddie, qui la regarde. Accompagnée par un bluesman aux allures de cow-boy, cette petite bonne femme tranquille nous raconte le monde dans lequel elle évolue avec émotions, humour et lucidité. Dans un répertoire généreux, touchant et drôle, elle questionne le fait de s’engager, de sombrer ou de fuir face au désastre écologique et humain. Un personnage de tragédie au quotidien, à l’humour décalé et surréaliste.
Une parole brute, pulsionnelle. Celle d’une narratrice, petite dernière d’une famille d’immigrés espagnols, qui nous transporte dans l’ambiance d’un café populaire, dans un univers de chants et de danses. A travers ses yeux d’enfant, d’adolescente puis de femme, elle nous dépeint avec gouaille un monde en totale mutation, où la joie du collectif fait place peu à peu à la violence d’un système qui isole. Mais son héritage, comme des couches de terre qui se superposent, constitue le limon où puiser sa force. Petite Cassandre des temps modernes, elle guide notre regard tout du long, clamant qu’il est urgent de tendre l’oreille, de rester éveillés et d’agir en nombre.
Charles, confiné volontaire depuis bien avant les pandémies, profite de l’incursion du public dans sa grotte pour s’improviser conteur. Il commence alors à retracer son tumultueux parcours de vie qui l’a poussé à fuir les autres et à se fuir lui-même, dans une vaine tentative pour échapper à la violence de la société. Mais entre désespoir et lueurs d’optimisme, c’est surtout l’espèce humaine que l’ermite tente de dépeindre : celle qui est cruelle, celle qui est perdue, celle qui est belle, celle qui pourrait se retrouver. Celle qui ferait peut-être bien de laisser derrière elle la frénésie du monde pour aller tranquillement élever des chèvres en Corrèze.   Ce monologue parle de l'Humain dans ce qu'il a de plus beau, et des chemins qu'il emprunte parfois pour se saboter. - La Provence Texte et interprétation Dimitri Lepage | Mise en scène Jérôme Jacob-Paquay | Une création de la compagnie Les Chevals de Trois | Avec l’aide du Centre Culturel de Verviers, du Centre Culturel de Theux, de l'ASBL Violetta Productions et de la SACD   Photo: © Jérôme Jacob-Paquay