Vesunna, Site Gallo-Romain

Description

Découvrez les origines romaines de Périgueux au site-musée Vesunna, installé sur les vestiges de la domus de Vésone dans une architecture audacieuse conçue par Jean Nouvel. Les collections archéologiques exceptionnelles racontent la vie antique de la ville et de ses habitants, les Pétrucores.

Information sur la date

Du lundi 11 décembre 2023 au mardi 31 décembre 2024

Billets

Info:

Prix : De 4.00 € à 6.00 €

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Dialogue de matières C'est de l'art fait en serrant le poing, comme aurait dit le poète post-moderne américain Ted Berrigan, qui affirmait «écrire d'une main, l'autre se cramponnant». Ici, terre et peinture font dialoguer leurs oppositions : opacité et lumière, rugosité et poli, coulures et brisures, massivité et fausse légèreté. Les formes modelées laissent s'épanouir les textures et les matières dans un jeu d'équilibre et de déséquilibre. Vibrant de lumière, l'émail laisse entrevoir ce qui est derrière. Travaillé en dentelle, il se joue du plein et du vide, rythme l'espace, introduit la légèreté, la respiration, le sensible... Les créations présentées dans ces expositions auront pour point commun la couleur et l'abstraction : Représentations de lignes de fracture ou de figures géométriques parlant à certains plus qu'à d'autres. Les pièces se font écho ... Site web : https://www.terramika.fr Infos réservation : entrée libre
20 ans de création ça se fête ! c'est à un parcours à travers ces deux décennies de peinture que j'invite le spectateur. je présenterai des œuvres récentes mais aussi des œuvres du début, des peintures acryliques, des aquarelles, des dessins, je présenterai aussi des objets d'artiste réalisés durant les dernières années. Présente chaque année à Sarlat depuis 18 ans, je serai ravie de vous accueillir, et d'échanger avec vous sur ce parcours tout en énergies et en couleurs Site web : https://www.vittoretti.fr
Récit conté et chanté et arts plastiquesRéflexion poétique sur le oui et le nonOn ne peut pas savoir dire oui sans savoir dire non. On ne peut pas savoir dire non sans savoir dire oui. Mais pour bien dire encore faut-il saisir ce qui se joue ? Que le consentement raconte son histoire à soi et n’en serve pas une autre ?« Celle qui donne » reprend le thème du drame de Shakespeare « Othello », en le racontant par Desdémone. Il y est question du féminin, et de choix pas si simples, dans des jeux de clairs-obscurs où trop fréquemment on récolte des violences alors qu’on cherche simplement à vivre. Le récit vient d’abord questionner nos façons de nous attacher et de nous lier, car quand on a besoin de oui clairs et de non noirs, c’est bien souvent en subissant des eaux déjà grises.Quand on dit oui d’un côté à quoi dit-on non d’un autre ? Quand on dit non ici à quoi ouvre-t-on ailleurs ? Et si être claire vis-à-vis de soi-même était un premier pas pour (se) permettre d’explorer les facettes de ce jeu de miroirs, et en redéployer les espaces pour (re)prendre sa place ?Ici le oui et le non sont comme des vannes qu’on peut ouvrir ou fermer pour irriguer et faire éclore deux jardins, le sien et celui de l’autre. Desdémone est descendue dans son jardin, explorer. Dessous, autour, la terre et le paysage de l’archétype féminin, respirant, ou replié sur des clichés écrasants où celle qui donne est réduite à celle qui doit. Et Desdémone rêve, de oui et de non bien pensés, pesés, posés, face aux colères et aux troubles, qui rendraient les relations fluides et les jardins fertiles…Teaser ici
Récit conté et chanté et arts plastiquesRéflexion poétique sur le oui et le nonOn ne peut pas savoir dire oui sans savoir dire non. On ne peut pas savoir dire non sans savoir dire oui. Mais pour bien dire encore faut-il saisir ce qui se joue ? Que le consentement raconte son histoire à soi et n’en serve pas une autre ?« Celle qui donne » reprend le thème du drame de Shakespeare « Othello », en le racontant par Desdémone. Il y est question du féminin, et de choix pas si simples, dans des jeux de clairs-obscurs où trop fréquemment on récolte des violences alors qu’on cherche simplement à vivre. Le récit vient d’abord questionner nos façons de nous attacher et de nous lier, car quand on a besoin de oui clairs et de non noirs, c’est bien souvent en subissant des eaux déjà grises.Quand on dit oui d’un côté à quoi dit-on non d’un autre ? Quand on dit non ici à quoi ouvre-t-on ailleurs ? Et si être claire vis-à-vis de soi-même était un premier pas pour (se) permettre d’explorer les facettes de ce jeu de miroirs, et en redéployer les espaces pour (re)prendre sa place ?Ici le oui et le non sont comme des vannes qu’on peut ouvrir ou fermer pour irriguer et faire éclore deux jardins, le sien et celui de l’autre. Desdémone est descendue dans son jardin, explorer. Dessous, autour, la terre et le paysage de l’archétype féminin, respirant, ou replié sur des clichés écrasants où celle qui donne est réduite à celle qui doit. Et Desdémone rêve, de oui et de non bien pensés, pesés, posés, face aux colères et aux troubles, qui rendraient les relations fluides et les jardins fertiles…Teaser ici