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16maart
-30september
10:30 - 18:30
Centre d'Art Contemporain
Place Du Pont D'en Vestit, 66000 Perpignan, France
Description
Exposition temporaire gratuite des œuvres de l'artiste suisse Sylvie Dubal.
L’exposition du Centre d’Art Contemporain intitulée La menace d’un idéal est l’opportunité de découvrir un travail rare, troublant et peut-être d’anticipation, celui de Sylvie Dubal.
Suisse, née le 20 mai 1937 à Genève, Sylvie Dubal, incarne plusieurs rôles. Peintre, dessinatrice, écrivain, auteur dramatique, nouvelliste, travaillant et vivant à Genève, Paris (Montmartre), Magerouan et Sagne (Ardèche).
Elle entre dès 1954 aux Beaux-Arts de Genève et suivra par la suite les cours de l’académie d’art privée de la Grande Chaumière à Paris. Ses études se poursuivront à l’école d’art de la Porta Romana à Florence puis à l’école d’art de Stuttgart. À partir de 1991, elle se consacre uniquement à l’écriture. Son amour de la Nature et des animaux se retrouve dans plusieurs de ses dessins et écrits.
Alors que de nombreux mouvements voient le jour en France comme à l’étranger avec Fluxus, l’Arte Povera, le Land Art, l’art conceptuel, la performance, l’art cinétique, le minimalisme, le nouveau réalisme, la figuration narrative, … proposant à l’artiste de se mettre en scène, d’utiliser les nouvelles technologies, de questionner la durabilité de l’œuvre, de dénoncer le capitalisme ou encore de créer un mouvement scellé d’un manifeste, Sylvie Dubal se tourne vers les Anciens.
Refusée de certaines galeries sous les prétextes qu’elle ne faisait pas une « peinture de femme » et « qu’une femme ne peut pas peindre ça », Sylvie Dubal, continue son œuvre et ne cède pas aux sirènes de la marchandisation de son art sans signature.
L’exposition du Centre d’Art Contemporain intitulée La menace d’un idéal est l’opportunité de découvrir un travail rare, troublant et peut-être d’anticipation, celui de Sylvie Dubal.
Suisse, née le 20 mai 1937 à Genève, Sylvie Dubal, incarne plusieurs rôles. Peintre, dessinatrice, écrivain, auteur dramatique, nouvelliste, travaillant et vivant à Genève, Paris (Montmartre), Magerouan et Sagne (Ardèche).
Elle entre dès 1954 aux Beaux-Arts de Genève et suivra par la suite les cours de l’académie d’art privée de la Grande Chaumière à Paris. Ses études se poursuivront à l’école d’art de la Porta Romana à Florence puis à l’école d’art de Stuttgart. À partir de 1991, elle se consacre uniquement à l’écriture. Son amour de la Nature et des animaux se retrouve dans plusieurs de ses dessins et écrits.
Alors que de nombreux mouvements voient le jour en France comme à l’étranger avec Fluxus, l’Arte Povera, le Land Art, l’art conceptuel, la performance, l’art cinétique, le minimalisme, le nouveau réalisme, la figuration narrative, … proposant à l’artiste de se mettre en scène, d’utiliser les nouvelles technologies, de questionner la durabilité de l’œuvre, de dénoncer le capitalisme ou encore de créer un mouvement scellé d’un manifeste, Sylvie Dubal se tourne vers les Anciens.
Refusée de certaines galeries sous les prétextes qu’elle ne faisait pas une « peinture de femme » et « qu’une femme ne peut pas peindre ça », Sylvie Dubal, continue son œuvre et ne cède pas aux sirènes de la marchandisation de son art sans signature.
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