Exposition artistes peintres et sculpteurs d'août 2024

Description

Cette deuxième exposition vous conduira dans un monde féerique. Les artistes manient toutes deux avec brio et délicatesse, chacune dans son domaine, les couleurs et les formes.

Danielle PÉAN-LE ROUX, artiste textile, éditrice de livre d'artiste et graveuse nous présente dans son installation textile « Le jardin de Circé », les plantes magiques que la magicienne de la mythologie grecque utilisait. Elle nous invite à flâner dans son jardin ou les fleurs sont suspendues dans une fragilité qui masque leurs pouvoirs. Seront également exposées des broderies et des gravures issues de cette installation.

Coloriste, aux traits parfois exacerbés, Lysiane D.COSTE dévoile sa palette haute en couleur dans ses peintures techniques mixtes, inspirées du quotidien et des sujets sociétaux.

Son univers pop et déstructuré est plein de tonus, d'humour et... d'un brin de provocation.

Son travail au tempérament bien trempé ne peut laisser indifférent.

Information sur la date

Dumardi 30 juillet 2024aujeudi 29 août 2024

10h00 • 15h00

1 Photo

Événements suggérés

Les 7 membres de l'association jplvm expose les oeuvres 2024. Les permanences sont assurées par les artistes. L'exposition fermera à 20 h le vendredi soir. Présentation de themes communs, mais également des toiles avec sujet libre. Peinture acrylique sur toile À bientôt avec grand plaisir Site web : https://vendrediblogspotcom.blogspot.com/
M. Noirel : sculptures en métal " je crée des personnages hybrides, des natures mortes, des boîtes de Pandore, ou des scènes absurdes". Numa : arts graphiques "J’aime mêler l’humain et l’animal, le végétal et le minéral". M. NOIREL - "A partir de la mythologie, de l'actualité, de la mémoire des objets, je crée des personnages hybrides, des natures mortes, des boîtes de Pandore, ou des scènes absurdes, incarnations de la comédie humaine. Dans l’espace, je travaille sur la ligne, sur le temps, l’apparence et l’intérieur. J’essaie de créer une comédie humaine dévoyée ou une sorte de bestiaire anthropomorphe dont le tragique traduit la réalité et l’humour l’espoir." NUMA - " Je dessine mes démons intérieurs, l’enfance, la famille, la parole empêchée. La poésie du monde, et sa violence aussi, nos liens avec le vivant, quel qu’il soit. J’aime mêler l’humain et l’animal, le végétal et le minéral, ce sont pour moi des mondes multiples, complexes et imprévisibles. J’aime brouiller les pistes, perturber le regard, donner à voir ce qui est caché ou au contraire épaissir le mystère. Faire un pas de côté."
Les artistes de cette dernière exposition de l'été ont vraiment des univers très différents et complémentaires, tout en ayant tous trois des démarches fortes et engagées. Gregory Lanzetta, Elisabeth Sandillon et Nina Seita. Gregory LANZETTA, artiste marqué par l'art conceptuel, nous parle de son travail « Capter le temps et saisir l’instant. » « L’immédiateté de notre société allant de pair avec une certaine forme d’oubli, d’amnésie, la question que je souhaite traiter en réalisant des œuvres figuratives à l’aide d’un tampon dateur est celle de la mémoire, et plus encore de la transmission » L'effet produit est saisissant. Abstrait, figuratif ont pour Elisabeth SANDILLON une même résonance et sont intimement liés et nécessaires dans sa pratique, à l’huile ou à l’encre. Portée par un geste intuitif ; l'artiste ouvre la porte à un monde protéiforme où d'évidentes présences s’imposent, entre le chaos du début et la forme accomplie La recherche de contrastes a une place primordiale dans son travail, car ils détiennent en eux l’essence de ce qui nous constitue et nous entoure. Sa palette est riche et chaleureuse. Nina SEITA travaille la terre, exprime la chair et fait naître de l'osmose de ces deux matières vivantes des sculptures sensibles qui touchent aux tripes celui qui les observe. Les héros mythologiques en terre enfumée qu'elle nous présente au cours de cette exposition sont de ces œuvres qui résonnent avec notre inconscient. Leur présence est d'une familiarité étrange, troublante...
Les artistes de cette dernière exposition de l'été ont vraiment des univers très différents et complémentaires, tout en ayant tous trois des démarches fortes et engagées. Gregory LANZETTA, artiste marqué par l'art conceptuel, nous parle de son travail « Capter le temps et saisir l’instant. » « L’immédiateté de notre société allant de pair avec une certaine forme d’oubli, d’amnésie, la question que je souhaite traiter en réalisant des œuvres figuratives à l’aide d’un tampon dateur est celle de la mémoire, et plus encore de la transmission » L'effet produit est saisissant. Abstrait, figuratif ont pour Elisabeth SANDILLON une même résonance et sont intimement liés et nécessaires dans sa pratique, à l’huile ou à l’encre. Portée par un geste intuitif ; l'artiste ouvre la porte à un monde protéiforme où d'évidentes présences s’imposent, entre le chaos du début et la forme accomplie La recherche de contrastes a une place primordiale dans son travail, car ils détiennent en eux l’essence de ce qui nous constitue et nous entoure. Sa palette est riche et chaleureuse. Nina SEITA travaille la terre, exprime la chair et fait naître de l'osmose de ces deux matières vivantes des sculptures sensibles qui touchent aux tripes celui qui les observe. Les héros mythologiques en terre terre enfumée qu'elle nous présente au cours de cette exposition sont de ces œuvres qui résonnent avec notre inconscient. Leur présence est d'une familiarité étrange, troublante.