L'avant-dernière version de la réalité - Brognon Rollin

Description

L’avant-dernière version de la réalité est la première grande exposition muséale, en Belgique, du duo d’artistes composé de David Brognon et Stéphanie Rollin. Rassemblant des œuvres existantes et de nouvelles productions, l’exposition met en perspective une démarche initiée il y a près de 15 ans. Elle permet aussi de mesurer la singularité et la cohérence de l'univers formel et conceptuel du duo. Depuis une quinzaine d’années, le duo Brognon Rollin a construit une œuvre protéiforme avec la constance, presque obsessionnelle, de placer l’humain au centre de toutes ses réflexions plastiques. Observant avec acuité certains faits de société, les artistes conçoivent des œuvres qui s’inscrivent dans l’histoire de l’art minimal et qui témoignent d’une grande sensibilité par leur concept même et le contexte de leur création.

Date info

Tous les dimanche(s) du mois. Mardi: de 10:00 à 18:00. Mercredi: de 10:00 à 18:00. Jeudi: de 10:00 à 18:00. Vendredi: de 10:00 à 18:00. Samedi: de 10:00 à 18:00 (fermé le 25 décembre). Dimanche: de 10:00 à 18:00. Du 9 octobre 2021 au 9 janvier 2022. Cette activité a été confirmée le 04/10/2021 compatible avec les directives COVID

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Info:
Adultes : 6€ / Seniors : 4€ / Etudiants et demandeurs d'emploi : 3€ / Gratuit pour les moins de 12 ans

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Suggested events

Pour cette exposition monographique d’envergure, Alain Bornain (Genappe, 1965) investit la salle Pierre Dupont de travaux anciens et nouveaux, l’ensemble retrace son cheminement artistique des 25 dernières années.Actif depuis le milieu des années 1990 et entretenant un rapport très actuel à l’image (aux images), Alain Bornain ne s’est jamais cantonné à une seule catégorie plastique, ni à un sujet unique. Par des moyens variés (peintures sur toile ou objets, installations, dessins, parfois sur post-it ou papier à imprimante), l’artiste évoque sans détours le rapport à la vie, à la mort, aux origines, à la mémoire, à l’effacement, à la disparition, à la transmission ou à l’héritage. Son travail n’esquive toutefois pas une dimension autobiographique, ni les préoccupations propres au champ de l'art et leur inscription dans un système de références picturales, en réactualisant certains thèmes historiques comme, par exemple, celui de la Vanité.Qu’il s’agisse des séries Blackboards, Greyboards ou Whiteboards – des toiles peintes à la manière de tableaux d'école –, ou de portraits que l’artiste effectue au départ de photos (une nouveauté), les œuvres d’Alain Bornain jouent habilement sur la confusion entre une image et son support. Depuis toujours, un même procédé s’impose : celui d’explorer toutes les potentialités qu’offrent les relations complexes que tissent la peinture et l’écriture. Tandis que certaines toiles font la part belle à l’effacement du sujet représenté, d’autres voient les mots et les chiffres s’entremêler, suggérant des préoccupations plus larges qui dépassent le strict cadre de l’art. Là réside sans doute toute l’ambivalence des œuvres d’Alain Bornain ; des œuvres qui peuvent aussi bien se comprendre comme l’imitatio précise d’un objet ou d’un sujet, porteurs de significations spécifiques, que comme un exercice pictural qui consigne toutes les possibilités plastiques offertes par la peinture.____Commissaire : Pierre-Olivier Rollin
Pour cette exposition monographique d’envergure, Alain Bornain (Genappe, 1965) investit la salle Pierre Dupont de travaux anciens et nouveaux, l’ensemble retrace son cheminement artistique des vingt-cinq dernières années. Actif depuis le milieu des années 1990 et entretenant un rapport très actuel à l’image (aux images), Alain Bornain ne s’est jamais cantonné à une seule catégorie plastique, ni à un sujet unique. Par des moyens variés (peintures sur toile ou objets, installations, dessins, parfois sur post-it ou papier à imprimante), l’artiste évoque sans détours le rapport à la vie, à la mort, aux origines, à la mémoire, à l’effacement, à la disparition, à la transmission ou à l’héritage. Son travail n’esquive toutefois pas une dimension autobiographique, ni les préoccupations propres au champ de l'art et leur inscription dans un système de références picturales, en réactualisant certains thèmes historiques comme, par exemple, celui de la Vanité. Qu’il s’agisse des séries Blackboards, Greyboards ou Whiteboards – des toiles peintes à la manière de tableaux d'école –, ou de portraits que l’artiste effectue au départ de photos (une nouveauté), les œuvres d’Alain Bornain jouent habilement sur la confusion entre une image et son support. Depuis toujours, un même procédé s’impose : celui d’explorer toutes les potentialités qu’offrent les relations complexes que tissent la peinture et l’écriture. Tandis que certaines toiles font la part belle à l’effacement du sujet représenté, d’autres voient les mots et les chiffres s’entremêler, suggérant des préoccupations plus larges qui dépassent le strict cadre de l’art. Là réside sans doute toute l’ambivalence des œuvres d’Alain Bornain ; des œuvres qui peuvent aussi bien se comprendre comme l’imitatio précise d’un objet ou d’un sujet, porteurs de significations spécifiques, que comme un exercice pictural qui consigne toutes les possibilités plastiques offertes par la peinture. ____ Commissaire : Pierre-Olivier Rollin
Pour la première exposition du cycle "Carte blanche", le BPS22 a sollicité le critique d’art et commissaire d’exposition Claude Lorent (Charleroi, 1943). Celui-ci a choisi de retracer l’itinéraire pictural d'Éric Fourez (Tournai, 1946) qui s’étend de 1974 à nos jours. Dès les années 1970, l’artiste réalise des petites peintures d’inspiration surréaliste et littéraire dont ne subsistent que deux exemplaires, témoins d’une influence rapidement abandonnée. Sa pratique artistique change alors rapidement. Attiré par l’hyperréalisme à base de photographie, il s’en distingue d’emblée en optant pour une peinture à tonalité monochrome bleue, légère et lumineuse. Ses sujets de prédilection sont les vagues et des vues de la mer du Nord ; elles évoquent l’ailleurs, le voyage, l’évasion. Ce sont des rochers à Ploumanach, des autoroutes, des aéroports, des cabines de plage… et bientôt les premières traces de pas dans le sable. En 1984, ses toiles passent au gris, puis s’estompent légèrement et, dès 1986, le blanc s’impose. Le sujet devient trace, la figuration devient allusive et semble parfois se dissoudre dans l’abstraction. Pour Claude Lorent, l’itinéraire est remarquable : "Depuis, selon un processus créatif invariable, inlassablement, résolument, Éric Fourez peint des paysages marins fascinants, des bords de plages ravinés, creusés, modelés par le flux, le reflux, le ressac, par la puissance ou la douceur des vagues qui vont, viennent, se retirent et reviennent. Qui meurent sur le sable avant de remonter à l’assaut, plus déterminées et plus vivantes que jamais.  Hymne à la vie et à la nature, images du destin, vanités autant que paysages, ces peintures de l’espace infini et de la blancheur, silencieuses, solitaires, évocation du passage du temps, de la fragilité des êtres et des choses, de l’éphémère et du combat contre l’inéluctable effacement jusqu’à la disparition, se déclinent en toutes tailles, en tous formats, invitent à regarder et réfléchir, à vivre l’enchantement, à méditer, à prendre conscience de soi, de notre terre à respecter et de l’univers incommensurable." Première grande rétrospective muséale de l’artiste, l’exposition rassemblera plus d’une cinquantaine de peintures sur toile, de formats intimes à des œuvres de 4,2 m x 2 m, ainsi que des documents. À cette occasion, Éric Fourez rend aussi hommage à ses amis artistes, avec des œuvres de Gabriel Belgeonne, Pierre Courtois, Gaston De Mey, Jephan de Villiers, Patricia Dopchie, Francis Dusépulchre, Jean-Michel François, Jack Keguenne, André Lambotte, Michel Mineur, Baudouin Oosterlynck et Guy Vandenbranden. Éric Fourez
Du 18 mai au 22 septembre, l’art contemporain s’invite au cœur du Domaine & Musée royal de Mariemont avec son parcours « Marie’ART ». Un nouveau rendez-vous entre nature & culture à ne pas manquer !   Pour cette première édition, Mariemont expose sept artistes belges et internationaux : Myriam Louyest (BE), Mieke Smet (BE), Elparo (FR), Chloé Coomans et Catho Hensmans (BE), Daniele del Grande (IT), Phayam Productions (FR-ES) et Jérôme Malevez (BE). Leurs œuvres sont des réflexions artistiques et poétiques sur les enjeux de notre société, abordant des thèmes tels que notre rapport à la nature et à l’environnement, le climat, l’inclusion, l’histoire et le patrimoine. Chacun de ces artistes, s’imprègne, le temps d’une exposition éphémère, une aire du Domaine, qu'il soit bâti, aquatique ou arboricole.   Avec Marie’ART, Mariemont offre à ces artistes un nouveau terrain d’expression dans un lieu d’exception. Mariemont consolide ainsi son identité de lieu à la croisée des époques et des cultures, tout en affirmant son soutien à la création contemporaine, à l’instar de celui donné en son temps par Raoul Warocqué. Les œuvres d’artistes du 19e et du début du 20e siècles tels que Meunier, Rousseaux, Lambeau ou Devresse, côtoient ainsi harmonieusement, dans un même écrin de nature, celles du 21e siècle.  
Stellar scape
22jun.
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26jan. 2025
ART, SCIENCE,TECHNOLOGIE & SOCIÉTÉ La 5ème exposition du Pavillon s’immergera dans la thématique de l’astronomie et de l’exploration spatiale. De tous temps, l’exploration spatiale et la conquête des lieux inconnus ont fait rêver les êtres humains, nous entrons actuellement dans un nouveau volet de la conquête spatiale où découvertes scientifiques et la recherche de la vie extra-terrestre se mêlent à des considérations bien plus économiques comme la quête des métaux rares et de nouvelles zones exploitables. INFOS PRATIQUEShttp://www.le-pavillon.be HORAIRE :TARIFS : VISITES GUIDÉES Vous souhaitez nous rendre visite en groupe et bénéficier d’une visite accompagnée? Ça tombe bien, les visites guidées sont organisées tout au long de l’exposition. INFO L’exposition est accessible dès 8 ans. Un guide du visiteur, un dossier pédagogique et un carnet d’activités pour les plus jeunes (8-12 ans) seront à disposition du public. Vous souhaitez nous rendre visite en groupe et bénéficier d’une visite accompagnée? Ça tombe bien, les visites guidées sont organisées tout au long de l’expo Pour plus de renseignements, consultez le site Internet du Pavillon [http://www.le-pavillon.be]
En pleine immersion dans les réserves du Musée L, cette visite permet de découvrir la fascinante collection des plâtres d’archéologie et d’histoire de l’art de l’Université. Répliques d’oeuvres de l’Orient ancien, de l’Égypte ancienne, de l’Antiquité grecque et romaine ainsi que du Moyen Âge et des Temps modernes… toutes ces pièces seront appréhendées dans un parcours conçu comme un véritable « résumé visuel d’art figuré ».Prix : 6 € / pers. (entrée au musée comprise)Réservation obligatoire : www.museel.be ou 010/47 48 41
Au cours de cette année scolaire 2023-2024, la Librairie Point Virgule [https://www.librairiepointvirgule.be/], en partenariat avec la maison d’édition L’école des loisirs [https://www.ecoledesloisirs.fr/], a invité les classes de maternelle et de primaire d’écoles namuroises à participer à un grand concours de création collective autour du sport et de l’amitié : « 1, 2, 3, lisez ! ». Mettant les livres au centre de la vie de la classe, le projet était parrainé par l’illustrateur Ole Könnecke, dont l’album Vive le sport ! [https://www.tire-lire.be/iguana/www.main.cls?surl=search&p=*#recordId=2.781330] était le fil rouge. Car, comme chacun le sait, dans quelques semaines se tiendront à Paris les Jeux olympiques ! Une occasion unique de célébrer le sport à travers les livres du catalogue de L’école des loisirs. Le principe du concours ? Il s’agissait de lier littérature et arts plastiques en créant une œuvre en volume mettant en scène un personnage tiré des albums d’Ole Könnecke avec un ou plusieurs autres personnages issus d’albums, romans ou BD emblématiques du catalogue de L’école des loisirs dans un contexte sportif. Tout était possible ! Dix classes se sont inscrites et le concours s’est articulé en deux temps : tout d’abord à l’échelle de la librairie Point Virgule ; ensuite, au niveau des quatre-vingt librairies belges et françaises qui y ont participé et dont le premier choix a été transmis au jury de l’école des loisirs. Ce sont les dix travaux que le jury de la librairie Point Virgule – composé de deux libraires et d’une bibliothécaire des Bibliothèques de Namur – a reçu que nous vous proposons d’admirer. Créativité, imagination, sens esthétique, enthousiasme, esprit d’équipe et jolie solidarité : voilà ce qui ressort incontestablement de toutes les œuvres réalisées par des bambins de la région, âgés de 4 à 8 ans ! Durant tous les jours d'ouverture au public de la bibliothèque de Malonne, du 2 au 18 juin Entrée libre Plus d'infos : 081/24 64 40 bibliotheques@ville.namur.be [bibliotheques@ville.namur.be]
Le Musée du Souvenir 40-45 de Malèves sera ouvert ce dimanche 16 juin 2024 de 13h30 à 17h30Tarif : 7€/personne – 5 € pour les enfants de 6 à 12 ansLe musée est également accessible toute l’année sur rendez-vous !L’occasion pour vous de découvrir notre musée et l’histoire de la seconde guerre mondiale dans notre région.Le Musée du Souvenir 40-45 présente l’histoire de la seconde guerre mondiale dans la région. Les périodes de l’invasion de 1940, de l’occupation et de la libération de 1944 y sont ainsi abordées.La collection qui y est exposée permet de découvrir le matériel utilisé par les différents belligérants de l’époque.Plusieurs milliers d’objets ainsi qu'une septantaine de mannequins sont disposés dans des saynètes permettant de replacer le matériel dans le contexte de l'époque. A ce matériel s’ajoute également un ensemble d’objets civils d’époque qui permettent de se rappeler les difficultés endurées par ces derniers durant le dernier conflit mondial. Des vitrines sont également visibles afin de présenter des documents et du petit matériel d’époque. Des documents photos ainsi que des films d’archive agrémentent la visite.Adresse : Rue d’Orbais 2 – 1360 Malèves (commune de Perwez) – Belgique