Exposition photos de Jean-Marie Huet et Alexandra Daoust
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L'avant-dernière version de la réalité - Brognon Rollin
09oktober 2021
-09januari 2022
BPS22
BPS22, Boulevard Solvay 22, Charleroi, Hainaut 6000, Belgium
Description
L’avant-dernière version de la réalité est la première grande exposition muséale, en Belgique, du duo d’artistes composé de David Brognon et Stéphanie Rollin. Rassemblant des œuvres existantes et de nouvelles productions, l’exposition met en perspective une démarche initiée il y a près de 15 ans. Elle permet aussi de mesurer la singularité et la cohérence de l'univers formel et conceptuel du duo. Depuis une quinzaine d’années, le duo Brognon Rollin a construit une œuvre protéiforme avec la constance, presque obsessionnelle, de placer l’humain au centre de toutes ses réflexions plastiques. Observant avec acuité certains faits de société, les artistes conçoivent des œuvres qui s’inscrivent dans l’histoire de l’art minimal et qui témoignent d’une grande sensibilité par leur concept même et le contexte de leur création.
Sculpture
Date info
Tous les dimanche(s) du mois. Mardi: de 10:00 à 18:00. Mercredi: de 10:00 à 18:00. Jeudi: de 10:00 à 18:00. Vendredi: de 10:00 à 18:00. Samedi: de 10:00 à 18:00 (fermé le 25 décembre). Dimanche: de 10:00 à 18:00. Du 9 octobre 2021 au 9 janvier 2022. Cette activité a été confirmée le 04/10/2021 compatible avec les directives COVID
Tickets
Info:
Adultes : 6€ / Seniors : 4€ / Etudiants et demandeurs d'emploi : 3€ / Gratuit pour les moins de 12 ans
Organiser
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Pour cette exposition monographique d’envergure, Alain Bornain (Genappe, 1965)
investit la salle Pierre Dupont de travaux anciens et nouveaux, l’ensemble
retrace son cheminement artistique des 25 dernières années.Actif depuis le
milieu des années 1990 et entretenant un rapport très actuel à l’image (aux
images), Alain Bornain ne s’est jamais cantonné à une seule catégorie plastique,
ni à un sujet unique. Par des moyens variés (peintures sur toile ou objets,
installations, dessins, parfois sur post-it ou papier à imprimante), l’artiste
évoque sans détours le rapport à la vie, à la mort, aux origines, à la mémoire,
à l’effacement, à la disparition, à la transmission ou à l’héritage. Son travail
n’esquive toutefois pas une dimension autobiographique, ni les préoccupations
propres au champ de l'art et leur inscription dans un système de références
picturales, en réactualisant certains thèmes historiques comme, par exemple,
celui de la Vanité.Qu’il s’agisse des séries Blackboards, Greyboards ou
Whiteboards – des toiles peintes à la manière de tableaux d'école –, ou de
portraits que l’artiste effectue au départ de photos (une nouveauté), les œuvres
d’Alain Bornain jouent habilement sur la confusion entre une image et son
support. Depuis toujours, un même procédé s’impose : celui d’explorer toutes les
potentialités qu’offrent les relations complexes que tissent la peinture et
l’écriture. Tandis que certaines toiles font la part belle à l’effacement du
sujet représenté, d’autres voient les mots et les chiffres s’entremêler,
suggérant des préoccupations plus larges qui dépassent le strict cadre de l’art.
Là réside sans doute toute l’ambivalence des œuvres d’Alain Bornain ; des œuvres
qui peuvent aussi bien se comprendre comme l’imitatio précise d’un objet ou d’un
sujet, porteurs de significations spécifiques, que comme un exercice pictural
qui consigne toutes les possibilités plastiques offertes par la
peinture.____Commissaire : Pierre-Olivier Rollin
Pour cette exposition monographique d’envergure, Alain Bornain (Genappe, 1965)
investit la salle Pierre Dupont de travaux anciens et nouveaux, l’ensemble
retrace son cheminement artistique des vingt-cinq dernières années.
Actif depuis le milieu des années 1990 et entretenant un rapport très actuel à
l’image (aux images), Alain Bornain ne s’est jamais cantonné à une seule
catégorie plastique, ni à un sujet unique. Par des moyens variés (peintures sur
toile ou objets, installations, dessins, parfois sur post-it ou papier à
imprimante), l’artiste évoque sans détours le rapport à la vie, à la mort, aux
origines, à la mémoire, à l’effacement, à la disparition, à la transmission ou à
l’héritage. Son travail n’esquive toutefois pas une dimension autobiographique,
ni les préoccupations propres au champ de l'art et leur inscription dans un
système de références picturales, en réactualisant certains thèmes historiques
comme, par exemple, celui de la Vanité.
Qu’il s’agisse des séries Blackboards, Greyboards ou Whiteboards – des toiles
peintes à la manière de tableaux d'école –, ou de portraits que l’artiste
effectue au départ de photos (une nouveauté), les œuvres d’Alain Bornain jouent
habilement sur la confusion entre une image et son support. Depuis toujours, un
même procédé s’impose : celui d’explorer toutes les potentialités qu’offrent les
relations complexes que tissent la peinture et l’écriture. Tandis que certaines
toiles font la part belle à l’effacement du sujet représenté, d’autres voient
les mots et les chiffres s’entremêler, suggérant des préoccupations plus larges
qui dépassent le strict cadre de l’art. Là réside sans doute toute l’ambivalence
des œuvres d’Alain Bornain ; des œuvres qui peuvent aussi bien se comprendre
comme l’imitatio précise d’un objet ou d’un sujet, porteurs de significations
spécifiques, que comme un exercice pictural qui consigne toutes les possibilités
plastiques offertes par la peinture.
____
Commissaire : Pierre-Olivier Rollin
Pour la première exposition du cycle "Carte blanche", le BPS22 a sollicité le
critique d’art et commissaire d’exposition Claude Lorent (Charleroi, 1943).
Celui-ci a choisi de retracer l’itinéraire pictural d'Éric Fourez (Tournai,
1946) qui s’étend de 1974 à nos jours.
Dès les années 1970, l’artiste réalise des petites peintures d’inspiration
surréaliste et littéraire dont ne subsistent que deux exemplaires, témoins d’une
influence rapidement abandonnée. Sa pratique artistique change alors rapidement.
Attiré par l’hyperréalisme à base de photographie, il s’en distingue d’emblée en
optant pour une peinture à tonalité monochrome bleue, légère et lumineuse. Ses
sujets de prédilection sont les vagues et des vues de la mer du Nord ; elles
évoquent l’ailleurs, le voyage, l’évasion. Ce sont des rochers à Ploumanach, des
autoroutes, des aéroports, des cabines de plage… et bientôt les premières traces
de pas dans le sable. En 1984, ses toiles passent au gris, puis s’estompent
légèrement et, dès 1986, le blanc s’impose. Le sujet devient trace, la
figuration devient allusive et semble parfois se dissoudre dans l’abstraction.
Pour Claude Lorent, l’itinéraire est remarquable : "Depuis, selon un processus
créatif invariable, inlassablement, résolument, Éric Fourez peint des paysages
marins fascinants, des bords de plages ravinés, creusés, modelés par le flux, le
reflux, le ressac, par la puissance ou la douceur des vagues qui vont, viennent,
se retirent et reviennent. Qui meurent sur le sable avant de remonter à
l’assaut, plus déterminées et plus vivantes que jamais.
Hymne à la vie et à la nature, images du destin, vanités autant que paysages,
ces peintures de l’espace infini et de la blancheur, silencieuses, solitaires,
évocation du passage du temps, de la fragilité des êtres et des choses, de
l’éphémère et du combat contre l’inéluctable effacement jusqu’à la disparition,
se déclinent en toutes tailles, en tous formats, invitent à regarder et
réfléchir, à vivre l’enchantement, à méditer, à prendre conscience de soi, de
notre terre à respecter et de l’univers incommensurable."
Première grande rétrospective muséale de l’artiste, l’exposition rassemblera
plus d’une cinquantaine de peintures sur toile, de formats intimes à des œuvres
de 4,2 m x 2 m, ainsi que des documents. À cette occasion, Éric Fourez rend
aussi hommage à ses amis artistes, avec des œuvres de Gabriel Belgeonne, Pierre
Courtois, Gaston De Mey, Jephan de Villiers, Patricia Dopchie, Francis
Dusépulchre, Jean-Michel François, Jack Keguenne, André Lambotte, Michel
Mineur, Baudouin Oosterlynck et Guy Vandenbranden.
Éric Fourez
Du 18 mai au 22
septembre, l’art contemporain s’invite au cœur du Domaine & Musée royal de
Mariemont avec son parcours « Marie’ART ». Un nouveau rendez-vous
entre nature & culture à ne pas manquer !
Pour cette
première édition, Mariemont expose sept artistes belges et
internationaux : Myriam Louyest (BE), Mieke Smet (BE),
Elparo (FR), Chloé Coomans et Catho Hensmans (BE), Daniele del
Grande (IT), Phayam Productions (FR-ES)
et Jérôme Malevez (BE). Leurs œuvres sont
des réflexions artistiques et poétiques sur les enjeux de notre société,
abordant des thèmes tels que notre rapport à la nature et à l’environnement, le
climat, l’inclusion, l’histoire et le patrimoine. Chacun de
ces artistes, s’imprègne, le temps d’une exposition éphémère, une aire du
Domaine, qu'il soit bâti, aquatique ou arboricole.
Avec Marie’ART, Mariemont offre à ces artistes
un nouveau terrain d’expression dans un lieu d’exception. Mariemont
consolide ainsi son identité de lieu à la croisée des époques et des
cultures, tout en affirmant son soutien à la création contemporaine,
à l’instar de celui donné en son temps par Raoul Warocqué. Les œuvres
d’artistes du 19e
et du début du 20e
siècles tels que
Meunier, Rousseaux, Lambeau ou Devresse, côtoient ainsi harmonieusement, dans
un même écrin de nature, celles du 21e
siècle.
EXPOSITION DE FIN D'ANNÉE DE L'ACADÉMIE DES BEAUX ARTS
Venez découvrir le travail de l'année des élèves de l'Académie
Vernissage le 20 juin à 18h
du mardi au samedi de 11h à 18h et le dimanche de 12h à 18h
ART, SCIENCE,TECHNOLOGIE & SOCIÉTÉ
La 5ème exposition du Pavillon s’immergera dans la thématique de l’astronomie et
de l’exploration spatiale. De tous temps, l’exploration spatiale et la conquête
des lieux inconnus ont fait rêver les êtres humains, nous entrons actuellement
dans un nouveau volet de la conquête spatiale où découvertes scientifiques et la
recherche de la vie extra-terrestre se mêlent à des considérations bien plus
économiques comme la quête des métaux rares et de nouvelles zones exploitables.
INFOS PRATIQUEShttp://www.le-pavillon.be
HORAIRE :TARIFS :
VISITES GUIDÉES
Vous souhaitez nous rendre visite en groupe et bénéficier d’une visite
accompagnée? Ça tombe bien, les visites guidées sont organisées tout au long de
l’exposition.
INFO
L’exposition est accessible dès 8 ans. Un guide du visiteur, un dossier
pédagogique et un carnet d’activités pour les plus jeunes (8-12 ans) seront à
disposition du public.
Vous souhaitez nous rendre visite en groupe et bénéficier d’une visite
accompagnée? Ça tombe bien, les visites guidées sont organisées tout au long de
l’expo
Pour plus de renseignements, consultez le site Internet du Pavillon
[http://www.le-pavillon.be]
En pleine immersion dans les réserves du Musée L, cette visite permet de
découvrir la fascinante collection des plâtres d’archéologie et d’histoire de
l’art de l’Université. Répliques d’oeuvres de l’Orient ancien, de l’Égypte
ancienne, de l’Antiquité grecque et romaine ainsi que du Moyen Âge et des Temps
modernes… toutes ces pièces seront appréhendées dans un parcours conçu comme un
véritable « résumé visuel d’art figuré ».Prix : 6 € / pers. (entrée au musée
comprise)Réservation obligatoire : www.museel.be ou 010/47 48 41
Au cours de cette année scolaire 2023-2024, la Librairie Point Virgule
[https://www.librairiepointvirgule.be/], en partenariat avec la maison
d’édition L’école des loisirs [https://www.ecoledesloisirs.fr/], a invité les
classes de maternelle et de primaire d’écoles namuroises à participer à un grand
concours de création collective autour du sport et de l’amitié : « 1, 2, 3,
lisez ! ».
Mettant les livres au centre de la vie de la classe, le projet était parrainé
par l’illustrateur Ole Könnecke, dont l’album Vive le sport !
[https://www.tire-lire.be/iguana/www.main.cls?surl=search&p=*#recordId=2.781330] était
le fil rouge. Car, comme chacun le sait, dans quelques semaines se tiendront à
Paris les Jeux olympiques ! Une occasion unique de célébrer le sport à travers
les livres du catalogue de L’école des loisirs.
Le principe du concours ? Il s’agissait de lier littérature et arts plastiques
en créant une œuvre en volume mettant en scène un personnage tiré des albums
d’Ole Könnecke avec un ou plusieurs autres personnages issus d’albums, romans ou
BD emblématiques du catalogue de L’école des loisirs dans un contexte sportif.
Tout était possible !
Dix classes se sont inscrites et le concours s’est articulé en deux temps : tout
d’abord à l’échelle de la librairie Point Virgule ; ensuite, au niveau des
quatre-vingt librairies belges et françaises qui y ont participé et dont le
premier choix a été transmis au jury de l’école des loisirs.
Ce sont les dix travaux que le jury de la librairie Point Virgule – composé de
deux libraires et d’une bibliothécaire des Bibliothèques de Namur – a reçu que
nous vous proposons d’admirer. Créativité, imagination, sens esthétique,
enthousiasme, esprit d’équipe et jolie solidarité : voilà ce qui ressort
incontestablement de toutes les œuvres réalisées par des bambins de la région,
âgés de 4 à 8 ans !
Durant tous les jours d'ouverture au public de la bibliothèque de Malonne, du 2
au 18 juin
Entrée libre
Plus d'infos :
081/24 64 40
bibliotheques@ville.namur.be [bibliotheques@ville.namur.be]
Le Musée du Souvenir 40-45 de Malèves sera ouvert ce dimanche 16 juin 2024 de
13h30 à 17h30Tarif : 7€/personne – 5 € pour les enfants de 6 à 12 ansLe musée
est également accessible toute l’année sur rendez-vous !L’occasion pour vous de
découvrir notre musée et l’histoire de la seconde guerre mondiale dans notre
région.Le Musée du Souvenir 40-45 présente l’histoire de la seconde guerre
mondiale dans la région. Les périodes de l’invasion de 1940, de l’occupation et
de la libération de 1944 y sont ainsi abordées.La collection qui y est exposée
permet de découvrir le matériel utilisé par les différents belligérants de
l’époque.Plusieurs milliers d’objets ainsi qu'une septantaine de mannequins sont
disposés dans des saynètes permettant de replacer le matériel dans le contexte
de l'époque. A ce matériel s’ajoute également un ensemble d’objets civils
d’époque qui permettent de se rappeler les difficultés endurées par ces derniers
durant le dernier conflit mondial. Des vitrines sont également visibles afin de
présenter des documents et du petit matériel d’époque. Des documents photos
ainsi que des films d’archive agrémentent la visite.Adresse : Rue d’Orbais 2 –
1360 Malèves (commune de Perwez) – Belgique