<div>Le chœur de chambre du Conservatoire Royal de Liège (sous la direction de Cyril Englebert) et l’orchestre de chambre Améthyste (composé de brillants musiciens de la scène belge et d’ailleurs) mettent à l’honneur le professeur Stéphane Feye, pianiste, chef d’orchestre et compositeur originaire de Dinant. ils interpréteront la quintessence de son œuvre instrumentale ainsi que l’intégralité de ses compositions chorales créées autour des textes de Louis Cattiaux.</div>

Musiques de Feye

Mister Cover

TICKETS DISPONIBLES LE 8 FÉVRIER À 11H
<h2>AGORIA</h2> Agoria n’est pas un enfant des raves comme les autres. Au début des années 90, il a connu cet âge d’or où l’histoire s’écrivait à chaque nouvelle soirée. La musique électronique n’avait encore ni code ni visage, seulement quelques valeurs qu’elle s’est empressée d’oublier. Et, s’il a fait parti des pionniers qui ont tout inventé de la techno en France, c’est pour mieux s’échapper du cadre qu’il a lui-même contribuer a créé, s’aventurant avec succès dans l’univers du cinéma, de la mode et de l’art contemporain.Tout commence à Lyon, à une époque où l’incompréhension et la répression à l’égard de la techno sont telles que chaque nuit qui ne se termine pas en garde à vue pour les organisateurs de rave est une victoire. Aucune soirée ne se ressemble. C’est dans ce contexte, en décembre 1993, à seulement 17 ans, que Sébastien Devaud qui ne s’appelle pas encore Agoria, prend pour la première fois les platines en public, au Space, un club lyonnais aux multiples couloirs. Il joue avant Richie Hawtin et Carl Cox et… «&nbsp;personne ne danse&nbsp;». Étudiant en cinéma, il vient de refuser de travailler sur un tournage de James Ivory pour pouvoir mixer à cette soirée&nbsp;: «&nbsp;Je me suis demandé un petit moment si j’avais fait le bon choix&nbsp;».C’est au micro d’une radio locale lyonnaise, quatre heures durant tous les samedis, puis les mardis quand les engagements de Djs vont se multiplier que sa passion de la musique va grandir et son horizon s’élargir. «&nbsp;Ces années de radio m’ont formé et nourri, c’est comme ça que j’ai compris qu’il y avait des bons morceaux dans tous les styles et qu’il fallait adopter une approche ouverte ». La richesse et la diversité de la musique qu’il compose et joue aujourd’hui est née ainsi.Si Agoria produit des disques dès 1999, «&nbsp;La Onzieme Marche&nbsp;», sortie la première fois en 2001 sur Tekmics, label porté par le DJ français Miloch «&nbsp;qui, dans l’underground, aura autant d’importance que les Daft Punk&nbsp;» marque une étape. Devenue aujourd’hui un classique, mixé et remixé par quantité de DJ, ce morceau est le point de départ de sa rencontre avec le label Pias qui sortira ses deux premiers albums, «&nbsp;Blossom&nbsp;» en 2003 avec un featuring de Tricky, puis «&nbsp;The Green Armchair&nbsp;» en 2006 avec les participations de Neneh Cherry ou de Peter Murphy, leader des légendaires Bauhaus. Avec ces albums Agoria commence à imposer son univers oblique, de la techno bien sûr, souvent inspirée par celle des pionniers de Detroit, mais «&nbsp;twistée&nbsp;» par une drôle de pulsation contemporaine, teintée de pop, de soul ou de hip-hop.Cette envie de composer une véritable musique pour aujourd’hui, tout en se soustrayant aux codes qui souvent l’étouffent, va trouver son apogée avec l’album «&nbsp;Impermanence&nbsp;» en 2011 et plus encore avec «&nbsp;Drift&nbsp;», sorti en collaboration avec Mercury/Universal en 2019. Un disque mis en images par de somptueux clips vidéo, rivalisant avec la qualité des productions cinématographiques. Plus que tout autre de ses albums, «&nbsp;Drift&nbsp;» confirme le talent d’Agoria pour la sensualité des mélodies acoustiques et le raffinement des productions modernistes, sans jamais totalement renier sa culture électronique. «&nbsp;Aujourd’hui encore quand tu es né avec la techno, tu es censé te battre pour elle jusqu’à la mort. Je défendrai toujours la musique de Jeff Mills, mais je ne veux pas refaire éternellement ce que d’autres ont déjà fait très bien. Je ne suis ni un ultra ni un gardien du temple. Je veux garder ma liberté musicale, rester un électron libre.&nbsp;» Une ligne de conduite qu’il applique également à sa résidence de DJ à Ibiza, baptisée «&nbsp;Drift&nbsp;» comme son dernier disque.S’il prouve sa fidélité à la culture électronique en se battant pour que cette scène soit vivante à Lyon, combat qui permettra la naissance en 2003 des Nuits Sonores dont il est «&nbsp;l’ange gardien&nbsp;» selon l’équipe du festival, son désir «&nbsp;de tenter sans cesse des aventures nouvelles&nbsp;», va l’amener à créer deux des plus avant-gardistes labels de la scène électronique française. Infiné en 2006 avec Alexandre Cazac et Yannick Matray, qui découvrira des artistes aussi aventureux que Rone ou Aufgang, puis le label Sapiens, qu’il dirige seul depuis 2016 avec la volonté de publier autant de musiques originales que de «&nbsp;talk&nbsp;», écrits par des chercheurs, des artistes et des passeurs contemporains.En 2006, arrive une nouvelle rencontre décisive avec le cinéma. Estomaqués par la puissance de «&nbsp;Code 1026&nbsp;», le réalisateur belge Olivier Van Hoofstadt et son producteur Luc Besson qui ne trouvaient pas la vibration musicale de leur film «&nbsp;Go Fast&nbsp;», commande à Agoria une bande originale a cent à l’heure. De cette aventure naîtra un des disques les plus abrasifs d’Agoria, mais surtout une amitié avec Olivier Van Hoofstadt qui l’amène aujourd’hui à composer la bande originale de «&nbsp;Lucky&nbsp;», la nouvelle comédie déjantée du réalisateur de «&nbsp;Dikkenek&nbsp;». Entre temps, Agoria a également écrit en 2016 la musique de deux documentaires de Jan Kounen, «&nbsp;Mère Océan&nbsp;» et «&nbsp;Vape Wave&nbsp;». Une collaboration fructueuse puisqu’elle se poursuit en 2018 sur la série «&nbsp;The Show&nbsp;».La boulimie d’expériences qui caractérise Agoria le conduira également à collaborer avec le monde de la mode et des créateurs, jouant sa musique pour la marque italienne Fendi à Milan, ville où il a lui-même résidé plusieurs années, ou collaborant avec le plasticien Philippe Parreno pour lequel il participe à l’écriture de la bande sonore de l’installation immersive que l’artiste réalise en 2016 pour le Turbine Hall de la Tate Modern de Londres. Mais c’est lors de la dernière édition d’Art Basel Miami Beach, l’une des plus importantes foires d’art contemporain au monde, où Agoria, retrouvant son nom Sébastien Devaud, a été invité à présenter pour la première fois son travail photographique très personnel, qu’un nouveau chapitre s’est ouvert. Ses pièces, jetant un regard nouveau sur le principe des affiches lacérées chères à Jacques Villeglé, figure essentielle du «&nbsp;Nouveau Réalisme&nbsp;» des années 60, ont été saluées par le célèbre magasine Américains «&nbsp;Interior Design&nbsp;» comme l’un des points forts de l’édition 2019. Cela n’empêchera certainement pas Agoria de revenir bientôt avec un nouvel album «&nbsp;pratiquement terminé&nbsp;».

AGORIA

<div>En reprenant ses morceaux sublimes, c’est à ce génie du Blues et à cette légende du Rock quele groupe OLD LOVE rend hommage lors de ses concerts tout en se rapprochant au plus près de son esprit, de son cœur et de son âme. Si l’on a pu dire, et à juste titre, que Clapton est l’âme du Blues et du Rock, on dira qu’OLD LOVE se veut être celle d’Eric Clapton.&nbsp; | OLD LOVE team&nbsp;| Manu PICARDI, leadvocal, guitar |&nbsp;Isabelle GRAFF, bass | Domenico Ferlisi, drums | Giacomo ARONICA, keyboards </div>

Old Love - Tribute Clapton

TICKETS AVAILABLE FEBRUARY 22 AT 10 A.M. A CRAZY LINE-UP, AND WE LOOK FORWARD TO SEEING YOU ON APRIL 19 FOR AN EVENING WORTHY OF THE OTHER DIMENSION!
<h2></h2>

ASDEK (LOST TAPES TOUR) + AVA MIND + TDJ + URUMI + TODIEFOR + STO + JANEE

Entrée gratuite et accessible à tous. 
Sur scène, improvisation collective ouverte aux musiciens ayant des connaissances suffisantes dans leur instrument et dans les grilles du blues.

Blues-sphere

Jam-session de blues

Tickets disponibles lundi 19 février à 10h 
<h2>Inxs Xperience</h2> Le 40e ANNIVERSAIRE de l’album THE SWING Produit notamment par Nile Rodgers, à qui on doit les succès du groupe Chic, The Swing est l’album de la consécration pour INXS après trois albums et plusieurs singles pour la plupart bien classés en Australie, puisqu’il est le premier à connaître une sortie internationale dans plusieurs pays, porté par le premier single extrait de l’album, Original Sin, qui rencontre un énorme succès Mondial. En 2024, INXS fêtera les 40 ans de THE SWING sorti en 1984, et la sortie d’un des plus grands best of de la scène Pop-Rock, THE GREATEST HITS, sorti en 1994.Pour fêter cet anniversaire, INXS perience a préparé un concert adapté à l’évènement qui sera suivi par une soirée 80s-90s pour danser sur les plus grands Hits New-Wave, Pop, Dance, animée par Vincent ARENA.

Inxs Xperience

<div>Pour ouvrir notre saison de concerts, nous accueillons l'ensemble de cuivres Tessera, lauréat du Prix E.Ralet.&nbsp;Ce prix est attribué à des musiciens qui se sont particulièrement distingués lors de leurs études et examens au&nbsp; Conservatoire Royal de Musique de Liège.Ils font l’unanimité à chacune de leur prestation. Un ensemble de cuivres à découvrir absolument&nbsp;!&nbsp;&nbsp;Au programme des œuvres de Gabrieli – Schubert – Berlioz – Tchaïkovski. </div>

Concert Ouverture de la 13ème saison de concerts au Trésor de Liège

<h2>YKONS</h2> Ykons made a name for itself in 2021 with its debut single “Sequoia Trees”, followed a few months later by “Time”, which made the rounds on the airwaves. Buoyed by their infectious energy, Ykons continued to climb the ladder, not only at festivals but also by selling out venues such as the Madeleine and the Forum de Liège. They return in 2024 with a new album and an all-new show.

YKONS

Le Choeur Universitaire de Liège, l'orchestre du Choeur ULiège, les solistes Cynthia Hagelstein, Anaïs Brullez, Kenny Ferreira et Samuel Namotte, sous la direction de Patrick Wilwerth, présentent le Lauda Sion de Félix Mendelssohn - oeuvre composée pour le 600e anniversaire de la Fête Dieu à la Basilique Saint-Martin en 1846 - et le Te Deum de Dettingen de Georg Friedrich Haendel, une oeuvre brillante célébrant la victoire de la bataille de Dettingen.Places Carré d'Or (numérotées) : 30€places normales : 25€

Concert de Printemps du Choeur Ulg : Mendelssohn / Haendel

Les Tupelo boys est la rencontre de trois musiciens passionné de rock n roll. Ils se sont 
rencontrés en 2021 pour rendre hommage à Elvis Presley en reprenant ces standards des 
années 50 et 60. Ce qui explique, qu'ils jouent sans batterie comme Elvis lors de ces 
débuts. Depuis la formation, ils ont bien tourné en réalisant plus d'une centaine de concerts y 
compris de gros festival. Actuellement, ils incorporent leurs propres compositions à leur 
set. Deux de leur compostions tel que « Come whit me et My choice baby » sont passées sur 
des radios. Dans un futur proche, un album sortira reprenant l'ensemble de leurs 
compositions. 
Master Gee : chant / Le Doctor : contrebasse / Dangerous Dave : guitare 
Paf 12€ prévente 9€ 
https://www.facebook.com/Tupelo.Boys

Tupelo Boys (B) rock’n roll

N'hésitez pas venez avec nous danser et rire, il nous fait toujours plaisir, nos chambres d'hôtes sont disponibles-bar et petites restaurations- enfilez vos santiag et surtout votre chapeaux. Nous vous attendons dans la bonne humeur aux cours de danse country chaque mercredi à 18h, bienvenue à tousLocation de salle toute l'année

Western City

Concert et danses country avec Traveling 's river band

<div>Programme&nbsp;: Projection de "Rencontre sous notre lune" d'Isabelle Français - Musique : Alithéa Ripoll - avec le Trio Spilliaert et Mami Kitagawa. Alithéa Ripoll&nbsp;: création (2024) Gabriel Fauré&nbsp;: Sonate pour violon et piano en la mineur, op. 13 (1875) *** Eugénie Alécian&nbsp;: Triptyque à l'Artsakh (2023)<ol><li>Colora Me</li><li>Noir et Blanc</li><li>Fantaisie Artsakh</li></ol>Alexandër Peçi&nbsp;: Energie Caléidoscopique (2024) – création Lili Boulanger&nbsp;: Nocturne (1911) -&nbsp;D'un Matin de Printemps (1917) Quelques mots au sujet des interprètes... Fruit d'une rencontre musicale en juillet 2016 au Festival Orford&nbsp;Musique, le duo formé par le violoniste français Jean-Samuel&nbsp;Bez et le pianiste québécois Jean-Luc Therrien reçoit en avril 2017,&nbsp;moins d'un an après leur formation, la plus haute récompense au&nbsp;Concours international Luigi Zanuccoli (Italie). Depuis lors, les&nbsp;deux musiciens se produisent régulièrement en tournée, tant en Europe qu'en Amérique du Nord. Ce concert est à la fois l'occasion de la présentation de leur enregistrement Fantaisies&nbsp;(Klarthe), et de fêter la musique très colorée de Gabriel Fauré et Lili Boulanger. Tel un miroir caléidoscopique, trois compositeurs d'aujourd'hui donnent leur vision de la couleur en musique...</div>

Caléidoscope

Pat McManus Band

Le Forem

Jean-Baptiste Guegan

JOHAN DUPONT vous donne rendez-vous le 25 avril pour le 2e Piano Bar de l’OM !L’OM Resto vous concocte un buffet du tonnerre qui ravira vos papilles dès 18h avant de pousser la chansonnette dés 20h 🎶 Formule Buffet + Piano Bar : 32€ Entrée seule : 5€ À vos réservations !

PIANO BAR avec JOHAN DUPONT

<div>11 ans après leur dernière scène en Belgique, le groupe iconique&nbsp;La Rumeur&nbsp;est de retour en Belgique pour un concert exceptionnel à Bruxelles ! Depuis le&nbsp;1er Volet (1997)&nbsp;jusqu’à leur dernier album&nbsp;Comment rester propre ? (2023), La Rumeur a toujours pris à contre-pied les schémas habituels dictés par l’industrie du disque. Leur discographie s’articule sur la base d’un triptyque et cinq albums, le tout articulé de plusieurs petites tournées. Rendez-vous le 26 avril à&nbsp;BXL Central [Chez Pias]&nbsp;avec le groupe qui entamera la deuxième partie de leur tournée. La première partie du concert sera assurée par&nbsp;Melfiano&nbsp;qui sort son nouveau projet&nbsp;Black Album, ainsi que nos DJ locaux Mr. Rens et Nuts. </div>

La Rumeur + Melfiano + Mr. Rens + DJ Nuts

TICKETS DISPONIBLES LUNDI 19 FÉVRIER À 11H
<h2>Yanso x Boubz</h2> Boub’z a vécu des épreuves marquantes avant se de lancer corps et âme dans le monde du rap. En passant par la fuite de la guerre civile au Rwanda et l’emprisonnement en Belgique, c’est à travers la musique qu’il exprime aujourd’hui sa vision du monde. De son côté, Yanso, originaire de Bruxelles, agit comme porte parole de certains quartiers et exprime son amour de sa ville à travers ses textes.Forts de leurs précédents projets accompagnés de grands noms de la scène rap francophone comme ZKR, ElGrandeToto ou encore Frenetik, les deux rappeurs décident aujourd’hui d’unir leurs univers et leurs identités pour créer «Fantômes», un projet de 8 titres disponible depuis le 19 janvier 2024 sur toutes les plateformes.

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