Et pour profiter pleinement des expositions, l’équipe de médiation vous attend
dans les salles pour échanger autour des œuvres.
Les étudiant.es de la CPES/CAAP du Lycée Lumière seront également présent.es au
Living pour échanger avec le public sur leurs projets exposés
Nuit des musées au macLYON avec High-lo : une nocturne gratuite pour visiter nos
expositions + un focus culture Hip-Hop sur la culture Jersey
Le Jersey Club est un style musical né dans les années 1990 dans la ville de
Newark, dans le New Jersey. Issu du Baltimore Club, il se caractérise par une
basse lourde issue du Hip-Hop avec une rythmique rapide et très caractéristique.
En 2021, le Jersey Club connaît une mutation, notamment grâce au rappeur
Bandmanrill. Sa rythmique gagne le monde du Rap américain et du Rap français,
donnant naissance à un genre de synthèse : la Jersey Drill. En France, la Jersey
Drill est popularisée par des rappeurs tels que Kerchak, Sto ou encore Gambi.
Pour la première fois à Lyon, High-lo programme dans le cadre inhabituel du
macLYON Couli B, rappeur parisien du 19e qui pose uniquement sur des prods
Jersey ! Côté live, place aussi à Ibou, talent local qui mérite d’être sur ce
plateau.
Aux platines, deux références lyonnaises en jersey/rap les accompagneront :
Autajon & Pana
Puisque dans la culture Jersey la danse est complémentaire à la musique, nous
accueillerons aussi des danseurs de la compagnie “Les Humains Alpha” qui sont
tous passés par ce mouvement.
Rendez-vous samedi 13 mai pour cet événement inédit !
Musée d'Art Contemporain
Venue
Upcoming events
There’s no upcoming events
Past events
Nathalie Djurberg & Hans Berg - La peau est une fine enveloppe
24februari 2023
-09juli 2023
Les films d'animation et les sculptures du duo d'artistes suédois Nathalie
Djurberg et Hans Berg jouent des fantasmes, des obsessions et des peurs dans une
esthétique volontairement outrée et « primitive », plongeant avec un humour noir
dans le subconscient et la part sombre présente en chacun·e de nous.
Nathalie Djurberg modèle ses figurines à l'argile et à la plasticine, les
habille de tissus et perruques et les anime en stop motion. Hans Berg, musicien
et compositeur, signe une bande-son hypnotique qui donne vie et intensité à
chacun de leurs films. Ensemble, ils créent des œuvres allégoriques et
grotesques, chaotiques et euphoriques, burlesques et critiques, mettant en scène
des personnages aux corps exagérés, parfois torturés, en lutte ou en osmose avec
d'autres créatures, souvent animales ou inspirées de contes.
Leurs œuvres fantaisistes aux récits transgressifs sont présentées dans des
environnements immersifs, où images en mouvement, sculptures et compositions
musicales se mêlent à d'étonnants décors.
Présentant plus de 250 œuvres sur un parcours de 12 salles sur un étage entier
du musée, l’exposition Une histoire de famille - Collection(s) Robelin vous
invite à découvrir la collection d’un couple et d’une famille de collectionneurs
assez unique en son genre, construite tout au long des cinquante dernières
années.
En effet, la collection(s) Robelin se constitue dès le début des années 1970
dans la continuité de celle de la génération précédente, puis s’en émancipe
progressivement. La galerie Bama, créée par Ninon, la mère du collectionneur,
puis la galerie Nelson dans laquelle son père François joue un rôle important,
accompagnent cette passion qui conduit le couple non seulement à collectionner
des œuvres, mais aussi à rencontrer des artistes et à les suivre dans la
durée.
Partis d’une curiosité pour l’association entre textes et photographies proche
de l’esprit Fluxus, les deux collectionneurs s’orientent dès le milieu des
années 1980 vers des choix personnels et parfois radicaux où la peinture, la
sculpture et la photographie coexistent. Leur collection réunit à la fois des
œuvres d’artistes connus et moins connus. Leur engagement et la cohérence de
leurs choix seront ainsi montrés pour la première fois.
L’exposition Une histoire de famille fera alterner des salles monographiques
(Annette Messager, Thomas Schütte, Bernard Frize, Olaf Holzapfel et Callum
Innes) avec des salles thématiques (architecture, portrait, abstraction,
lumière, paysage, dessins-mot, Bama).
Commissaire : Camille Morineau
Avec les oeuvres de :
Gianfranco Baruchello, George Brecht, Jean-Marc Bustamante, Michael Buthe,
Vlassis Caniaris, Franck Chalendard, Erik Dietman, Helmut Dorner, Elger Esser,
Robert Filliou, Günther Förg, Hreinn Friðfinnsson, Pia Fries, Bernard Frize,
Jochen Gerz, Rodney Graham, Olaf Holzapfel, Callum Innes, Harald Klingelhöller,
Annette Messager, Wilhelm Mundt, Tom Phillips, Pascal Pinaud, Éric Poitevin,
Denis Pondruel, Dieter Roth, Thomas Ruff, Anne-Marie Schneider, Thomas Schütte,
David Shrigley, Thomas Struth, Hiroshi Sugimoto, Mitja Tušek, Françoise Vergier,
James Welling
Visites, ateliers pour enfants, découvrez en famille les expositions présentées
au Musée d'Art Contemporain de Lyon.
La Little visite
En famille avec les 3-5 ans (durée 1h)
Dans l’exposition Little odyssée, une visite réservée aux tout-petits
accompagnés d’un adulte.
Chaque dimanche à 11h15 (sauf le 1er mai)
Dates supplémentaires pendant les vacances de printemps : les 20, 21, 22 et 27,
28, 29 avril
La visite odyssée
En famille avec les 6-11 ans (durée 1h15)
Enfants et adultes ensemble, pour partager un regard complice sur les œuvres.
Chaque dimanche à 15h (sauf le 1er mai)
Dates supplémentaires pendant les vacances de printemps : les 20, 21, 22 et 27,
28, 29 avril à 11h15
L’atelier odysée
Pour les 6-11 ans (durée 2h)
Une visite-atelier destinée aux 6-11 ans pour faire plein d’expériences (durée
2h)
Chaque samedi à 15h30 (sauf les 26 mars, 2 avril, 9 avril et 14 mai)
A la même heure, La visite du samedi
[https://www.mac-lyon.com/fr/programmation/visite-du-samedi] est programmée pour
les adultes.
Séances supplémentaires pendant les vacances les 16, 17, 18, 23, 24 et 25
février et les 20, 21, 22, 27, 28 et 29 avril.
Le little labo
En famille avec les 3-5 ans (durée 1h15)
Dans l’exposition Little odyssée, une visite-atelier réservée aux tout petits
accompagnés d’un adulte.
Chaque dimanche à 15h30 (sauf le 1er mai)
Séances supplémentaires pendant les vacances les 16, 17, 18, 23, 24 et 25
février et les 20, 21, 22, 27, 28 et 29 avril.
Après Jimmy Richer et Hélène Hulak, David Posth-Kohler est le troisième artiste
invité à investir le hall du musée dans le cadre du programme Crossover.
Ce format d'exposition fait dialoguer un artiste de la collection avec
un artiste émergent. Cette fois-ci, les œuvres de David Posth-Kohler font écho
aux vidéos de Bruce Nauman, artiste américain qui, dans les années 1960,
s’interroge sur le corps et les gestes quotidiens, se mettant lui-même en scène
au cours de performances filmées.
En 2019, dans le cadre de la 15e Biennale de Lyon, le CIC – Lyonnaise de Banque
demandait au sculpteur David Posth-Kohler de concevoir une œuvre monumentale
pour son atrium. À l'issue de la Biennale, l'artiste faisait don de cette œuvre,
intitulée Sténos, au macLYON.
Avec son installation, David Posth-Kohler donne vie à des géants assemblés, qui
ont la capacité de se construire et de se déconstruire en une multitude d’alter
ego. Si l’artiste s’intéresse, depuis lors, à la question du corps, son travail
récent s’oriente plus particulièrement vers la gestuelle et le mouvement. Par
des assemblages d’objets hybrides, il met en scène des sculptures de corps
désarticulés dont les postures évoquent des attitudes telles que l’attente et
l’étirement.
Les sculptures de David Posth-Kohler, sortes d’automates à la fois gesticulés et
désarticulés, jouent sur l’ambiguïté de la monstruosité, et explorent non
seulement la symbolique du geste, mais aussi notre rapport à l’espace.
Thameur Mejri brouille les frontières entre l'intime et le public afin de
confronter les valeurs individuelles et collectives, en particulier dans la
société tunisienne contemporaine. À cette fin, il prend le corps humain comme
outil de mesure du possible et des interdits, en faisant un élément central de
sa pratique artistique.
Au travers de dessins, de vastes compositions sur toiles tendues ou flottantes
et de peintures murales, les œuvres de Thameur Mejri remettent en question les
notions d'humanisme et de construction de l'être humain à l'échelle de la
société, en représentant plusieurs paradoxes qui émergent de ces pratiques
politiques et culturelles.
Avec une certaine violence, que ce soit dans la composition de ses toiles ou
dans le vocabulaire pictural qu’il utilise, l’artiste tente de déconstruire les
mécanismes de pouvoir et de contrôle mis en place par les systèmes politique,
économique, culturel et religieux en Tunisie et par extension au Maghreb. Une
iconographie précise et profuse constitue un processus critique de nos rapports
avec les objets et les symboles qui nous entourent au quotidien et qui imposent,
consciemment ou non, certaines formes d’aliénation.
Exposition Jusqu'à ce que s'effondrent mes veines (États d'urgence)
Commissaires : Salma Tuqan (Delfina Foundation), Matthieu Lelièvre
Pour son exposition au macLYON, l'artiste sud-africaine Mary Sibande porte le
format de la sculpture et de l'installation à une échelle inédite dans son
travail.
S’appuyant sur différents personnages et codes de couleurs, elle développe
depuis plusieurs années un art de la sculpture et de l’installation qui témoigne
de la vie des femmes de sa famille et, à travers elles, des conditions de vie
des femmes noires sud-africaines et de leur place dans l'histoire complexe d'un
pays construit sur la ségrégation raciale.
Selon l'artiste, les conditions politiques réunies à la fin de l'apartheid ont
peut-être donné des droits civiques à la majorité noire, mais les décisions
politiques qui ont suivi ont empêché une véritable refonte sociale et économique
du pays ; la minorité blanche conservant son emprise sur l'économie, laissant la
plupart de la population noire dans une situation de précarité. Ce phénomène ne
s'est pas résorbé au fil des ans et la frustration et le sentiment d'injustice a
favorisé une violence que Mary Sibande associe à cette inégalité structurelle.
La violence, ancrée dans la vie de ces populations fragilisées, inspire à
l'artiste une réflexion sur la canalisation de la colère qui se matérialise au
macLYON sous la forme d’une vaste installation sculpturale et sonore sur un
étage entier.
Commissaire : Matthieu Lelièvre
Mary Sibande
Mary Sibande est née en 1982 à Barberton (Afrique du Sud), elle vit et travaille
à Johannesbourg (Afrique du Sud).
Les œuvres de Mary Sibande ont représenté l’Afrique du Sud à la Biennale de
Venise 2011, elle était exposée au macLYON pour la 12e Biennale (2013), à la
Biennale de Lahore en 2020 et a récemment bénéficié d’expositions monographiques
à la Somerset House à Londres en 2019, au Frist Art Museum, Nashville,
Tennessee, Etats-Unis, à la Kavi Gupta Gallery, Chicago, Illinois, Etats-Unis et
à l’University of Michigan Museum of Art, Ann Arbor, Michigan, Etats-Unis.
Le Musée d’Art Contemporain présente pour la première fois une exposition
d’œuvres de sa collection pensée tout particulièrement pour les enfants. Pour
cette exposition, le macLYON travaille avec un groupe d’étudiants et
d’étudiantes du master Patrimoine et Musées parcours Médiations Culturelles et
Numérique de l’Université Lyon 3.
Accompagnés par un comité scientifique, les étudiants et étudiantes, se sont
immergé dans la découverte de la riche collection du macLYON. L’objectif :
mettre en lumière la singularité de la collection en répondant aux besoins du
jeune public dans toute sa pluralité. Tout est pris en compte, le cheminement
d’un enfant dans les salles, son attention, ses acquisitions sensorielles, son
bien-être. L'équipe s'est attachée à optimiser la rencontre avec l’œuvre.
L’exposition Little odyssée est conçue comme un parcours sensoriel en trois
parties, inspirées par les cycles de développement d’un enfant. Elle est une ode
à la découverte et à l’expérimentation. Illustrant les différents degrés de
rencontre du petit visiteur avec le monde, elle questionne l’interaction de son
corps avec les environnements successifs. Les plus jeunes pourront rencontrer
l’art dans toutes ses dimensions.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre des nombreux projets de développement
culturel du macLYON conçus avec des établissements scolaires ou d’enseignement
supérieur. L’exposition est présentée au 2e étage du macLYON et fait partie
intégrante de la programmation du 1er semestre 2022 : elle est présentée au
public au même titre que les quatre autres expositions simultanées.
Accroche détaillée
Ouvertes à d’autres sensibilités artistiques, ces rencontres indisciplinées vous
proposent de porter un regard nouveau sur les œuvres.
Avec Kylie Walters, directrice des études chorégraphiques du CNSMD de
Lyon, visite indisciplinée de l’exposition de Jasmina Cibic.
Depuis 25 ans, Kylie Walters sillonne les scènes internationales en tant que
danseuse-interprète au sein de compagnies de danse ou de théâtre comme Ultima
Vez, Forced Entertainment, DV8 Physical Theatre, Alias Compagnie. Elle dirige sa
propre compagnie de danse pendant 10 ans en Suisse où elle chorégraphie une
dizaine de pièces et réalise des commandes pour des festivals, compagnies de
danse ou de théâtre en France et à l’international.
Depuis 2019, elle accompagne Elodie Perrin en production pour les artistes
Eszter Salamon, Katerina Andreou, Nina Santes ou Ola Maciejewska.
En tant que pédagogue, elle dispense des masterclass et workshops
chorégraphiques au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de
Paris, Centre national de la danse Lyon, Salzburg Experimental Academy of Dance,
Victorian College of the Arts, K-Arts Seoul.
Kylie Walters est directrice des études chorégraphiques au Conservatoire
National Supérieur de Musique et Danse de Lyon.
Kylie Walters détient un Bachelor en Arts (Danse Performance) du Victorian
College of the Arts, University of Melbourne et un Master 2 en Science de la
santé publique de la London School of Hygiene & Tropical Medicine, University of
London. En tant que consultante, elle travaille sur plusieurs missions de
communication stratégique avec l’Organisation mondiale de la santé ou La
Croix-Rouge Programmes Internationaux (Asie-Pacifique).
Accroche détaillée Ouvertes à d’autres sensibilités artistiques, ces rencontres
indisciplinées vous proposent de porter un regard nouveau sur les œuvres. Avec
Kylie Walters, directrice des études chorégraphiques du CNSMD de Lyon, visite
indisciplinée de l’exposition de Jasmina Cibic.
Depuis 25 ans, Kylie Walters sillonne les scènes internationales en tant que
danseuse-interprète au sein de compagnies de danse ou de théâtre comme Ultima
Vez, Forced Entertainment, DV8 Physical Theatre, Alias Compagnie. Elle dirige sa
propre compagnie de danse pendant 10 ans en Suisse où elle chorégraphie une
dizaine de pièces et réalise des commandes pour des festivals, compagnies de
danse ou de théâtre en France et à l’international.
Depuis 2019, elle accompagne Elodie Perrin en production pour les artistes
Eszter Salamon, Katerina Andreou, Nina Santes ou Ola Maciejewska. En tant que
pédagogue, elle dispense des masterclass et workshops chorégraphiques au
Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, Centre
national de la danse Lyon, Salzburg Experimental Academy of Dance, Victorian
College of the Arts, K-Arts Seoul.
Kylie Walters est directrice des études chorégraphiques au Conservatoire
National Supérieur de Musique et Danse de Lyon.
Kylie Walters détient un Bachelor en Arts (Danse Performance) du Victorian
College of the Arts, University of Melbourne et un Master 2 en Science de la
santé publique de la London School of Hygiene & Tropical Medicine, University of
London. En tant que consultante, elle travaille sur plusieurs missions de
communication stratégique avec l’Organisation mondiale de la santé ou La
Croix-Rouge Programmes Internationaux (Asie-Pacifique).