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L’art de Nina Minnebo est une célébration abstraite de la vie, de la couleur et du bonheur. Sans crainte de la couleur et dans son style audacieux et reconnaissable, Nina est déterminée à faire ressentir à son public et à ses collectionneurs un sentiment de bien-être et de joie lorsqu’ils contemplent son travail. Son art n’est pas seulement une expérience visuelle, mais aussi émotionnelle. Ses tableaux sont comme une pilule de bonheur accrochée au mur, évoquant l’odeur des cerisiers en fleurs et d’une rosée du matin fraîche comme un smoothie à l’herbe. La pratique artistique de Nina Minnebo est définie par sa fascination pour la couleur et la texture. Elle éprouve un désir irrésistible de créer des couleurs qui n’existent pas, une couleur qui se situe quelque part entre les autres. Les coups de pinceau audacieux et les contrastes encore plus marqués entre les couleurs, les textures, les transparences et les matériaux sont la manière dont elle tente de donner vie aux images dans son esprit, avec une attention méticuleuse aussi bien dans la réalisation sur toile que dans l’encadrement de l’œuvre. Vernissage mercredi 13 septembre à partir de 18h. Publié par : Ville de Marseille
Il y a près d’un an et demi, l’intelligence artificielle a fait son apparition progressive dans notre monde, amorçant ainsi une nouvelle révolution numérique. Nous nous demandons alors si nous avons ouvert définitivement la boîte de Pandore ou si nous sommes témoins d’une transformation en cours. Cette nouvelle réalité suscite en nous un mélange de fascination et de crainte. Nous sommes fascinés par la puissance et la croissance exponentielle des algorithmes, mais en même temps, nous ressentons une appréhension face à une possible supériorité de la machine. L’exposition ‘Crash’ explore quant à elle un sentiment différent : celui d’être écrasé. L’intelligence artificielle compile et absorbe l’essence même de l’humanité, compressant nos cultures, nos connaissances et nos techniques à une vitesse fulgurante. Cette exposition aurait tout aussi bien pu être intitulée ‘Burn-out’, ‘AVC’ ou plutôt ‘Blast’, évoquant cet effet de souffle qui nous laisse sonnés après une explosion. C’est un moment où le choc nous déséquilibre et nous laisse vacillants. Un choc de trop ! Trop rapide, trop d’images, trop de plein, trop de vide. Cette profusion vertigineuse est un gouffre, un trou noir qui absorbe notre capacité à appréhender les limites infinies du système. L’exposition, réalisée à l’aide de générateurs d’images, présente des installations artistiques imaginaires, telles que des carcasses d’avions placées au milieu de palaces ou d’églises baroques, ainsi que d’immenses ‘room boxes’ qui invitent à découvrir des espaces bien plus vastes que leur contenant. La série ‘In My Reflexive Secret Garden’ expose dans une salle de musée la statue d’un artiste-soldat d’élite qui se camoufle avec ses propres œuvres pour mieux les défendre. Il contraste avec la sérénité d’un personnage féminin assis dans un jardin entouré de miroirs. Cette représentation symbolique interroge la protection de notre créativité ou, au contraire, personnifie l’IA comme une nouvelle muse se reflétant à l’infini dans son palais des glaces. Enfin, le projet ‘The End of Modern-day Gomorrah’ fait référence à la soirée de clôture du Club 54 le 4 février 1980. Il nous plonge dans un univers artistique et psychédélique où freaks et top models envahissent l’espace dans une atmosphère décadente. L’ensemble de ces thèmes est accompagné d’ouvrages qui amplifient encore notre perception (toujours dans l’excès !) pour frôler l’indigestion plutôt que l’overdose. Si par le passé, la création assistée par l’intelligence artificielle était qualifiée de froide, en réalité, elle nous touche directement en plein cœur de nos viscères. Vernissage jeudi 22 juin à 18h. Publié par : Ville de Marseille
Dans son travail, Jan tente de saisir les qualités géographiques et physiques des éléments. Les lignes de houle frappant les bancs de sable, le vent essayant de s’accrocher à la surface de l’eau. Les énergies naturelles, les mouvements et les couleurs de ses propres expériences personnelles des paysages sont transformés en une image ou un objet visuel. Les tonalités qu’il expérimente sont des illusions insaisissables qui surgissent à travers le jeu de la lumière et la réflexion de ses surfaces. Pour saisir l’insaisissable dans quelque chose de tangible comme le pigment ou la peinture, Jan effectue des recherches approfondies sur les différentes qualités des pigments et des matériaux. Il utilise actuellement des gels comme base associant différents pigments, tantôt transparents, tantôt opaque, influençant finalement les couches sous-jacentes et superficielles. Nous avons le plaisir de vous inviter au vernissage de la première exposition en France de ce jeune prodige hollandais jeudi 19 janvier 18h à 22h. Comment mieux débuter cette nouvelle année ! Publié par : Ville de Marseille