Nöel des Mômes

Description

Des contes chaleureux, dans un endroit cosy, ho,ho,ho !

16h et 17h

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Événements suggérés

Corps, matière et mouvement s’entrecroisent dans l’art de Kyung-A Ryu, dont la recherche en cours, autour de la figure de l’oiseau, englobe les éléments, la position et le rôle de l’humain dans son environnement. La pièce à venir, pour un danseur-oiseau et deux musiciens, sera accessible dès 5 ans. Formée à la danse traditionnelle et contemporaine à Séoul, Kyung-A Ryu, Bruxelloise depuis 2002, a étudié les arts plastiques à la Cambre, tout en s’intéressant à la philosophie et au montage sonore. Son langage principal – le mouvement – entre en résonance avec la relation de l’individu à son environnement. Avec aussi la dualité de son identité, entre Europe et Corée, où la connexion à la nature s’opère avec humilité. En imaginant une danse dans un costume d’oiseau, la chorégraphe questionne cette figure, tant symbolique que réelle, dans diverses cultures, de l’Amérique du Nord à l’Extrême Orient. "Comment recréer du sacré et de l’écoute dans un espace où les corps, les images et les langages sont en perpétuel mouvement? Comment le folklore et la création contemporaine peuvent-ils fusionner? le réel et le fictionnel s’entrelacer?" Modulable, L'Oiseau que je vois pourra circuler de la boîte noire des théâtres aux écoles ou aux places publiques.
En deux pièces, førm Inførms et Emaphakathini, les chorégraphes Marco da Silva Ferreira et Amala Dianor font vibrer leurs écritures pour les danseur·euse·s de Via Katlehong. La compagnie sud-africaine incarne l’ardeur du pantsula, danse urbaine aux jeux de jambe véloces. C’est un diptyque où se décline au fil de deux chorégraphies l’impétuosité de Via Katlehong. Cette compagnie sud-africaine fait sonner depuis 1992 l’héritage du panstula, une danse née dans les années 1960 dans les township de Johannesburg, caractérisée par la virtuosité de ses pas rapides. En ouverture du programme Via Injabulo, le chorégraphe portugais Marco da Silva Ferreira, imprégné de ses recherches sur les danses urbaines africaines-américaines, plonge le groupe dans une ambiance clubbing au rythme intense avec førm Inførms. Puis, avec Emaphakathi, le Français Amala Dianor fait exploser la liesse d’être ensemble qui habite cette danse sociale, à la fois sonore par ses frappes de pied, vocale par ses cris qui scandent la danse. Un ensemble entraînant, où l’hybridité des danses d’Afrique du Sud, à la frontière entre danses traditionnelles et urbaines contemporaines, résonne.
YES, WE DANCE propose des soirées safes où chacun.e peut venir danser de façon libre et décomplexée. Si toi aussi tu aimes bouger ton corps et partager ton énergie avec celle des autres sur la piste de danse, rejoins-nous !  Pas besoin de savoir suivre le rythme ou de connaitre de chorégraphie quelconque. Nous offrons des espaces safe où chacun.e est invité.e à explorer sa danse et ses mouvements de façon totalement libre et décomplexée, le tout sans consommation d’alcool ou de drogues.  Certaines de nos soirées se font en mixité, d’autres sont réservées aux personnes s’identifiant en tant que femme.
Un conte magique de et avec Yann Lejeune À partir de 4 ans Mon fils... tu seras clown ! Mais Pepito "veut pas être clown ! " Accompagné de la compréhension bienveillante de son papa et de l'amour inconditionnel de sa maman, Pepito va débuter la grande aventure du : "Qui suis-je ?" Pour trouver le chemin qui sera le sien ! Rés. : https://www.billetweb.fr/pepito-veut-pas-etre-clown
********** Français ********** Carcaça nous emporte dans un tourbillon de virtuosité chorégraphique. Dans cette pièce de groupe à l’énergie intense, dix interprètes puisent dans un vaste répertoire, bondissant entre danses de club et excursions vers des pas traditionnels. Au rythme de ces variations de styles, le mouvement se décline au pluriel et l’on observe de fortes singularités faire communauté. Le chorégraphe portugais interroge ici ce qui fait tradition dans le mouvement comme dans l’histoire politique : comment travailler avec des héritages multiples, comment en est-on infusé·e·s au présent ? Tout en engagement physique, Carcaça prend l’allure d’une course, qui s’incarne dans des gestes empruntés tant à la sphère voguing, qu’au kuduro angolais, au pantsula sud-africain ou à la danse classique, le tout accompagné d’une création sonore modulée live. Le défilé frénétique auquel Marco da Silva Ferreira nous convie s’appuie sur la mémoire corporelle de chaque interprète, pour former à partir de cette multitude d’influences dansées un maillage complexe aux couleurs fluo. Dans ce concentré d’histoires traversées à vive allure, les corps sont expressifs, vibrants. Carcaça interroge ce qui irrigue un collectif et ce qui fait tissage, mélange, à la lumière d’une composition habile. ********** Nederlands ********** Voor de Portugees Marco da Silva Ferreira, voormalig topsporter, is dans een instrument. De CARCASS-gemeenschap, met haar verschillende genres, fysionomieën en leeftijden, bouwt een collectieve identiteit op zonder dat de individuele identiteit daarom verdwijnt. Herinnering en heden, verzet en feest, folklore en creatie komen met elkaar in botsing om het lichaam van vandaag, bij uitstek stedelijk, halsstarrig verbonden met de elementen, in vraag te stellen en te vieren. ********** English ********** For Marco da Silva Ferreira from Portugal, who before being a dancer competed in sport at a high level, dance is a tool. Consisting of different genders, faces and ages, the community in CARCASS forms a collective identity without diluting anything about the ten individuals in it. Memory and the present, rebellion and celebration, folklore and creation collide, questioning and celebrating the contemporary body that is resolutely urban, but has a stubborn connection with the elements.
Ozzy
29apr.
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30apr.
GUILLERMO GUIZ REVIENT AVEC UN NOUVEAU SPECTACLE: OZZY. IL S’ARRÊTE CHEZ NOUS PENDANT SA TOURNÉE DE RODAGE POUR VOUS PROPOSER DEUX DATES EXCLUSIVES! Guillermo Guiz, après des années d’excès, vit désormais une vie rangée. «Heureuse», oserait-il même, avec sa compagne et son chien. Si le bonheur est plutôt une denrée recherchée dans la vie d’un humain, pour le stand-uppeur qu’il est, c’est moins évident: privé des histoires croustillantes qui ont alimenté son début de carrière, parviendra-t’il à rester drôle, les pieds dans ses charentaises ? Suite ou prequel (c’est difficile à dire) de son actuel one-man-show «La formidable ascension sociale temporaire de G. Verstraeten», «Ozzy» aura une vie très limitée : raison de plus pour en profiter tant qu’il est encore temps. 20h30
La salicorne est une plante charnue, sorte de corne salée, qui pousse sur des terrains maritimes, balayés par les vents et les marées. Quand on la cueille, elle agrémente et relève de nombreux plats. Bref, la salicorne est robuste et épicée, et elle pousse sur des terres hostiles. Telles la plante maritime, Laura, Sophie et Christelle se jettent dans l’inconnu pour créer, le temps d’une soirée, un spectacle unique et éphémère pour le public présent ce jour-là. C’est de lui d’ailleurs que partiront les trois artistes pour écrire, jouer et mettre en scène, dans l’instant et de manière totalement improvisée, l’histoire racontée. Dans le cadre du Festival d’impro qui a lieu du 22 au 28/04.
Après 15 ans de carrière et cinq albums, Saule revient avec une version complètement revisitée de tous ses titres dans une tournée unique : Violoncelle , violon, guitare acoustiques , banjo et mandolines … une version intimiste et totalement inédite ou Saule se balade dans toute sa discographie comme vous ne l’avez jamais vu Ne ratez pas ca !
SPECTACLE D’IMPROVISATION ENDIABLÉ ! Quatre improvisateurs et improvisatrices démoniaques sont mis à la disposition d’un réalisateur diabolique. Installé.e.s dans votre fauteuil, vous assistez à un tournage de film : films d’horreur, drames, comédies, films muets, dessins animés,… vous inventez le titre de chaque histoire et les artistes font le reste ! En savoir plus sur le concept : www.studioimpro.be Dans le cadre du Festival d’impro qui a lieu du 22 au 28/04.