Rosas Creation

Description


*** English ***

In this new creation, Anne Teresa De Keersmaeker’s exploration of the relationship between music and dance shifts back towards the genre of pop. Pop music invites us to dance. With its characteristic regular beat, basic form and catchy lyrics, it can test the edge of simplicity, but it gets us moving.Pop music manages to create connection through its reliability. This is not just because of its driving dance force, bringing us together in movement, but because, through the use of storytelling, it touches upon certain emotional experiences that bind us as human beings. The narratives of pop often revolve around relationships, love, celebration, mourning, conflict, creating space for personal recognition. Here, the potential of theatre arises, leading to the questions: how do you embody thoughts? How do you relate to the lyrics? How to abstract something so outspoken?In recent years, De Keersmaeker has defined dance as a place of resistance. When dancing—one of the most human and communal activities—faces adversity, perhaps it becomes even more crucial. Fun and celebration, in all its simplicity, can be seen as not only healing but radical. In partnership with the music of our times, this creation not only encourages the urge to dance, but highlights the necessity of stories to relate to, or reject, to recognise and identify with.This production is part of Troika Dance


*** Français ***

Avec cette nouvelle création, c’est par le biais de la musique pop qu’Anne Teresa De Keersmaeker explore la relation entre musique et danse. Avec sa forme simple, ses rythmes carrés, ses paroles qui font mouche, la pop est pour nombre de personnes le rapport le plus quotidien et le plus direct à la musique. Et par là même, elle nous invite à danser.Parce qu’elle inspire confiance, la pop nous fait bouger et crée des liens. Il ne s’agit pas seulement de pulsation et de mise en mouvement, il y va aussi d’une certaine puissance narrative : la pop convoque sans fausse pudeur les expériences émotionnelles qui nous lient en tant qu’humains. Les récits qu’elle charrie tournent autour des relations humaines, de l’amour et de l’amour-propre, du deuil et de la révolte – ouvrant un espace où chacun est invité à se reconnaître. C’est son gigantesque potentiel théâtral. Ce sera aussi le grand défi chorégraphique : comment incarner un tel monde mental ? Comment négocier avec une poésie aussi explicite et en extraire du mouvement ?Lors de ces dernières années, Anne Teresa De Keersmaeker a défini la danse comme un lieu de résistance. Cette discipline, parmi les plus essentiellement humaines et collectives qu’on puisse exercer, se fait d’autant plus indispensable que nous nous heurtons à plus d’adversité. La fête et le plaisir partagé, dans leur simplicité, peuvent devenir outils de guérison et de radicalité. C’est ce que tentera cette création : encourager à danser, certes, mais plus encore, nous rappeler la nécessité d’inventer de nouveaux récits collectifs, des récits à aimer ou à maudire, auxquels nous identifier et nous reconnaître, contemporains à nous-mêmes.Cette production fait partie de Troika Dance


*** Nederlands ***

Met deze nieuwe creatie verschuift Anne Teresa De Keersmaeker haar verkenning van de relatie tussen muziek en dans terug naar de popmuziek. Met haar eenvoudige vorm, sterke melodieën en catchy lyrics is pop voor veel mensen de meest dagelijkse en directe relatie tot muziek.Pop brengt ons in beweging en creëert verbinding. Zowel door het genot van het dansbare en het zingbare, maar ook door storytelling: de alledaagse en tegelijkertijd bijna universele menselijke ervaringen die erin worden verwoord. Hier ontstaat het potentieel van theater, en ontstaan choreografische vragen als: hoe belichaam je gedachten? Hoe verhoud je je tot songteksten? Hoe abstraheer je iets dat zo uitgesproken is?De laatste jaren vat De Keersmaeker dans op als een plek van verzet. Wanneer dans geconfronteerd wordt met conflict en met beperkingen wordt dansen misschien nog essentiëler. Plezier en feestvieren kunnen niet alleen als helend worden gezien, maar ook als radicaal. Deze creatie zet niet alleen aan tot dans, maar benadrukt ook de noodzaak van verhalen en muziek waartoe we ons kunnen verhouden, waarin we ons kunnen herkennen.Deze voorstelling maakt deel uit van Troika Dance

Information sur la date

2023-05-31: 19:30:00

2023-06-01: 20:00:00

2023-06-02: 20:00:00

2023-06-03: 20:00:00

2023-06-07: 19:30:00

2023-06-08: 20:00:00

2023-06-09: 20:00:00

2023-06-10: 20:00:00

Organisateur

Vous organisez cet événement ?

Contactez-nous si vous souhaitez mettre à jour les informations et autres.

Nous contacter

1 Photo

Événements suggérés

Créateur·rices, danseur·ses et enseignant·es basé·es à Bruxelles, l’Italienne Eliana Stragapede et le Croate Borna Babić tentent de comprendre ce qui lie les relations humaines. Leur travail est influencé par le livre Le jeu de l’indulgence du psychanalyste japonais Takeo Doi qui a théorisé le concept « amae », un comportement typiquement japonais qui lie dépendance et attachement entre deux individus. Ce terme s’applique par exemple au nourrisson qui est totalement dépendant de sa mère et désire être aimé d’elle. Par extension, dans la société japonaise, cette attitude se prolonge et se répand tout au long de la vie adulte. L’amae rassemble donc un comportement chaleureux et humain, mais aussi un sentiment de codépendance et de contrôle qu’Eliana et Borna testent, éprouvent et tentent de décrypter à travers la danse. De performance "Amae" bevraagt en verkent de grenzen tussen zorg en obsessie, tussen liefde en lijden, tussen steun en controle. Waar ligt de grens tussen deze uitersten? Tot waar kan men gaan alvorens men het omgekeerde effect bekomt? Bestaat er een mogelijkheid tot compromis en begrip of is het een eindeloze lus? The performance "Amae" questions and explores the boundaries between care and obsession, love and suffering, support and control. Where is the line between these extremes? How far can you go before it has the opposite effect? Is there a possibility of compromise and understanding, or is it an endless loop?
Moving Meditations est une création multidisciplinaire autour de la guérison, un processus alchimique autonome et collectif généré par le biais d’expériences. À travers des disciplines telles que la danse contemporaine, le stepping et le chant, la chorégraphe Briana Ashley Stuart explore l’importance du mouvement et du son comme éléments essentiels de l’expression humaine. Qu’il s’agisse de frapper des mains dans un élan d’enthousiasme ou crier lorsque l’on souffre : le son et le mouvement ont toujours joué un rôle important dans notre façon d’établir des liens, de nous exprimer et de nous comprendre. Au fil du temps, ces formes d’expression individuelles ont évolué vers des codes, ce qui a engendré des formes et des rituels collectifs au sein de groupes, qui sont à leur tour devenus des expériences introspectives personnelles qui mettent les choses en perspective. Moving Meditations nous rappelle l’infinité de choses qui nous relient et la valeur de notre voix et de notre corps pour les canaliser, les ressentir et les libérer. Direction artistique, chorégraphie & interprétation: Briana Ashley Stuart · Danse, interprétation et co-chorégraphie: Marie-Laure Lesage Manon Kanjinga Janssen · Création lumière: Michael Jansenns · Création sonore: Mathieu Le Boudec · Création costumes: Jana Roos · Dramaturgie: Aurelie Disasi, Dina Dooremans · Regard chorégraphique: Moya Michaels · Accompagnement artistique: Berthe Tanwo Njole Rosslyn Wythes James Hogan · Co-production: Citylab, KVS Soutien et résidences: Citylab Pianofabriek, Detours Festival, Mestizo Arts Platform, De Singel, KVS, Le Flow, Ultima Vez, Batard Festival, De Factorij, KaaiStudios, Destelheide Vormingcentrum. Avec le soutien de: Vlaamse Overheid & Vlaamse Gemeenschapscommissie · Communication et diffusion: Get Down - Dancers Management
Un espace vide. Dix-sept interprètes qui dansent avec virtuosité, mais sans but apparent. Les danseurs et les danseuses se meuvent comme des figurines soumises à des principes et des règles contradictoires, sur les cadences de Amy Winehouse et Nina Simone, sur des extraits du Lac des Cygnes et les créations sonores de Rui Antunes… Dans ce spectacle exubérant, presque carnavalesque, entré au répertoire du Ballet de l’Opéra de Lyon, Marlene Monteiro Freitas met en contraste la force et la beauté avec la maladie et la saleté. La chorégraphe poursuit l’élaboration de son propre langage, inspiré des processions populaires de son enfance au Cap-Vert, pour dérégler les codes de la beauté et de la laideur, et tendre vers une nouvelle esthétique faite de rythme, d’intensité et d’énergie.  Cette production fait partie de Troika Dance In een lege ruimte maken zeventien dansers virtuoze passen, maar zonder duidelijk doel. Als poppetjes die gehoorzamen aan tegenstrijdige regels en principes bewegen ze op songs van Amy Winehouse en Nina Simone, flarden uit Het Zwanenmeer en klankcreaties van Rui Antunes ... In deze uitbundige, haast carnavaleske voorstelling voor het Ballet de l'Opéra de Lyon ontregelt Marlene Monteiro Freitas de codes van het het schone en het lelijke — of wat daar voor doorgaat. De choreografe, P.A.R.T.S.-alumnus en laureate van de Zilveren Leeuw voor Dans op de Biënnale van Venetië, put in de ontwikkeling van haar originele danstaal onder meer inspiratie uit de folkloristische tradities van haar geboorteland Kaapverdië en streeft naar een nieuwe esthetiek van openheid, onzuiverheid en intensiteit. Deze voorstelling maakt deel uit van Troika Dance An empty space. Seventeen performers dancing with brilliant virtuosity but with no apparent purpose. The dancers move like figurines subjected to contradictory principles and rules. They move to the rhythm of Amy Winehouse and Nina Simone, to excerpts from Swan Lake and to Rui Antunes’s sound creations … In this exuberant, almost carnivalesque show, which has entered the repertoire of the Ballet de l’Opéra de Lyon, Marlene Monteiro Freitas contrasts strength and beauty with dirt and disease. Inspired, amongst others, by the popular processions she witnessed during her childhood in Cape Verde, the choreographer continues to develop her own language. She breaks down the codes of beauty and ugliness as she progresses towards a new aesthetic made up of rhythm, intensity and energy.  This production is part of Troika Dance
The biennial festival In Movement combines creations, revivals and composed evening performances. A mix of styles that testify to the passionate commitment of choreographers of all generations within the world of contemporary dance. Beyond the differences in their artistic views and origins, the artists taking part in the festival all have links with Brussels, having lived and, above all, worked there. The performances will be accompanied by meetings and lectures, which will stimulate reflection and open up to the challenges facing contemporary dance and its role within the City. Het tweejaarlijkse festival, In Movement is een combinatie van creaties, hernemingen en samengestelde avondvoorstellingen. Een mix van stijlen die getuigen van het uitermate levendige engagement van choreografen van alle generaties binnen de wereld van de hedendaagse dans. De kunstenaars die aan het festival deelnemen, mogen dan een uiteenlopende artistieke visie en herkomst hebben, wat hen verbindt is het feit dat ze allemaal een link met Brussel hebben waar ze leven en vooral werken. De voorstel- lingen worden omkaderd door ontmoetingen en lezingen die de reflectie stimuleren en opentrekken naar de uitdagingen van hedendaagse dans en haar rol in de Stad. Festival biennal, In Movement combine créations, reprises et soirées composées : des œuvres aux styles variés qui témoignent de l’engagement vivant des chorégraphes, toutes générations confondues, dans l’univers contemporain. Au-delà de leurs différences artistiques et de leurs origines de vie, les artistes invités au festival ont tous des liens avec Bruxelles, pour y vivre et surtout pour y travailler. Des rencontres et des conférences encadreront les spectacles et relanceront la réflexion en l’élargissant et en faisant retour sur les enjeux de la danse contemporaine et sa fonction dans la Cité.
Breng je voeten in beweging op leuke muziek en laat je hart zingen terwijl je samen danst met je peuter. Onze speelse lessen zijn niet alleen een feest voor jullie beiden, maar ze stimuleren ook de vroege ontwikkeling van je kleintje.  Met de kracht van muziek, beweging en het verkennen van instrumenten, leggen we het fundament voor taal, geheugen en leesvaardigheid.  EN - Move, groove, and grow together with your little one. FR - Bougez, dansez et grandissez avec votre petit(e).
Breng je voeten in beweging op leuke muziek en laat je hart zingen terwijl je samen danst met je peuter. Onze speelse lessen zijn niet alleen een feest voor jullie beiden, maar ze stimuleren ook de vroege ontwikkeling van je kleintje.  Met de kracht van muziek, beweging en het verkennen van instrumenten, leggen we het fundament voor taal, geheugen en leesvaardigheid.  EN - Move, groove, and grow together with your little one. FR - Bougez, dansez et grandissez avec votre petit(e).
L'enfant terrible de la house françaiseMézigue aka Mezmerlin l’enchanteur n’a pas vraiment d’histoire à raconter. Il diffuse de l’air qui possède une certaine saveur. Si vous aimez invitez le, sinon ne l’invitez pas. Serrage de main. Pour cette nouvelle année, Mézigue a produit un nouvel album intitulé « Qui Existe », un album « basé sur le simple fait de l’existence mdr » a t il déclaré. Motivé par un certain désir d’itinérance, il lance la production dans son studio D.KO Records originel à Villette 45 (Aubervilliers) mais également au Waveform Studio à Bordeaux et au mythique studio Motorbass à Paris fondé par le regretté Philippe Zdar.Il invite différents producteurs et ingénieurs à participer sur certains titres : Gggg, Paul Cut, Fsq, Sans-Qui et Louis Bes. À travers ses 12 titres enchaînant pistes instrumentales et chantées, l’album« Qui Existe » veut, comme Mézigue, simplement exister et trouver sa place dans la nature face à la pluralité de discours que les humains tiennent dans ce bas monde.
Aili, le duo belgo-japonais à l'origine de l'EP merveilleusement frais "Dansu", mélange harmonieusement Kosmische Musik, Acid House, Electronica, Disco et Leftfield Pop. Leur talent artistique unique se traduit par une fusion harmonieuse de compositions électroniques et de paroles japonaises expressives, ajoutant une dimension rafraîchissante au paysage musical.La chanteuse principale, Aili Maruyama, cherche à insuffler ses racines japonaises dans le projet, en favorisant une connexion entre les cultures occidentales et orientales à travers leurs mélodies. Cette union d'influences crée un collage vibrant qui accueille les auditeurs dans leur monde musical - un espace invitant où la créativité ne connaît pas de limites.L'ascension d'Aili a commencé en 2021 avec leur premier single contagieux "Dansu" qui a régné en maître à la première place de la liste VOX de Radio 1 pendant huit semaines. Leur musique a été saluée par des publications renommées telles que Rolling Stone, et ils sont devenus des habitués des stations de radio telles que KEXP et KCRW aux États-Unis.Leur premier album sortira en février 2023, et ils le présenteront pour la première fois dans notre club !ACHETEZ VOS BILLETS DÈS MAINTENANT ET VENEZ DANSU !
Rebelle et libérée des normes, Sophie Perez et sa compagnie le Zerep  orchestrent une fantaisie aux décors invasifs et à la dramaturgie anarchique. Drôle et teintée de folie, La Meringue du Souterrain prouve que l’expérience du théâtre est loin d’être convenable. Bordel burlesque et bizarre, La Meringue du Souterrain porte sans aucun doute la patte de Sophie Perez. Depuis 1998, avec la compagnie du Zerep, elle met en scène des pièces impertinentes, affranchies des hiérarchies et des normes, qui jouent sur l’absurde, les malentendus et le carnavalesque. Créée pendant le confinement, cette pièce frappe d’abord par sa scénographie débordante : une sculpture d’un visage grimaçant, clin d’œil à la pochette du premier album de King Crimson, dont les narines dégoulinent de morve, des mannequins de spectateur·rice·s dans les gradins ou encore des meringues géantes. La dramaturgie y est toute aussi sauvage, puisqu’au fil des chapitres se succèdent quizz théâtral, danses tribales, ballades au synthé et surgissent des personnages sans lien évident les uns avec les autres, à l’instar de Delphine Seyrig et de Pinocchio. Ce théâtre pirate, idiot et bourré de références se plaît à désobéir, dans une jouissance émancipatrice. La Meringue du Souterrain, een burlesk, bizar zooitje, draagt zonder enige twijfel de stempel van Sophie Perez. Sinds 1998 brengt ze met het gezelschap Le Zerep brutale werken, vrij van hiërarchieën en normen, die spelen met het absurde, misverstanden en het carnavaleske. Dit stuk, gecreëerd tijdens de lockdown, valt op door de uitbundige scenografie: een sculptuur van een vertrokken gezicht, een knipoog naar de hoes van het eerste album van King Crimson, met neusgaten die snot druipen, etalagepoppen als toeschouwers tussen het publiek en reusachtige meringues. De dramaturgie is net zo uitbundig, met een opeenvolging van theatrale quiz, tribale dansen, synthesizerballads en personages zonder duidelijke connectie met elkaar, zoals Delphine Seyrig en Pinokkio. Dit gekke clandestiene theater dat bol staat van verwijzingen gaat er prat op ongehoorzaam te zijn op een heerlijk bevrijdende wijze. There is no doubting that the comical, bizarre mishmash found in La Meringue du Souterrain is the work of Sophie Perez. Since 1998, with her company Le Zerep, she has been staging cheeky pieces without hierarchies or norms that play on absurdity, misunderstandings and the carnivalesque. Created during lockdown, this piece is initially striking because of its exuberant stage design: a sculpture of a grimacing face whose nostrils are dripping with snot, a nod to the cover of King Crimson’s first album, with mannequins of spectators in tiered seats and giant meringues. The drama itself is just as crazy, with chapters featuring a theatre quiz, tribal dances and ballads on the synth, with seemingly unconnected characters such as Delphine Seyrig and Pinocchio suddenly appearing. This pirate theatre, idiotic and packed with references, makes the most of the liberating joy of not doing what you’re told.
MA JOLIE 2ND ANNIVERSARY Come celebrate our 2nd anniversary with us, and for this special occasion, we're hosting a tombola to win a YVES SAINT LAURENT bag valued at €2400. Experience our MA JOLIE event with a delightful Candy Shop Join us and indulge in the perfect celebration at your favorite Girly urban party. Girls power with Urban Vibes by ♡ GUILINI ♡ MK SILVA ♡ BADDILA ♡MC MILLI