Dena, princesse guerrière

Description

Un pied à Bruxelles, un pied en Flandre, le cœur en Iran, et les yeux sous les jupes des filles.

DENA, c’est 100 000 watts d’énergie positive!D’origine iranienne, cette jeune femme navigue entre deux cultures, entre Orient et Occident, avec énormément d’humour, d’autodérision, de tendresse et d’intelligence.

A son palmarès: Le prix du Jury au Festival d'Humour de Remicourt 2019, gagnante belge des Best de l'Humour 2018 (+ la tournée), Poulains du rire 2017, et le prix du public à La Ruche 2016

1 Photo

Événements suggérés

YES, WE DANCE propose des soirées safes où chacun.e peut venir danser de façon libre et décomplexée. Si toi aussi tu aimes bouger ton corps et partager ton énergie avec celle des autres sur la piste de danse, rejoins-nous !  Pas besoin de savoir suivre le rythme ou de connaitre de chorégraphie quelconque. Nous offrons des espaces safe où chacun.e est invité.e à explorer sa danse et ses mouvements de façon totalement libre et décomplexée, le tout sans consommation d’alcool ou de drogues.  Certaines de nos soirées se font en mixité, d’autres sont réservées aux personnes s’identifiant en tant que femme.
En deux pièces, førm Inførms et Emaphakathini, les chorégraphes Marco da Silva Ferreira et Amala Dianor font vibrer leurs écritures pour les danseur·euse·s de Via Katlehong. La compagnie sud-africaine incarne l’ardeur du pantsula, danse urbaine aux jeux de jambe véloces. C’est un diptyque où se décline au fil de deux chorégraphies l’impétuosité de Via Katlehong. Cette compagnie sud-africaine fait sonner depuis 1992 l’héritage du panstula, une danse née dans les années 1960 dans les township de Johannesburg, caractérisée par la virtuosité de ses pas rapides. En ouverture du programme Via Injabulo, le chorégraphe portugais Marco da Silva Ferreira, imprégné de ses recherches sur les danses urbaines africaines-américaines, plonge le groupe dans une ambiance clubbing au rythme intense avec førm Inførms. Puis, avec Emaphakathi, le Français Amala Dianor fait exploser la liesse d’être ensemble qui habite cette danse sociale, à la fois sonore par ses frappes de pied, vocale par ses cris qui scandent la danse. Un ensemble entraînant, où l’hybridité des danses d’Afrique du Sud, à la frontière entre danses traditionnelles et urbaines contemporaines, résonne.
Corps, matière et mouvement s’entrecroisent dans l’art de Kyung-A Ryu, dont la recherche en cours, autour de la figure de l’oiseau, englobe les éléments, la position et le rôle de l’humain dans son environnement. La pièce à venir, pour un danseur-oiseau et deux musiciens, sera accessible dès 5 ans. Formée à la danse traditionnelle et contemporaine à Séoul, Kyung-A Ryu, Bruxelloise depuis 2002, a étudié les arts plastiques à la Cambre, tout en s’intéressant à la philosophie et au montage sonore. Son langage principal – le mouvement – entre en résonance avec la relation de l’individu à son environnement. Avec aussi la dualité de son identité, entre Europe et Corée, où la connexion à la nature s’opère avec humilité. En imaginant une danse dans un costume d’oiseau, la chorégraphe questionne cette figure, tant symbolique que réelle, dans diverses cultures, de l’Amérique du Nord à l’Extrême Orient. "Comment recréer du sacré et de l’écoute dans un espace où les corps, les images et les langages sont en perpétuel mouvement? Comment le folklore et la création contemporaine peuvent-ils fusionner? le réel et le fictionnel s’entrelacer?" Modulable, L'Oiseau que je vois pourra circuler de la boîte noire des théâtres aux écoles ou aux places publiques.
Un conte magique de et avec Yann Lejeune À partir de 4 ans Mon fils... tu seras clown ! Mais Pepito "veut pas être clown ! " Accompagné de la compréhension bienveillante de son papa et de l'amour inconditionnel de sa maman, Pepito va débuter la grande aventure du : "Qui suis-je ?" Pour trouver le chemin qui sera le sien ! Rés. : https://www.billetweb.fr/pepito-veut-pas-etre-clown
********** Français ********** Carcaça nous emporte dans un tourbillon de virtuosité chorégraphique. Dans cette pièce de groupe à l’énergie intense, dix interprètes puisent dans un vaste répertoire, bondissant entre danses de club et excursions vers des pas traditionnels. Au rythme de ces variations de styles, le mouvement se décline au pluriel et l’on observe de fortes singularités faire communauté. Le chorégraphe portugais interroge ici ce qui fait tradition dans le mouvement comme dans l’histoire politique : comment travailler avec des héritages multiples, comment en est-on infusé·e·s au présent ? Tout en engagement physique, Carcaça prend l’allure d’une course, qui s’incarne dans des gestes empruntés tant à la sphère voguing, qu’au kuduro angolais, au pantsula sud-africain ou à la danse classique, le tout accompagné d’une création sonore modulée live. Le défilé frénétique auquel Marco da Silva Ferreira nous convie s’appuie sur la mémoire corporelle de chaque interprète, pour former à partir de cette multitude d’influences dansées un maillage complexe aux couleurs fluo. Dans ce concentré d’histoires traversées à vive allure, les corps sont expressifs, vibrants. Carcaça interroge ce qui irrigue un collectif et ce qui fait tissage, mélange, à la lumière d’une composition habile. ********** Nederlands ********** Voor de Portugees Marco da Silva Ferreira, voormalig topsporter, is dans een instrument. De CARCASS-gemeenschap, met haar verschillende genres, fysionomieën en leeftijden, bouwt een collectieve identiteit op zonder dat de individuele identiteit daarom verdwijnt. Herinnering en heden, verzet en feest, folklore en creatie komen met elkaar in botsing om het lichaam van vandaag, bij uitstek stedelijk, halsstarrig verbonden met de elementen, in vraag te stellen en te vieren. ********** English ********** For Marco da Silva Ferreira from Portugal, who before being a dancer competed in sport at a high level, dance is a tool. Consisting of different genders, faces and ages, the community in CARCASS forms a collective identity without diluting anything about the ten individuals in it. Memory and the present, rebellion and celebration, folklore and creation collide, questioning and celebrating the contemporary body that is resolutely urban, but has a stubborn connection with the elements.
" JUKE BOX " De l'improvisation, en chanson et pleine d'actions ! Saviez-vous que l’on peut aussi improviser des chansons ? Dans le spectacle d’improvisation ‘Jukebox’, les comédien⸱nes et musicien⸱nes relèvent ce défi fou : improviser pour vous des chansons, de la mélodie aux paroles, du rythme à l’harmonie, le tout sans filet. Des chansons pour raconter des histoires, pour parler de vous, de nous, pour prendre une décision ou pour boire un coup, c’est la promesse de cette belle soirée improvisée. Venez faire le plein de rire, de musique et d’émotion avec la Mélodie de l’impro ! Les comédien.ne.s : Chloé Fersing Iseult Brasselle Laurie Andrieu Catherine Groslambert Monika Szum Florence Annart Camille Dejean Miriam Makram Ghatas (comédienne et musicienne) Musiciens : Arsène Michiels Nicolas Loozen Benjamin Palmero ------- INFOS PRATIQUES Lieu : Le TRAC Adresse : 110, rue Albert Meunier- Auderghem Spectacle à 20h Le Trac est un Café-Théâtre et propose des Dîners-Spectacles, pensez donc à venir plus tôt ! (Dernière commande de restauration à 19h30). Par conséquent, veuillez noter que les réservations qui ne comprennent pas de repas ne peuvent pas être garanties. En cas d'annulation, nous vous informerons -évidemment- par e-mail ou SMS. RÉSERVATIONS (vivement conseillées) via le lien du Trac : https://www.letrac.be/reservations TARIFS de la saison 2023-2024 - Sur réservation : 13€/étudiant & 15€/adulte - Sur place : 17€/personne 👉 Pensez à réserver 👈 👉 Pensez à réserver 👈 ------ DATES DE LA SAISON 2023-2024, AU TRAC : 2023 - Vendredi 08 septembre - Mardi 31 octobre - Mardi 05 décembre 2024 - Mercredi 31 janvier - Mardi 12 mars - Mardi 28 mai - Mercredi 10 juillet ------ PLAN DE TABLE Noter que nous établissons un pan de table pour chacun de nos spectacles. Voici comment nous vous installons en salle Ceux qui mangent sont à table Nous vous réservons une table, en salle 😉 Ceux qui ne mangent pas n’auront pas forcément de table Ceux qui viennent seuls feront des rencontres pendant la soirée Et tout ceux qui ne réservent pas comptent bien trop sur la chance 😅 🌺 Pensez donc à réserver "attentivement" 🌺
Anuvab Pal Anuvab Pal brings his comedic observations to Brussels about an Indian man's quest to understand Europe. It's ridiculous, it is baffling, it is definitely silly…He will explain in detail why Indians should embrace the western world, having done it himself. The New York Times calls Anuvab Pal 'India's Most Intelligent Comedian’. The BBC call him India’s answer to British Wit. As seen and on Amazon Prime, QI and the Big Asian Stand-up (BBC). 'Very clever, very funny’ The Guardian 'One of India's top comedians' ★★★★★EdFestMag + guest __________________________________________________________________________ Doors open at 6pm Show starts at 7pm table reservations: theblacksheep.brussels@gmail.com
« J’aime faire rire. Pour moi, c’est une politesse. » dit Léonard Berthet-Rivière. Quiconque a vu ou verra le spectacle qui plonge dans les arcanes d’une histoire abracadabradantesque, trouvera ce jeune homme et sa complice Muriel Legrand de fait immensément polis. Qu’on en juge un peu : soit un vaudeville à table (ou presque), quatre actes, treize personnages, un acteur et une actrice ; soit une vendetta ourdie par Gérard contre son concurrent Raymond, le jour où celui-ci vient enlever sa maîtresse, Inès, femme de Gérard, alors que Frédéric, le fils de Raymond vient demander la main de Sophie, la fille de Gérard, enceinte jusqu’au yeux… Tous les ingrédients d’un vaudeville roboratif et d’une folle journée réunis sous la plume magistrale de Roger Dupré dans laquelle s’engouffrent l’actrice et l’acteur surfant sur l’absurdité d’une partition frénétique où la fantaisie mène le bal, et dans lequel on passe de la lecture savoureuse à deux têtes à une danse endiablée à mille bras. Symbolique et poétique, loufoque mais jamais dingue, Le mystère du gant pousse la tradition vaudevillesque à son paroxysme, touche l’absurde et ne se refuse aucune astuce pour nous redonner goût aux histoires. Un pied de nez salutaire à la sériosité et à la morosité qui fait beaucoup de bien.