La Mystérieuse Affaire du Louvre - Visite-enquête

Description

RDV 15mn avant la visite Durée : 1h45Billet famille : 2 adultes + 2 enfants de -14 ansGratuit pour les moins de 8 ansLieu de rendez-vous : Porte des Lions - 75001 Paris Métro : Station Palais-Royal – Musée du Louvre (Ligne 7 et 1 ), Station Pyramide (Ligne 14), Station Rue du Bac (Ligne 12)VISITES-SPECTACLES vous propose:La Mystérieuse Affaire du LouvrePanique au Louvre ce matin : un gardien de nuit du musée a été assassiné et la pièce maîtresse de l'exposition en cours, le buste de Néfertiti, a disparu ! Accompagnés de son collègue et ami déterminé à découvrir le fin mot de l'histoire, vous devrez démêler le vrai du faux au cours d'une enquête palpitante. Sept suspects sont mis en cause, aux alibis tous plus douteux les uns que les autres, et différents témoins viendront interagir avec vous pour vous aider à avancer dans votre investigation. Amour, argent, gloire, quel est le mobile de l'assassin, et saurez-vous l'appréhender à temps ? Vous devrez utiliser votre sens de l'observation et de la déduction, et travailler en équipe à travers le quartier du Louvre si vous souhaitez vous en sortir couverts de gloire. Chaque équipe constituée de 3 à 5 personnes recevra un carnet d'enquête qui lui permettra de résoudre deux types d'énigmes : •des énigmes pour élucider la mystérieuse affaire du Louvre•des énigmes en lien avec le patrimoine historique et culturel. La plupart des solutions sont révélées par des monuments, des noms de rues ou de places, mais surtout par des personnages postés tout au long de l'enquête qui interagissent avec vous. Vous rencontrerez 4 personnages différents incarnés par un comédien professionnel, immersion garantie !

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  • Standard - 19 €

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Événements suggérés

Montez dans la DeLorean, la Monnaie de Paris nous fait remonter le temps jusqu'aux années 1970 ! L'institution nous propose une soirée festive et ludique autour de l'exposition Insert Coin le 24 avril 2024. C'était l'époque des pattes d'eph', des robes fleuries, de Queen, Abba, Michael Jackson, Serge Lama, des Bee Gees et de David Bowie, c'était l'époque des boules disco, de Pong et d'Atari... C'étaient les années 1970 ! Une période que les moins de 20 ans n'ont pas connue, mais qu'ils peuvent découvrir à la Monnaie de Paris. L'institution organise une soirée exceptionnelle, festive et ludique, le mercredi 24 avril 2024. En marge de son exposition Insert Coin, qui s'intéresse aux machines de jeux et salles d'arcade, le musée propose une nocturne à thème, ouverte à tous. Dans un décor immersif, qui nous plonge dans un café des années 1970, la Monnaie de Paris nous invite à jouer et à explorer cette décennie si spéciale, qui a révolutionné le monde du jeu. Aux côtés des commissaires d'exposition et des étudiants de la XP School, découvrez toutes les particularités culturelles de ces années "flower power". Et bien sûr, vous pouvez défier vos amis ou vos proches sur les différents flippers, jeux d'arcade ou jeux de café mis à disposition dans l'exposition. Le disco et le mouvement hippie, ce n'est pas votre tasse de Tang ? Vous préférez l'ambiance électro ou punk-rock des années 80 ? Bonne nouvelle : la Monnaie de Paris organise une seconde nocturne ludique autour du thème - vous l'aurez deviné - des années 1980 ! Sortez vos meilleures vestes à imprimés géométriques, et rendez-vous à la Monnaie de Paris pour cette soirée qui s'annonce inoubliable !
La Gaité Lyrique vous invite à découvrir sa nouvelle exposition, Coalition, du 24 avril au 2 juin 2024. Au total, les oeuvres de cinquante artistes vous attendent pour une immersion dans les liens entre création artistique et engagement environnemental. Quand l'art et l'écologie se rencontrent... La Gaîté Lyrique vous invite à découvrir sa dernière exposition, intitulée Coalition, du 24 avril au 2 juin 2024. Célébrant le quinzième anniversaire de COAL, l'association de référence pour l'art et l'écologie, l'exposition promet d'aiguiser nos sens et notre conscience écologique. En rassemblant près de cinquante artistes issus de divers horizons, cette grande exposition pluridisciplinaire vise à mettre en lumière la richesse et la variété des démarches artistiques engagées pour l'environnement. Dans le cadre de la Gaîté Lyrique, connue pour son engagement en faveur d'une culture régénérative et collaborative, l'exposition incarne une vision partagée par ses partenaires fondateurs tels qu'Arty Farty, ARTE, makesense, Singa, et Actes Sud. Ce projet ambitieux s'ancre profondément dans l'idéal d'un lieu culturel devant assumer non seulement une responsabilité artistique, mais également sociale et économique. L'objectif ? Aller au-delà de la simple réduction des impacts environnementaux pour véritablement générer un impact positif, faisant de la Gaîté Lyrique un modèle de lieu culturel régénératif où le travail en écosystème occupe une place centrale. Coalition, sous le commissariat avisé de Lauranne Germond et Sara Dufour, se distingue par son ampleur et sa diversité. Des artistes de renom aux talents émergents, tels qu'Angelika Markul, Shaun Gladwell, Hypercomf, et bien d'autres, s'unissent pour retracer une communauté d'imaginaires. Ces imaginaires se sont constitués au fil des quinze éditions du Prix COAL, une initiative majeure de l'association visant à promouvoir, accompagner, et diffuser les artistes qui, partout dans le monde, témoignent, imaginent, et expérimentent autour de la révolution écologique. Coalition ne se contente pas de présenter des œuvres ; elle invite à une prise de conscience des liens qui nous unissent à notre environnement, à travers une programmation enrichie et accessible gratuitement au public. Faire l'expérience de Coalition à la Gaîté Lyrique, c'est donc participer à un moment unique où l'art et l'écologie se rencontrent pour inspirer, éduquer et inciter à l'action. LE rendez-vous incontournable pour tous les passionnés d'art, d'innovation et d'engagement écologique ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Le musée de l'Armée nous parle de l'art de l'escrime à travers l'exposition "Duels, l'art du combat", à découvrir du 24 avril au 18 août 2024. Quel point commun entre David et Goliath, le jeu Mortal Kombat, Cyrano de Bergerac et le vicomte de Valvert, Batman contre Superman, Federer et Nadal... ? Ces duels célèbres ont marqué les esprits, les cultures. Histoire, sport, politique, littérature, jeux vidéo, conflits personnels : depuis des millénaires, les hommes luttent et s'affrontent pour prouver leur valeur, sauver leur honneur, rabaisser leur ennemi. Le musée de l'Armée s'intéresse à ces duels dans une exposition inédite et multidisciplinaire. Du 24 avril au 18 août 2024, venez admirer Duels. L'art du combat, et apprenez-en plus sur cette pratique si répandue et très codée. Des samouraïs aux chevaliers français en passant par l'Egypte antique ou la pop culture américaine, le duel est une pratique très ancrée dans les sociétés, à la fois romancée, régulée, bannie... Les duels répondent à de nombreuses règles : selon l'époque, le pays, la raison, ces combats singuliers seront applaudis ou proscrits. L'exposition du musée de l'Armée nous offre donc un tour d'horizon sur ces différentes coutumes, en commençant par une explication historique du duel, de son but originel à son image fantasmée au XXIe siècle. Jeux olympiques obligent, impossible de ne pas parler des duels sportifs : escrime, judo ou karaté, course, tennis, tir... Les disciplines sont nombreuses. Ce chapitre de l'exposition présente les divers moyens de s'affronter, en mettant en lumière différentes armes, comme les épées, les sabres, les pistolets, les dagues, les raquettes de sport, les navajas... Et pour que cette expérience soit encore plus pédagogique, le musée nous propose une mise en situation, avec un décor immersif et théâtralisé. Le musée de l'Armée revient ensuite sur les grands duellistes de l'Histoire, hommes et femmes dont les combats sont restés dans les mémoires. À travers les pays et les siècles, les récits se multiplient et nous fascinent toujours autant. La dernière partie de l'exposition explore justement cette fascination, cet attrait que l'on peut avoir pour ces histoires de combat. Lorsque les artistes s'en mêlent, et transforment les duels en spectacle, tout un pan de la culture se trouve transformé : cinéma, littérature, jeux vidéo, peinture, poèmes... Les duels et les duellistes ont acquis une renommée éternelle grâce à ces œuvres et ces styles. Le musée de l'Armée nous entraîne ainsi dans une exposition passionnante, qui devrait plaire autant aux amateurs d'Histoire qu'aux amoureux du sport ou de l'art. À voir dès le printemps 2024.
Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique". Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique. En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie... Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique. Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays. C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et des trouvailles archéologiques. L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de 1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs. Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896. Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.
Le Centre Pompidou s'intéresse au mobilier et aux objets créés pour les enfants au XXe siècle, dans une exposition design à découvrir du 25 avril au 12 août 2024. Meubles, chambres, bureaux d'écoliers, jeux : les designs des mobiliers pour enfant ont bien changé en un siècle. Le Centre Pompidou nous propose une rétrospective à la fois historique et artistique, à la découverte de "L'enfance du design". Une exposition à voir du 25 avril au 12 août 2024 à Paris. Au XXe siècle, la place, la singularité de l'enfant évolue grandement. Des théories nouvelles sur l'apprentissage, la structure familiale, l'éducation donnent à l'enfant une place plus importante dans le schéma social. Ce nouveau statut social se traduit aussi dans le monde du design et de l'ameublement : les chambres d'enfants deviennent des espaces à part, pensés pour leurs petits habitants, avec des objets réalisés sur mesure pour eux. En Allemagne, en France, au Danemark, en Italie, d'importants designers imaginent des meubles et des objets originaux, conçus pour les enfants, et pas pour toute la famille. Peu à peu, les chambres se transforment, devenant des oasis colorés et joyeux pour les plus jeunes, des endroits conçus pour attiser leur imagination et favoriser l'apprentissage de nouvelles compétences. Le design des mobiliers pour enfants évolue en même temps que la société et ses contraintes. La généralisation de l'école, le changement des normes des logements, l'apparition de nouveaux matériaux, de théories sur les besoins des enfants transforment les objets. Les designers laissent parler leur créativité dans cet univers qui possède ses propres contraintes, mais aussi ses libertés. Couleurs, objets interactifs, formes, tailles, objets multifonctions : l'univers de l'enfance offre de nombreuses opportunités créatives. Le jeu et l'originalité prennent une place de plus en plus prépondérante dans les choix de design, transformant les chambres en petits univers merveilleux. Au fil du siècle et de l'exposition, on voit le mobilier changer et s'adapter, illustrant le statut de l'enfant dans la société à chaque époque. Une exposition fascinante pour les fans de design, à découvrir au Centre Pompidou !
Le Musée Carnavalet consacre une exposition à l'histoire de la fontaine des Innocents, intitulée De pierre et d’eau, du 24 avril au 25 août 2024. La Fontaine des Innocents sous toutes les coutures ! Voilà ce que vous invite à découvrir le Musée Carnavalet à travers sa dernière exposition, De pierre et d'eau : Histoires de la Fontaine des Innocents, du 24 avril au 25 août 2024. Cette exposition vous propose plus précisément une immersion inédite dans l'histoire de l'un des joyaux de la Renaissance française, la Fontaine des Innocents, ornée des œuvres du sculpteur Jean Goujon. Située dans le quartier dynamique des Halles, cette fontaine ne se contente pas de structurer l'espace urbain ; elle raconte aussi des siècles d'histoire parisienne. La récente restauration de la fontaine, entre 2022 et 2024, offre une occasion exceptionnelle de découvrir de près les cinq reliefs de nymphes, chefs-d'œuvre de Jean Goujon, temporairement retirés du monument pour l'occasion. Le Musée Carnavalet a conçu cette exposition pour redonner vie à ce monument emblématique, en adoptant une approche audacieuse mêlant l'art et la technologie. Les visiteurs sont invités à explorer les complexités et les défis de la restauration des œuvres d'art, un processus fascinant rarement mis en lumière. L'exposition ne se limite pas à ces reliefs. Elle propose un parcours riche d'une centaine d'œuvres de différentes typologies, illustrant les multiples évolutions et transformations de la Fontaine des Innocents au fil des siècles. Au-delà de la redécouverte de ce monument, c'est aussi une occasion d'honorer Jean Goujon, un artiste majeur de son époque, aujourd'hui méconnu. L'influence de Goujon sur ses contemporains et sur les générations suivantes est également mise en avant, tout comme la place de la Fontaine des Innocents dans la culture populaire et son rôle emblématique dans l'histoire de Paris. Cette exposition se présente donc comme un véritable voyage à travers le temps, où l'art et l'histoire se rencontrent pour raconter l'histoire de Paris et de l'un de ses monuments les plus remarquables. On passe par le Musée Carnavalet, les amis ? Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Ces trois « Leçons » seront ancrées dans le département des antiquités orientales, avec lequel l’artiste se sent une affinité toute particulière, au point d’avoir, inconsciemment, recréé des œuvres qui y sont conservées. Dans ces « Leçons » à deux voix, développées en conversation avec Ariane Thomas, elle rendra la parole aux œuvres désormais silencieuses du département.
"Timeshot" : voilà le nom de la toute première exposition solo de Saype à Paris ! Le célèbre land artiste français, dont les œuvres monumentales et éphémères sont connues dans le monde entier, expose son travail à travers des photographies et dessins à admirer au sein de la galerie Danysz du 26 avril au 15 juin 2024. Si vous êtes un amoureux de Land Art, alors vous connaissez forcément l’artiste français Guillaume Legros, plus connu sous le pseudo de Saype. Depuis 2015, le land artiste dévoile sur les réseaux sociaux ses fascinantes et monumentales œuvres éphémères, disséminées aux quatre coins du globe (Paris, Buenos Aires, Liverpool, Genève, Turin, Istanbul, New York, Nairobi, Tokyo, Montréal, La Plagne...). Voilà bientôt 10 ans que Saype réalise ainsi des œuvres en noir et blanc et grandeur nature à même le sol, principalement sur l’herbe, mais aussi parfois sur la terre, le sable ou encore la neige. Objectif ? « Impacter les mentalités sans impacter la nature » et, ce, grâce à une peinture dite "éco-responsable", conçue essentiellement à base de craie et de charbon. « Ça m’a pris 3 ans de recherche et développement et après 5 ans d'études environnementales » avait expliqué l’artiste contemporain à nos confrères de France Info en 2023. Aussi, ses œuvres, aussi poétiques qu’engagées, ont la particularité de s’effacer avec la nature (herbe qui repousse) et la météo (pluie, orages...). Il faut dire que le land artiste est du genre prolifique. Depuis 2015, Saype a réalisé plus d’une cinquantaine d’œuvres, dont 19 autour de son fameux projet « Beyond Walls ». Ce projet, qui a débuté en 2019 à Paris, dévoile des mains entrelacées, qui se tendent, se serrent et s’unissent. Une œuvre engagée qui veut avant tout faire passer un message positif et d’entraide à travers le monde. Un travail fascinant que la galerie Danysz a décidé de mettre à l’honneur ce printemps en organisant la toute première exposition solo de Saype dans la capitale. Intitulée « Timeshot », cette installation est à ne pas manquer du 26 avril au 15 juin 2024. Annoncée sur les trois niveaux de la galerie, cette exposition entend témoigner des travaux de Saype à travers des photographies et dessins du land artiste. Et comme l’entrée est libre, vous auriez vraiment tort de vous en priver ! Pour couronner le tout, la galerie Danysz annonce un vernissage en présence de Saype, prévu le jeudi 25 avril de 18h à 21h.
A quelques mois de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le Mobilier national présente au public le travail mené pour restaurer les décors du monument, lors d'une exposition gratuite du 25 avril au 26 juillet 2024. Après l'incendie du 15 avril 2019, la cathédrale de Notre-Dame de Paris n'a jamais été aussi proche de rouvrir ses portes au public ! En décembre 2024, nous pourrons enfin redécouvrir ce monument emblématique de la capitale, reconstruit grâce au savoir-faire de nos artisans français. Du 25 avril au 26 juillet 2024, la DRAC Île-de-France et le Mobilier national s'associent pour présenter une exposition gratuite autour des décors de Notre-Dame de Paris, au sein de la Galerie des Gobelins. L'occasion d'admirer des chefs-d’œuvre sauvegardés après l’incendie mais aussi des pièces contemporaines imaginées pour remeubler la cathédrale et apporter une touche de modernité. L'exposition souligne le travail mené depuis cinq ans pour restaurer et repenser le décor intérieur de la cathédrale, avec un savoir-faire d'excellence. Parmi les œuvres majeures, on peut trouver treize grands Mays, dus aux meilleurs peintres du XVIIe siècle, montrés pour la première fois depuis deux siècles dans une même scénographie, ainsi qu'un tapis de chœur monumental offert par Charles X. Découvrez également le nouveau mobilier liturgique et les assises de la cathédrale, issus d’un concours lancé en 2023 !
Delacroix, Rubens, Cimabue : les grandes restaurations du département des Peintures Avec Sébastien Allard, Thomas Bohl, Blaise Ducos et Côme Fabre, musée du Louvre Alors que La Liberté guidant le Peuple de Delacroix aura retrouvé ses cimaises, aux côtés d’autres grands chefs-d'œuvre du maître récemment restaurés (les Femmes d’Alger, les Massacres de Scio, la Mort de Sardanapale), la grande Maestà de Cimabue sortira de l’atelier et la galerie Médicis de Rubens poursuivra ses analyses. Pourquoi restaurer ces chefs-d'œuvre ? Les regardera-t-on d’un oeil différent ?