Jean-François Octave, une vie (ne rien oublier)

Description

WORK IN PROGRESS - RÉSIDENCE VIRTUELLE

Nouvelle résidence au BPS22 : la "résidence virtuelle" de Jean-François Octave, sur le site internet du musée ! Infatigable auteur, depuis des décennies, de fanzines, journaux intimes et autres diaries électroniques, croisant diverses influences et techniques, JFO squatte désormais le site du musée pour y livrer ses archives et travaux in progress.

Pour Jean-François Octave, la vie est un répertoire permanent où puiser plutôt que s’épuiser, où s’emparer des choses plutôt que se laisser désemparer par son flux. Depuis ses agendas de l’adolescence (début 70') aux petits carnets de notes à spirales, en passant par des cahiers plus conséquents, mêlant textes et images (peintures, dessins, photos, collages, etc.) où les lettres elles-mêmes sont aussi et avant tout des dessins, JFO compile ses chroniques quotidiennes.

Désormais (depuis début 2000’), ce sont des dessins et écritures digitaux qui occupent les pages virtuelles d’un diary électronique, à la publication hebdomadaire régulière. Totalisant à ce jour plus de 5000 pages pour plus de 680 numéros, un nombre incalculable d’essais-erreurs et quelques gigabits de mémoire, ce journal personnel redéploie, en les associant, les travaux anciens et les préoccupations récurrentes de l’artiste. "Entre journal intime, révélations people, réflexions socio-politiques et poétiques, Jean-François Octave, adepte de l'appropriationnisme et fan de Jean-Luc Godard, tisse un récit aux allures d’instantanés, aux frontières du Pop Art, du concept et de la littérature, en mêlant photo, peinture et d’autres techniques." écrit Daniel Vander Gucht, professeur de sociologie (ULB) et fondateur des éditions La Lettre volée.

Éternel enfant de son époque, il a toujours accompagné les (épi)phénomènes du moment présent, quels qu’ils soient. Le punk l’a conforté dans une de ses intuitions premières : il n’y a pas de hiérarchie entre les choses ; tout peut se valoir ; tout peut mériter son attention ; tout peut faire l’objet d’associations. Les historiettes personnelles se mêlent alors à la grande Histoire ; les clichés les plus éculés de la pop culture aux chefs-d’œuvre de l’art ; les grands personnages du monde, toutes époques confondues, avec des anonymes croisés lors de pérégrinations à travers le monde ; les émotions personnelles aux réflexions abstraites ; la Littérature et toutes les paralittératures ; le grand Style et l’écriture normalisée ; etc.

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Événements suggérés

Nicolas Lacroix est trop gentil et il le reconnait volontiers. Il aime aussi rendre les gens heureux et les faire rire, ça a toujours été le cas. Depuis l’école primaire où il reproduisait des sketchs vus à la télé, il rêve de planches. C’est par les réseaux sociaux qu’il va y arriver. Encouragé par ses proches, il publie une première vidéo sur Tik Tok, succès immédiat. Un an et demi plus tard, plus d’un million et demi de personnes le suivent au quotidien. Comme il croit plus au travail qu’au talent, il prend son temps et c’est finalement GuiHome qui va l’emmener sur scène en produisant son premier spectacle. Il y est question d’un garçon trop gentil qui ne sait pas dire non mais n’en pense pas moins. Regarder le monde, parler de ce qu’il connait, tourner son coming out en dérision, s’inquiéter de l’avenir de la langue quand Wejdene aura pris la place de Baudelaire, imaginer qu’une assistante virtuelle puisse faire office de psy. Arriver toujours à la même conclusion, celle qui existe depuis la nuit des temps, c’était mieux avant. Nicolas assume son côté un peu vieux jeu, celui d’un jeune homme nostalgique embarqué dans un monde trop rapide. L’air de rien, il dit beaucoup des angoisses de sa génération. Aujourd’hui, même si les réseaux sociaux occupent une place importante, il sait qu’un artiste ne se fait pas en un jour et il redoute l’explosion en plein vol. Pas question de se reposer sur ses lauriers, surtout s’ils sont virtuels. Du coup, il travaille encore et toujours pour mériter chaque rire et chaque applaudissement et il aime ça.
𝐋𝐚 𝐠𝐫𝐨𝐬𝐬𝐞 𝐭𝐞̂𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐝𝐚𝐦𝐞 Un sanctuaire pour nos pensées. On (Bambi, Carbone et Juya) vous invite à plâtrer, plâtrer plâtrer avec nous et fabriquer ensemble in situ une tête géante (dont la structure sera préalablement montée). Une technique un peu particulière : une structure en métal, des bouts de ficelle et des bandes de tissus plâtrées pour faire apparaitre la forme en volume. Elle sera creuse et à l'intérieur vous pourrez par la suite venir y déposer une offrande, une pensée, un vœu ou ce que bon vous semble. _______ 𝐈𝐧𝐟𝐨𝐬 𝐩𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 ⭢ Gratuit, sur inscriptions (billetweb et sahura@vecteur.be) ⭢ Limité à 10 inscrits 𝐇𝐨𝐫𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 : ⭢ Vendredi 3 mai 17:30 - 20:30 ⭢ Samedi 4 mai 14:00 - 17:00 ⭢ Lundi 6 mai 17:30 - 20:30
Comme disait Mouloudji : l'amour, l'amour, l'amour ... Comme disait Dalida : Paroles, paroles, paroles... Après le beau temps : la pluie. Après la tempête : le calme. Exposition pluridisciplinaire sur le culte de l'amour contemporain, L'amour des autres, l'amour de soi, les bornes et les limites. Nos relations sont comme une grande fête foraine, une foire à la saucisse, un parc d'attraction. À quel point sommes-nous capables de jouer pour arriver au grand boss de la fin ? Le grand bonheur (d'ailleurs c'est qui celui la ?). Game Over, tout recommencer à zéro. Peinture, édition, installations, papier mâché, amour & grigris divers En Collaboration avec BAMBI & CARBONE _____ Infos pratiques ⭢ Du 8 mai au 8 juin ⭢ Vernissage le 8 mai à 19:00 ⭢ Expo accessible les mercredis, vendredis et samedis de 14:00 à 18:00
Every first Thursday of the month, the Ghent museums open their doors for a nocturnal event. On those nights, you can admire the current exhibitions and collections until 10 pm. Every first Thursday of the month, the Ghent museums are open a little longer, until 10 pm. You really should experience the atmosphere of late-night culture. First having something to eat and then discovering some art, science or history sounds great, right? During the late Thursdays, many museums are happy to give a little something extra, such as a lecture, a concert or a guided tour. Combine your late-night museum visit with the Ghent Light Plan walk [https://visit.gent.be/en/see-do/magical-ghent-evening] and you will have gained two experiences. If you have bought a CityCard Gent [https://visit.gent.be/en/good-know/practical-information/citycard-gent], you will get even more benefits from your card the first Thursday of the month, as you’ll have more time to discover various museums. Tip: many museum cafés are also open longer during Late Thursday    Many museums provide additional activities on Late Thursdays. From lectures and guided tours to afterparties, there is always something extra to take part in!  
Pour cette exposition monographique d’envergure, Alain Bornain (Genappe, 1965) investit la salle Pierre Dupont de travaux anciens et nouveaux, l’ensemble retrace son cheminement artistique des 25 dernières années.Actif depuis le milieu des années 1990 et entretenant un rapport très actuel à l’image (aux images), Alain Bornain ne s’est jamais cantonné à une seule catégorie plastique, ni à un sujet unique. Par des moyens variés (peintures sur toile ou objets, installations, dessins, parfois sur post-it ou papier à imprimante), l’artiste évoque sans détours le rapport à la vie, à la mort, aux origines, à la mémoire, à l’effacement, à la disparition, à la transmission ou à l’héritage. Son travail n’esquive toutefois pas une dimension autobiographique, ni les préoccupations propres au champ de l'art et leur inscription dans un système de références picturales, en réactualisant certains thèmes historiques comme, par exemple, celui de la Vanité.Qu’il s’agisse des séries Blackboards, Greyboards ou Whiteboards – des toiles peintes à la manière de tableaux d'école –, ou de portraits que l’artiste effectue au départ de photos (une nouveauté), les œuvres d’Alain Bornain jouent habilement sur la confusion entre une image et son support. Depuis toujours, un même procédé s’impose : celui d’explorer toutes les potentialités qu’offrent les relations complexes que tissent la peinture et l’écriture. Tandis que certaines toiles font la part belle à l’effacement du sujet représenté, d’autres voient les mots et les chiffres s’entremêler, suggérant des préoccupations plus larges qui dépassent le strict cadre de l’art. Là réside sans doute toute l’ambivalence des œuvres d’Alain Bornain ; des œuvres qui peuvent aussi bien se comprendre comme l’imitatio précise d’un objet ou d’un sujet, porteurs de significations spécifiques, que comme un exercice pictural qui consigne toutes les possibilités plastiques offertes par la peinture.____Commissaire : Pierre-Olivier Rollin
!!!!!!!!! SYMPOSIUM DE METAL - CONCOURS DE SCULPTURE !!!!!!!!!! Suite à de nombreuses années de travail au sein du lieu emblématique du Rockerill, plusieurs artistes du collectif résidents, (TDLA - tête de l’art), se réunissent aujourd’hui autour d’un projet commun. Celui de mettre en place un concours de sculpture sur métal, inédit en Wallonie. Le projet tombe sous le sens ! Le lieu; porteur de mémoire sidérurgique, mais aussi les artistes; sculpteurs du collectifs, qui depuis tant d’années pratiquent la matière pour la sublimer. Ceux-ci ouvriront les portes de leur terrain de jeu, le temps d’un festival de quatre jours, lors duquel ils accueilleront une dizaines d’artistes venant de tout bord. Ces derniers auront pour défis de réaliser une sculpture sur le temps imparti avec les matériaux mis à disposition. Programme: Du 16/05 au 19/05: 4 jours de workshop ouvert au public Ve 17/05- SA 18/05 : Conférences et témoignages sur les lieux et la matière Sa 18/05 : Concert A partir du 16/05 : Expo TDLA Di 19/05 : Prix du meilleur sculpteur DJ set en soirée 
L’exposition annuelle des Artistes de Thudinie vous fera encore une fois découvrir des œuvres très variées. Plasticiens, photographes, littérateurs membres des Artistes seront mis à l’honneur. En hommage à Gustave Marchoul, un des membres fondateurs de l’association, en cette année de célébration de son centenaire, quelques une de ses œuvres seront exposées. VERNISSAGE LE VENDREDI 5 AVRIL à 19h Expo du 5 avril au 4 mai 2024 Au  Centre culturel Haute Sambre – rue des Nobles, 32 – 6530 Thuin En semaine de 9h à 16h et les samedis de 14h à 17h – Pas d’ouverture le dimanche Entrée libre Infos : Centre culturel Haute Sambr [https://www.facebook.com/centreculturelhautesambre?__cft__[0]=AZWIlpbYL658XcKnFFFxrKH_guccRnZRpdUCXwGpAWVJ6JWED7qV4JZAQfYaPj6_XhIG7Y2ns2onx_J9SEdvMsA3BxiA7MtwN0PpBoFp0VfVXbI31JjtgYo0Do5Z0kGD5lPaMEXsw53yGZE3SkzOeNTDOoOjXI7Ndx8n8WKoynqHe-j-Ql-PaaX5tN3oXW61AAaNAXVBtpyVAgz-XfX59IVO&__tn__=-]K-y-R]e.
Avec cette exposition qui met en lumière les œuvres de ses élèves en situation de handicap, l’artiste peintre Michel Buzin nous invite à questionner notre conception de la normalité et de la différence…Michel Buzin – Bzn EcauEntrée libre
Diana Filiaert displays her recent visual art in St Amand’s chapel on the Campo Santo cemetery. In this setting you will discover her ceramics sculptures, paintings and work on textile. Tip: be sure to take the opportunity to visit Campo Santo, Ghent's “Père Lachaise”.
Pauline Gobert a trouvé son équilibre en utilisant son hypersensibilité dans différents projets créatifs (peintures et illustrations). Ses intérêts pour la spiritualité et le développement personnel se ressentent beaucoup dans ses œuvres. Des instants figés, un peu flous, le plus possible dans la douceur des lumières et des couleurs.