JE SUIS LENT

Description

Avec Je suis lent Loïc Touzé raconte son histoire avec la danse. Celle qu'il a traversée ces quarante dernières années. Il évoque les figures inspirantes qui constituent la toile de fond de son imaginaire.

Cette histoire commence dans le temple de l'académisme du XIXème siècle aux côtés des fantômes du ballet.

1 Photo

Événements suggérés

Chroniqueuse sur Radio Nova et passionnée de politique, Mahaut a obtenu son bac écriture inclusive, spé féminisme, option queerness. Scorpion ascendant connasse, elle passe en revue l'actualité avec un humour acerbe et engagé. Après avoir hanté les rues de Paris à la recherche d'afters pendant une décennie, c'est avec son cynisme pailleté qu'elle vous apprendra à mener une vie de chateau low cost, car les APL ont baissé pour tout le monde. Embrassez la Bad Bitch qui est en vous car n'oubliez pas : Restez Drama... vous êtes une Queen. Un manifeste d'amour, de féminisme et de fête pour tout public sauf les enfants. Jamais les enfants.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement. Durée : 1h30 sans entracte. Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement. Durée : 1h30 sans entracte. Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien. Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre approbation et transgression.
LE SPECTACLE FEEL GOOD QUI RAVIVE 50 ANS DE PASSIONS Au cœur d’une scénographie époustouflante mêlant chanson, acting et danse, STARMUSICAL rend hommage à sa principale source d’inspiration, Les Grandes Comédies Musicales.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement. Durée : 1h30 sans entracte. Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien. Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre approbation et transgression.
Une pièce pour deux acrobates, de la musique, des voix adolescentes et celle d'un anthropologue, où la question des masculinités s'immisce à travers le chant des oiseaux. Acrobaties ritualistes et engagées d'hommes oiseaux, danses répétitives et débridées questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse adolescente, entre approbation et transgression. Où sont passés ces garçons qui modulent des sifflements, manient le canif, brûlent les gymnases, grimpent aux arbres et aux murs pour éprouver le vertige à Sont-ils toujours là, à vouloir devenir homme, découpant le sanglier et imitant l'oiseau à Et les filles, elles en pensent quoi de tout ça ? Après une enquête menée notamment à Tarbes, le GdRA écrit une oeuvre plurielle où les paroles de l'anthropologue Daniel Fabre côtoient des témoignages enregistrés auprès d'adolescent·es, accompagnés par une création musicale faite de sifflets, de chants occitans, de guitare parfois rugissante. Sur scène, deux acrobates oiseaux dansent, voltigent, se brûlent, se confrontent à l'espace et aux frontières et s'envolent au risque de la chute... Les représentations auront lieu du 23 avril 2024 au 26 avril 2024 au Théâtre Sorano à Toulouse. Les horaires sont les suivants : - Mardi 23 avril 2024 à 20h00 - Mercredi 24 avril 2024 à 20h00 - Jeudi 25 avril 2024 à 20h00 - Vendredi 26 avril 2024 à 20h00
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien. Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre approbation et transgression.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement. Durée : 1h30 sans entracte. Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.