Exposition "L'effet papillon"

D 256, 63840 Églisolles, France

Description

Des cubes, des mots, des livres, de la danse. Une exposition à manipuler !

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Gratuit.

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De 1960 à 2023, plongez dans l'univers de l'affiche de cinéma, entre publicité et art graphique, venez revoir les visuels à la fois mythiques et populaires... Apposée à l'entrée des cinémas, l'affiche doit 'taper dans l'œil' du spectateur potentiel. Par la présence fascinante de ses vedettes, sa palette flamboyante de couleurs ou encore l'originalité de son style graphique, l'affiche a pour vocation d'attirer les foules dans les salles.
Au programme, une rencontre inédite avec les grands artistes qui ont façonné l'art en Europe. Une exploration des merveilles du monde antique, un panorama de la statuaire européenne, une plongée dans l'histoire des pays membres, des étonnants dessins, manuscrits et gravures de différentes époques, un périple au cœur de la création moderne et contemporaine, un panorama de l'évolution de la photographie, des œuvres emblématiques du spectacle vivant et bien d'autres encore !Musée numérique : à l'aide d'une tablette numérique individuelle, découvrez, à votre rythme, les œuvres du mudée numérique proposées sur écran géant en haute définition. "Likez" autant que vous le souhaitez et visitez aussi bien les musées situés à côté de chez vous que les plus grand musées nationaux et internationaux.
Tous les samedis matins de 9h30 à 12h. Musée numérique collection Auvergne Rhône Alpes. Cette collection permet de découvrir un vaste pan de savoir-faire souvent méconnus qui font d'Auvergne Rhône-Alpes une grand région textile. Des soieries de Lyon aux dentelles du Puy-en-Velay, de la broderie d'or du Forez à la rubanerie de Saint-Etienne, des costumes de scène du CNCS de Moulins aux uniformes de résistants du musée de la Résistance et de la Déportation de l'Ain, cette collection, au croisement de l'art, de la technique et de l'industriel, réserve bien des surprises et bien des émerveillements.
Dans une ambiance totalement immersive, venez à la rencontre des géants de la Préhistoire. Plus de 100 créatures vous donnent rendez-vous pour un véritable voyage de plus de 70 millions d'années dans le temps. Le Musée Éphémère® est une marque déposée, à ne confondre avec aucune autre exposition de dinosaures. Billetterie disponible sur place ou en ligne sur le site web de l'événement: www.dinomusee.com
Parce que Saint-Étienne va vibrer sport pour les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 Saint-Étienne accueillera les épreuves de football féminin et masculin du 26 juillet au 11 août dans son stade mythique de Geoffroy Guichard. Si Saint-Étienne est une ville de football qui vibre à l'unisson des exploits de son équipe de football professionnelle depuis 1933, elle est également une ville de sports marquée par son environnement naturel et son activité industrielle. Parce que le musée d'Art et d'Industrie possède une collection d'objets sportifs surprenante L'exposition D'Olympie à Saint-Étienne, sports en jeu, s'appuie sur un fonds d'objets de collection, photographies ou documents patrimoniaux rares sélectionnés dans les collections du musée et d'oeuvres empruntées à des institutions muséales ou collectionneurs privés, ce qui représente un choix raisonné de près de 400 objets mis en valeur dans le parcours.
Avec la thématique des fleurs et des jardins, Léonie a trouvé une identité dans laquelle elle s’exprime librement, sans retenue ou règle. Léonie est une artiste française, née à Poissy, et vivant à St-Étienne. Sa passion pour le dessin remonte à son enfance, elle utilisait principalement des techniques telles que le crayon ou l’art digital, pensant se lancer à terme dans l’illustration.Après un bac littéraire, elle a fait une année de préparation aux concours des écoles d’art, aux Ateliers Albers, à Paris. C’est lors de cette année qu’elle a vraiment découvert la peinture. Pour des raisons personnelles, elle n’a pas poursuivi son parcours dans l’art, et a fait des études dans le social à Saint-Étienne, tout en continuant à peindre de temps en temps. Aujourd’hui, ellea décidé de faire de sa passion une vraie activité, inspirée et encouragée par son entourage proche.Léonie crée selon sa motivation et son inspiration, souvent guidée par une sorte de « pulsion créative ».
Une remontée à travers les âges de la vie, une découverte des fossiles locaux et plus lointains, des explications sur l'évolution de la vie sur terre et les restes fossiles. Vous verrez la collection privée de Pierre Crayssac et découvrirez sa passion. L'occasion de découvrir le mini musée de Pierre Crayssac, passionné de paléontologie et de minéralogie.
Saint-Etienne et alentours Du 5 au 31 mars 2024 Plus de 30 lieux d'exposition ! 60 panneaux de signalisation détournés de marina DH à la médiathèque de la Tarentaize 24 rue Jo Gouttebarges jusqu'au 29 mars. Ouverture du mardi au samedi de 10h à 18h30 - Le jeudi de 14h à 18h30 Autres artistes : Karilyn, Stephanie Sautenet, Chanut, Moko Vey, Annie Lunardi, Carole, Guenault, Louis Molle, Yannick Grégoire, Fran?oise Joyeux Guillemin, Fabrice Anneville, Emmanuelle De Rosa, Patrick Gourgouillat, Christine Blot, Fabrice Hury, Mireille Faure, Etienne Dupé, Fran?oise Tokhi Samedi 16 vernissage avec projection de trois films sur les artistes J.A Bobichon, Marina DH, En terre singulière à partir de 14h30. Site web : https://www.marinadh.com
« Medley » présente l'oeuvre plurielle, puissante et engagée de Tania Mouraud. Des pièces historiques y dialoguent avec des recherches récentes, depuis les « Black Power » des années 1980 jusqu'aux « Shmues » que l'artiste explore depuis 2019. Certaines pièces, telles que « Trap » (1990), de la série des « Black Continent », y sont présentées pour la première fois en France. Les langues déliées et acérées créées par l'artiste, sous la forme d'impressions, de gaufrages, de bas-reliefs et d'une peinture murale, côtoient des paysages sombres, saturés ou immaculés. « Besod », la performance que l'artiste active, mêle phrases, images, chants d'oiseaux, cris d'animaux, bruits d'armes à feu et cris scandés en manifestation. Elle vient tracer un fil rouge qui relie les oeuvres, comme une interrogation constante : quelles relations choisissons-nous d'avoir avec ce qui nous entoure ? Photographies et vidéo nous mènent en des lieux étranges, tout à la fois désertés par l'humanité et marqués par elle. À moins qu'elle ne s'y soit perdue. Les marais troublants de « Film Noir » (2011-2021) mènent aux forêts de « Désastres » (2014), qui s'étendent en négatif pour mieux donner à voir les vides obscurs laissés par les arbres abattus près de Saint-Étienne. À Mitzpe Ramon, à 200km au sud de Jérusalem, Tania Mouraud filme le désert rouge de « Primetime » (2005). Au loin, elle entend les exercices de l'aviation militaire israélienne. Lentement, la caméra caresse un panorama que l'on pourrait croire filmé sur Mars, qu'un son accompagne, étrange voire inquiétant. Son cliquetis mécanique évoque celui des machines de combat, à moins qu'il ne s'agisse d'un contact extraterrestre. Ailleurs, vestiges d'un conflit qui fête ses 80 ans, les blocs de béton de « Backstage » (2013) s'alignent sur la ligne d'horizon tels des silences sur la portée d'une partition. Construits pour la bataille de Normandie en 1944, ils évoluent au large comme les éléments d'un ancien décor, rappelant eux aussi à notre souvenir combien la violence et l'horreur de la guerre peuvent être proches de nous. Si nous ne voulons pas de celui des blockhaus, quel horizon choisissons-nous de composer ? Immenses, vindicatives, révoltées, les écritures de Tania Mouraud se déploient dans l'espace. Elles nous invitent à questionner notre perception du monde et à écrire celui de demain. En évidant les lettres de « Ça et là » (1990, série « Black Power »), l'artiste nous donne à voir non pas les mots mais le mur blanc, faisant disparaître les signes pour montrer l'espace qui les sépare. « Les Frises » (à partir de 1992) matérialisent également en négatif, noir sur blanc, la partie habituellement invisible des lettres (l'«oeil», en typographie), ce qui force un renversement de notre perception. Trente ans plus tard, les phrases que l'artiste déploie en yiddish donnent également à voir ce qui est invisibilisé ou détruit (« Shmues », depuis 2019). D'abord, par la matérialisation de cette langue sans territoire ni frontière presque détruite lors de l'Holocauste. Par les mots déployés ensuite. Dans la trame des « Canvas » (2023), l'artiste trace les noms de femmes de la Bible et de déesses de la mythologie grecque. Là où l'histoire de l'art occidentale les représente largement comme des objets dénudés, Tania Mouraud affirme leur statut de sujets en les nommant. Par un traitement vibrant de l'écriture, elle leur rend un corps nouveau, un corps de texte puissant, loin de celui formé par l'oeil patriarcal. Illisibles, elles échappent à toute appropriation par la vue et l'esprit. Les écritures nous échappent, jusqu'à fuir l'espace d'exposition : « Ikhbinnishtgeboyrnzikh untertsugeben » (« je ne suis pas née pour me soumettre », 2024) se déploie dans la ville, libéré des quatre murs de l'espace d'exposition. L'artiste souhaite par son oeuvre « construire un monde où [elle pourra] mourir en paix ». C'est donc dans un tel espace qu'elle nous invite en créant une pièce blanche où le simple white cube se mue en un lieu de repos isolé du rythme effréné du quotidien. Là, « Initiation space n°5 » (1969) semble nous inviter à contempler les lieux. De la masse bétonnée est né un galet comme poli par les vagues, pareil à un zafu, ce coussin traditionnel de méditation zen. À son image peut-être, notre perception du monde peut-elle s'affiner, exercée déjà par les multiples écritures qui peuplent l'exposition. Toutes, en nous échappant, nous invitent à fournir un effort de lecture ou à nous abandonner dans le signe. Dans cette pièce blanche, sculptés à même le papier, les « Gaufrages » (2023) traduisent des expressions de tous les jours qui trouvent rarement leurs lettres de noblesse dans les lieux d'art contemporain. Là, le contraste de noir et de blanc disparaît : de la surface même émergent les signes. Leur délicatesse répond à celle des séries « Nostalgia et Emergences » (2019), où la végétation vient tracer le signe de son existence dans le paysage enneigé de Nijni Novgorod, en Russie. Ainsi, comme dans une composition musicale, les thèmes qui traversent « Medley » se suivent et se répondent. Une harmonie s'élève dans l'espace, où les pièces récentes résonnent avec les oeuvres historiques et leur font écho. Un refrain se fait entendre à qui l'écoute, qui nous rappelle inlassablement les luttes de l'artiste pour des relations pacifiées de l'humanité avec (et dans) le monde. Cécile Renoult, 2024 Site web : https://www.ceyssonbenetiere.com/fr/exhibitions/medley-saint-etienne-acieries-2024-1288/