A quelques mois de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le
Mobilier national présente au public le travail mené pour restaurer les décors
du monument, lors d'une exposition gratuite du 25 avril au 26 juillet 2024.
Après l'incendie du 15 avril 2019, la cathédrale de Notre-Dame de Paris n'a
jamais été aussi proche de rouvrir ses portes au public ! En décembre 2024, nous
pourrons enfin redécouvrir ce monument emblématique de la capitale, reconstruit
grâce au savoir-faire de nos artisans français. Du 25 avril au 26 juillet 2024,
la DRAC Île-de-France et le Mobilier national s'associent pour présenter une
exposition gratuite autour des décors de Notre-Dame de Paris, au sein de la
Galerie des Gobelins.
L'occasion d'admirer des chefs-d’œuvre sauvegardés après l’incendie mais aussi
des pièces contemporaines imaginées pour remeubler la cathédrale et apporter une
touche de modernité. L'exposition souligne le travail mené depuis cinq ans pour
restaurer et repenser le décor intérieur de la cathédrale, avec un savoir-faire
d'excellence. Parmi les œuvres majeures, on peut trouver treize grands Mays, dus
aux meilleurs peintres du XVIIe siècle, montrés pour la première fois depuis
deux siècles dans une même scénographie, ainsi qu'un tapis de chœur monumental
offert par Charles X.
Découvrez également le nouveau mobilier liturgique et les assises de la
cathédrale, issus d’un concours lancé en 2023 !
Art Against Pain : la nouvelle expo gratuite de street art signée Urban Signature à Paris
26november 2022
-29november 2022
16 Rue Des Minimes, 75003 Paris, France
Description
Urban Signature est de retour à Paris avec une nouvelle exposition gratuite de street art. A découvrir du samedi 26 au mardi 29 novembre 2022 à la galerie Joseph, cet événement s’achèvera par une vente aux enchères. Tous les fonds seront reversés à l’hôpital Rothschild pour la lutte contre les maladies chroniques par l’art thérapie.
Quand le street art se mêle des douleurs chroniques. Urban Signature investit cet automne une nouvelle galerie à Paris. Du samedi 26 au mardi 29 novembre 2022, la « première société française de street art sur-mesure » donne rendez-vous aux amateurs d’art urbain à la Galerie Joseph, dans le 3e arrondissement, à l’occasion de sa nouvelle exposition gratuite intitulée « Art Against Pain ».Plus qu’une simple exposition de street art, « Art Against Pain » est aussi une vente aux enchères, lors de laquelle tous les fonds seront reversés à l’hôpital Rothschild pour la lutte contre les maladies chroniques par l’art thérapie. Aussi, tous les artistes ont accepté de faire don d’une ou deux œuvres pour cette cause. Pour les plus intéressés, notez que toutes les œuvres seront vendues à partir de 500€ (quelles que soient leur taille et la côte de l’artiste).Pour cette exposition / vente aux enchères, plus de 60 artistes urbains nationaux et internationaux sont donc annoncés, parmi lesquels Ami Imaginaire, Ardif, Dawal, Rasto, Raf Urban ou encore Monsta. Leurs œuvres seront exposées au sein de la belle galerie Joseph, d’une superficie de 350m², du 26 au 29 novembre.
Quant à la vente aux enchères, elle se fera sur place et sur internet via Invaluable le 29 novembre à partir de 19h avec le fameux commissaire-priseur d’Artcurial, j’ai nommé Arnaud Oliveux.
Artistes exposés
Musée
Art
Galerie
Billets
Info:
Tarifs: Gratuit
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Événements suggérés
Avis aux amateurs de néo-pop art ! L’artiste japonais Takeru Amano expose ses
œuvres à la galerie Sato à Paris du 20 avril au 12 mai 2024 à l’occasion de sa
nouvelle installation personnelle intitulée « IMA ».
Considéré par beaucoup comme le maître du néo-pop art japonais, Takeru Amano
annonce son retour à Paris ce printemps avec une nouvelle exposition personnelle
intitulée « IMA », qui signifie "maintenant/le moment" en japonais. A ne pas
manquer à la galerie Sato du 20 avril au 12 mai 2024, cette nouvelle
installation est l’occasion de découvrir l’univers coloré de cet artiste
énigmatique ainsi que toute sa diversité artistique.
La galerie Sato, récemment inaugurée dans le 3e arrondissement de Paris, annonce
ainsi l’exposition de plusieurs portraits des Venus, ces fameuses icônes qui
font désormais la signature de l’artiste originaire de Tokyo. Les visiteurs
pourront également admirer des natures mortes du peintre et sculpteur nippon,
ainsi que des paysages réinterprétés avec le style artistique distinctif de
Takeru Amano. Parmi les œuvres à ne pas manquer, la galerie Sato cite aussi une
sculpture de la Venus entièrement réalisée en bois.
De l'acrylique sur toile aux sculptures en bois et en bronze, Takeru Amano
fusionne une variété de techniques artistiques que la Galerie Sato vous invite
donc à découvrir gratuitement ce printemps à Paris. Notez que la galerie a mis
en place une plateforme dédiée accessible ici pour réserver un créneau de
visite.
Artiste de renom, Takeru Amano est le fils de Yoshitaka Amano, connu pour
l’univers du jeu vidéo Final Fantasy. Baignant dans l'univers artistique depuis
tout petit, Takeru Amano a su développer son propre style au fil des années,
inspiré directement de la culture japonaise de la fin du XXe siècle dans
laquelle il a grandi. Le style artistique de Takeru Amano se caractérise
notamment par la juxtaposition de sujets classiques, philosophiques et mythiques
avec des éléments de pop art, comme le "kawaii". Preuve de sa renommée, ses
œuvres ont déjà été exposées à Tokyo, Hong Kong, New York ou encore Londres.
Du 20 avril au 12 mai 2024, Takeru Amano revient donc à Paris avec son
installation "IMA" qui promet de nous surprendre !
Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au
Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024.
Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se
mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers
des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling
artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à
l'existence !
Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature
accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective
française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024.
Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et
force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion
intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi
en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de
l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard
cosmopolite sur l'art contemporain.
Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un
parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de
l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour
créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de
l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante,
oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la
relation entre la chair et notre environnement.
L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir
de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation,
spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de
Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère
entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en
tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur
est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre,
symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une
métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée
d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie
s'épanouit.
La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux
exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire
colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces
œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives.
Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs
de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky.
En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de
matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique
inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision
de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir
un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art
contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices !
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Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition
entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe
du 23 avril au 27 octobre 2024.
Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de
voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent
automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de
nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce
que pourrait être notre futur.
Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se
construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des
plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril
au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa
diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu.
L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers
l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces
artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés.
Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités
plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir
les mondes de demain.
En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés
actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques
se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses
défauts, et, peut-être, de se redéfinir.
Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez
découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
Poétique, onirique, surprenante : avec sa nouvelle exposition gratuite, l'Espace
Monte-Cristo compte bien réveiller notre cœur d'enfant. Découvrez Les mondes
imaginaires du 13 avril au 15 décembre 2024.
Entrez dans cette exposition, comme si vous entriez dans un conte de fées ou une
fable... L'Espace Monte-Cristo, à Paris, nous propose une nouvelle aventure
artistique, avec Les mondes imaginaires. Cette exposition gratuite, à voir du 13
avril au 15 décembre 2024, nous entraîne dans les univers poétiques, oniriques
et mystérieux de près d'une trentaine d'artistes contemporains.
Les sculpteurs français et internationaux ont imaginé des mondes magiques,
exotiques, ésotériques, des mondes qui reflètent nos sociétés. À travers leurs
œuvres, les artistes s'interrogent sur notre futur, donnant vie à leurs espoirs
et à leurs craintes.
Plus de 50 sculptures sont mises en scène pour raconter une histoire magique.
Forêt enchantée et pleine de créatures énigmatiques, plage idyllique et ses
palmiers colorés, ville mystérieuse, cabinet de curiosités... Ces différents
univers se suivent comme les chapitres d'un roman, et l'on passe d'un monde à
l'autre sous le regard des créations originales des artistes tels que Françoise
Pétrovitch, Eva Jospin, Tadashi Kawamata, Andrea Bowers, Lorenz Estermann, Agnès
Varda...
Pour cette exposition, l'Espace Monte-Cristo a donné carte blanche à
Jean-François Fourtou. L'artiste nous dévoile son installation immersive,
fluorescente et mouvante : découvrez un monde lointain, une dimension parallèle
à la nôtre, dans laquelle l'humanité a fusionné avec la nature, donnant
naissance à des êtres hybrides et surprenants.
L'exposition Les mondes imaginaires nous promet donc un voyage merveilleux et
insolite, aux côtés d'artistes contemporains de renom. Une épopée poétique, qui
interroge nos pratiques, notre humanité, notre futur, à travers des sculptures
fascinantes. À voir sans attendre !
Montez dans la DeLorean, la Monnaie de Paris nous fait remonter le temps
jusqu'aux années 1970 ! L'institution nous propose une soirée festive et ludique
autour de l'exposition Insert Coin le 24 avril 2024.
C'était l'époque des pattes d'eph', des robes fleuries, de Queen, Abba, Michael
Jackson, Serge Lama, des Bee Gees et de David Bowie, c'était l'époque des boules
disco, de Pong et d'Atari... C'étaient les années 1970 ! Une période que les
moins de 20 ans n'ont pas connue, mais qu'ils peuvent découvrir à la Monnaie de
Paris.
L'institution organise une soirée exceptionnelle, festive et ludique, le
mercredi 24 avril 2024. En marge de son exposition Insert Coin, qui s'intéresse
aux machines de jeux et salles d'arcade, le musée propose une nocturne à thème,
ouverte à tous.
Dans un décor immersif, qui nous plonge dans un café des années 1970, la Monnaie
de Paris nous invite à jouer et à explorer cette décennie si spéciale, qui a
révolutionné le monde du jeu. Aux côtés des commissaires d'exposition et des
étudiants de la XP School, découvrez toutes les particularités culturelles de
ces années "flower power". Et bien sûr, vous pouvez défier vos amis ou vos
proches sur les différents flippers, jeux d'arcade ou jeux de café mis à
disposition dans l'exposition.
Le disco et le mouvement hippie, ce n'est pas votre tasse de Tang ? Vous
préférez l'ambiance électro ou punk-rock des années 80 ? Bonne nouvelle : la
Monnaie de Paris organise une seconde nocturne ludique autour du thème - vous
l'aurez deviné - des années 1980 !
Sortez vos meilleures vestes à imprimés géométriques, et rendez-vous à la
Monnaie de Paris pour cette soirée qui s'annonce inoubliable !
Le Musée Carnavalet consacre une exposition à l'histoire de la fontaine des
Innocents, intitulée De pierre et d’eau, du 24 avril au 25 août 2024.
La Fontaine des Innocents sous toutes les coutures ! Voilà ce que vous invite à
découvrir le Musée Carnavalet à travers sa dernière exposition, De pierre et
d'eau : Histoires de la Fontaine des Innocents, du 24 avril au 25 août 2024.
Cette exposition vous propose plus précisément une immersion inédite dans
l'histoire de l'un des joyaux de la Renaissance française, la Fontaine des
Innocents, ornée des œuvres du sculpteur Jean Goujon. Située dans le quartier
dynamique des Halles, cette fontaine ne se contente pas de structurer l'espace
urbain ; elle raconte aussi des siècles d'histoire parisienne.
La récente restauration de la fontaine, entre 2022 et 2024, offre une occasion
exceptionnelle de découvrir de près les cinq reliefs de nymphes, chefs-d'œuvre
de Jean Goujon, temporairement retirés du monument pour l'occasion. Le Musée
Carnavalet a conçu cette exposition pour redonner vie à ce monument
emblématique, en adoptant une approche audacieuse mêlant l'art et la
technologie. Les visiteurs sont invités à explorer les complexités et les défis
de la restauration des œuvres d'art, un processus fascinant rarement mis en
lumière.
L'exposition ne se limite pas à ces reliefs. Elle propose un parcours riche
d'une centaine d'œuvres de différentes typologies, illustrant les multiples
évolutions et transformations de la Fontaine des Innocents au fil des siècles.
Au-delà de la redécouverte de ce monument, c'est aussi une occasion d'honorer
Jean Goujon, un artiste majeur de son époque, aujourd'hui méconnu. L'influence
de Goujon sur ses contemporains et sur les générations suivantes est également
mise en avant, tout comme la place de la Fontaine des Innocents dans la culture
populaire et son rôle emblématique dans l'histoire de Paris.
Cette exposition se présente donc comme un véritable voyage à travers le temps,
où l'art et l'histoire se rencontrent pour raconter l'histoire de Paris et de
l'un de ses monuments les plus remarquables. On passe par le Musée Carnavalet,
les amis ?
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Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition
inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme,
une invention moderne, un héritage antique".
Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de
Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie
Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les
arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un
héritage antique.
En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père
des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition
sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le
musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers
différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie...
Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors
exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique.
Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se
retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les
artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les
gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout
en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays.
C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer
les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les
écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à
cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son
inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et
des trouvailles archéologiques.
L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces
Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était
un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de
1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir
ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs.
Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et
l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se
mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition
très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la
première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre
français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course
de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896.
Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne
dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.
Célèbre pour ses toiles tressées, l'artiste Fran?ois Rouan expose cette fois-ci
à la galerie Templon une
quarantaine de tableaux photographiques inédits créés depuis 2020.
Pendant près de 40 ans, Rouan s'attache à la déconstruction de la notion de
tableau, à travers un
procédé nouveau qui deviendra sa marque de fabrique : le tressage pictural.
Cependant, dès la fin des années 1980, il se tourne vers la photographique, un
procédé qu'il explore et détourne sans relâche depuis 25 ans, en parallèle de
son travail de peintre.
L'exposition déploie une série d'oeuvres photographiques de petit format. Fruits
d'une insatiable expérimentation et exploration d'un medium insaisissable, les
clichés retravaillés se déclinent autour d'une palette volontairement
dépouillée. Tout en retenue, le noir et blanc se marie de temps à autre avec des
nuances corail ou saumon. Cette apparente simplicité chromatique laisse ainsi la
part belle à quelques-uns des questionnements métaphysiques et obsessionnels de
l'artiste : l'image du corps et le mystère de l'origine du monde. « Je suis
intéressée par l'idée de construire un cadre qui parle du corps féminin »
explique Fran?ois Rouan.
La mode à travers le regard singulier de Martin Parr c'est ce qui vous attend
jusqu'au 26 mai 2024 à la Galerie Clémentine de la Féronnière. Direction l'Île
Saint-Louis pour découvrir une exposition gratuite retraçant 25 ans de
photographie de mode imprégnée de l'esthétique réaliste, kitsch et archi-colorée
de l'artiste.
Venez découvrir la mode sous un nouvel angle à travers l'objectif singulier de
Martin Parr ! L'icône de la photographie contemporaine vous invite à un festin
visuel, où les lignes entre les mondes de la photo de mode, du documentaire et
de l'art s'estompent.
Jusqu'au 26 mai 2024, la Galerie Clémentine de la Féronnière, nichée sur l'Île
Saint-Louis, accueille une exposition gratuite retraçant 25 ans de photographie
de mode signée Martin Parr. Suspendue aux murs de l'adresse, on découvre une
sélection de clichés, provenant de commandes et de projets personnels de
l'artiste, mettant en lumière son style réaliste et reconnaissable entre tous,
un tantinet provocateur et supra-coloré !
Depuis les années 1980, Martin Parr intéresse les magazines de mode grâce à son
approche unique de la photographie publicitaire, bousculant les codes et
capturant l'essence même de la vie, sans filtre et avec une esthétique
kitsch-ironique. Des rues animées de la ville aux coulisses des défilés de haute
couture, Parr nous rappelle que la véritable beauté réside dans l'authenticité
de chaque instant.
De Paris à Los Angeles, de Gucci à Jacquemus, chaque image est une célébration
de la diversité et de la vitalité qui animent notre monde. À travers la vision
unique du photographe, la mode devient un langage universel, transcendant les
barrières de la langue et de la culture.
Pour compléter l'exposition, la librairie de Maison CF se métamorphose en pop up
dédié à Martin Parr, avec une sélection de produits dérivés et un studio photo
pour immortaliser votre propre style avec une touche Parr-esque.
Qu'est-ce qu'on attend !?