Baan Cult, Muang Cult - Wichaya Artamat

Description


********** English **********

In front of us are two small apartments. Two women live in one; in the other, two teenage boys spend time together. In both, the same pervasive sound of Thai state radio is heard, alternating between news items, traditional music, propaganda, and advertising. Suddenly, conversations blossom in parallel. The women talk animatedly about the possible ends of their lives. On the other side, the two boys recall watching the 1993 movie Little Buddha at school, the crush they had on Keanu Reeves in that film, and how one of them became sexually excited thinking about Buddha. Wichaya Artamat is back at the festival with an irreverent take on today’s Thailand, a country where religion, the army, and the monarchy are untouchable pillars of society.
After the success of This Song Father Used to Sing (2019), Artamat returns to naturalistic theatre that employs subtle acting, everyday gestures, and small details. It’s a cinematic style that places us inside two apartments in Bangkok, using satire to go beyond a simple story and express what cannot be expressed openly. With poetry, tenderness, and comedy, Baan Cult, Muang Cult (The Cult of the Home, The One of the Nation) is an unexpected exploration of Thailand’s social structure as a cult.


********** Français **********

Devant nous, deux petits appartements : deux femmes occupent l’un, deux adolescents passent du temps ensemble dans l’autre. La même radio d’état thaïlandaise omniprésente y diffuse alternativement informations, musique traditionnelle, propagande et publicités. Soudainement, les conversations fusent des deux côtés : les femmes parlent de manière animée de leur fin de vie, alors que les garçons se remémorent le film Little Buddha de 1993 visionné à l’école, leur béguin ressenti pour Keanu Reeves dans ce film et comment, rentré chez lui, l’un d’eux s’était senti sexuellement attiré par Bouddha. Wichaya Artamat revient au festival avec un projet irrévérencieux sur la Thaïlande contemporaine où religion, armée et monarchie sont intouchables.
Après le succès de This Song Father Used to Sing (2019), Artamat renoue avec un théâtre naturaliste tout en jeu subtil, gestes quotidiens et petits détails. En nous plongeant dans une perception presque cinématographique de deux appartements de Bangkok, il dépasse le simple récit pour exprimer satiriquement ce qui ne peut l’être ouvertement. Avec poésie, tendresse et moments comiques, Baan Cult, Muang Cult (le culte de la Maison, celui de la Nation) est une exploration inattendue du culte de la structure sociale thaïlandaise.


********** Nederlands **********

We zien twee kleine appartementen op scène: in het ene wonen twee vrouwen, in het andere brengen twee tienerjongens samen tijd door. In beide weerklinkt de alomtegenwoordige radiozender van de staat waarop nieuwsberichten, traditionele muziek, propaganda en reclame elkaar afwisselen. De vrouwen praten geanimeerd over hun mogelijke levenseindes. In het andere appartement halen de jongens herinneringen op aan de film Little Buddha die ze op school zagen, de crush die ze hadden op Keanu Reeves in die film, en hoe één van hen seksueel opgewonden raakte denkend aan Boeddha. Wichaya Artamat komt naar het festival met een vrijpostig project over het Thailand van vandaag, waar religie, het leger en de monarchie onaantastbaar zijn.
Na het succes van This Song Father Used to Sing (2019) keert Artamat terug met een naturalistische vorm van theater gekenmerkt door subtiel acteerwerk, alledaagse gebaren en kleine details. Een theatervorm die ons op bijna filmische wijze meevoert naar twee appartementen in Bangkok, en die middels satire kwesties aankaart waarover niet openlijk gesproken mag worden. Met poëzie, tederheid en humor is Baan Cult, Muang Cult (de cult van het Huis, de cult van de Natie) een onverwachte verkenning van de Thaise samenleving als cultus.

Date info

2023-05-27: 20:00:00 - 21:45:00

2023-05-28: 14:00:00 - 15:45:00

2023-05-28: 18:00:00 - 19:45:00

2023-05-29: 15:00:00 - 16:45:00

2023-05-29: 20:00:00 - 21:45:00

2023-05-30: 20:00:00 - 21:45:00

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Suggested events

********** English ********** François Gremaud has undertaken to revisit three great tragic female figures of the classical performing arts: Phèdre (theatre), Giselle (ballet) and Carmen (opera). Carmen, one of the most famous opéras comiques, is about a rebellious and seductive young bohemian woman who is tragically murdered by her former lover. In keeping with his unique way of turning a lesson into an art form, the author/director offers us a ‘reduction’ of Bizet’s work, tailor-made for a single performer: Rosemary Standley, the singer of the group Moriarty, among others. On stage she will share with us not only the story of Carmen, but also the musical and textual aesthetics of this opera, the historical context of its creation.  Despite the tragic outcome of the story, there will be joy and wonder. These are emotions that the performing arts can release, arts which, against all odds, never cease to celebrate the profound happiness of being in the world. ********** Français ********** François Gremaud s’est attelé à revisiter trois grandes figures féminines tragiques des arts vivants classiques : Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra). Carmen, l’un des plus fameux opéras comiques, met en scène une jeune bohémienne rebelle et séductrice, qui finira tragiquement assassinée par son ancien amant.  Fidèle à sa manière unique d’ériger la pédagogie en art, l’auteur et metteur en scène nous propose une « réduction » de l’œuvre de Bizet écrite sur mesure pour une interprète seule : Rosemary Standley, chanteuse, entre autres, du groupe Moriarty. Celle-ci partage sur scène non seulement l’histoire de Carmen, mais aussi l’esthétique musicale et textuelle de cet opéra et le contexte historique de sa création.  Malgré l’issue tragique du récit, il y aura de la joie et de l’émerveillement. Des émotions que peuvent provoquer ces arts que l’on dit vivants et qui, envers et contre tout, ne cessent de célébrer le bonheur profond d’être au monde. ********** Nederlands ********** François Gremaud heeft drie grote tragische vrouwenfiguren uit de klassieke podiumkunsten opnieuw onder de loep genomen: Phèdre (theater), Giselle (ballet) en Carmen (opera). Carmen, een van de beroemdste komische opera’s, gaat over een rebelse en verleidelijke jonge zigeunerin die op tragische wijze door haar ex-minnaar wordt vermoord. Trouw aan zijn unieke manier om pedagogie tot kunst te verheffen, biedt de auteur/regisseur ons een “reductie” van Bizets werk die op maat werd geschreven voor één enkele vertolkster: Rosemary Standley, zangeres van onder andere de groep Moriarty. Zij deelt op het toneel niet alleen het verhaal van Carmen, maar ook de muzikale en tekstuele esthetiek van deze opera, de historische context van zijn creatie.  Ondanks de tragische afloop van het verhaal zal er vreugde en verwondering zijn. Emoties die kunnen worden opgeroepen door deze “levende” kunsten die, ondanks alles, nooit ophouden met het diepe geluk te vieren om in deze wereld te mogen vertoeven.
Louis est un homme un peu esseulé. Bénévole dans un centre de revalidation pour oiseaux, il croise une cane blessée, à l’œil vif mais fuyant, dont il va prendre soin chez lui et qu’il nomme Frou-Frou. Pourra-t-elle voler de nouveau ? Au prix de quelles péripéties ? Et dans cette rencontre lumineuse et poignante, qui aide l’autre finalement ? Premier texte du recueil Nous sommes à la lisière consacré aux alliances délicates entre la vie sauvage et le monde des humains, Frou-Frou, une vie sauvage, parabole d’une émancipation conjointe, étonne, bouscule et touche.
 Avec sa lucidité coutumière, Caroline Lamarche aborde les enjeux contemporains de la biodiversité tout en déployant une « histoire de bêtes » aussi concrète qu’extraordinaire. Elle nous enjoint à la nécessité de protéger le vivant, elle nous dit la violence sous-jacente de notre monde, la difficulté à s’y faire une place, nous alerte du risque aussi d’avoir un jour un ciel sans volatiles ; son écriture ramifiée trouve en Gaëtan Lejeune l’interprète idéal d’une narration aérienne et précise. Un seul en scène sur le fil, intime et fluide, mais aussi vif et sauvage, sur les interdépendances de l’animal et l’humain, et leurs fragilités mutuelles. En prise constante avec la terre, Frou-Frou, une vie sauvage nous fait rêver très haut, sourire au cœur.
Dans "Othello" de Shakespeare, il y a : le racisme, la guerre, la jalousie, les manipulations, les jeux de pouvoirs... et l'amour aussi. Dans "La question qui fauche (ou l'autre Othello)" il y a les mêmes thèmes, le même canevas. À ceci près qu'on se situe dans une société d'anticipation, dont le système néo-fascisante est post-pandémique. Ça se passe en 2028 : on retrouve Othello, Iago, Desdémone, Émilia, Myckael, Branbantia, Montana, Rodrique, Ludovic, Bianca... Mais il n'est pas nécessaire d'avoir lu "L'Othello" originel avant. On peut venir les mains dans les poches et se laisser bercer par la narratrice Guillemette - clin d'œil à Will - qui nous livrera secrets, méandres et dénouements en commentaires, tandis que nos personnages heurtent leur condition humaine à l'incapacité d'aimer ; quoique... et si tout à coup le pardon arrivait d'on-ne-sait-oû, pour se poser sur la personne qui s'y attend le moins ? « Mais avançons, parce que pendant ce temps, Iago a déjà dix coups d’avance sur sa vengeance. Et il regarde Myckael Cassiel avec un mélange de pitié et de dégoût. Mais personne ne le voit. L’art de feindre est si aiguisé chez Iago, qu’il vient de faire exprès de perdre au poker. » Remerciements chaleureux à : - La Comédie Claude Volter pour son soutien précieux - L'Académie Royale de langue et de littérature françaises pour la nomination du texte en tant que finaliste au "Grand Prix des Arts du spectacle 2022" - Le Carnet et les Instants - Les Amis Mots de compagnie Asbl et Les Oiseaux de nuit Editions de théâtre belge francophone ___________ TARIFS Tarifs libres 8€ / 12€ / 16€ / 20€ Tarif de soutien à partir de 25€ Places individuelles : CHOOSE CE QUE TU BETAALT (tarif libre) C'est vous qui choisissez le prix que vous souhaitez mettre, en fonction de vos moyens et de vos valeurs. À l'exception des Lundi-Théâtre qui restent à 6€ pour tout le monde, nous vous indiquons un prix conseillé qui permet une rémunération juste pour les artistes et une gestion optimale pour le fonctionnement du théâtre, mais à vous de décider ! Payez ce que vous pouvez, ce que vous voulez, ce qui vous fait plaisir, ce qui vous paraît juste, indispensable, équitable et acceptable ! Vous êtes en mesure de payer un peu plus pour le billet? Vous permettez de la sorte que d'autres paient un peu moins. Merci de contribuer à un accès à la culture pour tou.te.s! PREVENTE : en réservant et payant vos places à l'avance, vous évitez le supplément de 2€ pour les achats le soir-même. Vous êtes étudiant.es en Arts du spectacle ou bénéficiaire des tickets Article 27? Ces tarifs restent valables! ___________ HORAIRES mercredi 10/04 - 19h00 jeudi 11/04 - 20h30 vendredi 12/04 - 20h30 lundi 15/04 20h30 mercredi 17/04 - 19h00 jeudi 18/04 - 20h30 vendredi 19/04 - 20h30 mercredi 24/04- 19h00 jeudi 25/04 - 20h30 vendredi 26/04 - 20h30
Louis est un homme un peu esseulé. Bénévole dans un centre de revalidation pour oiseaux, il croise une cane blessée, à l’œil vif mais fuyant, dont il va prendre soin chez lui et qu’il nomme Frou-Frou. Pourra-t-elle voler de nouveau ? Au prix de quelles péripéties ? Et dans cette rencontre lumineuse et poignante, qui aide l’autre finalement ? Premier texte du recueil Nous sommes à la lisière consacré aux alliances délicates entre la vie sauvage et le monde des humains, Frou-Frou, une vie sauvage, parabole d’une émancipation conjointe, étonne, bouscule et touche.
 Avec sa lucidité coutumière, Caroline Lamarche aborde les enjeux contemporains de la biodiversité tout en déployant une « histoire de bêtes » aussi concrète qu’extraordinaire. Elle nous enjoint à la nécessité de protéger le vivant, elle nous dit la violence sous-jacente de notre monde, la difficulté à s’y faire une place, nous alerte du risque aussi d’avoir un jour un ciel sans volatiles ; son écriture ramifiée trouve en Gaëtan Lejeune l’interprète idéal d’une narration aérienne et précise. Un seul en scène sur le fil, intime et fluide, mais aussi vif et sauvage, sur les interdépendances de l’animal et l’humain, et leurs fragilités mutuelles. En prise constante avec la terre, Frou-Frou, une vie sauvage nous fait rêver très haut, sourire au cœur.
Brassant le plus largement possible, Pieuvre 1 explore, à partir d’un fait divers – à moins qu’il ne s’agisse d’un événement dit « tragique » –, les articulations entre l’intime, l’historique et le politique et tente, par l’évocation de ses ondes de choc, de sortir ce fait divers de son caractère individuel.  Dans Pieuvre 2 (Fantômes), ce même fait est à l’origine d’un questionnement poétique sur la présence des morts auprès des vivants ainsi que sur notre besoin de récits, de fiction et de représentation.  Le projet Pieuvre se déploie comme une recherche foisonnante et contrastée, ne se privant d’aucune digression : Françoise Bloch est prête à envisager toutes les « pattes » de la pieuvre qui s’offre à elle. Conception, texte et jeu Françoise Bloch – Interlocutrice dramaturgique Elena Doratiotto – Accompagnement technique Michel Delvigne – Assistanat Cécile Lécuyer et Louise D’Ostuni – Construction et régie Marc Defrise – Développement de projet Julien Sigard – Production exécutive Michel Van Slijpe – Photos Isabelle Nouzha. Une création de Zoo Théâtre, en partenariat avec le Théâtre des 13 vents, CDN de Montpellier. En coproduction avec le Théâtre Océan Nord, le Théâtre Les Tanneurs, La Coop asbl et Shelter Prod. Avec le soutien de MoDul, du Bocal, Taxshelter.be, ING et du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge. La compagnie Zoo Théâtre est soutenue par la Fédération Wallonie Bruxelles, Service de la création artistique. La compagnie Zoo Théâtre est soutenue par la Fédération Wallonie – Bruxelles, Service de la création.  
Ayur
11apr.
-
12apr.
Le chorégraphe Radouan Mriziga présente le deuxième volet de son triptyque sur la connaissance des Amazighs, premier·es habitant·es de l'Afrique du Nord. Ayur est un solo créé pour la danseuse Sondos Belhassen, inspiré par l'ancienne déesse de la lune carthaginoise Tanit. Telle la gardienne d'une sagesse perdue depuis longtemps, elle danse dans et à travers un dôme extraordinaire, récitant des textes de la poétesse Lili Ben Romdhane et du rappeur Mahdi Chammen. Dans un tissage de danse, de texte et d'architecture aux touches argentées, elle évoque le passé à la recherche d'un avenir plus inclusif. • Radouan Mriziga est un chorégraphe originaire de Marrakech vivant à Bruxelles. Après avoir étudié à P.A.R.T.S., il crée sa première oeuvre 55 (2014), suivie de 3600 (2016), 7 (2017) et de la série 0. (2019) dans laquelle il aborde la danse à travers le prisme de l'architecture. Depuis 2019, il développe un nouveau triptyque inspiré de la culture et de l'histoire amazighes. Il sera artiste en résidence chez deSingel à Anvers jusqu’en 2025. • Sondos Belhassen est une actrice, danseuse et chorégraphe tunisienne. Elle a enseigné à El Teatro, à l'École nationale du cirque et à l'École nationale du théâtre de Tunisie. Avec Malek Sebaï et Patricia Triki, elle a créé les spectacles Manel wu Sawssen (2007) et La prison des délits de cœur (2010) pour le festival Dream City à Tunis.
La Compagnie des Nouveaux Disparus débarquent à la Place De Brouckère en avril 2024 pour présenter son nouveau spectacle "Le Songe" ! Les représentations sont organisées dans le cadre de son projet transnational La Nomad House, un centre culturel itinérant conçu autour de la question migratoire qui voyagera à travers 6 pays pendant 4 mois, en commençant par la Belgique. Du 12 au 20 avril 2024, "Le Songe" sera joué pour 6 représentations publiques sur la mythique Place De Brouckère au cœur de Bruxelles. Le Songe est une ré-imagination de la pièce "Le Songe d’une nuit d’été" de William Shakespeare qui utilise la question migratoire comme point focal du récit. Dans cette version revisitée, une troupe de théâtre en pleine répétition de la célèbre pièce voit sa journée prendre une tournure inattendue lorsqu’une partie du groupe accueille incognito dans le théâtre… des migrant·es en détresse. Pensée comme une comédie dramatique, les spectateur·rices vont autant rire que s’émouvoir et en ressortiront avec un élan d’espoir. En parallèle, le public pourra assister à une exposition photo réalisée par la photo-journaliste Selena Magnolia, ainsi qu'à une conférence organisée en collaboration avec l'Université de Liège portant sur "les représentations des migrant·es et de la migration dans les pratiques culturelles". Toutes les activités sont gratuites, mais une réservation est requise pour "Le Songe" et la conférence en raison d'une capacité limitée. Vous pourrez réserver vos places via le site www.lanomadhouse.com [www.lanomadhouse.com] une fois que celles-ci seront ouvertes.
Les Kat’s c’est une bande de filles hors-la-loi, une bande de bras cassés un tantinet foireuses, un brin immorales, qui braquent une banque. Cinq femmes au bout du rouleau qui font un casse. Parce que faut prendre le blé là où il est : dans les banques. Mais elles se retrouvent dans une planque avec les diam’s et… une otage enceinte. Pour se sortir de ce guêpier faudra choisir, le chacun pour soi ou l’entraide. Reste à voir. L’argent ne faisant pas le bonheur des pauvres, elles manquent d’expérience et n’en touchent pas une en matière de hold-up. Faudra faire preuve de pas mal de sang-froid et d’une solide dose d’humour et d’audace, pour se tirer d’affaire. Un huis clos façon « Reservoir dogs » de Tarantino, ça vous parle ? Remake d’une version présentée au Public en 1998, revoici les Kat’s. Une nouvelle bande de comédiennes se réapproprie le texte de Valérie Lemaître et se lance dans l’aventure d’un braquage… à la sauce belge. Elles sont sans foi ni loi, craquantes, drôles et punchies. Retrouvez avec bonheur les kat’s dans une distribution au poil, pour tous les publics. __________ De Valérie Lemaître / Mise en scène : Valérie Lemaître / Avec : Morgiane El Boubsi, Jeanne Kacenelenbogen, Shérine Seyad, Chloé Struvay __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
Les Kat’s c’est une bande de filles hors-la-loi, une bande de bras cassés un tantinet foireuses, un brin immorales, qui braquent une banque. Cinq femmes au bout du rouleau qui font un casse. Parce que faut prendre le blé là où il est : dans les banques. Mais elles se retrouvent dans une planque avec les diam’s et… une otage enceinte. Pour se sortir de ce guêpier faudra choisir, le chacun pour soi ou l’entraide. Reste à voir. L’argent ne faisant pas le bonheur des pauvres, elles manquent d’expérience et n’en touchent pas une en matière de hold-up. Faudra faire preuve de pas mal de sang-froid et d’une solide dose d’humour et d’audace, pour se tirer d’affaire.Un huis clos façon « Reservoir dogs » de Tarantino, ça vous parle ?Remake d’une version présentée au Public en 1998, revoici les Kat’s. Une nouvelle bande de comédiennes se réapproprie le texte de Valérie Lemaître et se lance dans l’aventure d’un braquage… à la sauce belge. Elles sont sans foi ni loi, craquantes, drôles et punchies. Retrouvez avec bonheur les kat’s dans une distribution au poil, pour tous les publics.__________De Valérie Lemaître / Mise en scène : Valérie Lemaître / Avec : Morgiane El Boubsi, Jeanne Kacenelenbogen, Shérine Seyad, Chloé Struvay__________UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
DUREE - 1h20 _______________________________________________________ Babette, Vasco, Ayoub, Haby, Abigael, Paloma et Viggo ont entre 14 et 20 ans. Comme la plupart des adolescent·e·s, iels sont en quête d’indépendance et de liberté. Ce soir, ces jeunes les cherchent dans la fiction. Sur une scène de théâtre, ou peut-être est-ce sur le sable de la plage artificielle d’Hofstade à la bordure de Bruxelles, iels se mettent à jouer des personnages, à s’essayer à d’autres versions d’elleux-mêmes et tentent de jouer avec les rôles qui leur sont assignés. Iels commencent alors à raconter l’histoire d’une fugue. Et si le lac et la plage artificielle devenaient l’océan Atlantique ? Et s’iels construisaient un voilier pour traverser les flots ? Et si… ? Qu’est-ce que nos choix de fiction racontent de nous ? Les jeunes convoquent alors un adulte, un acteur expérimenté, un « vrai » interprète. Mais pas de chance, Benoît Gob n’en sait pas vraiment plus. Dans une soif d’aventures célébrant les révoltes, les joies et les peurs, le diptyque Ecume explore ce qui circule d’un être à l’autre, d’une génération à l’autre, d’un voyage à l’autre. Avec pour cap, un questionnement : Est-ce qu’un destin, ça se choisit ? Et qu’est-ce qu’on fait quand on n’aime pas le nôtre ? Quelles sont nos marges d’action ? _______________________________________________________ AFTER SCENE - Sa 13.04 après la représentation. Avec l’équipe du spectacle. _______________________________________________________ Mise en scène, texte et chorégraphie Ilyas Mettioui – Avec Benoît Gob, Abigael Kermu, Ayoub Benali, Babette Verbeek, Haby Kasse, Vasco Fiorini, Viggo Ebouélé, Paloma Labru - Dramaturges Zoé Janssens, Tatjana Pessoa - Assistant mise en scène Alice Valinducq – Collaboration chorégraphie Lila Magnin – Scénographie Aurélie Borremans - Création son Guillaume ISTACE - Régie générale et lumière Aurélie Perret - Régie son Sébastien Destrait - Réalisation costume et construction décor Les Ateliers du Théâtre de Liège - Photo visuel D.R. Production Théâtre de Namur. Co-production Cie Le Boréal, Théâtre de Liège, Théâtre Le Rideau, Central La Louvière, la COOP asbl et Shelter Prod. Avec le soutien de taxshelter.be, ING et du tax-shelter du gouvernement fédéral belge, de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service du théâtre.