Tablao avec Isabel Gazquez & Josele Miranda

Description

Démarrage pied au plancher avec nos profs adoré.e.s !​

Andalouse d’origine, Isabel Gazquez a grandi au cœur de la culture flamenca. Habitée, entre rage et puissance, son geste est à la fois délicat et cinglant. Son enseignement est enrichi par sa réflexion intime et son regard original posés sur la danse. Isabel a participé à pas moins d’une vingtaine de spectacles différents. Une vraie personnalité, racée et authentique !

Pédagogue reconnu, Josele Miranda est aimé pour sa générosité et son énergie. Il pratique un flamenco puro et noble, inspiré de sa formation avec Isabel Gazquez, Carmen Rubio, Antonio Canales et Farruquito. Quand il danse, la scène devient sienne : la force et l’émotion qui se dégagent, la complicité qu’il établit avec le public font de Josele Miranda un immense bailaor.

Artistes : Isabel Gazquez, Josele Miranda, Jesus De La Manuela, Manuel Gomez, Anton Fernandez

Publié par : Ville de Marseille

Date info

Samedi 1er octobre 2022 à 20h30.

Tickets

Info:

Plein tarif : 15 €.

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Dans un espace-temps indéfini, un être seul, étendu, s'inscrit dans un rectangle vert électrique. Un c'ur qui pousse, un corps qui cherche. Par la tête, le bassin, ou les pieds, il s'essaie à soulever sa mécanique, éprouve de se dresser, avançant tant bien que mal sur des éclats de sons. Tel un homme suspendu au sol qui rêve de marcher en l'air, il tente, se trompe, tombe, se risque à nouveau, repoussant toujours plus loin les limites de l'espèce. Entre odyssée, conte philosophique et récit de science-fiction, Érection suit le fil de l'évolution humaine, de l'homme-individu et de l'homme social. Jouant avec des effets sonores et vidéos hypnotiques créés en direct, Pierre Rigal lutte contre la gravité de toute son énergie et sa sensualité. Concentré sur cette seule action fondamentale, se dresser, il réussit à danser l'histoire de l'humanité. Un spectacle culte, tout simplement !
Mieux vaut ne pas arriver en retard à « Même » car l'histoire pourrait commencer lorsqu'on ne l'attend pas... D'emblée, le public est transporté dans un studio où neuf personnes travaillent à une pièce nébuleuse : une vraie-fausse répétition prétexte à une création tressée de surprises. Pris dans la minutieuse harmonie de leurs mouvements, les danseurs sont stoppés par un incident. Et la troupe entière de se lancer dans d'absurdes calculs, qui culminent en un irrésistible et réjouissant imbroglio. « Même » est une farce truffée de gags corporels au gré de rituels étranges faits de théâtre, de chant et de danse. Dans cette course poursuite frénétique, les acteurs se laissent ballotter entre éclats de rire et angoisses névrotiques et semblent ne pas comprendre ce qu'il leur arrive. Un cycle infernal où impressions de déjà-vu, boucles et décalages s'enchaînent à travers les sons, les gestes, les paroles et les attitudes. Alors ils dansent, chantent, parlent en accéléré ou en décéléré, en stop motion, en muet, en retard les uns par rapport aux autres, ou plutôt en décalage... Et le temps lui-même est dérouté et s'amuse à les perdre dans leur propre spectacle. Une douce folie orchestrée de main de maître par Pierre Rigal qui, sous ses allures de laboratoire loufoque, sonde les profondeurs de la condition humaine. Interprétation : Pierre Cartonnet, Antonin Chaumet, Mélanie Chartreux, Gwenaël Drapeau, Julien Lepreux, Pierre Rigal, Denis Robert, Juliette Roudet, Crystal Shepherd-Cross Sur une musique en direct de Microréalité Collaboration artistique : Roy Genty Accessibilité
La Belle au bois dormant, l'une des œuvres les plus célèbres de la littérature de ballet et un merveilleux conte de fée pour enfants. Dansé par le meilleur ensemble de ballet de Russie, le « St. Petersbur Festival Ballet», cette œuvre raconte la fabuleuse histoire d'après le conte de fées « La belle au bois dormant » de Charles Perrault, créé en 1890 sous la forme d'un ballet sur la musique de Pyotr Ilitch Tchaïkovski et la chorégraphie de Marius Petipa. Une féérie impressionnante de beauté, d’élégance et de grâce combinée à des costumes époustouflants, une scénographie véritablement royale et la passion unique du «Saint-Petersbourg Festival Ballet» captivent le public de manière étonnante dans le monde féerique de la fantaisie et des rêves. Une œuvre d'art accomplie accompagnée par l'orchestre live La Belle au bois dormant était une bel enfant. Un monde de conte de fées, de princes et d’une belle fille : le meilleur ensemble de ballet du « Saint-Petersbourg Festival Ballet» présente la fabuleuse histoire de l'un des contes de fées pour enfants les plus populaires de notre époque, La Belle au bois dormant. Connu à l'origine en Allemagne comme étant un conte des frères Grimm, l'histoire de la jeune fille, maudite par une méchante fée et ne pouvant être sauvée que par le baiser du véritable amour, a été adaptée en tant que ballet et produite en 1890 au Théâtre Mariinsky à Saint-Pétersbourg. La Belle au bois dormant est toujours l’un des ballets les plus populaires et fait désormais partie jusqu'à ce jour du répertoire international du ballet classique. Le ballet La Belle au bois dormant a été créé en étroite collaboration entre Peter I. Tschaikowski et Marius Petipa, probablement le plus important chorégraphe du XIXe siècle. Il fascine et chouchoute le connaisseur par sa perfection formelle et de son expression chorégraphique et musicale sophistiquée. Grâce à son caractère directe fantastique et à sa splendeur théâtrale, le ballet La Belle au bois dormant captive également un large public. Outre la scénographie grandiose du brillant metteur en scène Vyacheslav Okunev, qui travaille entre autres pour le Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg et la Scala de Milan, et leurs magnifiques costumes, l'élégance sans frontières et la légèreté insouciante de l'ensemble «Saint-Petersbourg Festival Ballet» proposent une version onirique et féérique d'un ballet classique qui continue de fasciner après plus de 100 ans.
Un conte musicalo-cacophonique, interactif avec marionnettes. Rien ne va plus dans la forêt des émotions ! L'Écureuil est en colère, Dame Chouette n'arrête pas de pleurer et le grand gentil Loup est mort de peur... Le petit rossignol a beau être joyeux et annoncer le printemps, c'est le chaos ! Il faut remettre de l'ordre dans tout ça...
Un texte acidulé, des impros fulgurantes, un stand-up qui sort des sentiers battus. Dans ce spectacle, Félix Dhjan se joue du monde moderne avec un style très singulier. Pensionnaire du Jamel Comedy Club sur Canal+, chroniqueur sur Rire et Chansons avec son personnage Monsieur Connard, Félix débarque sur scène avec un spectacle authentique, cru et hilarant. On pourrait vous décrire ce spectacle avec des mots ringards comme décapant ou abracadabrantesque mais ça nous ennuie d'avance alors venez. Ou jetez ce flyer sur une vieille dame. Bisous Le Saviez-vous ? - Membre de la Troupe du Jamel Comedy Club - Participation à la Saison 10 de l'émission retransmise sur Canal+ - Membre de la Troupe du Point Virgule fait sa tournée - Participation au Gala Le Point Virgule fait l'Olympia (2019) - Participation au Festival d'humour de Paris à Bobino (2019) - Prix du Public au Dinard Comedy Festival 20ème Edition (2017) - Chroniqueur sur Rire et chansons. - Vidéos cumulant plus de 22 millions de vues sur Facebook
La Biennale des écritures du réel Créée en 2012 par le Théâtre La Cité , la Biennale des écritures du réel est un festival qui s’ancre à Marseille pour mettre en dialogue art, politique et société. Elle défend la vision d’un théâtre engagé et partagé qui explore de nouvelles relations entre artistes et chercheur.euses, auteur.rices, enseignant.es, habitant.es, jeunes publics… Paroles, récits, poèmes d’un réel à vif, les écritures du réel nous invitent, à la croisée du politique et du poétique, à questionner le monde avec les yeux des autres. Un festival de deux mois, du mercredi 20 mars au samedi 25 mai 2024, imaginé en trois grandes traversées autour d’une cinquantaine d’événements – théâtre, danse, littérature, cirque, cinéma, conférences, ateliers & scènes partagées – dans plus d’une vingtaine de lieux partenaires. À l’image des activités du Théâtre La Cité, le travail avec les publics et les territoires de la Biennale se construit à l’intersection du « voir » et du « faire ». Ce festival marque l’aboutissement d’un travail de dix créations partagées avec les habitant·es et la jeunesse de cette ville visant à valoriser leurs récits invisibilisés. Elle propose aussi trois journées festives et partagées construites avec nos partenaires et les habitant·es des territoires dans lesquels nous travaillons quotidiennement. Ces rendez-vous, qui mêlent propositions artistiques et événements participatifs, se déploient dans plusieurs quartiers de la ville : au centre, dans les quartiers Belle de Mai – Saint-Mauront – Saint-Lazare, au nord, dans les quartiers La Viste et Consolat, et à l’est, à La Rouguière et La Valbarelle. La Biennale propose enfin des ateliers de pratique artistique et des actions de médiation culturelle, en cohérence avec les besoins des publics accompagnés par nos partenaires socio-éducatifs. 3 traversées thématiques La programmation de cette septième édition se parcourt en trois grandes traversées. Chacune d’entre elles trace un chemin dans le réel, du je au nous, de l’intime au politique. traversée #1 . (se) dire Au départ, ça commence par un Je. Et puis, d’autres voix surgissent en chemin. De récit en récit, des petites aux grandes histoires, des vies se croisent et se répondent. traversée #2 . renverser Dévier nos regards et inverser nos perspectives. Comprendre et détricoter ces grandes machines qui régissent nos sociétés. traversée #3 . faire nous Qu’est-ce qui nous rassemble ? Qu’est-ce qui nous sépare ? Comment faire famille, faire couple, faire troupe aujourd’hui ? Découvrir la programmation ! Publié par : Ville de Marseille
Patapon est un petit enfant sage et guilleret, adorant chanter et jouer. Il adore s'amuser avec son doudou Nounours, et Patapon rêve de pouvoir lui parler, chanter avec lui, jouer au ballon. Mais Nounours reste désespérément muet... Ce qui attriste énormément Patapon. Patapon s'endort et va vivre une aventure extraordinaire où ses rêves vont se réaliser et où les doudous du monde entier enchanteront ses songes. Un spectacle en chanson où Patapon rencontrera Monsieur le lion et son lionceau, un chiot, une licorne ainsi que de nombreux amis qui lui permettront de réaliser ses rêves... Jusqu'à ce que Nounours lui-même accompagne Patapon en chanson jusqu'au bout de son rêve.
Evénement autour des arts urbains intégrant des ateliers artistiques, des espaces de rencontres et d’échanges entre jeunes issus du centre social et ceux des autres structures de proximité. Le projet intègre des stages d’écriture, sessions en studio et réalisation d’un clip, du breakdance, skate, arts éphémères, scène ouverte, représentation théâtrale. La Ville de Marseille soutient, via la Direction du Lien Social, de la Vie Associative et de l’Engagement Citoyen, des projets Olympiade Culturelles portées par des structures sociales. Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Il n'y a pas de terme précis pour définir la féminité d'un homme. En Europe, l'homme féminin est difficilement accepté. Au Mexique, chez les Zapotèques, existe ce que l'on peut appeler un troisième genre reconnu : les Muxes. Elles vivent pleinement leur féminité. À l'occasion des fêtes, elles portent même la tenue traditionnelle : robe colorée, chevelure fleurie, bijoux imposants et dentelle. Pourtant, il n'est pas toléré qu'elles aient une vie conjugale exposée. Explorant cette contradiction, Sous les fleurs, de Thomas Lebrun, est un opus chamarré aux références enchanteresses, pensé comme un documentaire chorégraphique. Autour de la partition du « Spectre de la rose » de Berlioz et de musiques traditionnelles mexicaines sont réunis quatre danseurs, un comédien-danseur-chanteur et un anthropologue chercheur en danses traditionnelles mexicaines. Ensemble, ils investissent le vocabulaire de l'expression des genres pour mieux le subvertir : danse de femmes ou d'hommes, danse féminine dans un corps masculin, danse non genrée, danse en transformation continue. Les gestes se fondent dans un mouvement d'ensemble pour évoquer la féminité chez l'homme sans la réduire, comme c'est communément le cas, à sa dimension sexuelle. Un rêve de ce qui pourrait exister, autant qu'un souvenir de ce qui a été, pour, à travers une chorégraphie sensible aux variations subtiles, ouvrir aux corps le champ des possibles.t