Le Prisonnier de la Bastille

Paris, France

Description

Visite enquête à Paris : Le prisonnier de La Bastille Jeu de piste Billet valable 1 an à partir de la date d'achat Réservation obligatoire au numéro ou sur le site internet inscrits sur le billet. Attention : réservation possible seulement 24h après l'achat des billets. Ce jeu de piste conçu par vous propose d'accomplir le rêve de tout historien : remonter le temps pour vivre de l'intérieur l'une des journées les plus emblématiques de l'Histoire de France ! Votre aventure vous fera rencontrer Maxime Delavoix, un habitant de Paris de 1789, qui se voit confier la mission d'organiser l'évasion d'un prisonnier énigmatique, enfermé dans les cachots de la prison royale de la Bastille. Nous sommes le 14 juillet 1789, et Maxime se trouve rapidement embarqué au cœur de l'agitation et des évènements qui convergent tous vers un point central : la forteresse de la Bastille. Grâce aux cartes anciennes et aux indications du roadbook qui vous sera remis, vous résoudrez les énigmes pour guider les pas de Maxime dans les anciennes rues de 1789 et vivre à travers lui la Prise de la Bastille de l'intérieur. Chaque pas vous rapprochera un peu plus de votre objectif : aider Maxime à libérer le plus vieux prisonnier de la Bastille, et comprendre les intentions de ses mystérieux commanditaires. INFORMATIONS PRATIQUES - Jours de visite : le week-end uniquement - Durée de la visite : 2h - La visite se déroule en extérieur : l'enquête dure environ 2 heures, selon votre rythme. Un animateur vous accueillera au début de l'enquête pour vous donner les consignes et interviendra à la fin pour désigner l'équipe gagnante. - Tarif enfant : de 12 à 17 ans - Visite déconseillée aux moins de 12 ans

Tickets

Info:

  • Standard - 13 €

1 Picture

Suggested events

Avis aux amateurs de néo-pop art ! L’artiste japonais Takeru Amano expose ses œuvres à la galerie Sato à Paris du 20 avril au 12 mai 2024 à l’occasion de sa nouvelle installation personnelle intitulée « IMA ». Considéré par beaucoup comme le maître du néo-pop art japonais, Takeru Amano annonce son retour à Paris ce printemps avec une nouvelle exposition personnelle intitulée « IMA », qui signifie "maintenant/le moment" en japonais. A ne pas manquer à la galerie Sato du 20 avril au 12 mai 2024, cette nouvelle installation est l’occasion de découvrir l’univers coloré de cet artiste énigmatique ainsi que toute sa diversité artistique. La galerie Sato, récemment inaugurée dans le 3e arrondissement de Paris, annonce ainsi l’exposition de plusieurs portraits des Venus, ces fameuses icônes qui font désormais la signature de l’artiste originaire de Tokyo. Les visiteurs pourront également admirer des natures mortes du peintre et sculpteur nippon, ainsi que des paysages réinterprétés avec le style artistique distinctif de Takeru Amano. Parmi les œuvres à ne pas manquer, la galerie Sato cite aussi une sculpture de la Venus entièrement réalisée en bois. De l'acrylique sur toile aux sculptures en bois et en bronze, Takeru Amano fusionne une variété de techniques artistiques que la Galerie Sato vous invite donc à découvrir gratuitement ce printemps à Paris. Notez que la galerie a mis en place une plateforme dédiée accessible ici pour réserver un créneau de visite. Artiste de renom, Takeru Amano est le fils de Yoshitaka Amano, connu pour l’univers du jeu vidéo Final Fantasy. Baignant dans l'univers artistique depuis tout petit, Takeru Amano a su développer son propre style au fil des années, inspiré directement de la culture japonaise de la fin du XXe siècle dans laquelle il a grandi. Le style artistique de Takeru Amano se caractérise notamment par la juxtaposition de sujets classiques, philosophiques et mythiques avec des éléments de pop art, comme le "kawaii". Preuve de sa renommée, ses œuvres ont déjà été exposées à Tokyo, Hong Kong, New York ou encore Londres. Du 20 avril au 12 mai 2024, Takeru Amano revient donc à Paris avec son installation "IMA" qui promet de nous surprendre !
Avec La Maison de mon esprit, Old Masters offre aux enfants un refuge pour leur imaginaire, leur créativité et leur faculté à réinventer le monde… « C’est l’histoire de Kim, Cleub et Mauro qui fabriquent des choses avec toutes sortes d’objets. C’est leur truc. Ils reçoivent la visite de Jonathan, le cousin de Cleub. Jonathan trouve tous ces trucs qu’ils font vraiment incroyables. Et lui, tout ce qu’il fait, il trouve ça nul. Mais vas-y, Jonathan, vas-y, fais ton truc ! » Avec cette pièce joyeuse et fantaisiste, les jeunes spectateurs sont invités à un voyage dans la maison de leur esprit, pour tenter de renforcer leur libre arbitre et leur autonomie, en s’appuyant sur le pouvoir de l’imagination. Un univers scénique dans lequel chaque vision individuelle peut exister et s’exprimer, et où tous les points de vue concourent à une réalité explosée, colorée, merveilleuse et puissante. Et si changer le monde passait d’abord par la façon dont nous appréhendons ce qui nous entoure ?
Conférence par Sophie Caron, musée du Louvre, et Hélène Dubois, IRPA (Institut royal du patrimoine artistique, Belgique) La restauration de La Vierge du Chancelier Rolin est l’occasion de regarder différemment ce très grand chef-d'œuvre de la peinture flamande. En prolongement de l’exposition, cette rencontre invite à mieux comprendre ce qui fait de cette peinture une véritable expérience sensorielle : pour l’oeil, lorsqu’on la compare à un autre grand tableau de l’artiste récemment restauré, Le Retable de l’Agneau Mystique. En lien avec l'exposition "Revoir Van Eyck. La Vierge du Chancelier Rolin" du 20 mars au 17 juin 2024 au musée du Louvre
Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe du 23 avril au 27 octobre 2024. Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce que pourrait être notre futur. Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu. L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés. Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir les mondes de demain. En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses défauts, et, peut-être, de se redéfinir. Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024. Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à l'existence ! Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024. Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard cosmopolite sur l'art contemporain. Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante, oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la relation entre la chair et notre environnement. L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation, spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre, symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie s'épanouit. La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives. Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky. En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
SOMEBODY
23apr.
-
28apr.
SOMEBODY, une expérience intime du corps Le corps est une source infinie d'inspirations, une exploration captivante de l’humain dans sa forme la plus authentique. Chercher à capturer sa grâce, sa vulnérabilité et sa puissance, révèle une partie de l’essence de l'existence. Pour l’exposition SOMEBODY, le corps est célébré nu. Les œuvres offrent une variété de perspectives, aux supports et procédés multiples. La peinture, le dessin, la photographie et la sculpture sont réunis pour soumettre une combinaison protéiforme du corps. Sous cette superposition de styles, chaque œuvre témoigne de manière unique. L’organique se transforme en représentations iconiques alliant la force brute des lignes et la délicatesse des courbes. Le corps se plie aux exigences de l’éclatement des points de vue. Il se lit ici à l’infini : figuré, déstructuré ou abstrait. Comme un puzzle, les figures surgissent en champs ouverts de dos, de face, de profil et s’affirment dans leur individualité. Les esquisses délicates captent l'instant éphémère, tandis que les sculptures immortalisent la solidité sculpturale du corps humain. La gestuelle est étudiée pour en extraire le caractère et la tension qui s’expriment à l’affût de l’instant, laissant le corps apparaître sous une certaine contorsion. Dans ce ballet de mouvements à la légèreté fugitive et évanescente, le nu poétique et le cru érotique dialoguent. Ils nous propulsent vers cette attraction vertueuse et sensible et nous rappellent que le corps est objet de désir. SOMEBODY est une célébration audacieuse du corps qui explore la complexité de notre condition. Une expérience sensuelle de la perception de soi et des autres qui questionne sur l’essence du beau. Le regard est ici porté sur la diversité des figures, des formes et des tailles qui composent la richesse de notre humanité. Caroline Canault, Commissaire d’exposition. Teaser : https://www.youtube.com/watch?v=-8ET_IAFBrA Catalogue : https://heyzine.com/flip-book/d2c36466d3.html
Montez dans la DeLorean, la Monnaie de Paris nous fait remonter le temps jusqu'aux années 1970 ! L'institution nous propose une soirée festive et ludique autour de l'exposition Insert Coin le 24 avril 2024. C'était l'époque des pattes d'eph', des robes fleuries, de Queen, Abba, Michael Jackson, Serge Lama, des Bee Gees et de David Bowie, c'était l'époque des boules disco, de Pong et d'Atari... C'étaient les années 1970 ! Une période que les moins de 20 ans n'ont pas connue, mais qu'ils peuvent découvrir à la Monnaie de Paris. L'institution organise une soirée exceptionnelle, festive et ludique, le mercredi 24 avril 2024. En marge de son exposition Insert Coin, qui s'intéresse aux machines de jeux et salles d'arcade, le musée propose une nocturne à thème, ouverte à tous. Dans un décor immersif, qui nous plonge dans un café des années 1970, la Monnaie de Paris nous invite à jouer et à explorer cette décennie si spéciale, qui a révolutionné le monde du jeu. Aux côtés des commissaires d'exposition et des étudiants de la XP School, découvrez toutes les particularités culturelles de ces années "flower power". Et bien sûr, vous pouvez défier vos amis ou vos proches sur les différents flippers, jeux d'arcade ou jeux de café mis à disposition dans l'exposition. Le disco et le mouvement hippie, ce n'est pas votre tasse de Tang ? Vous préférez l'ambiance électro ou punk-rock des années 80 ? Bonne nouvelle : la Monnaie de Paris organise une seconde nocturne ludique autour du thème - vous l'aurez deviné - des années 1980 ! Sortez vos meilleures vestes à imprimés géométriques, et rendez-vous à la Monnaie de Paris pour cette soirée qui s'annonce inoubliable !
Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique". Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique. En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie... Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique. Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays. C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et des trouvailles archéologiques. L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de 1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs. Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896. Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.
Le Musée Carnavalet consacre une exposition à l'histoire de la fontaine des Innocents, intitulée De pierre et d’eau, du 24 avril au 25 août 2024. La Fontaine des Innocents sous toutes les coutures ! Voilà ce que vous invite à découvrir le Musée Carnavalet à travers sa dernière exposition, De pierre et d'eau : Histoires de la Fontaine des Innocents, du 24 avril au 25 août 2024. Cette exposition vous propose plus précisément une immersion inédite dans l'histoire de l'un des joyaux de la Renaissance française, la Fontaine des Innocents, ornée des œuvres du sculpteur Jean Goujon. Située dans le quartier dynamique des Halles, cette fontaine ne se contente pas de structurer l'espace urbain ; elle raconte aussi des siècles d'histoire parisienne. La récente restauration de la fontaine, entre 2022 et 2024, offre une occasion exceptionnelle de découvrir de près les cinq reliefs de nymphes, chefs-d'œuvre de Jean Goujon, temporairement retirés du monument pour l'occasion. Le Musée Carnavalet a conçu cette exposition pour redonner vie à ce monument emblématique, en adoptant une approche audacieuse mêlant l'art et la technologie. Les visiteurs sont invités à explorer les complexités et les défis de la restauration des œuvres d'art, un processus fascinant rarement mis en lumière. L'exposition ne se limite pas à ces reliefs. Elle propose un parcours riche d'une centaine d'œuvres de différentes typologies, illustrant les multiples évolutions et transformations de la Fontaine des Innocents au fil des siècles. Au-delà de la redécouverte de ce monument, c'est aussi une occasion d'honorer Jean Goujon, un artiste majeur de son époque, aujourd'hui méconnu. L'influence de Goujon sur ses contemporains et sur les générations suivantes est également mise en avant, tout comme la place de la Fontaine des Innocents dans la culture populaire et son rôle emblématique dans l'histoire de Paris. Cette exposition se présente donc comme un véritable voyage à travers le temps, où l'art et l'histoire se rencontrent pour raconter l'histoire de Paris et de l'un de ses monuments les plus remarquables. On passe par le Musée Carnavalet, les amis ? Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
A quelques mois de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le Mobilier national présente au public le travail mené pour restaurer les décors du monument, lors d'une exposition gratuite du 25 avril au 26 juillet 2024. Après l'incendie du 15 avril 2019, la cathédrale de Notre-Dame de Paris n'a jamais été aussi proche de rouvrir ses portes au public ! En décembre 2024, nous pourrons enfin redécouvrir ce monument emblématique de la capitale, reconstruit grâce au savoir-faire de nos artisans français. Du 25 avril au 26 juillet 2024, la DRAC Île-de-France et le Mobilier national s'associent pour présenter une exposition gratuite autour des décors de Notre-Dame de Paris, au sein de la Galerie des Gobelins. L'occasion d'admirer des chefs-d’œuvre sauvegardés après l’incendie mais aussi des pièces contemporaines imaginées pour remeubler la cathédrale et apporter une touche de modernité. L'exposition souligne le travail mené depuis cinq ans pour restaurer et repenser le décor intérieur de la cathédrale, avec un savoir-faire d'excellence. Parmi les œuvres majeures, on peut trouver treize grands Mays, dus aux meilleurs peintres du XVIIe siècle, montrés pour la première fois depuis deux siècles dans une même scénographie, ainsi qu'un tapis de chœur monumental offert par Charles X. Découvrez également le nouveau mobilier liturgique et les assises de la cathédrale, issus d’un concours lancé en 2023 !