220e Foire aux santons de Marseille

Description

Rendez-vous traditionnel et populaire de cette fin d’année, la Foire aux santons  ouvre ses chalets du samedi 19 novembre au samedi 31 décembre 2022 inclus (ouverture au public de 10h à 19h tous les jours, avec des nocturnes, jusqu’à 20h, les vendredis et samedis en novembre et jusqu’à 21h, les vendredis et samedis en décembre).

Véritable vitrine du savoir-faire des artisans santonniers, cet événement né peu après la Révolution française a réussi à générer une vraie ferveur populaire et à défier le temps sans jamais prendre une seule ride. Marseille est devenue la capitale du santon et a créé sa première foire il y a 220 ans.
C’est à ce titre, la plus ancienne foire aux santons de Provence, une tradition qui se transmet de génération en génération et fait chaque fin d’année le bonheur des petits et des grands !Toujours très colorés, représentatifs des métiers provençaux, les santons et leur foire attirent de nombreux visiteurs en quête du nouveau personnage qui viendra enrichir leur crèche de Noël.

L’inauguration aura lieu le dimanche 20 novembre à 12h au son des tambourins et en présence de groupes folkloriques à l’issue de la messe des santonniers célébrée en provençal, en l’église Saint Ferréol les Augustins, située quai de la Fraternité.

La 220e édition de la Foire aux santons vous fait découvrir son lot de nouveautés ou encore le petit plus pour compléter votre crèche auprès des santonniers passionnés.

La première crèche connue en France date de 1775 et nous vient … de Marseille ! Constituée de petits mannequins articulés, vêtus de costumes provençaux, elle est précieusement conservée au sein du Musée du Vieux Marseille.

Mélange de profane et de religieux, les personnages de la crèche sont les « santoun », « petits saints » en provençal. Jusqu’à la fin du 18ème siècle, on ne parle pas de « santons » mais de « figures ». Ces dernières sont des pièces uniques qui nécessitent beaucoup de travail et d’habileté. Leur prix est donc élevé et peu sont les Marseillais à pouvoir en posséder une à demeure.

C’est le Marseillais Jean-Louis Lagnel (1764-1822) qui démocratisa les crèches provençales en industrialisant la technique du moule en 1798. Le succès fut immédiat :  » les santons à un sou » investissent, à partir de cette date, les foyers des Marseillais, devenant ainsi des santons traditionnels. Aujourd’hui, la technique de fabrication des santons reste à peu près la même qu’en 1798 : argile cuite au soleil ou au four, peinte à la gouache ou à la détrempe. Pour fabriquer ses personnages, Jean-Louis Lagnel s’inspire du quotidien du petit peuple de Marseille, de ses traditions et de ses métiers : le meunier, le pêcheur, le rémouleur…


220 ans d’histoire 

La Foire aux santons a traversé les siècles et résisté à de nombreux fléaux. Elle se tint même pendant les guerres. Tout commença en 1803 au cours Saint-Louis où trois marchandes installèrent sur des tables volantes, leurs figurines et leurs santons. A partir de cette date, qui marque le début d’une longue tradition marseillaise avec la tenue de la première Foire aux santons, notre ville se convertit en une véritable capitale santonnière.

Toujours située en coeur de ville, la Foire aux santons a cependant été déplacée à de nombreuses reprises. Dès 1807, on compte 23 candidates, invitées […] « à se placer à l’ouest du cours, à la suite des femmes qui y sont déjà pour y vendre comme elles des objets de crèches » […]. En 1853, compte tenu de son importance, elle est déplacée boulevard de Muy. En 1856, on y vend de quoi faire la crèche, le décor, les santons, ou des crèches complètes. En 1859, les « baraques » succèdent aux tables, sortes de petits théâtres en gradins à étages où l’on dispose les santons multicolores. 1882, c’est la migration vers les allées des Capucins (Léon-Gambetta) et, en 1886, aux Allées de Meilhan.

La Foire aux santons, installée ensuite sur la Place Charles de Gaulle, a investi, en 2020, encore un nouveau lieu : le quai du Port.

@ Visuel – Ville de Marseille

Publié par : Office Métropolitain de tourisme et des congrès de Marseille

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Gratuit

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Suggested events

La Collection Lambert et le Mucem s’unissent pour une exposition inédite. La culture méditerranéenne a profondément façonné le destin du grand marchand d’art Yvon Lambert, dont le nom et l’histoire résonnent avec les richesses culturelles de la Provence. Né en 1936 à Vence, Yvon Lambert a grandi au cœur d’une région imprégnée par la présence de grands artistes tels qu’Henri Matisse à Vence ou Paul Cézanne à Aix-en-Provence. Dès les premiers temps de la galerie d’Yvon Lambert, le marchand d’art s’est fait également collectionneur et commence à constituer des ensembles importants d’œuvres d’artistes de son temps, pour la plupart encore inconnus. Ainsi commence presque 60 années d’une histoire intime de l’art. Son regard singulier est marqué par la poésie, l’amour, la liberté de pensée et la défense de l’art de son temps. Chaque pièce traduit l’amitié indéniable entre le collectionneur et les artistes. La donation exceptionnelle faite en 2012 à l’État français par Yvon Lambert a permis de consolider la présence d’un grand musée public d’art contemporain à Avignon : La Collection Lambert. Amoureux des objets insolites, témoignages des croyances populaires de tous les âges, en particulier issus de la culture provençale, Yvon Lambert ressent une proximité naturelle forte avec les collections du Mucem dont la constitution lente et fabuleuse lui rappelle ses propres recherches vagabondes de choses étonnantes allant d’ex-voto fantasmagoriques, à des scènes de genre de petits maîtres provençaux, de la bibliothèque félibrige de son père aux ustensiles et pièges à grives que ce dernier fabriquait. Les objets d’art populaire du Mucem sont le fruit de collectes d’enquêteurs sur le terrain : ethnologues, observateurs des mutations de la société et défenseurs des savoirs du peuple. Ces collections sont des témoins précieux, des documents sur nos modes de vie et sur l’évolution des mœurs, mais ils présentent aussi une valeur esthétique qui se font particulièrement jour dans des analogies étonnantes avec des œuvres d’art. L’exposition commence par l’évocation du parcours d’Yvon Lambert, lié aux cultures provençales et méditerranéennes, pour s’attarder ensuite sur des thématiques autour desquelles dialogueront ses collections et celles du Mucem : le populaire et le quotidien, l’homme et la nature, la poésie et la littérature, l’intime et l’existence. Ainsi, la rencontre entre la Collection Lambert et celle du Mucem présentée lors de l’exposition « De Basquiat à Édith Piaf. Passions partagées. La Collection Lambert au Mucem » est bien plus qu’une juxtaposition de collections exogènes. Des fils sensibles tissent spontanément leur toile par résonances formelles et poétiques entre les œuvres d’art et celles issues de cultures populaires. Par affinité réciproque de récits et de formes, le dialogue entre ces deux collections patrimoniales est une tentative de voyage au centre d’un regard singulier, celui d’une personnalité majeure de l’art contemporain, et invite les visiteurs du Mucem au jeu des coïncidences, de la libre interprétation et des associations poétiques empreintes du charme et des passions tenaces qui ont été les ferments de ces deux grands musées. Des invitations pour des interventions artistiques et littéraires : Ryoko Sekiguchi (née à Tokyo en 1970) a été invitée à écrire pour l’exposition vingt-et-un cartels imaginaires dans lesquels elle déploie une écriture sensible et poétique pour aborder les objets et leurs odeurs, notamment celle du musée, de la lumière, des couleurs des œuvres. Elle propose une véritable ode à la contemplation et aux sens. L’artiste peintre et designer Nathalie Du Pasquier (née à Bordeaux en 1957) a conçu une cabine peinte afin d’abriter les projets des chapelles de Vence réalisés en 1994 par Jean Charles Blais, Sol Lewitt, Jean-Michel Othoniel, Niele Toroni, Robert Barry à l’invitation d’Yvon Lambert. A l’extérieur, couleurs et objets de la collection du Mucem liés aux croyances et coutumes en Provence se répondent : amulettes, santibelli, croix de la Passion, boîtes-oratoires, ex-voto, palmes des rameaux… Œuvres exposées : Le Mucem bénéficie de prêts exceptionnels d’Yvon et Ève Lambert, mais aussi du Centre national des arts plastiques (CNAP) : 80 œuvres ont été soigneusement sélectionnées parmi les 600 œuvres données par le marchand et collectionneur Yvon Lambert à l’Etat en 2012. Ces pièces couvrent une large gamme de médiums artistiques, tel que la peinture, la sculpture, l’installation, la vidéo ou la photographie. Elles côtoient 150 œuvres de la collection du Mucem, référence dans le domaine des arts populaires. Ces objets du quotidien se mêlent subtilement avec les créations contemporaines. Artistes présentés : Parmi les artistes dont les œuvres de la collection Lambert sont présentées, on compte notamment Jean-Michel Basquiat, Andres Serrano, Christian Marclay, Sol Lewitt, Daniel Buren, Mircea Cantor, Marcel Broodthaers, Cy Twombly, Kiki Smith, Nan Goldin, Christian Boltanski, Louise Lawler… Commissariat : Marie-Charlotte Calafat, conservatrice en chef du patrimoine, Mucem Stéphane Ibars, directeur artistique, Collection Lambert Scénographie : Agence Nathalie Crinière Graphisme : Tania Hagemeister L’exposition est conçue et organisée par la Collection Lambert et le Mucem, Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée. Publié par : Ville de Marseille
Le festival Flaslight permet aux jeunes talents émergeant d’accéder à la scène sous le regard d’un jury d’artistes. Des initiations à la danse, des stands de graffitis sur vêtements, une fresque à taguer, des jams party, un jeu de pétanque ainsi que des spectacles amateurs d’écoles de danse et de professionnels seront présentés. La Ville de Marseille soutient, via la Direction du Lien Social, de la Vie Associative et de l’Engagement Citoyen, des projets Olympiade Culturelles portées par des structures sociales. – 21 avril à l’occasion de  » La Voie est libre » : Jam party & Battles. Les danseurs seront invités à prendre part à des compétitions de danse intenses, où chaque pas de danse est une performance exceptionnelle. Les meilleurs danseurs auront l’opportunité de se qualifier directement pour le « Battle Flashlight » qui aura lieu le 23 juin. – 25 mai City stade de la Verrerie et le centre social : Le festival Flaslight permet aux jeunes talents émergeant d’accéder à la scène. Battle kids, des stands de graffitis sur vêtements, une fresque à taguer, des jams party, scène ouverte, un jeu de pétanque ainsi que des spectacles amateurs d’écoles de danse et de professionnels. – 26 mai à l’occasion de  » La Voie est libre »  : Sous le même thème « Jam party & Battles », les danseurs pourront à nouveau montrer leurs talents en Hip-Hop, entremêlés de moment : Salsa/Bachata. Les scores ici aideront également les compétiteurs à se hisser au rang de qualifié pour le Festival Flashlight. – 23 juin lieux à confirmer : Cette journée sera dédiée à la danse et à la célébration de l’art du mouvement, précisément du hip-hop, qui entre en scène aux Jeux Olympiques pour la première fois grâce au Break-Dance. A partir des quart de finale battle kids et adultes 23 juin à l’occasion de  » La Voie est libre » : « Clôture dansée » du Festival de Hip-Hop Flashlight. Nocturne spéciale JO. Musique Live DJ MOFAK et Funk Freaks L’Olympiade Culturelle à Marseille. Publié par : Ville de Marseille
Une vraie fausse conférence universitaire sur les origines du mouvement Hip hop, à l’adresse de ceux qui auraient pu potentiellement passer à côte, par un duo de pitres professionnels, qui l’instar de la verve des MC (maître de cérémonie), abuseront de l’art du boniment et de la digression, comme personne ne devrait s’autoriser à le faire. Et pourtant, sous le vernis de la blague, c’est un témoignage fidèle, fouillé et sincère, sur les prémices et coups d’éclats des premiers héros d’une culture qui allait rebattre les cartes du show business comme aucun autre mouvement musical. Genre : conférence pluridisciplinaire ( chant , danse , musique, scratch…) Sale bête Prod Distribution : Alexandre Bordier aka Spoonie B/ Laurent Pierredon aka Jacky D Public concerné : De 7 à 101 ans Durée : 1h10 environ Spectacle déposé à la SACD Publié par : Ville de Marseille
Initié à l’été 2021, le projet Bianco Ordinario d’Hélène Bellenger prend racine dans les carrières de marbre de Carrare, en Italie. Sculptées depuis des siècles pour la qualité de leur marbre blanc, ces carrières sont aujourd’hui surexploitées pour l’utilisation de la poudre de marbre, un carbonate de calcium à l’état pur. Utilisée notamment dans la composition du dentifrice, du maquillage, du papier ou des produits d’entretien, la poudre de marbre vient ainsi se nicher dans l’histoire du blanchiment et de la blanchité de nos sociétés occidentales contemporaines. Hélène Bellenger a initié une collection de produits de consommation à imprimer directement sur le verso en carton. À la fois fragiles, précieuses, uniques mais aussi éphémères et jetables, ces petites images, dont la forme varie selon les produits, proposent ainsi une typologie des formes industrielles, tout en présentant une sélection d’images de ces paysages modelés par l’exploitation intensive du marbre de Carrare. Publié par : Ville de Marseille
Rendez-vous Cirque Création « Rupestre » Rupestre évoque des croisements poétiques et corporels entre passé, présent et futur, comme une évasion surréaliste vers l’origine préhistorique de l’humanité. Les deux artistes interprètent des personnages qui se rencontrent dans différents périodes historiques, avec leurs souvenirs, leurs prémonitions, et vivent différentes relations d’oppression et d’entraide. A travers un voyage sonore et sensoriel, Rupestre crée une sensation de régression dans le temps, la trame se développe à partir de la percussion – la première impulsion sonore de l’humanité : par la collision entre les objets, les bruits se transforment en son, puis en rythme, en mélodie, danse et performance circassienne. Artistes sur scène : Rodrigo Ceribelli, Cássia Cristina Regard extérieur : Christian Lucas Costumière : Romane Cassard Conseillère anthropologique : Carla Mattos La compagnie La compagnie Patuá est née du désir de créer un cirque adapté à la réalité de ses fondateurs. Après 10 ans de travail et de recherches sur les portés acrobatiques à partir d’expériences multiculturelles, la compagnie souhaite créer un cirque politiquement engagé, spirituel, dramatique, ludique et populaire. Un cirque qui transite entre le profane et le sacré, qui séduit puis fait trébucher. A partir de 7 ans Durée : environ 1h [Gratuit sur réservation publics@archaos.fr] Publié par : Ville de Marseille
Vous avez une âme aventureuse, les yeux pleins d’étoiles et une envie d’espace ! Défilé haut en couleur et en histoire rocambolesque, fanfares, danse, clowns, échassiers… Rendez-vous samedi 20 avril à partir de 15h à l’Estaque, Parc de la Minerve, pour un défilé coloré et festif et un final sur l’Espace Mistral. Nous vous attendons nombreux pour un moment fraternel, subversif et anti-conformiste. Renseignements : service culture 04 91 14 61 24. Mairie des 15e et 16 arrondissements Publié par : Ville de Marseille
"Scotland !" comme une invitation au voyage : venez faire une balade sauvage avec pêche, chasse, whisky, sablés, cornemuses, chansons folkloriques et kilts en compagnie des The Latebloomers venus du Royaume-Uni, de Suède et d'Australie !. Clowns, mimes, acteurs physiques, ils savent tout dire sans (presque) un seul mot et partagent avec vous "leur" Écosse revisitée sur un mode burlesque hilarant.. Après avoir conquis le public dans de nombreux festivals, dans le monde entier, les voici dans le Seignanx, pour vous faire voyager et hurler de rire !. Dès 5 ans. RDV à 21h. Durée : 1h.. Pré-vente en ligne ou au guichet de l'office (à l'unité ou en pass 4, 6, 8 spectacles).
RENCONTRE ÉTINCELANTE ENTRE LE MAÎTRE DE LA MUSIQUE MALIENNE TOUMANI DIABATÉ ET L’ORCHESTRE NATIONAL DE LYON. Héritier d’une longue lignée de joueurs de kora – cet instrument à cordes voisin de la harpe répandu en Afrique de l’Ouest – Toumani Diabaté, trois fois lauréat de Grammy Awards, est aujourd’hui reconnu dans le monde entier pour ses mélodies envoûtantes et poétiques. Avec son ensemble de musiciens traditionnels, il offre en première partie un voyage hypnotique dans l’univers des griots du Mali. Rejoint par l’Orchestre national de Lyon en seconde partie, Toumani Diabaté interprète en solo la musique de son album Kôrölen, enveloppant le répertoire traditionnel des pays mandingues dans les sonorités généreuses de l’orchestre symphonique.
Dates de festival à confirmer. La Ville de Berre l'Etang organise chaque année son Salon Berre Vintage dédié aux années 40 à 80. Dans une ambiance chaleureuse et familiale, seront présents des dizaines d'exposants "vintage" dans les domaines de la décoration, mobilier, vêtements, vinyles, food trucks, ... Et tout au long du week-end, des animations Vintage pour tous seront proposés : musique, danse, jeux, concours, tombola, expositions et parades de véhicules anciens… et de belles nouveautés pour cette nouvelle édition ! Pour ne pas manquer l'annonce des dates et du programme du Salon Berre Vintage 2024, activez les notifications par mail. Site web : https://www.berreletang.fr/vintage
Les bibliothèques de Marseille sont ouvertes à tous et à toutes. Venez découvrir, échanger, vous informer, lire, écouter, partager, rencontrer, travailler, jouer, apprendre et vous distraire gratuitement, toute l’année ! Au programme : • Samedi 2 mars à 16h [Quand l’art se fait thérapie] L’art et la créativité dans le soin Après une présentation des deux structures ; patients, soignants, bénévoles et intervenants partageront leurs expériences et témoigneront de la particularité du lien avec les artistes et de la place de la créativité intégrée dans la démarche du soin. En collaboration avec l’équipe de la Maison, centre de soins palliatifs et la Villa Izoï, lieu de vie médicalisé, à Gardanne. > Salle de conférence • Vendredi 8 mars à 17h15 [L’Opéra en scène à l’Alcazar] Don Quichotte de Jules Massenet Mêlant l’humour, la mélancolie et le fantastique avec une instrumentation d’orfèvre, Massenet nous livre une comédie héroïque de choix. Découvrons l’argument et l’histoire de l’oeuvre, puis écoutons le point de vue des chanteurs et des gens de scène. En collaboration avec l’Opéra de Marseille. > Salle de conférence • Mardi 12 mars à 17h30 Randonnée littéraire avec Mathieu Provansal Mathieu Provansal est écrivain, sculpteur, éditeur, installé dans l’Aveyron. En résidence (La marelle / Cipm), il compose un jeu de cartes postales, « écriture d’images » qu’il évoque pour nous autour d’une sélection de documents. > Auditorium • Jeudi 21 mars à 14h30 La fabrique de l’album Claire Cantais, autrice-illustratrice jeunesse et son éditeur Olivier Belhomme des Éditions de l’Atelier du Poisson Soluble nous font découvrir les coulisses de l’édition jeunesse. En collaboration avec les étudiants du Master Monde du Livre (Aix-Marseille Université). > Salle de conférence • Samedi 23 mars à 14h30 Rencontre avec Raphaël Liogier, philosophe et sociologue Autour de son livre Khaos, la promesse trahie de la modernité, éditions Les liens qui libèrent. La modernité n’est pas la modernité, mais sa copie frelatée, voire sa perversion. Le ton est donné : Khaos sera le procès du monde contemporain dont les crises ne sont pas le fait de la modernité, mais bien de sa trahison… > Salle de conférence • Jeudi 28 mars à 17h30 [Les 20 ans de l’Alcazar] Célébrons les 20 ans de la bibliothèque de l’Alcazar ! Conférence à deux voix sur les fouilles archéologiques qui ont précédé les travaux de construction de la bibliothèque. La bibliothèque de l’Alcazar se distingue par sa façade de marbre-verre à laquelle est intégrée la marquise de cet ancien music-hall. Avec Marc Bouiron, archéologue, conservateur en chef du patrimoine et directeur scientifique et technique de l’Inrap, et Didier Rogeon, architecte, membre de l’Académie des Sciences, Lettres et Arts de Marseille. > Salle de conférence • Mardi 9 avril à 17h30 Un primo-romancier : Mathieu Lauverjat, Client mystère Comment le désir d’écrire entre-t-il en phase avec le contemporain ? Élements de réponse avec Mathieu Lauverjat, qui interroge les modes de management et de surveillance au sein du monde du travail. Son premier roman est paru chez Scribes/Gallimard en 2023. En collaboration avec Des Livres Comme des Idées et le Lycée Thiers. > Auditorium • Vendredi 12 avril à 17h30 Que sait-on du travail ? Rencontre avec Bruno Palier, politiste, et 6 participant.e.s au projet collectif Que sait-on du travail ?. Cet ouvrage rend accessible les résultats de plusieurs travaux de sciences sociales sur la situation du travail en France, permettant d’en saisir les enjeux pour une transformation émancipatrice de la société. En collaboration avec Coudes à coudes. > Salle de conférence • Mardi 16 avril à 17h30 Randonnée littéraire avec Noah Truong Noah Truong a été journaliste pigiste avant de se spécialiser dans la critique des discours médiatiques chez Arrêt sur Images. Son premier livre, Manuel pour changer de corps, explore la transition de genre et sort début 2024 chez Cambourakis. > Auditorium • Samedi 20 avril à 17h [L’opérette retrouve l’Alcazar] Chanson gitane de Maurice Yvain Sur une délicieuse histoire sentimentale, on retrouve toute la finesse d’expression, la fantaisie et le sens infaillible du timing du « Roi de l’opérette de l’entre-deux-guerres ». En présence des chanteurs et du metteur en scène. En collaboration avec le théâtre municipal de l’Odéon. > Salle de conférence Publié par : Ville de Marseille