Concert d'Eric Le Rouge

Description

Soirée avec le chanteur-guitariste accompagné par Eli Arthaud, accordéoniste.

Date info

du 15/04/2023 au 16/04/2023 à 18h00. Agend'Arts : Voir les autres événements

Tickets

Info:

  • Plein tarif : 13.00 €
  • Adhérents : 8.00 €

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Collectif du sud de la France, le trio CHINESE MAN composé de High Ku, Matteo & Sly, se produit de façon indépendante depuis ses débuts au sein de leur label Chinese Man Records. Formé en 2004, il puise ses influences dans le hip-hop avant tout, le trip-hop, mais aussi le dub, l’électro ou encore le reggae. Avec seulement 2 albums à leur actif (Racing with the Sun, en 2011 & Shikantaza, en 2017) mais de nombreux autres projets collectifs (EPs, Remix, Live, The Groove Sessions...) ou en solo (BOLD, Matteo, Rumble), le groupe enchaîne dès 2009 les concerts en salles et festivals en France et à travers le monde. Le Zénith de Paris en 2014 célèbre les 10 ans du groupe, et la tournée "The Groove Sessions Live", aux côtés des Baja Frequencia et Scratch Bandits Crew, commémore leur 15 ans. L'expérience Chinese Man se découvre en vinyle et se prolonge en live... Voir et vivre Chinese Man sur scène reste toujours une expérience unique et captivante qui invite les spectateurs au lâcher-prise. Avec plus de 600 dates autour du globe, le groupe revient en 2024 pour leur 3ème album autour d’un live toujours plus immersif & explosif ! Originaire de Lyon, Dubanko nous propose un Dub électro mélodique et percutant. Après plusieurs années en tant que beatmaker et guitariste au sein de l'Animalerie, il développe son projet qui aura rapidement écho sur les scènes dub française. "Migration", premier album de Dubanko aux rythmes profonds et aux textures épaisses laisse place, deux ans plus tard à “Hidden Feelings”. Ce nouvel album, maintenant disponible sur le label ODG Prod, est inspiré de l’énergie bouillonnante du public de l'artiste. Tout au long de cet album la pression des tracks s’intensifie aux rythmes de ses sentiments dévoilés. Cet opus pousse la recherche de nouvelles sonorités vers des designs Techno conservant toutefois les teintes blues de sa guitare électrique. Dubanko initie un cheminement intérieur nous faisant passer de l'espoir à la colère, de la désillusion à l’enchantement. Après une année 2022 chargée dont un passage remarqué au No Logo Festival, Dubanko repart en tournée avec un nouveau live dès le mois de février et passera notamment par le Festival de La Meuh Folle ou encore Le Son Libre.
Haydn, le facétieux auteur de la Symphonie «des adieux», trouve un alter ego en la personne du compositeur russe Alfred Schnittke, qui imagine une amusante rencontre posthume entre lui et son disciple Mozart. Celui-ci n'était pas le dernier pour rire, mais son concerto pour flûte opte pour un lyrisme élégant et lumineux. Il paraît que Mozart détestait la flûte. On en doute à l'écoute de ce magnifique concerto, surtout interprété avec la profondeur de timbre et d'âme à laquelle nous a habitués Jocelyn Aubrun. Qu'aurait pensé la flûte solo de l'Orchestre national de Lyon d'être un musicien du prince Esterházy ? Certainement aurait-il éprouvé la même lassitude que ses camarades, retenus au domaine d'Eszterháza par une saison qui n'en finissait plus. Pour faire plier un employeur sourd à leur plaintes, Haydn imagina cette Symphonie «des adieux» dans le finale de laquelle, un à un, les instrumentistes soufflèrent leur bougie et quittèrent la scène. L'avant-dernier à s'éclipser, avant Haydn lui-même, fut le violoniste préféré du prince, ce qui l'obligea à endurer l'affront jusqu'au bout. Message reçu cinq sur cinq : dès le lendemain, les musiciens furent autorisés à rentrer chez eux. Cet humour ne fait pas oublier le ton inquiet de la symphonie, typique du mouvement préromantique du Sturm und Drang (Tempête et passion).
Les 29 et 30 avril prochains, au temple Lanterne, sous la direction artistique de Charlotte MILBEO, avec Eole Chœur de chambre et l'Ensemble A Chœur Ouvert, nous vous emmènerons dans notre nouvel univers pour la Paix. De Monterverdi à Machuel, en passant par Mozart et Mendelsohn, laissez-vous envahir par de douces émotions, que nous aurons à cœur de vous transmettre ! * En prenant vos places avant le 29 mars, bénéficiez d'un tarif préférentiel.
C’est incontestablement l’un des plus grands musiciens du continent africain que l’Orchestre national de Lyon convie : un artiste qui a contribué à faire découvrir au monde entier la kora, cette harpe aux vingt et une cordes venue d’Afrique de l’Ouest, dont il est un interprète exceptionnellement virtuose et créatif. Né à Bamako, issu de soixante et onze générations de griots, Toumani Diabaté impressionne dès ses débuts prodigieux d’autodidacte et commence une carrière marquée tant par la création de son propre ensemble, le Symmetric Orchestra, que par de prestigieuses collaborations (Taj Mahal, Salif Keita, Björk, Damon Albarn…) qui témoignent de sa capacité à partager et faire dialoguer la tradition. Née sous l’impulsion du Barbican Centre de Londres et du Philharmonic Hall de Liverpool, cette collaboration symphonique, immortalisée au disque sous le nom de Kôrôlén (ancestral, en langue mandingue), met autant en lumière l’intimité et la qualité presque magique des solos de Toumani Diabaté que l’exubérance virtuose de ses collaborations. On écoutera tout d’abord Diabaté seul à la kora, un instrument si riche qu’il est déjà presque un orchestre à lui seul, avant un dialogue musical avec l’ONL dans des arrangements lumineux. Programme : Orchestre national de Lyon Clark Rundell, direction Toumani Diabaté, kora
Temps d'éveil musical pour les tout-petits avec des histoires qui se racontent en musique. Venez partager un moment de complicité en famille et éveiller les sens de votre enfant à travers la musique. Laissez-vous emporter par les mélodies envoûtantes d'Irma Ferron de la compagnie Le blé en herbe et de la compagnie du Bazar Terminus. De 0 à 6 ans. Infos réservations : En ligne - https://mediatheques.villeurbanne.fr/agenda/events/musicalins-10/
Les bonnes fées étaient au complet autour du berceau d’Alexandra Dovgan, le nouveau phénomène russe du piano. Sans compter un mage, Grigori Sokolov, qui lui a mis le pied à l’étrier international et continue de veiller sur elle, avec son professeur de toujours, Mira Marchenko. Même si la jeune fille jouait à 12 ans à la Philharmonie de Berlin, au Concertgebouw d’Amsterdam, au Festival de Salzbourg ou au Théâtre des Champs-Élysées, elle n’a jamais été considérée par son mentor comme une enfant prodige mais comme une égale, tant sa maîtrise et sa personnalité musicale étaient déjà stupéfiantes. Alexandra Dovgan se présente pour la première fois devant le public lyonnais dans un programme largement russe, mais gageons que la première partie laissera la parole à ses autres compositeurs de prédilection, Beethoven, Chopin et Schubert. Programme : Première partie en cours d’élaboration Sergueï Rachmaninov, Variations sur un thème de Corelli, op. 42 Alexandre Scriabine, Sonate n° 2, en sol dièse mineur, op. 19, «Sonate-Fantaisie» Alexandre Scriabine, Fantaisie en si mineur, op. 28 Alexandra Dovgan, piano
Il paraît que Mozart détestait la flûte. On en doute à l’écoute de ce magnifique concerto, surtout interprété avec la profondeur de timbre et d’âme à laquelle nous a habitués Jocelyn Aubrun. Qu’aurait pensé la flûte solo de l’Orchestre national de Lyon d’être un musicien du prince Esterházy ? Certainement aurait-il éprouvé la même lassitude que ses camarades, retenus au domaine d’Eszterháza par une saison qui n’en finissait plus. Pour faire plier un employeur sourd à leur plaintes, Haydn imagina cette Symphonie «des adieux» dans le finale de laquelle, un à un, les instrumentistes soufflèrent leur bougie et quittèrent la scène. L’avant-dernier à s’éclipser, avant Haydn lui-même, fut le violoniste préféré du prince, ce qui l’obligea à endurer l’affront jusqu’au bout. Message reçu cinq sur cinq : dès le lendemain, les musiciens furent autorisés à rentrer chez eux. Cet humour ne fait pas oublier le ton inquiet de la symphonie, typique du mouvement préromantique du Sturm und Drang [Tempête et passion]. Programme : Alfred Schnittke, Moz-Art à la Haydn Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto pour flûte n° 2, en ré majeur, KV 314 Joseph Haydn, Symphonie n° 45, en fa dièse mineur, «Les Adieux» Orchestre national de Lyon Giovanni Radivo, violon et direction Jocelyn Aubrun, flûte
Ce quartet vous propose un répertoire réarrangé de grands standards de jazz. Leur spécialité ? Vous faire danser le Lindy Hop. L’équipe se compose de : Maëva Da Justina (chant); Florentin Drugeon (contrebasse); Tommy Philys (clarinette); Quentin Dias Fernandes (guitare) Allez les suivre : Instagram : https://www.instagram.com/o.f4tet/ Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100094225587022 Site internet : soliloqueproductions.fr/index.php/o-f-quartet/
Avant d’être l’immortel compositeur de Carmen, Georges Bizet fut le brillant élève de Charles Gounod. Pour le préparer au prix de Rome, sésame alors précieux pour toute carrière musicale, Gounod fit plancher l’adolescent à partir de 1853 sur le texte imposé l’année précédente, qui avait valu une amère désillusion à Camille Saint-Saëns : Le Retour de Virginie, d’après le roman de Bernardin de Saint-Pierre. Deux noms majeurs de la jeune scène française, Cyrille Dubois et Marie-Andrée Bouchard-Lesieur, incarnent Paul et sa mère, qui attendent le retour de leur sœur et fille. Avec une suite capiteuse de Mélanie Bonis (qui opta pour le diminutif Mel afin de se frayer une place dans l’univers si masculin de la composition au XIXe siècle) et les inusables Boléro et Rapsodie espagnole de Ravel, Ben Glassberg confirme sa passion pour le répertoire français. Programme : Mel Bonis, Suite orientale, op. 48/2 Georges Bizet, Le Retour de Virginie Maurice Ravel, Rapsodie espagnole Maurice Ravel, Boléro Orchestre national de Lyon Ben Glassberg, direction Marie-Andrée Bouchard-Lesieur, mezzo-soprano Cyrille Dubois, ténor Patrick Bolleire, basse