La Grande Cueillette de la Culture, 3000 ballons de cadeaux culturel au Palais Royal

Description

La Première Cueillette culturel de France nous attend ce dimanche 3 juillet 2022. Pour fêter les 10 ans du magazine Arts in the City, l'Association Culture and the City organise met en place un immense jardin de 3000 ballons au coeur des Colonnes de Buren au Palais Royal. Et surprise, chaque ballon donnera accès à un cadeau culturel!

La Culture vous a manqué durant ces deux ans de pandémie ? C'est le moment de vous réveiller et d'en profiter. Pour fêter le retour des expositions, pièces de théâtres et autres spectacles vivants, c'est un évènement haut en couleurs et riche en surprises qui arrive ce dimanche 3 juillet 2022.

L'Association Culture and the City, qui célèbre cette année ses 10 ans et édite depuis 2014 le magazine Arts in the City, organise La Grande Cueillette de la Culture dans le cadre magique du Palais-Royal. On file donc au coeur des Colonnes de Buren pour profiter d'un super bon plan entièrement gratuit.

Imaginez un immense jardin qui dévoile près de 3000 ballons flottants avec dans chaque ballon une surprise donnant accès à un précieux cadeau culturel. Places d’expositions, invitations au théâtre, entrées dans les monuments... Il vous suffira simplement de se saisir un ballon pour repartir avec un superbe cadeau.

Il faut dire que la majorité des institutions a répondu présent à cette réunion de famille, contribuant chacune à leur échelle à cette folle aventure en offrant plusieurs dizaines, parfois centaines d’invitations pour leurs programmations. Du Louvre au Centre Pompidou en passant par le Petit Palais ou encore le Musée Grévin sont de la partie.

Si les grands musées sont de la partie, les musées plus petits qu'on adore comme le Musée de Montmartre, celui de Marmottan Monet, de la Vie Romantique ou encore du Palais Gallierra vous tendent les bras. A vous les spectacles comme le cabaret du Moulin Rouge ou le Roi Lion à Mogador. De l'Alhambra au Théâtre des Variétés en passant par le Grand Point Virgule, l'éventail des bons plans possibles est large.

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La Gaité Lyrique vous invite à découvrir sa nouvelle exposition, Coalition, du 24 avril au 2 juin 2024. Au total, les oeuvres de cinquante artistes vous attendent pour une immersion dans les liens entre création artistique et engagement environnemental. Quand l'art et l'écologie se rencontrent... La Gaîté Lyrique vous invite à découvrir sa dernière exposition, intitulée Coalition, du 24 avril au 2 juin 2024. Célébrant le quinzième anniversaire de COAL, l'association de référence pour l'art et l'écologie, l'exposition promet d'aiguiser nos sens et notre conscience écologique. En rassemblant près de cinquante artistes issus de divers horizons, cette grande exposition pluridisciplinaire vise à mettre en lumière la richesse et la variété des démarches artistiques engagées pour l'environnement. Dans le cadre de la Gaîté Lyrique, connue pour son engagement en faveur d'une culture régénérative et collaborative, l'exposition incarne une vision partagée par ses partenaires fondateurs tels qu'Arty Farty, ARTE, makesense, Singa, et Actes Sud. Ce projet ambitieux s'ancre profondément dans l'idéal d'un lieu culturel devant assumer non seulement une responsabilité artistique, mais également sociale et économique. L'objectif ? Aller au-delà de la simple réduction des impacts environnementaux pour véritablement générer un impact positif, faisant de la Gaîté Lyrique un modèle de lieu culturel régénératif où le travail en écosystème occupe une place centrale. Coalition, sous le commissariat avisé de Lauranne Germond et Sara Dufour, se distingue par son ampleur et sa diversité. Des artistes de renom aux talents émergents, tels qu'Angelika Markul, Shaun Gladwell, Hypercomf, et bien d'autres, s'unissent pour retracer une communauté d'imaginaires. Ces imaginaires se sont constitués au fil des quinze éditions du Prix COAL, une initiative majeure de l'association visant à promouvoir, accompagner, et diffuser les artistes qui, partout dans le monde, témoignent, imaginent, et expérimentent autour de la révolution écologique. Coalition ne se contente pas de présenter des œuvres ; elle invite à une prise de conscience des liens qui nous unissent à notre environnement, à travers une programmation enrichie et accessible gratuitement au public. Faire l'expérience de Coalition à la Gaîté Lyrique, c'est donc participer à un moment unique où l'art et l'écologie se rencontrent pour inspirer, éduquer et inciter à l'action. LE rendez-vous incontournable pour tous les passionnés d'art, d'innovation et d'engagement écologique ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024. Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à l'existence ! Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024. Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard cosmopolite sur l'art contemporain. Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante, oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la relation entre la chair et notre environnement. L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation, spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre, symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie s'épanouit. La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives. Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky. En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe du 23 avril au 27 octobre 2024. Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce que pourrait être notre futur. Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu. L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés. Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir les mondes de demain. En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses défauts, et, peut-être, de se redéfinir. Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
"Timeshot" : voilà le nom de la toute première exposition solo de Saype à Paris ! Le célèbre land artiste français, dont les œuvres monumentales et éphémères sont connues dans le monde entier, expose son travail à travers des photographies et dessins à admirer au sein de la galerie Danysz du 26 avril au 15 juin 2024. Si vous êtes un amoureux de Land Art, alors vous connaissez forcément l’artiste français Guillaume Legros, plus connu sous le pseudo de Saype. Depuis 2015, le land artiste dévoile sur les réseaux sociaux ses fascinantes et monumentales œuvres éphémères, disséminées aux quatre coins du globe (Paris, Buenos Aires, Liverpool, Genève, Turin, Istanbul, New York, Nairobi, Tokyo, Montréal, La Plagne...). Voilà bientôt 10 ans que Saype réalise ainsi des œuvres en noir et blanc et grandeur nature à même le sol, principalement sur l’herbe, mais aussi parfois sur la terre, le sable ou encore la neige. Objectif ? « Impacter les mentalités sans impacter la nature » et, ce, grâce à une peinture dite "éco-responsable", conçue essentiellement à base de craie et de charbon. « Ça m’a pris 3 ans de recherche et développement et après 5 ans d'études environnementales » avait expliqué l’artiste contemporain à nos confrères de France Info en 2023. Aussi, ses œuvres, aussi poétiques qu’engagées, ont la particularité de s’effacer avec la nature (herbe qui repousse) et la météo (pluie, orages...). Il faut dire que le land artiste est du genre prolifique. Depuis 2015, Saype a réalisé plus d’une cinquantaine d’œuvres, dont 19 autour de son fameux projet « Beyond Walls ». Ce projet, qui a débuté en 2019 à Paris, dévoile des mains entrelacées, qui se tendent, se serrent et s’unissent. Une œuvre engagée qui veut avant tout faire passer un message positif et d’entraide à travers le monde. Un travail fascinant que la galerie Danysz a décidé de mettre à l’honneur ce printemps en organisant la toute première exposition solo de Saype dans la capitale. Intitulée « Timeshot », cette installation est à ne pas manquer du 26 avril au 15 juin 2024. Annoncée sur les trois niveaux de la galerie, cette exposition entend témoigner des travaux de Saype à travers des photographies et dessins du land artiste. Et comme l’entrée est libre, vous auriez vraiment tort de vous en priver ! Pour couronner le tout, la galerie Danysz annonce un vernissage en présence de Saype, prévu le jeudi 25 avril de 18h à 21h.
Avis aux amateurs de néo-pop art ! L’artiste japonais Takeru Amano expose ses œuvres à la galerie Sato à Paris du 20 avril au 12 mai 2024 à l’occasion de sa nouvelle installation personnelle intitulée « IMA ». Considéré par beaucoup comme le maître du néo-pop art japonais, Takeru Amano annonce son retour à Paris ce printemps avec une nouvelle exposition personnelle intitulée « IMA », qui signifie "maintenant/le moment" en japonais. A ne pas manquer à la galerie Sato du 20 avril au 12 mai 2024, cette nouvelle installation est l’occasion de découvrir l’univers coloré de cet artiste énigmatique ainsi que toute sa diversité artistique. La galerie Sato, récemment inaugurée dans le 3e arrondissement de Paris, annonce ainsi l’exposition de plusieurs portraits des Venus, ces fameuses icônes qui font désormais la signature de l’artiste originaire de Tokyo. Les visiteurs pourront également admirer des natures mortes du peintre et sculpteur nippon, ainsi que des paysages réinterprétés avec le style artistique distinctif de Takeru Amano. Parmi les œuvres à ne pas manquer, la galerie Sato cite aussi une sculpture de la Venus entièrement réalisée en bois. De l'acrylique sur toile aux sculptures en bois et en bronze, Takeru Amano fusionne une variété de techniques artistiques que la Galerie Sato vous invite donc à découvrir gratuitement ce printemps à Paris. Notez que la galerie a mis en place une plateforme dédiée accessible ici pour réserver un créneau de visite. Artiste de renom, Takeru Amano est le fils de Yoshitaka Amano, connu pour l’univers du jeu vidéo Final Fantasy. Baignant dans l'univers artistique depuis tout petit, Takeru Amano a su développer son propre style au fil des années, inspiré directement de la culture japonaise de la fin du XXe siècle dans laquelle il a grandi. Le style artistique de Takeru Amano se caractérise notamment par la juxtaposition de sujets classiques, philosophiques et mythiques avec des éléments de pop art, comme le "kawaii". Preuve de sa renommée, ses œuvres ont déjà été exposées à Tokyo, Hong Kong, New York ou encore Londres. Du 20 avril au 12 mai 2024, Takeru Amano revient donc à Paris avec son installation "IMA" qui promet de nous surprendre !
La galerie Itinerrance, nichée dans le 13e arrondissement de Paris, convie Hush pour sa nouvelle exposition gratuite. Du vendredi 26 avril au samedi 1er juin 2024, retrouvez le street artiste britannique autour d’une expo personnelle mettant à l’honneur la féminité. Située dans le 13e arrondissement de Paris, la galerie Itinerrance accueille régulièrement les œuvres et les installations de talentueux artistes urbains. Ces dernières années, la galerie Itinerrance a par exemple ouvert ses portes à l'incontournable Shepard Fairey, mais aussi à Seth, Add Fuel, Inti ou encore Wen2. Fondée en 2004 par Mehdi Ben Cheikh, cette célèbre galerie parisienne de street art est également à l’initiative, depuis 2013, de plusieurs projets 'Hors les murs' réalisés à l’échelle de la ville. Ce printemps, la galerie de street art parisienne convie un nouvel artiste qui risque fort de surprendre et de vous en mettre plein les yeux. Son nom ? Hush. L’artiste britannique, né à Newcastle et considéré comme l’un des 20 artistes issu de la scène d'art contemporain urbain à suivre de près par le journal anglais The Independent, va donc dévoiler ses œuvres lors d’une exposition personnelle à découvrir gratuitement du vendredi 26 avril au samedi 1er juin 2024. Utilisant différentes techniques artistiques, comme la peinture, la sérigraphie, le collage, le pochoir ou encore le dessin et le graffiti, Hush est connu pour mettre à l’honneur la féminité sous toutes ses formes. La féminité sera donc à l’honneur de cette nouvelle et seconde exposition personnelle de l’artiste Hush à la galerie Itinerrance. L’occasion de mieux découvrir et d'admirer son travail autour de ces femmes énigmatiques, aux multiples visages de modèles venues des quatre coins du monde. Des toiles et des œuvres à découvrir donc ce printemps, du 26 avril au 1er juin, à la galerie Itinerrance dans le 13e arrondissement à Paris ! Notez qu'un vernissage de l'exposition personnelle de Hush, ouvert au public, est prévu le 26 avril à partir de 18h.
Montez dans la DeLorean, la Monnaie de Paris nous fait remonter le temps jusqu'aux années 1970 ! L'institution nous propose une soirée festive et ludique autour de l'exposition Insert Coin le 24 avril 2024. C'était l'époque des pattes d'eph', des robes fleuries, de Queen, Abba, Michael Jackson, Serge Lama, des Bee Gees et de David Bowie, c'était l'époque des boules disco, de Pong et d'Atari... C'étaient les années 1970 ! Une période que les moins de 20 ans n'ont pas connue, mais qu'ils peuvent découvrir à la Monnaie de Paris. L'institution organise une soirée exceptionnelle, festive et ludique, le mercredi 24 avril 2024. En marge de son exposition Insert Coin, qui s'intéresse aux machines de jeux et salles d'arcade, le musée propose une nocturne à thème, ouverte à tous. Dans un décor immersif, qui nous plonge dans un café des années 1970, la Monnaie de Paris nous invite à jouer et à explorer cette décennie si spéciale, qui a révolutionné le monde du jeu. Aux côtés des commissaires d'exposition et des étudiants de la XP School, découvrez toutes les particularités culturelles de ces années "flower power". Et bien sûr, vous pouvez défier vos amis ou vos proches sur les différents flippers, jeux d'arcade ou jeux de café mis à disposition dans l'exposition. Le disco et le mouvement hippie, ce n'est pas votre tasse de Tang ? Vous préférez l'ambiance électro ou punk-rock des années 80 ? Bonne nouvelle : la Monnaie de Paris organise une seconde nocturne ludique autour du thème - vous l'aurez deviné - des années 1980 ! Sortez vos meilleures vestes à imprimés géométriques, et rendez-vous à la Monnaie de Paris pour cette soirée qui s'annonce inoubliable !
Le Centre Pompidou s'intéresse au mobilier et aux objets créés pour les enfants au XXe siècle, dans une exposition design à découvrir du 25 avril au 12 août 2024. Meubles, chambres, bureaux d'écoliers, jeux : les designs des mobiliers pour enfant ont bien changé en un siècle. Le Centre Pompidou nous propose une rétrospective à la fois historique et artistique, à la découverte de "L'enfance du design". Une exposition à voir du 25 avril au 12 août 2024 à Paris. Au XXe siècle, la place, la singularité de l'enfant évolue grandement. Des théories nouvelles sur l'apprentissage, la structure familiale, l'éducation donnent à l'enfant une place plus importante dans le schéma social. Ce nouveau statut social se traduit aussi dans le monde du design et de l'ameublement : les chambres d'enfants deviennent des espaces à part, pensés pour leurs petits habitants, avec des objets réalisés sur mesure pour eux. En Allemagne, en France, au Danemark, en Italie, d'importants designers imaginent des meubles et des objets originaux, conçus pour les enfants, et pas pour toute la famille. Peu à peu, les chambres se transforment, devenant des oasis colorés et joyeux pour les plus jeunes, des endroits conçus pour attiser leur imagination et favoriser l'apprentissage de nouvelles compétences. Le design des mobiliers pour enfants évolue en même temps que la société et ses contraintes. La généralisation de l'école, le changement des normes des logements, l'apparition de nouveaux matériaux, de théories sur les besoins des enfants transforment les objets. Les designers laissent parler leur créativité dans cet univers qui possède ses propres contraintes, mais aussi ses libertés. Couleurs, objets interactifs, formes, tailles, objets multifonctions : l'univers de l'enfance offre de nombreuses opportunités créatives. Le jeu et l'originalité prennent une place de plus en plus prépondérante dans les choix de design, transformant les chambres en petits univers merveilleux. Au fil du siècle et de l'exposition, on voit le mobilier changer et s'adapter, illustrant le statut de l'enfant dans la société à chaque époque. Une exposition fascinante pour les fans de design, à découvrir au Centre Pompidou !
Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique". Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique. En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie... Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique. Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays. C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et des trouvailles archéologiques. L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de 1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs. Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896. Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.
Le musée de l'Armée nous parle de l'art de l'escrime à travers l'exposition "Duels, l'art du combat", à découvrir du 24 avril au 18 août 2024. Quel point commun entre David et Goliath, le jeu Mortal Kombat, Cyrano de Bergerac et le vicomte de Valvert, Batman contre Superman, Federer et Nadal... ? Ces duels célèbres ont marqué les esprits, les cultures. Histoire, sport, politique, littérature, jeux vidéo, conflits personnels : depuis des millénaires, les hommes luttent et s'affrontent pour prouver leur valeur, sauver leur honneur, rabaisser leur ennemi. Le musée de l'Armée s'intéresse à ces duels dans une exposition inédite et multidisciplinaire. Du 24 avril au 18 août 2024, venez admirer Duels. L'art du combat, et apprenez-en plus sur cette pratique si répandue et très codée. Des samouraïs aux chevaliers français en passant par l'Egypte antique ou la pop culture américaine, le duel est une pratique très ancrée dans les sociétés, à la fois romancée, régulée, bannie... Les duels répondent à de nombreuses règles : selon l'époque, le pays, la raison, ces combats singuliers seront applaudis ou proscrits. L'exposition du musée de l'Armée nous offre donc un tour d'horizon sur ces différentes coutumes, en commençant par une explication historique du duel, de son but originel à son image fantasmée au XXIe siècle. Jeux olympiques obligent, impossible de ne pas parler des duels sportifs : escrime, judo ou karaté, course, tennis, tir... Les disciplines sont nombreuses. Ce chapitre de l'exposition présente les divers moyens de s'affronter, en mettant en lumière différentes armes, comme les épées, les sabres, les pistolets, les dagues, les raquettes de sport, les navajas... Et pour que cette expérience soit encore plus pédagogique, le musée nous propose une mise en situation, avec un décor immersif et théâtralisé. Le musée de l'Armée revient ensuite sur les grands duellistes de l'Histoire, hommes et femmes dont les combats sont restés dans les mémoires. À travers les pays et les siècles, les récits se multiplient et nous fascinent toujours autant. La dernière partie de l'exposition explore justement cette fascination, cet attrait que l'on peut avoir pour ces histoires de combat. Lorsque les artistes s'en mêlent, et transforment les duels en spectacle, tout un pan de la culture se trouve transformé : cinéma, littérature, jeux vidéo, peinture, poèmes... Les duels et les duellistes ont acquis une renommée éternelle grâce à ces œuvres et ces styles. Le musée de l'Armée nous entraîne ainsi dans une exposition passionnante, qui devrait plaire autant aux amateurs d'Histoire qu'aux amoureux du sport ou de l'art. À voir dès le printemps 2024.