La Galerie d’Alfred expose Laetitia Guichard au Centre Alfred-de-Vigny

Description

Venez découvrir la magnifique exposition de Laetitia Guichard à la Galerie d'Alfred-de-Vigny du 29 septembre au 27 octobre 2022.

« Les animaux en forêt, martin pêcheur, écureuil, mantes religieuses ... Le monde du petit et du grand. Je vous montrerai également une autre partie de mon travail sur les paysages français et étrangers. Toujours à cœur de trouver l'émotion et la beauté de la nature. »

Vernissage le Samedi 1er octobre à 14h.

Accès

Parking : Non

Info & Reservation

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Suggested events

Le musée Grataloup, centre d'Art Contemporain à Chevreuse, ouvrira les portes de sa cinquième saison d'expositions le samedi 30 mars 2024. Intitulée "Corps Vivant", cette nouvelle édition explore le thème du « Corps », offrant aux visiteurs un voyage sensoriel inédit. L'événement revêt une importance particulière en tant que contribution artistique aux Jeux de 2024. En effet, l'exposition a été honorée du prestigieux label "Olympiade Culturelle", décerné par le comité organisateur des jeux, Paris 2024. Allier l'art et le sport, "le muscle à l'esprit", est l'un des fondements de l'Olympisme, comme le soulignait Pierre de Coubertin. "Corps Vivant" promet d'être une expérience artistique immersive, explorant à travers le corps, les thèmes de la liberté, du mouvement, de l'énergie et de l'amour, dans un dialogue créatif entre deux artistes, en harmonie avec l'esprit des Jeux Olympiques. Dans la chapelle du prieuré, les oeuvres du peintre symboliste GRATALOUP célèbrent la synergie corps/esprit à travers la naissance, la vie, et la mort. Dans le jardin, Antoinette ROZAN a posé ses sculptures et accroché sur les murs ses calligraphies dans une chorégraphie joyeuse et colorée. Mouvement, énergie, liberté sont les thèmes qu'elle explore dans son travail. La magie des lieux ou du temps a opéré. Dans une conversation secrète qui n'appartient qu'à eux, ces deux artistes établissent un véritable dialogue de couleurs, célébrant toutes les expressions du Corps en Vie, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Site web : https://www.museegrataloup.fr/ Infos réservation : https://www.museegrataloup.fr/ticket
Lors de cette exposition exceptionnelle consacrée à la commande de soieries de Napoléon pour le Château de Versailles, découvrez un ensemble de textiles jamais utilisé et comme neuf, au sein du Grand Trianon de Versailles. Si le château de Versailles est intimement lié au Roi Soleil dans l'Histoire de France, ce n'est pas la seule tête couronnée qui a marqué son sol. Napoléon Bonaparte, devenu empereur des Français en 1804, souhaite refaire de Versailles un lieu de pouvoir après la Révolution. Du 19 mars au 23 juin 2024, le Grand Trianon accueille une exposition en partenariat avec le Mobilier national, qui explore ce travail de restauration du château de Versailles, notamment par le biais d'une exceptionnelle commande de 120 soieries ! Napoléon 1er a octroyé à cette occasion un fonds spécial de 6 millions de francs, dont une partie ira aux manufactures lyonnaises de soieries, pour près de 80 kilomètres de tissu. Alors en difficulté, les manufactures sont aidées par cette impressionnante commande, entre 1811 et 1813. Livrées au garde-meuble impérial, ces soieries coûteuses ne seront jamais utilisées à cause de la chute de l'Empire et sont de fait parfaitement bien conservées encore aujourd'hui. Pendant cette exposition, découvrez les techniques de fabrication et le savoir-faire des soieries lyonnaises, mais aussi le contexte historique et économique de cette commande de textiles, grâce à des échantillons d'origine, des documents d'archives et des machines illustrant les progrès du domaine, notamment une machine à tisser à la mécanique Jacquard. L'occasion également de parler d'architecture, puisque Napoléon envisageait de nombreux aménagements autour de ce tissu, aux couleurs et motifs parfois originaux. De façon exceptionnelle, la visite de l’appartement de l’Empereur au Grand Trianon est intégrée au parcours, le temps de l'exposition.
Créer de beaux cheveux, c'est tout un art. C'est même un métier d'exception, que l'atelier Peruke nous fait découvrir les 6 et 7 avril 2024, à l'occasion des Journées européennes des métiers d'art. Costumes, maquillage, décors : pour donner naissance à un film, de nombreux métiers artistiques sont mobilisés. Il existe des artisans auxquels on ne pense pas souvent, mais qui sont tout aussi essentiels pour la bonne réalisation de ces films : les perruquiers. Cinéma, clips musicaux, mode et haute couture : ils sont sollicités constamment. Pour découvrir cet art si particulier, l'atelier Peruke nous ouvre ses portes, et nous invite à découvrir ses réalisations, le week-end du 6 et 7 avril 2024. L'atelier organise une exposition ouverte à tous, mettant en lumière ses perruques conçues pour la Maison Hermès. À travers cette présentation, l'atelier Peruke nous explique son savoir-faire unique, reconnu et utilisé par les grands acteurs du monde du cinéma : on retrouve les perruques de cet atelier parisien dans le film Valérian de Luc Besson, dans la série Lupin sur Netflix, ou encore dans Illusions perdues de Xavier Giannoli. Ce rendez-vous insolite est organisé dans le cadre de la 18e édition des Journées européennes des Métiers d'art. Chaque année, ces artisans au savoir-faire exceptionnel nous invitent à découvrir leur profession et leurs réalisations, pour mettre en avant cette branche si spéciale de l'artisanat. Du 2 au 7 avril 2024, plus de 500 événements sont organisés à Paris et en Île-de-France : découvrez le savoir-faire français, et cultivez vos passions avec ces rendez-vous inédits !
Là où le monde déborde Capucine Vever Commissaire : Julie Sicault-Maillé 30 mars - 25 mai 2024 Vernissage samedi 30 mars de 17h à 19h30 « "Là où le monde déborde" porte un regard sur plus de dix années de création de Capucine Vever. Dès 2012 et "The Long Lost Signal", elle dessine son approche du paysage. Au-delà d'un espace de projection, l'artiste l'aborde comme un espace politique, les problématiques environnementales et sociales affleurant. Des paysages délaissés aux rebuts de l'activité humaine ou aux espaces convoités, accaparés, contraints, voire abîmés, ses oeuvres les mettent en lumière délicatement en jouant de poésie. Capucine Vever travaille les paysages selon une partition d'observation et de suggestion. Ses créations puisent leurs origines dans les spécificités d'un territoire, les activités humaines qui s'y déroulent et les représentations dont il fait l'objet. Elle ancre ainsi sa démarche dans une réalité profonde en opérant à partir de constats, d'études scientifiques, de cartes, d'expérimentations, de rencontres et trouble ensuite celle-ci pour créer un récit glissant vers la fiction, une oeuvre poétique, une représentation sensible d'enjeux sociétaux. Entre visible et invisible, du gigantisme à l'infime, l'artiste absorbe et manipule ce qui nous est offert au regard pour révéler ce qui est caché, et laisser place à l'imaginaire. Sa nouvelle création "Les troubles de la Garonne", 2024, présentée sous l'immense verrière de la Graineterie, est ainsi à la mesure de tout ce processus de recherche et d'expérimentation artistique. Installation sculpturale et sonore nourrie de l'observation de la Garonne où les pieux d'amarrage, signes caractéristiques de ces rives, entrent en résonance avec l'histoire de la traite des esclaves. Là où le monde déborde immerge le visiteur dans des voyages à travers l'épaisseur des sites. On traverse les espaces océaniques avec "Dunking Island", 2022, Lame de fond, 2019, "Rupes Nigra", 2018, les espaces urbains avec "Marches parallèles", 2014 et "À la fin, on sera tout juste au début", 2020, les espaces montagneux avec "C'est en chantant le nom de tout ce qu'ils avaient croisé en chemin [...] qu'ils avaient fait venir le monde à l'existence", 2017, les espaces ruraux avec "Labour", 2022. Territoire et sujet observés, explorés, disséqués nourrissent un processus de création par ensembles d'oeuvres autonomes et l'interprétation d'une diversité de media - gravure, film, installation, photographie, création sonore, sculpture, édition, performance, - tout en participant d'un tout cohérent qui tisse un dense faisceau de sens et d'approches esthétiques. » Julie Sicault Maillé Site web : https://lagraineterie.ville-houilles.fr Infos réservation : Entrée Libre
Boxe, équitation, aviron... Les sportifs servent aussi de muses aux artistes. Le musée Marmottan-Monet nous invite à découvrir l'exposition En Jeu ! Les artistes et le sport, du 4 avril au 1er septembre 2024. La pratique du sport n'a pas toujours été ouverte à tous ou même encouragée. Le sport s'est peu à peu démocratisé à partir du XIXe siècle en Europe, passant d'art élitiste à pratique sanitaire, spectaculaire, puis loisir de masse. Les artistes ont raconté cette transition, ont documenté les différentes pratiques sportives à travers leurs peintures, leurs sculptures, leurs dessins... En cette année olympique à Paris, le musée Marmottan-Monet s'est penché sur ce sujet si particulier : du 4 avril au 1er septembre 2024, l'institution nous présente l'exposition En jeu ! Les artistes et le sport. Plus d'une centaine d'œuvres sont réunies pour couvrir ce vaste sujet. De 1870 à 1930, les plus grands noms de l'art se sont laissés inspiré par les sportifs et leur discipline. On découvre ainsi les œuvres de Monet, Degas, Rodin, Toulouse-Lautrec, Caillebotte, mais aussi Maillol, Richer, Delaunay, Bellows... Certaines des pièces exposées sont habituellement conservées dans des collections privées, c'est donc une occasion unique d'admirer les créations de ces artistes de renom. Les techniques, les mouvements artistiques, les époques : le parcours de cette exposition met en face-à-face des artistes très différents, qui ont travaillé sur un même thème. Les mouvements sur une image fixe, l'évolution, la délicatesse des corps et des muscles, les normes sociales qui entourent ces pratiques sportives, la figure de l'athlète : ces sujets passionnent peintres et sculpteurs. Alors que les Jeux olympiques modernes naissent sous la houlette de Pierre de Coubertin, l'image du sport évolue : la lutte, la boxe ou les jeux de balle se retrouvent sur un pied d'égalité avec l'équitation, l'escrime, la voile. Les classes sociales se retrouvent peu à peu dans ces événements qui rassemblent les foules et suscitent des émotions si fortes. Venez sans attendre découvrir l'exposition du musée Marmottan-Monet aux beaux jours.
La ville de Versailles, berceau de ce courant musical, French Touch, organise une rétrospective évènement du collectif H5, studio pluridisciplinaire à l'origine des pochettes de disques et des clips les plus mythiques de ce mouvement musical.
Partez à la découverte du puissant empire Mexica et de sa culture mystérieuse, révélée dans une exposition inédite du musée du Quai Branly, du 3 avril au 8 septembre 2024. C'est l'une des civilisations les plus fascinantes de l'Amérique centrale : l'empire Mexica (plus souvent connu sous le nom d'Aztèque) a prospéré pendant deux siècles, laissant derrière lui une culture et des vestiges impressionnants. Le musée du Quai Branly - Jacques Chirac nous dévoile quelques-uns des secrets de ce peuple mystérieux, grâce à l'exposition Mexica, des dons et des dieux au Templo Major, présentée du 3 avril au 8 septembre 2024. En 1978, la ville de Mexico révéla une surprise de taille aux archéologues : dans les sous-sols de la cité se trouvent les vestiges d'une civilisation pré-colombienne puissante et complexe. Maisons, temples, objets du quotidien et artéfacts rituels... L'ancienne ville de Tenochtitlan se dévoilait petit à petit aux chercheurs. Rapidement, cette civilisation a passionné les spécialistes comme le grand public, et de nombreuses recherches ont été menées pour mettre en lumière ce peuple et son histoire. De nos jours, la civilisation Mexica est assez bien connue... Mais elle cache encore de nombreux secrets. Le musée du Quai Branly nous invite donc dans un voyage formidable, à la rencontre de ce peuple, et surtout de sa culture. Art, croyances et rituels, architecture, rapport à la nature et déplacements... Plongez au cœur de cette civilisation riche et sophistiquée. Notre périple débute dans le cœur sacré de l'empire Mexica, au Templo Mayor, et nous entraîne dans des recoins insoupçonnés de l'Amérique centrale... Prêts pour un tel voyage ? Préparez vos passeports, le musée du Quai Branly vous attend !
Le Musée de la Libération de Paris - Musée du Général Leclerc - Musée Jean Moulin vous invite à découvrir sa dernière exposition, intitulée Paris brûle-t-il? L'Histoire d'un film, à découvrir du 27 mars au 22 septembre 2024. Quand l'histoire est quelque peu revisité par le cinéma... Cela donne Paris brûle-t-il? L'Histoire d'un film, exposition proposée par le Musée de la Libération de Paris - Musée du Général Leclerc - Musée Jean Moulin, et qui se tient du 27 mars au 22 septembre 2024, à l'occasion du 80e anniversaire de la Libération de Paris. L'exposition vous propose de découvrir ou redécouvrir le film éponyme de 1966, réalisé par René Clément et basé sur l'œuvre de Collins et Lapierre, qui a marqué l'histoire du cinéma par sa narration de la Libération de Paris. Le film Paris brûle-t-il? est une superproduction franco-américaine qui a réuni des célébrités du calibre d'Alain Delon, Jean-Paul Belmondo, Yves Montand, Kirk Douglas et Orson Welles. Sa sortie dans les années 60 a créé une onde de choc dans le monde du cinéma, le positionnant comme une référence incontournable. Toutefois, cette exposition ne se limite pas à célébrer le film en tant qu'œuvre cinématographique. Elle s'interroge également sur les frontières entre reconstitution historique et interprétation artistique, une question qui reste d'actualité (en atteste le dernier film de Ridley Scott autour de Napoléon). L'exposition du Musée de la Libération de Paris propose une exploration immersive des scènes emblématiques du film, permettant au public de confronter la vision cinématographique de la Libération avec les faits historiques réels. Cette démarche est enrichie par la présentation de documents et archives de René Clément, des photographies exclusives du tournage, et des objets authentiques de la Libération de Paris issus des collections du musée. L'idée est de plonger le visiteur dans les coulisses de cette superproduction, tout en offrant un éclairage sur le contexte politique et social du milieu des années 1960. L'occasion pour les passionnés d'histoire et de cinéma de comprendre comment un film peut influencer la perception collective d'un événement historique majeur. Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Art Paris Art Fair : à la rencontre d'art moderne et contemporain au Grand Palais Ephémère. Du 9 au 12 septembre 2021
Plongez dans l'élégance du XVIIIe siècle avec l'exposition Luxe de Poche au Musée Cognacq-Jay ! Du 29 mars au 29 septembre 2024, découvrez une collection unique de boîtes, tabatières, et autres objets de luxe qui ont façonné les rituels de sociabilité des élites. Admirez le travail des orfèvres légendaires et laissez-vous transporter par la beauté et l'ingéniosité de ces trésors d'art ! L'artisanat de luxe mis à l'honneur ! Le Musée Cognacq-Jay vous invite à découvrir sa dernière exposition, Luxe de Poche, du 29 mars au 29 septembre 2024. Le musée parisien invite plus précisément les visiteurs à plonger dans l'univers fascinant de la mode des boîtes, tabatières, étuis et autres petits objets de luxe qui ont marqué le XVIIIe siècle. Cette exposition propose un voyage dans le temps, à la découverte des bijoux et objets précieux qui ont suscité l'engouement des élites européennes au siècle des Lumières. Les visiteurs vont avoir l'opportunité d'admirer une collection de 260 pièces, témoignant de la virtuosité des meilleurs orfèvres de l'époque. Ces objets, véritables chefs-d'œuvre d'artisanat, se démarquent par leur richesse et leur inventivité. Imaginez des boîtes en or, enrichies de pierres dures ou précieuses, des étuis couverts de nacre, de porcelaine ou d'émaux translucides, et même des miniatures artistiquement réalisées. Chaque pièce reflète l'extravagance et le raffinement de cette période fastueuse. Parmi les curiosités de l'exposition, certains objets se distinguent par leur originalité et leur ingéniosité. Un pistolet miniature se transforme en vaporisateur à parfum, un étui à cire prend l'allure d'une asperge en porcelaine, et un drageoir se métamorphose en un dromadaire en agate sculptée. Ces créations témoignent de l'extraordinaire créativité des orfèvres et artisans du XVIIIe siècle, à l'image de Joseph-Étienne Blerzy, Paul-Nicolas Ménière, Johann-Christian Neuber, pour n'en citer que quelques-uns. La collection d'Ernest Cognacq, présentée dans cette exposition, rivalise en qualité avec celles des plus grandes institutions, y compris le Musée du Louvre. Une belle fenêtre sur les rituels de sociabilité des élites du XVIIIe siècle, donc. Chaque objet, par son histoire et sa conception, raconte une partie de l'histoire sociale et culturelle de cette époque. Et une invitation à explorer un aspect méconnu mais captivant de l'histoire de l'art et du luxe. On file au Musée Cognacq-Jay ? Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.