Macbeth au théâtre Epee de bois

Description

THEATRE DE L'EPEE DE BOIS présente ce spectacle Divines ou infernales, les voix intérieures que le roi écoute ne pourront pas justifier le délire de destruction ni la soif de pouvoir.Quelle est cette folie qui dort chez l’être humain et qui, une fois réveillée, nous pousse à commettre les pires atrocités ?AuteurWilliam ShakespeareTraductionFrançois-Victor HugoAdaptation et mise en scèneAntonio Diaz-FlorianAvecLa Troupe de l'Épée de Bois

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  • Standard - 24,20 €

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Concert symphonique ------------------------ ORCHESTRE DE PARIS / HERBERT BLOMSTEDT Bruckner• Grande salle Pierre Boulez - PhilharmoniePROGRAMMEAnton BrucknerSymphonie n° 8DISTRIBUTIONOrchestre de ParisHerbert Blomstedt , direction Dernière œuvre pleinement achevée de Bruckner, la Symphonie n° 8 déploie une force sans égale, comme si le compositeur, dans un geste épique de synthèse testamentaire, avait voulu écrire non pas son dernier opus, mais bien l’ultime symphonie. Immense fresque musicale, la Symphonie n° 8 est le fruit de trois années de labeur acharné. Tentaculaire, plusieurs fois remaniée, elle apparaît à la fois comme le couronnement de la symphonie romantique et son crépuscule : toute une filiation, celle de Beethoven et Schubert, s’achève dans cette page lourde d’enjeux métaphysiques, comme toujours chez le très dévot Bruckner, et parfois surnommée « symphonie du destin ». On ne sait qu’admirer davantage dans ce monument sonore : la richesse thématique et la rigueur structurelle de l’Allegro initial, les visions d’une nature fantastique, mystérieuse et initiatique dans l’étonnant Scherzo, la majesté de l’ample Adagio, dominé par la solennité religieuse du choral… Quant au Finale, il n’est rien moins que l’apogée de l’œuvre brucknérienne : une arche récapitulative dans laquelle toute une carrière se condense en un paroxysme d’expressivité et de puissance orchestrale.
Un des principaux aspects de l’écriture de Copi, et notamment de La tour de La Défense, c’est cette manière qu’elle a d’en faire trop, de dépasser toutes les bornes, de pousser dans leurs retranchements les acteurs et les limites de la machine théâtrale. Dans la pièce, les évènements se succèdent, et tous sont plus fous les uns que les autres : un serpent remonte les canalisations, une mouette rentre par la baie vitrée, un hélicoptère s’écrase sur la tour d’en face, une mère se retrouve soudain accusée du meurtre de son enfant… l’écriture semble toujours vouloir en rajouter une couche, elle déborde d’idées. Pourtant, on y lit aussi quelque chose de mélancolique ; comme si elle s’acharnait en vain, tentait par tous les moyens de rendre sa force à une vie qui, depuis longtemps, a perdu toute sa consistance. Les personnages, par leurs réactions, racontent ce rapport étrange aux évènements, vécus avec une intensité sincère, mais ne laissant aucune trace, comme oubliés aussitôt qu’un nouvel incident advient. Pendant la quasi-totalité de la pièce, aucun de Jean, Luc, Micheline, Daphnée ou Ahmed n’est véritablement marqué par ce qu’il vient de traverser ; tous semblent guidés par leurs seuls instincts, dans une naïveté qui n’est pas sans rappeler celle de l’enfance, comme un grand jeu auquel ils seraient en train de prendre part, et depourraient indifféremment passer d’un état à un autre. Au plateau, les acteurs s’étonnent de tout, et toujours au premier degré, tenus dans cet “hyperprésent” qui leur empêche tout recul sur ce jeu auquel ils sont en train de jouer. Côté public, certains évènements peuvent faire rire, mais à peine a-t-on le temps de s’en amuser qu’un autre déjà survient, et qu’on se retrouve alors peu à peu plongé dans cet état étrange, à mi-chemin entre l’asphyxie et l’ivresse, si caractéristique de l’univers de Copi. Auteur Copi Mise en scène Lewis Janier Dubry Avec Louis Certain, Manaëlle Cobra, Marius Ponnelle, Tom Rundstadler, Sylvain Septours, Théo Urtubey Scénographie et accessoires Sylvain Septours Création sonore Basile Lacroix-Boettcher Production Compagnie du Sixième Mur
THEATRE DE L'EPEE DE BOIS présente Dix copains rwandais, hutus, copains de classe, de matchs de foot, de travaux des champs. En trois mois, d'Avril à Juin 1994, ils ont massacré à la machette, « sans rien penser », tout ce que leur bourgade et les collines voisines comptaient de tutsis, près de cinquante mille, hommes, femmes, enfants, leurs « avoisinants », avec qui ils avaient aussi partagé bancs de classe, bancs d'église, soirées arrosées et matchs de foot. Auteur Récits recueillis par Jean Hatzfeld. Editions du Seuil. Paris 2003Mise en scène Dominique LurcelAvec Céline Bothorel Mathieu Desfemmes Yves Rousseau Tadié Tuéné
Souviens-toi Vernon, on entrait dans le rock comme on entre dans une cathédrale, et c'était un vaisseau spatial cette histoire Il a 45 ans. Il est disquaire. Ayant connu ses heures de gloire dans les années 80, la crise du disque lui fait perdre son emploi, et de fil en aiguille, son appartement. Pour trouver un endroit où dormir, Vernon va devoir reprendre contact avec ses anciens amis. Tous fans de rock à 20 ans, que sont-ils devenus ? À travers une galerie fulgurante de personnages désenchantés, on découvre la fin d'un monde, l'impasse d'une utopie de jeunesse. Peu à peu, Vernon glisse vers l'exclusion sociale et se retrouve à la rue. Ce portrait tendre et sans concession d'un loser héros délivre un regard critique et féroce sur la société d'aujourd'hui. Un spectacle puissant et rock n'roll, et l'écriture d'une grande autrice.
Spectacle à partir de 7 ans. Pourquoi une table s'appelle une table et pas un schling à Et si ça s'appelait un schling, ça servirait quand même à manger à Fascinée par la faculté d'étonnement des enfants, Muriel Imbach décortique le langage et explore, de manière joyeuse et poétique, le rapport entre le nom des choses et leur réalité. Formée à la philosophie avec les enfants, la metteuse en scène suisse Muriel Imbach, dont vous aviez peut-être déjà découvert le spectacle À l'envers, à l'endroit en avril 2023 au TPM, nourrit ses créations des réflexions entendues lors d'ateliers organisés dans des classes. C'est le cas dans ce spectacle, petit bijou d'inventivité. Dans un espace ludique, cinq personnages s'amusent à malaxer les mots sans réserve, à jouer avec la musicalité de la langue, à décortiquer la parole, à expérimenter selon la façon des surréalistes. Peu à peu, ce choeur malicieux fait surgir une civilisation étrange, cousine de la nôtre, où le langage se dit et se vit différemment. Le Nom des choses devient alors un poème à la fois drôle et philosophique, une ode à la langue et à l'imaginaire. Dès 7 ans. Infos réservation : 23 avril : 14h3024 avril : 15h25 avril : 14h3026 avril : 10h / 14h3027 avril : 18h29 avril : 10h / 14h3030 avril : 10h / 14h30
Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. BEETHOVEN / MISSA SOLEMNIS Le Cercle de l’Harmonie - Jérémie RhorerConcert symphonique• Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie• Durée : environ 1h20PROGRAMMELudwig van BeethovenMissa SolemnisDISTRIBUTIONLe Cercle de l'HarmonieAudi JungendchorakademieJérémie Rhorer , directionChristiane Karg , sopranoVarduhi Abrahamyan , mezzo-sopranoDaniel Behle , ténorTareq Nazmi , basse La Missa solemnis ? « Une œuvre monumentale dans laquelle Beethoven traite de la plupart de ses sujets de prédilection : l’universalité, les croyances, mais aussi les doutes et la souffrance engendrée par ces doutes », résume Jérémie Rohrer. Commencée en 1818, promise pour 1820, achevée en 1823, partiellement créée en 1824 mais seulement publiée en 1827, la Missa solemnis valait la peine d’attendre. L’histoire de la musique n’a sans doute rien engendré de tel depuis la Messe en si de Bach, dont le grand Ludwig aurait aimé s’inspirer. Il échoua cependant à s’en procurer une copie. Si le compositeur croit dur comme fer au Très-Haut – « Je l’ai servi depuis mon enfance, je me suis confié à lui, j’ai fait tout le bien que j’ai pu, je me confie encore à lui, entièrement et uniquement » –, la portée de son monument reste universelle. Ou, pour le dire comme Vincent d’Indy un siècle plus tard, « c’est le genre humain tout entier qui implore la miséricorde divine. »
Horizon 2048, une création qui construit un avenir collectif. Depuis 2022 des temps de rencontres sont créés dans différents lieux et structures du 77, 91 et 94 (Quartiers Prioritaires, foyers de l'Aide Sociale à l'Enfance, structures de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, Centres d'Hébergement d'Urgence...) et aussi en Egypte. Via un questionnaire en ligne, ces personnes sont invitées à réfléchir et partager sur différents thèmes à partir d'une question philosophique, puis à chercher des solutions concrètes pour imaginer un idéal de société à l'horizon 2048. Site web : https://www.theatre-studio.com/saison/horizon-2048 Infos réservation : Plein tarif : 20 ?Tarif réduit : 15 ?(étudiants, demandeurs d'emplois, seniors, intermittents)Tarif réduit ++ : 10 ?(moins de 16 ans, bénéficiaires du RSA/RMI, habitants d'Alfortville)
Spectacle à partir de 1 an. [Poétique du corps et du textile] Un moment comme une caresse, invitant à la contemplation feutrée d'un dimanche après-midi. Les tout-petits entrent dans une atmosphère ouatée et sont installés dans un univers d'objets textiles beaux et intrigants. Tout est matière dans ce spectacle, et incite au toucher. Il est mené par une interprète qui, tour à tour, danse, joue et manipule de lourds draps blancs et des étoffes anciennes roulées, légères ou épaisses, parfois transformées en objets animés. De l'idée de sagesse des anciens a? l'innocence des nourrissons, des plis de la peau d'un nouveau-né? aux rides d'un visage vieilli... Voici un moment voluptueux, un instant partage? qui nous parle poétiquement du temps qui passe. Jeune public +6 mois 45 min Site web : https://www.theatre-halle-roublot.fr/spectacles/%C3%A9loge-du-blanc
Spectacle à partir de 4 ans. Il était comment le monde avant qu'on l'appelle monde ? Voici une rencontre inédite entre une jongleuse de mots et de dessins et un bricoleur un peu foldingue de danses farfelues : quand ces deux-là décident de repenser la naissance du monde, attendez-vous à un nouveau big bang ! Plaisir d'une danse ou d'un tableau, moment où les choses se construisent avec des planches, un dessin, un tabouret, un carton... Dans un joyeux chaos, ils font valser l'ordre établi et avec un plaisir contagieux, réinventent l'histoire le temps d'une danse. L'absurde, le jeux et l'humour sont l'ADN de la compagnie qui aime des formes participatives pour partager plus intimement avec les spectateurs. Infos réservation : 01 41 79 17 20info@theatredemaisons-alfort.com