Popper

Description

Comédie existentielle Alors que Shvartziska se cure le nez, son mari Shvartz entre et demande à embrasser le doigt dont elle vient de se servir, un doigt qu'elle a eu à peine le temps de cacher derrière son dos. Gênée Shvartziska refuse et Shvartz qui ne comprend pas s'en offusque. Paniquée Shvartziska demande de l'aide à Popper, l'ami du couple, ce qui met Shvartz dans une terrible colère au point de souhaiter la mort de Popper. Sous ses airs de vaudeville, la pièce Popper de Hanokh Levin nous embarque dans un drame conjugal, amical, humain elle nous fait réfléchir sur la solitude, le couple, l'amitié et à les voir jouer on rit de nous.

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  • Standard - 14 €

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Rhinocéros est une fable où les hommes abdiquent leur humanité - Ionesco choisit l'animalité comme symbole du totalitarisme. Plus actuel que jamais. Un jour, dans la ville, apparait un rhinocéros. Peu à peu, on comprend que ce sont les hommes eux-mêmes qui se transforment... Cette nouvelle à l'humour corrosif dépeint la naissance d'une terrible maladie qui nous guette tous:"Larhinocérite". L'uniformisation. Menace que font peser tous les conformismes. Durée: 55 minutes Auteur: Eugene Ionesco Avec: Stéphane Daurat en alternance avec Catherine Hauseux Mise en scène: Catherine Hauseux Presse: «Ce " Rhinocéros " réveille les consciences !»La Marseillaise «L'énergie du comédien est sans égale. Son jeu, vif et précis. On rit, on s'émeut, on s'inquiète. » La Provence «Catherine Hauseux reprend le rôle [de Bérenger] et le remplit de son animalité et de sa présence. Le spectacle effrayant est magnifique. » Toute la Culture «A ne manquer sous aucun prétexte» un fauteuil pour l'Orchestre «Un tour de force impressionnant ! » Reg'arts «Une brillante réussite, un spectacle à la fois moderne et intemporel. » Froggy's Delight "Une puissante interpretation" Géo "An extraordinary and unique show!" The Théâtre times
Une (tragi)comédie actuelle, féroce et jubilatoire sur le monde du travail et son impact dans la vie quotidienne. La pièce de Rémi De Vos traite de l'exclusion et de ses conséquences dans des situations différentes. Exclusion du monde du travail, exclusion d'une société normalisée par des codes, des rythmes, voire un langage qui sont ceux que la rentabilité économique impose à l'ensemble des rouages sociaux. Chacun des personnages, exclu (de son entreprise, de son couple, de la société) se voit, par sa situation de vacuité, poussé hors de lui-même. Face à ces exclus, on trouve des DRH, liquidateurs, cadres supérieurs, petits chefs etc et les témoins ou victimes collatérales de l'exclusion : conjoints, relations amicales etc... Tous ces personnages, débrayés du grand moteur social, deviennent les jouets de la peur, de l'abandon. La perte des repères et parfois de la dignité les conduisent à des débordements. Le menacé, l'exclu, banni du bien penser et du bien vivre agit sans mesure et, dans ce contexte grave parfois se comporte malgré lui en figure comique. Nous sommes dans une tragi-comédie. Ici, ni bons ni méchants mais des êtres perdus, ballottés, dans la tourmente. Pourtant, de victimes, certains se verraient bien, ne serait-ce qu'une fois, en situation de dominant : patron, contremaître... Ainsi, la conscience malmenée de chaque exclu renvoie-t-elle à la fragilité des convictions. En fait, on est avec ce texte aux confins de la vulnérabilité humaine, au coeur même de ce qui reste de l'homme écarté de la mécanique sociale : sa solitude.
Finale du 100 mètres des Jeux Olympiques : flamme olympique, starting-blocks, commentateur·rice·s sportif·ve·s et les athlètes, en bout de piste, prêt·e·s à en découdre, face au public. Lorsque le coup de pistolet du départ est tiré, les athlètes font marche arrière et sortent de scène. Dans ce spectacle, la petite histoire de quelques athlètes se mêle à la grande histoire du sport, du faux départ de John Drummond à l’engagement d’Alysson Félix, en passant par Bernard Tapie ou la chevauchée de Floria Guei… Jouons à l’athlétisme, à l’escrime, au théâtre, pour faire jaillir leurs valeurs communes quand elles ne sont pas galvaudées : l’humilité, le dépassement de soi, la coopération et la liberté.
Plongez dans l'univers du sport et des Jeux Olympiques avec la comédie touchante 'Le Marathon'. Une satire cinglante et hilarante qui explore les ambitions, les passions et les absurdités des sportifs. Laissez-vous emporter par ce voyage humoristique et émouvant au coeur de la persévérance et de l'amitié.
La fin d’un couple, d’une histoire d’amour. En deux monologues percutants, écrits sur mesure par Pascal Rambert pour Stanislas Nordey et Audrey Bonnet, tout doit être dit, jusqu’au bout de la colère. Pour clôturer ce qui a été ? Dans ce théâtre de pur langage, les corps parlent avec force.Sont-ils musiciens ? Danseurs peut-être ? On sait seulement qu’ils sont artistes. Stan et Audrey. Audrey et Stan. Pascal Rambert a donné à ses personnages les vrais prénoms des deux comédiens pour qui il a écrit ce texte cousu main. Pour créer le trouble, supprimer les filtres, les mettre à nu. Leur amour est fini, il faut conclure. A tour de rôle, ils disent leur vérité, sans majuscule, sans ponctuation. La salle de répétition qui accueille leur huis clos devient chambre des tortures où les armes destructrices sont les mots. Telle une danse mentale, les mouvements invisibles de l’âme se débattent à l’intérieur des corps. Ecrasée par le poids des paroles de Stan, Audrey doit rester droite, ne pas fléchir. Mais chacun porte sa propre violence : celle, offensive et guerrière, de l’homme dont le cœur est devenu froid ; celle, calme et insidieuse, de la femme dont le pouvoir de destruction est ailleurs. Joué plus de deux cents fois depuis sa création en 2011, Clôture de l’amour est un spectacle d’une intensité rare, où les mots transpercent les cœurs et cognent les tripes, disséquant sans ménagement le sentiment amoureux.Vous serez placé à votre arrivé en échange de votre billet ( contremarque )
Capharnaum
25apr.
-
27apr.
THEATRE DE LA CITE INTERNATIONALE présente Au-delà de cette limite, votre ticket n’est plus valable… Que se passe-t-il quand vient la fin ? Quand la mort est là, que les souvenirs défilent ? Que reste-t-il d’une vie qui se dérobe et s’abolit ? Nourri de témoignages d’EMI (expérience de mort imminente), Valérian Guillaume laisse libre cours aux mots et aux affects, dans un flux verbal puissant. Discours proféré et texte projeté jaillissent côte à côte, se croisent, se contredisent, se fécondent l’un l’autre. Une grande récapitulation, intense et chaotique, tente de donner corps à ce qui s’efface. La remémoration tourne à l’opération de sauvetage, presque à la transe. Musique, objets, mouvements du corps et de la lumière accompagnent cette litanie du dernier instant où passé et présent se rejoignent, où les vivants et les morts dialoguent.
Mathieu Madenian, maître de la réplique qui tue, débarque avec un nouveau spectacle en rodage. Il dézingue l'actualité à travers les yeux d'un homme déconstruit, jonglant entre les couches à changer et les crises existentielles de la parentalité. Avec un humour incisif, il navigue à travers les méandres d'un monde en plein chaos.
Montaigne passa les vingt dernières années de son existence à inviter le monde dans sa bibliothèque, afin de se mesurer à cette immensité. Hervé Briaux s'en fait le vivant interprète et nous livre, une heure durant, les meilleurs morceaux des Essais, cet indémodable manuel de savoir-vivre.
PLATESV-R-2020-009306 Kevin Arnaud Hoedt, Jérôme PironSalle Jean TardieuDurée 1h15Théâtre contemporainIl y a les profs qui aiment leurs élèves, les pédagogues compétents et dont la personnalité est une leçon à elle seule, les directions d’école engagées, qui luttent chaque jour jusqu’à l’épuisement, les parents impliqués, les élèves inspirants. On ne parlera pas d’eux. On parlera de Kevin. Parce que l’école, pour Kevin, ça n’a pas du tout marché. Après avoir décomposé, analysé et désacralisé l’orthographe française dans leur spectacle à succès La Convivialité, Arnaud Hoedt et Jérôme Piron poursuivent leur exploration du système éducatif. Avec une bonne dose d’humour, accompagnés à la mise en scène par Antoine Defoort, ils portent sur l’école un regard tout à la fois naïf et partial, documenté et allègrement désinvolte. Conception et écriture Arnaud Hoedt et Jérôme Piron Mise en scène Arnaud Hoedt, Jérôme Piron, Antoine Defoort, Clément Thirion Avec Arnaud Hoedt, Jérôme Piron et Kévin MatagneCréation vidéo, décors et accessoires Kévin MatagneRégie générale et direction technique Charlotte PlissartConseils techniques et programmation Nicolas Callandt Assistanat Marcelline Lejeune Développement, production et diffusion Habemus Papam (Cora-Line Lefèvre, Rosine Louviaux, Alix Maraval, Mathilde Vreven)
PLATESV-R-2020-009306 Lettres non-écrites David Geselson Salle Roland ToporDurée 1hThéâtre contemporain« Si vous avez un jour voulu écrire une lettre à quelqu’un sans jamais le faire, parce que vous n’avez pas osé, pas su, pas pu, ou pas réussi à allerjusqu’au bout, racontez-la moi et je l’écris pour vous. Si elle vous convient et que vous acceptez, j’en ferai peut-être quelque chose au théâtre. »C’est à partir de ce postulat que David Geselson a commencé. Le projet des Lettres non-écrites se poursuit depuis, ville après ville. Il invite pour le Rond-Point de nouveaux spectateurs à lui partager leurs missives le matin même de chaque représentation. Dans la journée, il les écrit. Le soir, il les transmet au public, en y mêlant d’autres lettres, nées d’autres rencontres. Une collection de témoignages bouleversants pour rappeler que le théâtre est un territoire d’invention qui peut porter la parole de chacun.Distribution Conception et écriture David GeselsonInterprétation David GeselsonAvec, en alternance, Sharif Andoura, Servane Ducorps, Juliette Navis, Alma Palacios Violoncelliste, en alternance, Jérémie Arcache, Myrtille Hetzel Régie générale Sylvain TardyDirection de production et diffusion Noura SairourAdministration des productions et des tournées Laëtitia Fabaron Production Compagnie Lieux-Dits