La galerie Itinerrance, nichée dans le 13e arrondissement de Paris, convie Hush
pour sa nouvelle exposition gratuite. Du vendredi 26 avril au samedi 1er juin
2024, retrouvez le street artiste britannique autour d’une expo personnelle
mettant à l’honneur la féminité.
Située dans le 13e arrondissement de Paris, la galerie Itinerrance accueille
régulièrement les œuvres et les installations de talentueux artistes urbains.
Ces dernières années, la galerie Itinerrance a par exemple ouvert ses portes à
l'incontournable Shepard Fairey, mais aussi à Seth, Add Fuel, Inti ou encore
Wen2. Fondée en 2004 par Mehdi Ben Cheikh, cette célèbre galerie parisienne de
street art est également à l’initiative, depuis 2013, de plusieurs projets 'Hors
les murs' réalisés à l’échelle de la ville.
Ce printemps, la galerie de street art parisienne convie un nouvel artiste qui
risque fort de surprendre et de vous en mettre plein les yeux. Son nom ? Hush.
L’artiste britannique, né à Newcastle et considéré comme l’un des 20 artistes
issu de la scène d'art contemporain urbain à suivre de près par le journal
anglais The Independent, va donc dévoiler ses œuvres lors d’une exposition
personnelle à découvrir gratuitement du vendredi 26 avril au samedi 1er juin
2024.
Utilisant différentes techniques artistiques, comme la peinture, la sérigraphie,
le collage, le pochoir ou encore le dessin et le graffiti, Hush est connu pour
mettre à l’honneur la féminité sous toutes ses formes. La féminité sera donc à
l’honneur de cette nouvelle et seconde exposition personnelle de l’artiste Hush
à la galerie Itinerrance.
L’occasion de mieux découvrir et d'admirer son travail autour de ces femmes
énigmatiques, aux multiples visages de modèles venues des quatre coins du monde.
Des toiles et des œuvres à découvrir donc ce printemps, du 26 avril au 1er juin,
à la galerie Itinerrance dans le 13e arrondissement à Paris !
Notez qu'un vernissage de l'exposition personnelle de Hush, ouvert au public,
est prévu le 26 avril à partir de 18h.
Parcours Découverte du Site
02maart 2022
-01juni 2022
Quai François Mauriac, 75013 Paris, France
Description
Les parcours découvertes des 3 sites de la BIBLIOTHEQUE NATIONALE DE FRANCE Parcours découverte du site François-Mitterrand Visite guidée tous publics. Durée: 1h30 La présentation de l'histoire de la Bibliothèque et de l'architecture du bâtiment permet de comprendre son organisation et de découvrir ses collections. Le parcours conduit le lecteur des salles de lecture aux globes de Louis XIV. Gratuit pour les -12 ans, les bénéficiaires de l'aide sociale, les demandeurs d'emploi et les personnes handicapées et leur accompagnateur. Sur présentation d'une pièce justificative. Covid-19 Modalités d'accès et de réservation La BnF a à cœur de garantir la sécurité des publics qu'elle accueille, dans ses salles de lecture comme dans ses espaces d'exposition et auditoriums. En raison de la crise sanitaire, les modalités d'accès aux sites de la Bibliothèque sont modifiées, et le port du masque (à partir de 6 ans) est obligatoire pour accéder à l'ensemble des espaces. Dans ce contexte, la réservation est recommandée pour les manifestations et expositions payantes ainsi que pour les manifestations gratuites. La présentation du pass vaccinal est obligatoire pour toutes les manifestations culturelles, expositions, spectacles, lectures En fonction de l'évolution de la situation sanitaire, la BnF se réserve la possibilité d'adapter ces modalités d'accès et de réservation
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"Timeshot" : voilà le nom de la toute première exposition solo de Saype à Paris
! Le célèbre land artiste français, dont les œuvres monumentales et éphémères
sont connues dans le monde entier, expose son travail à travers des
photographies et dessins à admirer au sein de la galerie Danysz du 26 avril au
15 juin 2024.
Si vous êtes un amoureux de Land Art, alors vous connaissez forcément l’artiste
français Guillaume Legros, plus connu sous le pseudo de Saype. Depuis 2015, le
land artiste dévoile sur les réseaux sociaux ses fascinantes et monumentales
œuvres éphémères, disséminées aux quatre coins du globe (Paris, Buenos Aires,
Liverpool, Genève, Turin, Istanbul, New York, Nairobi, Tokyo, Montréal, La
Plagne...).
Voilà bientôt 10 ans que Saype réalise ainsi des œuvres en noir et blanc et
grandeur nature à même le sol, principalement sur l’herbe, mais aussi parfois
sur la terre, le sable ou encore la neige. Objectif ? « Impacter les mentalités
sans impacter la nature » et, ce, grâce à une peinture dite "éco-responsable",
conçue essentiellement à base de craie et de charbon. « Ça m’a pris 3 ans de
recherche et développement et après 5 ans d'études environnementales » avait
expliqué l’artiste contemporain à nos confrères de France Info en 2023. Aussi,
ses œuvres, aussi poétiques qu’engagées, ont la particularité de s’effacer avec
la nature (herbe qui repousse) et la météo (pluie, orages...).
Il faut dire que le land artiste est du genre prolifique. Depuis 2015, Saype a
réalisé plus d’une cinquantaine d’œuvres, dont 19 autour de son fameux projet «
Beyond Walls ». Ce projet, qui a débuté en 2019 à Paris, dévoile des mains
entrelacées, qui se tendent, se serrent et s’unissent. Une œuvre engagée qui
veut avant tout faire passer un message positif et d’entraide à travers le
monde.
Un travail fascinant que la galerie Danysz a décidé de mettre à l’honneur ce
printemps en organisant la toute première exposition solo de Saype dans la
capitale. Intitulée « Timeshot », cette installation est à ne pas manquer du 26
avril au 15 juin 2024. Annoncée sur les trois niveaux de la galerie, cette
exposition entend témoigner des travaux de Saype à travers des photographies et
dessins du land artiste. Et comme l’entrée est libre, vous auriez vraiment tort
de vous en priver !
Pour couronner le tout, la galerie Danysz annonce un vernissage en présence de
Saype, prévu le jeudi 25 avril de 18h à 21h.
Le Centre Pompidou s'intéresse au mobilier et aux objets créés pour les enfants
au XXe siècle, dans une exposition design à découvrir du 25 avril au 12 août
2024.
Meubles, chambres, bureaux d'écoliers, jeux : les designs des mobiliers pour
enfant ont bien changé en un siècle. Le Centre Pompidou nous propose une
rétrospective à la fois historique et artistique, à la découverte de "L'enfance
du design". Une exposition à voir du 25 avril au 12 août 2024 à Paris.
Au XXe siècle, la place, la singularité de l'enfant évolue grandement. Des
théories nouvelles sur l'apprentissage, la structure familiale, l'éducation
donnent à l'enfant une place plus importante dans le schéma social. Ce nouveau
statut social se traduit aussi dans le monde du design et de l'ameublement : les
chambres d'enfants deviennent des espaces à part, pensés pour leurs petits
habitants, avec des objets réalisés sur mesure pour eux.
En Allemagne, en France, au Danemark, en Italie, d'importants designers
imaginent des meubles et des objets originaux, conçus pour les enfants, et pas
pour toute la famille. Peu à peu, les chambres se transforment, devenant des
oasis colorés et joyeux pour les plus jeunes, des endroits conçus pour attiser
leur imagination et favoriser l'apprentissage de nouvelles compétences.
Le design des mobiliers pour enfants évolue en même temps que la société et ses
contraintes. La généralisation de l'école, le changement des normes des
logements, l'apparition de nouveaux matériaux, de théories sur les besoins des
enfants transforment les objets.
Les designers laissent parler leur créativité dans cet univers qui possède ses
propres contraintes, mais aussi ses libertés. Couleurs, objets interactifs,
formes, tailles, objets multifonctions : l'univers de l'enfance offre de
nombreuses opportunités créatives. Le jeu et l'originalité prennent une place de
plus en plus prépondérante dans les choix de design, transformant les chambres
en petits univers merveilleux.
Au fil du siècle et de l'exposition, on voit le mobilier changer et s'adapter,
illustrant le statut de l'enfant dans la société à chaque époque.
Une exposition fascinante pour les fans de design, à découvrir au Centre
Pompidou !
Ces trois « Leçons » seront ancrées dans le département des antiquités
orientales, avec lequel l’artiste se sent une affinité toute particulière, au
point d’avoir, inconsciemment, recréé des œuvres qui y sont conservées. Dans ces
« Leçons » à deux voix, développées en conversation avec Ariane Thomas, elle
rendra la parole aux œuvres désormais silencieuses du département.
A quelques mois de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le
Mobilier national présente au public le travail mené pour restaurer les décors
du monument, lors d'une exposition gratuite du 25 avril au 26 juillet 2024.
Après l'incendie du 15 avril 2019, la cathédrale de Notre-Dame de Paris n'a
jamais été aussi proche de rouvrir ses portes au public ! En décembre 2024, nous
pourrons enfin redécouvrir ce monument emblématique de la capitale, reconstruit
grâce au savoir-faire de nos artisans français. Du 25 avril au 26 juillet 2024,
la DRAC Île-de-France et le Mobilier national s'associent pour présenter une
exposition gratuite autour des décors de Notre-Dame de Paris, au sein de la
Galerie des Gobelins.
L'occasion d'admirer des chefs-d’œuvre sauvegardés après l’incendie mais aussi
des pièces contemporaines imaginées pour remeubler la cathédrale et apporter une
touche de modernité. L'exposition souligne le travail mené depuis cinq ans pour
restaurer et repenser le décor intérieur de la cathédrale, avec un savoir-faire
d'excellence. Parmi les œuvres majeures, on peut trouver treize grands Mays, dus
aux meilleurs peintres du XVIIe siècle, montrés pour la première fois depuis
deux siècles dans une même scénographie, ainsi qu'un tapis de chœur monumental
offert par Charles X.
Découvrez également le nouveau mobilier liturgique et les assises de la
cathédrale, issus d’un concours lancé en 2023 !
Par l'épée ou par la plume, Victor Hugo a mené plusieurs combats. Découvrez-les
dans l'exposition Victor Hugo s'escrime, présentée du 30 avril au 15 septembre
2024 dans la maison de l'écrivain, place des Vosges à Paris.
Sans conteste, Victor Hugo est l'une des plus grandes figures françaises du XIXe
siècle : il s'est illustré autant par ses œuvres que par ses engagements. La
Maison de Victor Hugo nous propose de redécouvrir ces différents
accomplissements, par le biais du combat et du duel.
Le musée parisien nous invite à venir admirer l'exposition Victor Hugo
s'escrime, du 30 avril au 15 septembre 2024. Une exposition sur le thème du
duel, illustrée par les nombreuses œuvres de l'écrivain, mais aussi par des
documents et objets d'époque, comme la célèbre photographie montrant Victor et
son fils Charles, en plein combat d'escrime.
Si on ne connaît pas de talent particulier pour l'escrime à Victor Hugo, sa
verve et sa plume, elles, étaient bien redoutées. Littérature et politique se
mélangent et se retrouvent dans les combats menés par l'auteur français. De
fait, ses œuvres servent bien souvent de support à ses idées et ses idéaux, et
ses personnages se retrouvent à défendre les valeurs et les croyances de leur
créateur.
Ainsi, l'exposition évoque Ruy Blas ou La Légende des Siècles, des œuvres
incontournables où le duel joue un rôle symbolique important. Faibles contre
forts, équité sociale, justice et injustice des Hommes, fraternité : les idéaux
de l'écrivain sont mis en scène dans ces combats littéraires, qui font écho aux
problèmes politiques de son époque.
Explorez ce thème fascinant, et (re)découvrez Victor Hugo et ses engagements,
dans cette exposition inédite.
Le Musée Carnavalet consacre une exposition à l'histoire de la fontaine des
Innocents, intitulée De pierre et d’eau, du 24 avril au 25 août 2024.
La Fontaine des Innocents sous toutes les coutures ! Voilà ce que vous invite à
découvrir le Musée Carnavalet à travers sa dernière exposition, De pierre et
d'eau : Histoires de la Fontaine des Innocents, du 24 avril au 25 août 2024.
Cette exposition vous propose plus précisément une immersion inédite dans
l'histoire de l'un des joyaux de la Renaissance française, la Fontaine des
Innocents, ornée des œuvres du sculpteur Jean Goujon. Située dans le quartier
dynamique des Halles, cette fontaine ne se contente pas de structurer l'espace
urbain ; elle raconte aussi des siècles d'histoire parisienne.
La récente restauration de la fontaine, entre 2022 et 2024, offre une occasion
exceptionnelle de découvrir de près les cinq reliefs de nymphes, chefs-d'œuvre
de Jean Goujon, temporairement retirés du monument pour l'occasion. Le Musée
Carnavalet a conçu cette exposition pour redonner vie à ce monument
emblématique, en adoptant une approche audacieuse mêlant l'art et la
technologie. Les visiteurs sont invités à explorer les complexités et les défis
de la restauration des œuvres d'art, un processus fascinant rarement mis en
lumière.
L'exposition ne se limite pas à ces reliefs. Elle propose un parcours riche
d'une centaine d'œuvres de différentes typologies, illustrant les multiples
évolutions et transformations de la Fontaine des Innocents au fil des siècles.
Au-delà de la redécouverte de ce monument, c'est aussi une occasion d'honorer
Jean Goujon, un artiste majeur de son époque, aujourd'hui méconnu. L'influence
de Goujon sur ses contemporains et sur les générations suivantes est également
mise en avant, tout comme la place de la Fontaine des Innocents dans la culture
populaire et son rôle emblématique dans l'histoire de Paris.
Cette exposition se présente donc comme un véritable voyage à travers le temps,
où l'art et l'histoire se rencontrent pour raconter l'histoire de Paris et de
l'un de ses monuments les plus remarquables. On passe par le Musée Carnavalet,
les amis ?
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Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition
entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe
du 23 avril au 27 octobre 2024.
Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de
voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent
automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de
nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce
que pourrait être notre futur.
Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se
construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des
plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril
au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa
diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu.
L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers
l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces
artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés.
Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités
plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir
les mondes de demain.
En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés
actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques
se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses
défauts, et, peut-être, de se redéfinir.
Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez
découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
SOMEBODY, une expérience intime du corps
Le corps est une source infinie d'inspirations, une exploration captivante de
l’humain dans sa forme la plus authentique. Chercher à capturer sa grâce, sa
vulnérabilité et sa puissance, révèle une partie de l’essence de l'existence.
Pour l’exposition SOMEBODY, le corps est célébré nu. Les œuvres offrent une
variété de perspectives, aux supports et procédés multiples. La peinture, le
dessin, la photographie et la sculpture sont réunis pour soumettre une
combinaison protéiforme du corps. Sous cette superposition de styles, chaque
œuvre témoigne de manière unique. L’organique se transforme en représentations
iconiques alliant la force brute des lignes et la délicatesse des courbes.
Le corps se plie aux exigences de l’éclatement des points de vue. Il se lit ici
à l’infini : figuré, déstructuré ou abstrait. Comme un puzzle, les figures
surgissent en champs ouverts de dos, de face, de profil et s’affirment dans leur
individualité. Les esquisses délicates captent l'instant éphémère, tandis que
les sculptures immortalisent la solidité sculpturale du corps humain.
La gestuelle est étudiée pour en extraire le caractère et la tension qui
s’expriment à l’affût de l’instant, laissant le corps apparaître sous une
certaine contorsion. Dans ce ballet de mouvements à la légèreté fugitive et
évanescente, le nu poétique et le cru érotique dialoguent. Ils nous propulsent
vers cette attraction vertueuse et sensible et nous rappellent que le corps est
objet de désir.
SOMEBODY est une célébration audacieuse du corps qui explore la complexité de
notre condition. Une expérience sensuelle de la perception de soi et des autres
qui questionne sur l’essence du beau. Le regard est ici porté sur la diversité
des figures, des formes et des tailles qui composent la richesse de notre
humanité. Caroline Canault, Commissaire d’exposition.
Teaser :
https://www.youtube.com/watch?v=-8ET_IAFBrA
Catalogue :
https://heyzine.com/flip-book/d2c36466d3.html
Célèbre pour ses toiles tressées, l'artiste Fran?ois Rouan expose cette fois-ci
à la galerie Templon une
quarantaine de tableaux photographiques inédits créés depuis 2020.
Pendant près de 40 ans, Rouan s'attache à la déconstruction de la notion de
tableau, à travers un
procédé nouveau qui deviendra sa marque de fabrique : le tressage pictural.
Cependant, dès la fin des années 1980, il se tourne vers la photographique, un
procédé qu'il explore et détourne sans relâche depuis 25 ans, en parallèle de
son travail de peintre.
L'exposition déploie une série d'oeuvres photographiques de petit format. Fruits
d'une insatiable expérimentation et exploration d'un medium insaisissable, les
clichés retravaillés se déclinent autour d'une palette volontairement
dépouillée. Tout en retenue, le noir et blanc se marie de temps à autre avec des
nuances corail ou saumon. Cette apparente simplicité chromatique laisse ainsi la
part belle à quelques-uns des questionnements métaphysiques et obsessionnels de
l'artiste : l'image du corps et le mystère de l'origine du monde. « Je suis
intéressée par l'idée de construire un cadre qui parle du corps féminin »
explique Fran?ois Rouan.