Exposition Marcoville « Lumières Célestes »

Description

Une coproduction de la Fondation Fourvière et Amour Sans Frontière.Le Musée de Fourvière réouvrira ses portes, après une seconde phase de travaux, le 1er avril avec l’exposition MARCOVILLE.À l’occasion de ses 50 ans, Amour Sans Frontière célèbre son anniversaire par cette initiative : une exposition féérique et inclassable d’oeuvres issues de verre récupéré et magnifié. Ces créations sont héritières de la tradition du travail du verre et seront exposées au musée Fourvière, édifice-écrin patrimonial. L’univers onirique du plasticien, passeur de lumière Marcoville y est sublimé.L’exposition « Lumières Célestes » du sculpteur de renommée internationale Marcoville, s’installera à Lyon durant 6 mois au musée de Fourvière.Pour cette occasion exceptionnelle, le musée de Fourvière, ouvre ses portes au public du 1er avril au 1er octobre 2023. Cet événement artistique inédit et audacieux est coproduit par la Fondation Fourvière, propriétaire du musée et l’ONG humanitaire lyonnaise Amour Sans Frontière, présente en Afrique.Marcoville est un artiste engagé et son art fait de la récupération de matériaux cassés, de rebus, de matières nobles, est un art à sa manière engagé et chargé de sens. (François Gauthier, commissaire de l'exposition).

Date info

12h à 18h

Tickets

Info:

Adulte 10€Tarif réduit 5€ (enfant de 5-17ans, étudiant, demandeur d’emploi, titulaire RSA, personne handicapée)Gratuité (enfant de moins de 5ans, membre de l'ICOM, carte de presse, visite incluse dans la Lyon City Card, Amis du musée)

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Suggested events

Exposition de peintures intitulée "Nuances printanières" avec des oeuvres de Fauve, Ulpiano Carrasco, Balthazar, Géraldine Bandiziol et Laurent Bouro (visites également possibles sur rendez-vous).
Exposition intitulée "Sous les balcons fleuris" : la famille el-Assad, César et les Syriens (photos, vidéos, maquette, objets, archives)... Alors que le président syrien, son frère Maher Al-Assad et deux hauts responsables syriens sont visés, depuis novembre 2023, par des mandats d’arrêt français pour complicité de crimes de guerre et crimes contre l’humanité, le pays entame, en mars 2024, sa 13ème année de guerre civile. Aucun conflit dans l’histoire n’a mis à jour une telle profusion d’images. Il est question de millions de documents produits et diffusés grâce aux outils numériques contemporains : internet, smartphones, clefs USB, antennes satellitaires, réseaux sociaux... Ils sont utilisés comme autant d’outils de mémoire, de dénonciation, de propagande, de preuves et d’archivages mais servent des intérêts contraires.
Exposition intitulée "Qu'est-ce que tu fabriques ? Lyon industrielle et ouvrière" : découverte des techniques, des savoir-faire et la vie des travailleurs du passé... (pour tout public à partir de 12 ans). Cette histoire, celle de la fabrique de la soie en particulier, a contribué à construire le paysage lyonnais et a formé une population ouvrière nombreuse. Ses développements ont durablement marqué la ville et son identité jusqu’à nos jours. L’histoire industrielle lyonnaise est mise en perspective avec les enjeux du travail et de l’industrie d’aujourd’hui. L’exposition est rythmée par de nombreuses archives sonores et vidéos, des objets du quotidien du travail, des matériaux textiles, des commandes photographiques contemporaines et des pièces de collection majeures (le métier à tisser à la grande tire, la mécanique Jacquard...).
Exposition biographique in situ présentant les "preuves de vies" de cet espace en libre évolution dans le cadre des 32 ans de la friche Saint-Bernard : à 14h, ouverture ; à 18h, présentation, discussion, goûter et activité pour les enfants... Construite entre 1859 et 1866 dans les pentes de la Croix-Rousse, l’église Saint-Bernard a été fermée en 1992 en raison de mouvements de terrain. Après sa désacralisation en 1999, la Ville de Lyon accorde, en 2016, un bail emphytéotique au groupe Carré d’Or pour la réhabiliter en coworking. Mais un groupe de catholiques intégristes, proches de la Fraternité Saint Pie X, s’oppose judiciairement au projet de réhabilitation. La controverse profite à la friche ; l’intervalle friche du jardin de l’église Saint-Bernard est un espace refuge pour les délaissés ne trouvant pas de place ailleurs : les chats-libres et leurs amis habitent le "temps mort" des planificateurs.
Exposition intitulée "(H)istoires" : travail de quatre artistes sur qu’est-ce qui fait histoire... Que les atrocités infligées au peuple arménien en 1915 ne soient pas encore reconnues partout comme un génocide dénote de la relativité des lectures de ce qui fait histoire. Il y a l’histoire racontée par les vainqueurs, l’histoire muette des vaincus. Les histoires et l’Histoire ne font pas que se raconter et s’écrire ; elles acquièrent des formes résultant des pouvoir-faire des quatre créateurs.
En partenariat avec l'association Brouill'Arts Lyonnais, la Tomaselli Collection vous invite à venir découvrir l'exposition « La Modernité à Lyon : 1900 - 1925 » qui se tiendra du 23 avril au 7 septembre 2024. L'accrochage de notre future exposition couvre la période du début du XXe siècle depuis la création du Salon des Artistes Lyonnais en 1901 (rebaptisé plus tard Salon d'Automne) jusqu'à la création du Salon du Sud-Est en 1925. Cette présentation s'intéresse particulièrement aux artistes du groupe Ziniar. Les membres de ce groupe, ignares assumés et revendicateurs, réfutent l'art académique pour être résolument modernes. Ne réalisant aucun manifeste artistique, ils oeuvrent à la réalisation de trois albums présentant leurs oeuvres gravées. Actifs de 1920 à 1924, ils entrainent avec eux de nombreuses initiatives, telles que les revues d'avant-garde Promenoir (1921-1922) et Manomètre (1922-1928). Site web : https://tomaselli-collection.com Infos réservation : Tomaselli Collection est ouverte au public de manière permanente du mardi au samedi de 10h30 à 17h30.Tarifs : 10 euros par personneTarif étudiant : 6 euros.Gratuité : Tomaselli Collection est gratuite pour les moins de 18 ans.Visites guidées : 15 euros par personne.
Dans cette deuxième exposition solo avec la galerie Houg et première exposition dans le nouvel espace de Lyon, Zoé Baraton explorera le rapport apparition/disparition. A travers ses supports de prédilection - le papier et le verre - elle s'attache à rendre visible le phénomène même de la disparition. Une fois la poussière retombée / Once the dust settles exposera ses recherches autour des Ghost Towns nord-américaines et dévoilera ses nouvelles expérimentations autour du blanc de Meudon. Interroger l'existant et la manière dont l'invisible fa?onne notre rapport au monde, mettre en présence de l'absence, faire apparaître la disparition, voilà le propos de son oeuvre. Tout en rendant subtilement présents des paysages spoliés, des habitations abandonnées ou hantées, des populations décimées ou encore des mélodies immémorées, Zoé Baraton nous dévoile les multiples possibilités de profondeur et de relief de la ligne et rend visible une matérialité cachée. Que ses oeuvres soient sur papier, verre ou caissons lumineux, leurs supports plans semblent au premier abord imposer leur frontalité et se révéler pleinement. Pourtant Zoé Baraton parvient toujours, par des jeux de lumière, de matière ou de transparence, à troubler nos perceptions et imposer une présence fantomatique. Ses oeuvres se matérialisent autant qu'elles se dissolvent. Nous questionnant, elles nous invitent à nous attarder plus longuement et à nous approcher d'elles ; afin de mieux ressentir les différentes dimensions de leur propos comme de leur matérialité. Explorant la tactilité du support en creusant des couches de textures et de significations, ses oeuvres sur différents types de papiers ou plaques de verre, surfaces planes et bidimensionnelles par excellence, s'imposent dans de nouvelles spatialités et tendent vers une étonnante profondeur. Plus seulement tracée, dessinée dirons-nous, la ligne est gravée dans le verre, perforée ou coupée au scalpel dans le papier ou bien encore révélée par un dispositif lumineux. Site web : https://www.galeriehoug.com
Exposition intitulée "Contre espace : aujourd'hui, les dix hauts lieux de la mémoire nationale" (visites guidées, sur réservation, avec interprétation simultanée en langue des signes française samedis 4 mai et 1er juin à 10h30)... En s’immergeant au sein du Mémorial national de la prison de Montluc, en explorant ses archives et en rencontrant le public, Nicolas Daubanes a conçu une oeuvre positionnant l’art comme vecteur de la transmission ; il investit le champ mémoriel des lieux qu’il traverse et au sein desquels ses créations permettent une mise en dialogue entre l’art et la mémoire ; en parallèle de l’élaboration de ses installations, il mène un important travail de recherche et de réflexion sur la contrainte, l’absence et les traces ; ce projet artistique national, novateur par sa nature et son ampleur, ambitionne d’enrichir les pratiques de transmission et de commémoration à l’heure de la disparition des derniers témoins.