Le monde enchanté de Jean morette

Description

En dépôt depuis quinze ans à Jarny (54), le fonds Jean Morette (1911-2002), a été officiellement remis le vendredi 9 décembre, aux Archives municipales de Metz En présence de François Grosdidier, Maire de Metz, Patrick Thil, élu à la Culture ainsi que M. Pierre Morette et Mme Marie-Françoise François, enfants de l'illustrateur.« C'est un bonheur ! Jean Morette a trouvé sa place pour l'éternité à Metz, ville qui a toujours été son ADN », a confié son fils Pierre, accompagné de sa sœur Marie-Françoise François.venez découvrir ce fonds qui réunit ses dessins, illustrations, gravures mais aussi son bureau et son piano.

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Regards étreints Avec Maurane Leder et Tom Sam Vernissage le jeudi 14 mars à 19h, en présence des artistes. Maurane Leder et Tom Sam questionnent l'art du portrait et plus particulièrement les liens entre les gestes de peindre et ceux d'une rencontre. Une histoire où se rejoignent la confiance, la surprise et le risque. Les regards étreints - ceux de l'artiste, du modèle, du regardeur - contemplent, prennent soin et aiment. Cette rencontre artistique et sentimentale dévoile des sensations et des « habitus » intimes et publics, immuables et nouveaux : l'attente à l'ombre d'un arbre, l'alanguissement sur l'herbe humide, le surgissement d'un parfum indicible, l'émerveillement face au soleil vibrant dans l'air, la sensualité d'une caresse sur la peau... Ainsi, l'étreinte de l'art et la vie se love au coeur de l'exposition. Les regards étreints... étreignent. A bonne distance. Une interdiction ? Regarder sans toucher. Ou, peut-être étreindre d'un seul regard ? MAURANE LEDER « Puisant mes recherches dans des photographies amateurs ou à travers mes archives personnelles, j'explore différents états et sentiments humains souvent associés à un contexte de loisir, de détente ou de vacances. Mon attention se focalise sur l'ordinaire et l'intimité des instants de vie passés, cherchant à donner une nouvelle dimension à des images en apparence anodines. Cette approche vise à dévoiler la profondeur émotionnelle de ces moments, révélant ainsi la beauté intemporelle qu'ils captent et qui n'ont lieu d'exister qu'une fois. Mes toiles mettent en lumière des images qui sommeillent dans la mémoire collective, avec l'intention de raviver des sentiments universels. Dans une ère où les souvenirs se perdent souvent dans la masse, la peinture devient un acte de préservation et de soin ». Maurane Leder est née à Aurillac en 1999. Elle vit et travaille à Toulouse. En 2022, elle obtient le DNSP (isdaT-Toulouse). Depuis, elle participe à plusieurs expositions collectives : Peintures Barbares au Lieu commun (Toulouse), la Biennale des jeunes créateurs de Mulhouse. En nage Indienne (avec Lilie Pinot et Pauline Zenk) à La Nouvelle Galerie (Gers, Cologne). TOM SAM La peinture de Tom Sam fait référence à son propre vécu, à ses souvenirs, à ses rencontres. Il peint ceux qu'on appelle les proches, s'inspirant de photos qu'il a souvent prises lui-même, d'images qui ont en commun le fait qu'il ressent pour elles une proximité. Cette résolution autobiographique est un point de départ empathique qui lui permet de remettre en suspension les émotions du vécu. Il peut ensuite prendre du recul sur l'image et cheminer librement entre l'introspection et la confrontation avec le réel, donnant ainsi à son oeuvre intimiste un caractère qui tend vers l'universel. La figure humaine est centrale. Les portraits qu'il peint avec une grande acuité témoignent de l'ambivalence des relations sociales, des tiraillements qui nous poussent vers des directions contradictoires, les distances qui existent entre le monde d'où l'on vient et celui vers lequel on se dirige. Tom Sam est né en 1981 à Agen. Il vit et travaille dans le Gers. Diplômé de biologie, il a d'abord travaillé comme écologue-naturaliste, dans différents endroits de France et du monde. C'est vers 2010 qu'il se consacre à des projets artistiques. Lauréat 2021 de l'Aide Individuelle à la Création, attribuée par la DRAC Occitanie, il a développé le projet initié lors de sa résidence artistique au Vietnam, en interrogeant les liens familiaux, la notion d'exil et du « chez-soi ». En 2021, il démarre sa collaboration avec la galerie Art Absolument à Paris VERNISSAGE Vernissage le jeudi 14 mars à 19h, en présence des artistes. VISITES COMMENTÉES Visiteur individuel Accueil personnalisé, du mardi au samedi (heures d'ouverture de la galerie). Groupes et scolaires Visites commentées gratuites, sur inscription : contact.dav@cd31.fr Site web : https://openagenda.com/galerie-31/events/la-galerie-31-regards-etreints?nc%5Bq.sort%5D=updatedAt.desc&nc%5Bindex%5D=0&nc%5Bfirst%5D=true
Visitez la cathédrale et son quartier au charme discret. Ce parcours loin de l’agitation urbaine est jalonné de ruelles, de placettes et d’hôtels parlementaires à ne pas manquer. Le quartier huppé dit « des antiquaires » se développe à partir du XVIIe siècle. Plus éloigné du quartier des marchands (rue Saint-Rome), il y coulaient des jours rustiques faits de potagers et de métiers plus humbles. Avec l’avènement du Parlement en 1444, les maisons abritant le pouvoir royal devinrent le siège d’une des cours de justice les plus influentes du royaume. Les magistrats décidèrent de s’installer sur les parcelles modestes de ce quartier pour profiter de l’aura prestigieuse et spirituelle de la cité épiscopale. Au XVIIIe siècle la ville jouit d’une aura judiciaire incroyable, traitant des affaires criminelles qui ont participé à l’Histoire de France. Cette partie de la ville attirait également la noblesse de robe grâce à ses nouveaux jardins d’agrément, ainsi qu’au prestige du canal du Midi tout proche. Les hôtels particuliers, de style classique entre cours et jardins, rivalisent de beautés avec leurs ferronneries et la bichromie de pierre blanche et brique. Parfois, on peut même entrer dans une cour d’honneur pour admirer les mascarons et les lignes régulières de ces demeures d’exception.
D’abord marché aux céréales, puis salle de sports et finalement de concerts… la Halle aux grains a fait germer toutes sortes de cultures ! Aujourd’hui, sa structure hexagonale et ses vertus acoustiques lui permettent d’accueillir l’Orchestre national du Capitole et des spectacles de tous horizons. Ce bâtiment à la forme atypique est un point de repère incontournable dans la ville: ses façades de briques et de galets de Garonne sont indissociables de l’obélisque de la place Dupuy. Érigée à cheval entre les boulevards et le port Saint-Sauveur, la Halle aux grains inaugurée en 1861 était un trait d’union commerçant essentiel entre la ville et le canal du Midi. Avec le déclin de la navigation intérieure, pourtant, l’histoire de la halle ne faisait que commencer. La ville n’a de cesse de reconvertir cet espace au fil des décennies. Sa structure de fer type Eiffel et ses greniers à blés rustiques voient passer des laborantins d’agronomie, des boxeurs transpirants, des clowns au nez rouge puis de gracieuses danseuses de ballets. Difficile à croire? Pendant une heure, cette visite narre l’histoire fascinante de la halle mais permet aussi d’arpenter les couloirs d’une mini-ville souterraine bâtie dans les années 1970 quand Michel Plasson convainc la municipalité de faire de ce lieu un temple du spectacle. Même si la Halle aux grains reste la résidence de l’Orchestre national du Capitole de Toulouse, cette salle accueille environ 140 spectacles par saison et les musiciens de l’Orchestre national la partagent avec des artistes parfois moins classiques, toujours talentueux.
Cette visite propose un concentré de la Ville rose : à vous la place du Capitole, le couvent des Jacobins, les cours des hôtels particuliers d’Assézat et de Bernuy, sans oublier d’aller saluer la Garonne en passant par les ruelles et placettes qui font le charme de la ville. Quand on arrive pour la première fois dans une ville, on aime savoir ce qu’il ne faut surtout pas rater, tout en rêvant au privilège de voir des lieux exclusifs. Si vous êtes d’accord avec ce constat, cette visite est faite pour vous ! Tout d’abord sur la place du Capitole, le guide vous suggère un parfum d’antiquité puis présente l’opulence de la ville judiciaire et marchande du 18ème siècle qui s’affiche sur l’impressionnante façade rose et blanche! Plus loin, vous entrez dans l’église des Jacobins, noble vaisseau de brique, âme gothique des 13ème et 14ème siècle où circulent le souvenir de l’hérésie cathare et l’histoire d’une des plus anciennes universités de France. Bientôt en quelques enjambées, vous vous engouffrez exceptionnellement dans les hôtels particuliers 16ème siècle de messieurs Bernuy et d‘Assézat, les grandioses témoins d’une ville renaissant des cendres du grand incendie de 1463 grâce à la recette magique de la teinture bleue au Pastel. Cette visite vous emmène aussi à la Garonne, colonne vertébrale fluviale, à la fois force et faiblesse de la ville Rose. Vous y entendrez peut-être les anciennes rumeurs des bateliers qui hissaient les tonneaux sur les péniches disparues tandis qu’aujourd’hui les promeneurs prennent un bain de soleil sur les berges. Enfin, pour un retour au Capitole, le guide, complice malicieux, vous entraine dans les charmantes ruelles du quartier marchand qui s’ouvrent de carrefours en placettes entre pans de bois et portails baroques. Intrigués ? Vivez Toulouse à la fois comme un visiteur du Temps ET un habitué de la ville, en allant naturellement à l’essentiel !
Auguste Virebent a rénové un élégant château, aujourd'hui hôtel de ville, dont les portes ouvrent exceptionnellement. Il a également magnifié l'art de la terre cuite avec de nouvelles techniques de fabrication dans le coeur de la ville et à l'église Saint-Barthélémy. Quand le baron Dufay se retrouva en possession de ses terres ancestrales, il fit ériger en 1845 un château de style néo-gothique sur les ruines de l’ancien manoir incendié en 1805. Il demanda alors à la famille Virebent, architectes et céramistes, de bâtir et d’orner l’édifice. La famille Virebent possède non loin, en contre bas de la colline Miremont, une briqueterie à la pointe des techniques d’alors. Grâce à un procédé nouveau et fraichement breveté, cette manufacture joint à ses avantages industriels, la nouveauté de fournir un riche décor moulé (frises, chapiteaux) au moyen de la plinthotomie. Auguste Virebent vient en effet de mettre en place un système d'emporte-pièce qui permet de mouler la glaise directement dans sa forme définitive avant de la cuire. En 1845, cinquante-cinq ouvriers à la journée, dont un sculpteur, sont employés à la Briqueterie et produisaient cent mille pièces par an. Sa capacité de production importante lui permet de livrer une façade entière dans le mois suivant la commande. En 1991, la commune de Launaguet acquit le château, y installa l’hôtel de ville et le restaura de 2003 à 2007. La visite englobe la découverte du parc, des salles du château et de l’église Saint-Barthélémy.
Un pas en avant sur le trottoir de la rue Ozenne, c’est trois pas en arrière dans le temps. Ici, des hôtels particuliers, tels des petits palais à l’architecture variée, cohabitent en toute harmonie avec les bâtiments contemporains, squares et jardins urbains. En bordure des prestigieux quartiers des Carmes et Saint-Étienne, celui d’Ozenne s’est vu doté d’une grand-rue au début du XXe siècle. Cette percée a fait couler beaucoup d’encre en éventrant des parcelles plus anciennes. La perspective qui en résulte reste une signature urbaine qui appelle le marcheur à rejoindre le jardin des Plantes et le Muséum d’histoire naturelle. Cette visite est un vrai voyage aux confins des époques. De la place des Carmes, le visiteur est séduit par l’ambiance générale de la rue, entre immeuble Art nouveau et halles contemporaines. Puis en longeant la rue Ozenne, il est pris dans une spirale d’hôtels particuliers d’époque Renaissance, et classique. Plus loin, il se repose dans une île de verdure, le jardin Royal; enfin, il se laisse emporter par les ornements baroques de l’église Saint-Exupère. Peu de quartiers peuvent prétendre avoir autant d’atouts à la fois : architecture, calme, nature, musées et chapelle élégante, attention au coup de cœur pendant le voyage!
Le Crédit Municipal de Toulouse accueille l'exposition MUTATIS MUTANDIS, rétrospective de l'oeuvre de Luc Peltriaux. Découvrez une centaine d'oeuvres allant des portraits et nus académiques aux paysages cévenols et scènes fantastiques, offrant un parcours dans l'univers dessiné de l'artiste toulousain.
Déambulez dans les ruelles du centre historique à la recherche des hôtels particuliers bâtis à l’âge d’or toulousain par les marchands pasteliers et les capitouls. Toulouse s’est tant développée au 14ème siècle, qu’elle est devenue une des villes les plus peuplées et dynamiques du royaume, grâce notamment aux moulins à eaux sur la Garonne. Bâtie en grande partie de bois et de torchis, c’est en 1463 que la ville va essuyer l’incendie le plus dévastateur de son histoire: plus de sept mille maisons partent en fumée… et paradoxalement, c’est ici que « Toulouse à la Renaissance» commence! Au cœur du quartier historique, vous suivez les traces qui marquent le destin fascinant de la ville qui renait de ses cendres tel un phœnix. A la fin du 15ème siècle, certains événements bousculent l’histoire de Toulouse: dans le sillage de l’université médiévale, le roi Charles VII décide d’implanter une cour de justice sous forme de Parlement, puis, la mode des étoffes bleues dans la noblesse, couleur du roi et de la Vierge, va fixer un savoir-faire unique au cœur du triangle de l’or bleu. Dès lors, sculpteurs de génies, marchands, teinturiers ou magistrats profitent des destructions de l’incendie pour faire sortir de terre cette fameuse ville de brique rose et de pierre blanche avec de somptueux hôtels particuliers, des églises et même un nouveau pont! Le guide vous conduit entre ces façades et portails tout en décryptant les détails qui vont défrayer la chronique de l’époque: découvertes de vestiges de la grande Tolosa antique, «coup de cœur» du roi François 1er pour la Belle Paule, surenchère de tours d’orgueil… finalement cette promenade auprès d’une dizaine de lieux vous permet d’admirer les évolutions architecturales et de comprendre le contexte économique qui a fait de Toulouse un foyer de rayonnement artistique reconnu!
La Halle de la Machine à Toulouse est un lieu où la science dépasse la fiction. Découvrez d'immenses créations mécaniques et des engins inspirés de créatures mythiques. Les machines prennent vie et vous racontent leur histoire lors d'un spectacle époustouflant. Admirez le puissant Minotaure, une machine géante en bois et en acier qui mesure 14 mètres de haut. Les enfants peuvent jouer avec les animaux mécaniques et rencontrer leurs inventeurs. Ne manquez pas cette expérience unique !
L'association mesana organise des soirées/expo. Notre but est de promouvoir des artistes locaux au phénix. c'est un nouveau lieu culturel et associatif . Une fois par mois des artistes exposent afin de contribuer au développement de leur rencontrent avec le public Infos réservation : L'ENTREE EST GRATUITE