LES CATHARES À TOULOUSE

Toulouse, Haute-Garonne, France
7 - 12

Description

Qui étaient les Bons Hommes? Pourquoi les Parfaits ont fait trembler l’Église? Découvrez aussi comment la croisade lancée en 1209 va redessiner les frontières de l’Occitanie tout en amenant l’Église à se doter d’un tribunal contre les hérétiques.

Le sud de la France au XIIe siècle est un territoire qui prospère grâce à ses nombreuses activités commerciales et bénéficie d’une certaine indépendance par rapport au nord de la France plus proche de son roi. On y parle une langue différente, la langue d’oc, célébrée d’un comté à un autre par les troubadours et les poètes.

Dans ce contexte, une nouvelle religion se répand, rejetant l’organisation de l’église catholique et proposant une interprétation différente des textes religieux. Devant l’essor du catharisme jugé comme hérétique par l’Église catholique, le pape fait appel au roi de France pour y mettre fin...

Origines et croyances, batailles, sièges et révoltes: évoquez la longue croisade contre les cathares, le tribunal de l’Inquisition et le rôle des familles nobles toulousaines dans cette période bien ancrée dans la mémoire collective.

Tickets

Tarif enfant
7€
Tarif réduit
10€
Tarif adulte
12€

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Suggested events

Visitez la cathédrale et son quartier au charme discret. Ce parcours loin de l’agitation urbaine est jalonné de ruelles, de placettes et d’hôtels parlementaires à ne pas manquer. Le quartier huppé dit « des antiquaires » se développe à partir du XVIIe siècle. Plus éloigné du quartier des marchands (rue Saint-Rome), il y coulaient des jours rustiques faits de potagers et de métiers plus humbles. Avec l’avènement du Parlement en 1444, les maisons abritant le pouvoir royal devinrent le siège d’une des cours de justice les plus influentes du royaume. Les magistrats décidèrent de s’installer sur les parcelles modestes de ce quartier pour profiter de l’aura prestigieuse et spirituelle de la cité épiscopale. Au XVIIIe siècle la ville jouit d’une aura judiciaire incroyable, traitant des affaires criminelles qui ont participé à l’Histoire de France. Cette partie de la ville attirait également la noblesse de robe grâce à ses nouveaux jardins d’agrément, ainsi qu’au prestige du canal du Midi tout proche. Les hôtels particuliers, de style classique entre cours et jardins, rivalisent de beautés avec leurs ferronneries et la bichromie de pierre blanche et brique. Parfois, on peut même entrer dans une cour d’honneur pour admirer les mascarons et les lignes régulières de ces demeures d’exception.
Auguste Virebent a rénové un élégant château, aujourd'hui hôtel de ville, dont les portes ouvrent exceptionnellement. Il a également magnifié l'art de la terre cuite avec de nouvelles techniques de fabrication dans le coeur de la ville et à l'église Saint-Barthélémy. Quand le baron Dufay se retrouva en possession de ses terres ancestrales, il fit ériger en 1845 un château de style néo-gothique sur les ruines de l’ancien manoir incendié en 1805. Il demanda alors à la famille Virebent, architectes et céramistes, de bâtir et d’orner l’édifice. La famille Virebent possède non loin, en contre bas de la colline Miremont, une briqueterie à la pointe des techniques d’alors. Grâce à un procédé nouveau et fraichement breveté, cette manufacture joint à ses avantages industriels, la nouveauté de fournir un riche décor moulé (frises, chapiteaux) au moyen de la plinthotomie. Auguste Virebent vient en effet de mettre en place un système d'emporte-pièce qui permet de mouler la glaise directement dans sa forme définitive avant de la cuire. En 1845, cinquante-cinq ouvriers à la journée, dont un sculpteur, sont employés à la Briqueterie et produisaient cent mille pièces par an. Sa capacité de production importante lui permet de livrer une façade entière dans le mois suivant la commande. En 1991, la commune de Launaguet acquit le château, y installa l’hôtel de ville et le restaura de 2003 à 2007. La visite englobe la découverte du parc, des salles du château et de l’église Saint-Barthélémy.
Cette visite propose un concentré de la Ville rose : à vous la place du Capitole, le couvent des Jacobins, les cours des hôtels particuliers d’Assézat et de Bernuy, sans oublier d’aller saluer la Garonne en passant par les ruelles et placettes qui font le charme de la ville. Quand on arrive pour la première fois dans une ville, on aime savoir ce qu’il ne faut surtout pas rater, tout en rêvant au privilège de voir des lieux exclusifs. Si vous êtes d’accord avec ce constat, cette visite est faite pour vous ! Tout d’abord sur la place du Capitole, le guide vous suggère un parfum d’antiquité puis présente l’opulence de la ville judiciaire et marchande du 18ème siècle qui s’affiche sur l’impressionnante façade rose et blanche! Plus loin, vous entrez dans l’église des Jacobins, noble vaisseau de brique, âme gothique des 13ème et 14ème siècle où circulent le souvenir de l’hérésie cathare et l’histoire d’une des plus anciennes universités de France. Bientôt en quelques enjambées, vous vous engouffrez exceptionnellement dans les hôtels particuliers 16ème siècle de messieurs Bernuy et d‘Assézat, les grandioses témoins d’une ville renaissant des cendres du grand incendie de 1463 grâce à la recette magique de la teinture bleue au Pastel. Cette visite vous emmène aussi à la Garonne, colonne vertébrale fluviale, à la fois force et faiblesse de la ville Rose. Vous y entendrez peut-être les anciennes rumeurs des bateliers qui hissaient les tonneaux sur les péniches disparues tandis qu’aujourd’hui les promeneurs prennent un bain de soleil sur les berges. Enfin, pour un retour au Capitole, le guide, complice malicieux, vous entraine dans les charmantes ruelles du quartier marchand qui s’ouvrent de carrefours en placettes entre pans de bois et portails baroques. Intrigués ? Vivez Toulouse à la fois comme un visiteur du Temps ET un habitué de la ville, en allant naturellement à l’essentiel !
Un pas en avant sur le trottoir de la rue Ozenne, c’est trois pas en arrière dans le temps. Ici, des hôtels particuliers, tels des petits palais à l’architecture variée, cohabitent en toute harmonie avec les bâtiments contemporains, squares et jardins urbains. En bordure des prestigieux quartiers des Carmes et Saint-Étienne, celui d’Ozenne s’est vu doté d’une grand-rue au début du XXe siècle. Cette percée a fait couler beaucoup d’encre en éventrant des parcelles plus anciennes. La perspective qui en résulte reste une signature urbaine qui appelle le marcheur à rejoindre le jardin des Plantes et le Muséum d’histoire naturelle. Cette visite est un vrai voyage aux confins des époques. De la place des Carmes, le visiteur est séduit par l’ambiance générale de la rue, entre immeuble Art nouveau et halles contemporaines. Puis en longeant la rue Ozenne, il est pris dans une spirale d’hôtels particuliers d’époque Renaissance, et classique. Plus loin, il se repose dans une île de verdure, le jardin Royal; enfin, il se laisse emporter par les ornements baroques de l’église Saint-Exupère. Peu de quartiers peuvent prétendre avoir autant d’atouts à la fois : architecture, calme, nature, musées et chapelle élégante, attention au coup de cœur pendant le voyage!
Déambulez dans les ruelles du centre historique à la recherche des hôtels particuliers bâtis à l’âge d’or toulousain par les marchands pasteliers et les capitouls. Toulouse s’est tant développée au 14ème siècle, qu’elle est devenue une des villes les plus peuplées et dynamiques du royaume, grâce notamment aux moulins à eaux sur la Garonne. Bâtie en grande partie de bois et de torchis, c’est en 1463 que la ville va essuyer l’incendie le plus dévastateur de son histoire: plus de sept mille maisons partent en fumée… et paradoxalement, c’est ici que « Toulouse à la Renaissance» commence! Au cœur du quartier historique, vous suivez les traces qui marquent le destin fascinant de la ville qui renait de ses cendres tel un phœnix. A la fin du 15ème siècle, certains événements bousculent l’histoire de Toulouse: dans le sillage de l’université médiévale, le roi Charles VII décide d’implanter une cour de justice sous forme de Parlement, puis, la mode des étoffes bleues dans la noblesse, couleur du roi et de la Vierge, va fixer un savoir-faire unique au cœur du triangle de l’or bleu. Dès lors, sculpteurs de génies, marchands, teinturiers ou magistrats profitent des destructions de l’incendie pour faire sortir de terre cette fameuse ville de brique rose et de pierre blanche avec de somptueux hôtels particuliers, des églises et même un nouveau pont! Le guide vous conduit entre ces façades et portails tout en décryptant les détails qui vont défrayer la chronique de l’époque: découvertes de vestiges de la grande Tolosa antique, «coup de cœur» du roi François 1er pour la Belle Paule, surenchère de tours d’orgueil… finalement cette promenade auprès d’une dizaine de lieux vous permet d’admirer les évolutions architecturales et de comprendre le contexte économique qui a fait de Toulouse un foyer de rayonnement artistique reconnu!
Déambulez dans les ruelles du centre historique à la recherche des hôtels particuliers bâtis à l’âge d’or toulousain par les marchands pasteliers et les capitouls. Toulouse s’est tant développée au 14ème siècle, qu’elle est devenue une des villes les plus peuplées et dynamiques du royaume, grâce notamment aux moulins à eaux sur la Garonne. Bâtie en grande partie de bois et de torchis, c’est en 1463 que la ville va essuyer l’incendie le plus dévastateur de son histoire: plus de sept mille maisons partent en fumée… et paradoxalement, c’est ici que « Toulouse à la Renaissance» commence! Au cœur du quartier historique, vous suivez les traces qui marquent le destin fascinant de la ville qui renait de ses cendres tel un phœnix. A la fin du 15ème siècle, certains événements bousculent l’histoire de Toulouse: dans le sillage de l’université médiévale, le roi Charles VII décide d’implanter une cour de justice sous forme de Parlement, puis, la mode des étoffes bleues dans la noblesse, couleur du roi et de la Vierge, va fixer un savoir-faire unique au cœur du triangle de l’or bleu. Dès lors, sculpteurs de génies, marchands, teinturiers ou magistrats profitent des destructions de l’incendie pour faire sortir de terre cette fameuse ville de brique rose et de pierre blanche avec de somptueux hôtels particuliers, des églises et même un nouveau pont! Le guide vous conduit entre ces façades et portails tout en décryptant les détails qui vont défrayer la chronique de l’époque: découvertes de vestiges de la grande Tolosa antique, «coup de cœur» du roi François 1er pour la Belle Paule, surenchère de tours d’orgueil… finalement cette promenade auprès d’une dizaine de lieux vous permet d’admirer les évolutions architecturales et de comprendre le contexte économique qui a fait de Toulouse un foyer de rayonnement artistique reconnu!
Déambulez dans les ruelles du centre historique à la recherche des hôtels particuliers bâtis à l’âge d’or toulousain par les marchands pasteliers et les capitouls. Toulouse s’est tant développée au 14ème siècle, qu’elle est devenue une des villes les plus peuplées et dynamiques du royaume, grâce notamment aux moulins à eaux sur la Garonne. Bâtie en grande partie de bois et de torchis, c’est en 1463 que la ville va essuyer l’incendie le plus dévastateur de son histoire: plus de sept mille maisons partent en fumée… et paradoxalement, c’est ici que « Toulouse à la Renaissance» commence! Au cœur du quartier historique, vous suivez les traces qui marquent le destin fascinant de la ville qui renait de ses cendres tel un phœnix. A la fin du 15ème siècle, certains événements bousculent l’histoire de Toulouse: dans le sillage de l’université médiévale, le roi Charles VII décide d’implanter une cour de justice sous forme de Parlement, puis, la mode des étoffes bleues dans la noblesse, couleur du roi et de la Vierge, va fixer un savoir-faire unique au cœur du triangle de l’or bleu. Dès lors, sculpteurs de génies, marchands, teinturiers ou magistrats profitent des destructions de l’incendie pour faire sortir de terre cette fameuse ville de brique rose et de pierre blanche avec de somptueux hôtels particuliers, des églises et même un nouveau pont! Le guide vous conduit entre ces façades et portails tout en décryptant les détails qui vont défrayer la chronique de l’époque: découvertes de vestiges de la grande Tolosa antique, «coup de cœur» du roi François 1er pour la Belle Paule, surenchère de tours d’orgueil… finalement cette promenade auprès d’une dizaine de lieux vous permet d’admirer les évolutions architecturales et de comprendre le contexte économique qui a fait de Toulouse un foyer de rayonnement artistique reconnu!
Déambulez dans les ruelles du centre historique à la recherche des hôtels particuliers bâtis à l’âge d’or toulousain par les marchands pasteliers et les capitouls. Toulouse s’est tant développée au 14ème siècle, qu’elle est devenue une des villes les plus peuplées et dynamiques du royaume, grâce notamment aux moulins à eaux sur la Garonne. Bâtie en grande partie de bois et de torchis, c’est en 1463 que la ville va essuyer l’incendie le plus dévastateur de son histoire: plus de sept mille maisons partent en fumée… et paradoxalement, c’est ici que « Toulouse à la Renaissance» commence! Au cœur du quartier historique, vous suivez les traces qui marquent le destin fascinant de la ville qui renait de ses cendres tel un phœnix. A la fin du 15ème siècle, certains événements bousculent l’histoire de Toulouse: dans le sillage de l’université médiévale, le roi Charles VII décide d’implanter une cour de justice sous forme de Parlement, puis, la mode des étoffes bleues dans la noblesse, couleur du roi et de la Vierge, va fixer un savoir-faire unique au cœur du triangle de l’or bleu. Dès lors, sculpteurs de génies, marchands, teinturiers ou magistrats profitent des destructions de l’incendie pour faire sortir de terre cette fameuse ville de brique rose et de pierre blanche avec de somptueux hôtels particuliers, des églises et même un nouveau pont! Le guide vous conduit entre ces façades et portails tout en décryptant les détails qui vont défrayer la chronique de l’époque: découvertes de vestiges de la grande Tolosa antique, «coup de cœur» du roi François 1er pour la Belle Paule, surenchère de tours d’orgueil… finalement cette promenade auprès d’une dizaine de lieux vous permet d’admirer les évolutions architecturales et de comprendre le contexte économique qui a fait de Toulouse un foyer de rayonnement artistique reconnu!
Cette découverte vous mènera des vestiges de l'antique Divona jusqu'à la cathédrale Saint-Etienne, que vous pourrez découvrir en visite thématique ou en nocturne. * inscrits sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco dans le cadre du Bien 868 « Les Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France » Départ Office de Tourisme de Cahors. Durée : environ 2h. En vente dans tous nos bureaux d'information ou en cliquant sur le bouton "Réserver" ci-contre.
Plongez en 1390 à Albi, guidés par Perette femme d’artisan du XIVe siècle lors d’une visite théâtralisée menée en costume d’époque pour une immersion au Moyen Âge. Traversez le temps, et revivez cette période de transformation de la ville qui voit s’achever la construction de la cathédrale, symbole de la puissance des évêques. Découvrez avec elle les quartiers les plus animés de la ville, sans oublier de revenir sur sa jeunesse et les troubles passés d’Albi. Enfin, quand il s’agit de raconter la vie quotidienne de sa ville, Perette n’a pas la langue dans sa poche. © L.Jalabert Visite insolite d’1h30 pour adultes et enfants de plus de 7 ans. Sur réservation, nombre de places limité.