Une heure avant la mort de mon frère

Description

Un frère, une sœur, un gardien, une heure, une ultime visite, comment en sont-ils arrivés là ? Enfants, ils ont joué à s’aimer comme des amants, un jeu interdit imaginé pour se protéger d’une relation trouble avec leur père. Aujourd’hui, les souvenirs de l’un contrastent avec ceux de l’autre, se recoupant bien mal… Était-ce seulement réel ? Assis dans le parloir d’une prison, le frère et la sœur ont une heure devant eux – la dernière – ils s’en emparent pour replonger dans cette enfance floue et douloureuse. En remontant le temps, les trajectoires deviennent limpides, les existences se délient et les destins s’expliquent. Soixante minutes sous la surveillance d’un maton, c’est l’espace qu’il leur reste pour évoquer les jeux qui dérapent, l’enfance déchirée, les vérités enfouies… Une heure avant la mort de mon frère nous plonge au cœur d’espaces d’intimité faisant dangereusement écho à la vertigineuse idée du destin, le leur et le nôtre.

Date info

2023-02-07: 19:00:00 - 21:00:00

2023-02-08: 19:00:00 - 21:00:00

2023-02-09: 20:15:00 - 22:00:00

2023-02-10: 20:15:00 - 22:00:00

2023-02-11: 19:00:00 - 21:00:00

2023-02-12: 15:00:00 - 17:00:00

2023-02-14: 19:00:00 - 21:00:00

2023-02-15: 19:00:00 - 21:00:00

2023-02-16: 13:30:00 - 15:30:00

2023-02-17: 20:15:00 - 22:00:00

2023-02-18: 19:00:00 - 21:00:00

2023-02-19: 15:00:00 - 17:00:00

2023-02-21: 19:00:00 - 21:00:00

2023-02-22: 19:00:00 - 21:00:00

2023-02-23: 20:15:00 - 22:00:00

2023-02-24: 20:15:00 - 22:00:00

2023-02-25: 19:00:00 - 21:00:00

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Rébecca Chaillon continues her investigation into the representation of bodies, of sexuality, desire, appetite and disgust. ‘Plutôt vomir que faillir’ grew out of memories of her painful years in secondary school, that so-called awkward age, when the private being under construction faces rejection, silence, anger. Four young performers use this rage to try and exorcise their own adolescence by telling their stories. An exercise in autofiction aimed at reconciling with the self in order to better open up to the other.  • Multi-talent Rébecca Chaillon is a writer, director, performer, dancer and comedienne from Picardy, France, with roots in Martinique. She studied performing arts at the Paris Conservatoire and in 2006 founded the company 'Dans le Ventre'. She is currently with the Theatre de la Manufacture - CDN de Nancy. We previously showed her successful performance 'Carte Noire Nommée Désir' at Les Halles de Schaerbeek in spring 2023. Rébecca Chaillon poursuit sa quête autour de la représentation des corps, de la sexualité, du sentiment du désir, de l’appétit et du dégoût. Plutôt vomir que faillir est le fruit du souvenir de ses douloureuses années de collège, cet âge que l’on dit ingrat, où l’intime en construction se heurte au rejet, au silence, à la colère. Quatre jeunes performeur·ses s’emparent de cette rage et tentent d’exorciser leur propre adolescence en se racontant. Un exercice d’autofiction destiné à se réconcilier avec soi-même pour mieux s’ouvrir à l’autre.  • La multi-talentueuse Rébecca Chaillon est une écrivaine, réalisatrice, performeuse, danseuse et comédienne originaire de Picardie, en France, avec des racines en Martinique. Elle a étudié les arts du spectacle au Conservatoire de Paris et a fondé la compagnie ‘Dans le Ventre’ en 2006. Actuellement, elle est avec le Théâtre de la Manufacture - CDN de Nancy. Nous avons déjà présenté son spectacle à succès 'Carte Noire Nommée Désir' aux Halles de Schaerbeek au printemps 2023. Rébecca Chaillon vervolgt haar zoektocht naar de representatie van lichamen, de seksualiteit, het gevoel van verlangen, eetlust en walging. ‘Plutôt vomir que faillir’ is het resultaat van herinneringen aan haar pijnlijke puberjaren op de middelbare school, aan die ondankbare leeftijd waarop het intieme dat in volle opbouw is op afwijzing, stilte en woede stuit. Vier jonge performers nemen deze woede op en proberen hun eigen adolescentie uit te drijven door elkaar verhalen te vertellen. Een oefening in zelffictie, bedoeld als verzoening met zichzelf om zich beter open te stellen voor anderen.  • Multi-talent Rébecca Chaillon is schrijfster, regiseusse, performer, danseres en comedienne uit Picardië, Frankrijk, met roots in Martinique. Ze studeerde podiumkunsten aan het Conservatorium van Parijs en richtte in 2006 de compagnie ‘Dans le Ventre’ op. Momenteel is ze verbonden aan Théâtre de la Manufacture - CDN de Nancy. We toonden in het voorjaar van 2023 reeds haar succesvolle voorstelling ‘Carte Noire Nommée Désir’ bij Les Halles de Schaerbeek.
Rébecca Chaillon continues her investigation into the representation of bodies, of sexuality, desire, appetite and disgust. Plutôt vomir que faillir grew out of memories of her painful years in secondary school, that so-called awkward age, when the private being under construction faces rejection, silence, anger. Four young performers use this rage to try and exorcise their own adolescence by telling their stories. An exercise in autofiction aimed at reconciling with the self in order to better open up to the other.  • Multi-talent Rébecca Chaillon is a writer, director, performer, dancer and comedienne from Picardy, France, with roots in Martinique. She studied performing arts at the Paris Conservatoire and in 2006 founded the company Dans le Ventre. She is currently with the Theatre de la Manufacture - CDN de Nancy. We previously showed her successful performance Carte Noire Nommée Désir at Les Halles de Schaerbeek in spring 2023. Rébecca Chaillon poursuit sa quête autour de la représentation des corps, de la sexualité, du sentiment du désir, de l’appétit et du dégoût. Plutôt vomir que faillir est le fruit du souvenir de ses douloureuses années de collège, cet âge que l’on dit ingrat, où l’intime en construction se heurte au rejet, au silence, à la colère. Quatre jeunes performeur·ses s’emparent de cette rage et tentent d’exorciser leur propre adolescence en se racontant. Un exercice d’autofiction destiné à se réconcilier avec soi-même pour mieux s’ouvrir à l’autre.  • La multi-talentueuse Rébecca Chaillon est une écrivaine, réalisatrice, performeuse, danseuse et comédienne originaire de Picardie, en France, avec des racines en Martinique. Elle a étudié les arts du spectacle au Conservatoire de Paris et a fondé la compagnie Dans le Ventre en 2006. Actuellement, elle est avec le Théâtre de la Manufacture - CDN de Nancy. Nous avons déjà présenté son spectacle à succès Carte Noire Nommée Désir aux Halles de Schaerbeek au printemps 2023. Rébecca Chaillon vervolgt haar zoektocht naar de representatie van lichamen, de seksualiteit, het gevoel van verlangen, eetlust en walging. Plutôt vomir que faillir is het resultaat van herinneringen aan haar pijnlijke puberjaren op de middelbare school, aan die ondankbare leeftijd waarop het intieme dat in volle opbouw is op afwijzing, stilte en woede stuit. Vier jonge performers nemen deze woede op en proberen hun eigen adolescentie uit te drijven door elkaar verhalen te vertellen. Een oefening in zelffictie, bedoeld als verzoening met zichzelf om zich beter open te stellen voor anderen.  • Multi-talent Rébecca Chaillon is schrijfster, regiseusse, performer, danseres en comedienne uit Picardië, Frankrijk, met roots in Martinique. Ze studeerde podiumkunsten aan het Conservatorium van Parijs en richtte in 2006 de compagnie Dans le Ventre op. Momenteel is ze verbonden aan Théâtre de la Manufacture - CDN de Nancy. We toonden in het voorjaar van 2023 reeds haar succesvolle voorstelling Carte Noire Nommée Désir bij Les Halles de Schaerbeek.
DUREE - 1h15 _______________________________________________________ On connait David Méndez Yépez comme auteur-compositeur-interprète avec son groupe Chicos y Mendez, comme ancien président de la Fédération des étudiant·e·s francophones (FEF), ou pour son implication dans des mouvements citoyens comme «Tout autre chose». Aujourd’hui, il prend la plume et il monte sur scène pour sa toute première création théâtrale. Recordar, ça veut dire “se souvenir” en espagnol. Ca vient du latin "recordari", formé à partir de “re” et de “cordis”. “Re” c’est un préfixe pour dire “à nouveau”. “Cordis” ça veut dire coeur. Recordar, se souvenir, ça veut dire "repasser par le coeur". Quand je me souviens de quelqu’un, je le fais repasser par mon coeur. En anglais, to record, ça veut dire enregistrer. To record a song. Enregistrer une chanson. Quand mon père est mort, ma sœur et moi avons hérité de 200 caisses de souvenirs. Lors de ce spectacle, j’aimerais transformer ces caisses en chansons. _______________________________________________________ AFTER SCENE - Je 21.03 après la représentation. Avec l’équipe du spectacle. FÊTE - Sa 23.03 après la représentation. RENCONTRE - Je 28.03 après la représentation. Autour des thématiques du spectacle, avec David Méndez Yépez et ses invitéEs. _______________________________________________________ Avec David et Marisel Méndez Yépez - Conception, texte et musique David Méndez Yépez - Aide à la recherche et à l’écriture Marisel Méndez Yépez - Mise en scène et aide à la conception Ilyas Mettioui - Dramaturgie Tatjana Pessoa – Scénographie Nathalie Moisan - Création sonore Donald Beteille - Création lumière Suzanna Bauer - Photo visuel Víctor Méndez Villegas. Un spectacle de David Méndez Yépez en coproduction avec Le Rideau, La Coop asbl et Shelter Prod. Avec l’aide de La Fédération Wallonie-Bruxelles - Service général de la création artistique, taxshelter.be, ING, du Tax Shelter du Gouvernement fédéral belge. Production déléguée et diffusion Le Rideau. Avec le soutien du Musée de la Mémoire (Lugar de la Memoria) et l’Ambassade de Belgique à Lima.
Selon une parfaite unité de temps, celui nécessaire à l’éclusage d’une bouteille de liqueur, le spectacle offre la rencontre improbable entre Thérèse d’Avila, grande mystique et réformatrice de l’ordre des Carmélites déchaussées et Claus von Stauffenberg, officier de la Wehrmacht et initiateur autant qu’auteur de l’attentat contre Hitler du 21 juillet 44, figures ectoplasmiques surgies de leurs couloirs temporels respectifs que quatre siècles séparent et télescopées l’une contre l’autre dans un lieu voué à la représentation de cela, une cage de scène vide. Parés de leur  vêture du dernier soir , les personnages recomposent ensemble, au fil de la consommation d’une bouteille de liqueur bue jusqu’à son terme, une  autre histoire  et opèrent un consensus philosophique où se prophétise, d’une manière tout à fait désenchantée cependant que pertinente, notre propre époque, laboratoire décomplexé de cynisme aveugle au sein duquel danseront et chanteront in fine les enfants, les  descendants , soit le chœur des modernes angelots du purin, toutes et tous chaussés de Nike et culottés de langes. 
Carcasse
19mrt.
-
22mrt.
"Les choses arriveront d'elles-mêmes, même si je les couvre par mon silence." Sophocle "Carcasse" c'est l'histoire de Louis, un jeune de 16 ans. En immersion à l'étranger, il rentre précipitamment suite au décès inattendu de son père. Sa soeur et son frère l'attendent. Simon, l'aîné a tout prévu, tout organisé. Le compte à rebours est lancé, ils ont 15 minutes pour dire au revoir. Pourquoi si vite ? Pourquoi comme ça ? Face au mutisme de ses aînés, Louis décide de s'insurger. C'est le début d'un trajet initiatique qui va libérer sa parole et lui permettre, pour la première fois, d'affirmer sa place. CARCASSE tient le public en haleine […] avec un spectacle puissant, émouvant et confrontant. Rien ne semble échapper à la plume incisive de Camille Sansterre, auteure et metteuse en scène, qui aime observer les dérives de notre société et les paradoxes des humains. À quoi riment ces rituels minutés, cette lourdeur, cette froideur ? Pourquoi le suicide reste-t-il aussi tabou ? C'est Louis, le plus jeune, l'impétueux Léopold Terlinden qui, à la manière d'une Antigone, avec la fougue de l'adolescence et sa quête d'absolu, vient bousculer l'ordre établi dans ce huis clos autour de la systémique familiale porté par trois comédiens talentueux. Laurence Bertels, La Libre Belgique Créer une pièce sur notre mortelle condition, et par extension sur le deuil, il fallait donc oser ! Surtout dans un contexte où, depuis des mois, le covid a fait planer ces questions dans nos vies. Cela aurait pu être glauque ou indécent, mais le Théâtre de la Guimbarde réussit un étonnant numéro d'équilibriste. Fidèle à son credo – créer des spectacles qui mettent en résonance le monde des enfants et celui des adultes, éveiller des émotions, ouvrir des questions et proposer un regard nuancé sur le monde –, la compagnie carolo questionne la place que l'on accorde à la mort dans nos vies, mais aussi les non-dits, les rites, ce qui s'exprime et ce qui se cache quand on dit adieu, les secousses familiales et l'espace que l'on accorde à la parole de l'autre, plus spécifiquement celle de l'adolescent. Catherine Makereel, Le Soir – Le Mad Avec Conception & mise en scène Camille Sansterre Scénario & dramaturgie Camille Sansterre & Julien Lemonnier Assistanat Gentiane Van Nuffel Interprétation David Serraz, Léopold Terlinden, Delphine Veggiotti, Pierre Verplancken Écriture Camille Sansterre en collaboration avec les acteurs Regards extérieurs Daniela Ginevro & Gaëtane Reginster Création musicale Julien Lemonnier Création lumière Vincent Stevens Conception graphique & réalisation technique Vincent Stevens & Raphaël Simmons Scénographie Aurélie Borremans Costumes Alexandra Sebbag Confection textile Elyse Galiano Régie Vincent Stevens, Raphaël Simmons & Julien Placentino Chef opérateur Robin Montrau Montage Ayrton Heymans Ingénieur du son Gianluca Kegelaert Remerciements A Alain Sansterre d'avoir donné corps au père de ce récit, Roland Sauvage, À Jacqueline Decubber pour son travail de confection sur le spectacle, À François Sauveur pour son soutien sans faille Une production du Théâtre de la Guimbarde En coproduction avec la Coop asbl Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de Shelterprod, de taxshelter.be, ING et du tax-shelter du Gouvernement fédéral belge ainsi que les Centres Culturels d'Ath et de Waremme.
Les histoires façonnent notre conception du monde : elles informent nos manières d'être et d'être ensemble, tout en dressant un portrait du bien, du mal et de la marginalité. Le contrôle des moyens de production d'histoires est un enjeu central pour tout régime autoritaire ou fasciste, afin de dépeindre un monde où il n'y a pas d'alternative à sa mainmise sur le pouvoir. L'histoire et les histoires existent sous le joug des programmes scolaires, de la propagande politique, de la tradition univoque, de la censure artistique et médiatique... Mais les histoires circulent aussi à travers les anecdotes partagées avec des ami·e·s, les histoires racontées aux enfants à l'heure du coucher, celles que nous gardons secrètes ou que nous chuchotons sur un oreiller. « Raconter le monde, c'est raconter nos intentions de le modifier », cette citation de Wu Ming ouvre un chapitre de l’ouvrage récent ‘Entering Antiracist Pedagogies’, nous rappelant que la transmission d’histoires constitue un moyen puissant de changement social et de transformation des paradigmes dominants. Comment être multiple quand le rassemblement est perçu comme une menace ? Comment continuer à transmettre des histoires discrètes lorsque les récits forts et spectaculaires occupent tout l'espace ? ‘Telling Tales’ rassemble des artistes, des enseignant·e·s, des chercheur·euse·s et des conteur·euse·s dont les pratiques résistent au monopole du récit unique, caractéristique de tout régime fasciste. La corrélation intime entre auteur et autorité, deux mots qui partagent la même racine étymologique, se manifeste dans la manière dont le pouvoir cherche à s'approprier les récits. Avec ce chapitre, nous souhaitons remettre en question et contester les discours monolithiques, souvent simplifiés, en plongeant dans les eaux profondes et fugitives de la mémoire. Pendant trois jours, nous partageons des histoires et des témoignages multiples tout en se rassemblant à travers le toucher, l'écoute et l'imagination. Avec Sónia Vaz Borges & Filipa César, Endi Tupja, Jota Mombaça, Costanza Spina, nadjim bigou-fathi and soto labor, Myriam Lefkowitz, Alex Reynolds, Panamby, Mlondiwethu Dubazane, Hoda Siahtiri, Peggy Pierrot, Manel Ben Boubaker, Shayma Nader, Lucile Saada Choquet, Dénètem Touam Bona. Programme détaillé à venir.
Dix personnes sont réunies dans la magnifique demeure des LENNY, perchée sur la falaise de l’île du Chat, le long des côtes du Devon. Toutes se préparent à vivre un agréable week-end en bord de mer. Mais lorsqu’une voix désincarnée profère de terribles accusations, la perplexité est à son comble. Les protagonistes s’observent et les regards, tantôt désemparés, tantôt accusateurs, se croisent : on se jauge, on enquête, on soupçonne … Rien n’y fait ! Inexorablement, les sentences tombent au rythme d’une singulière comptine enfantine. Dehors la tempête se déchaine et les dix protagonistes se retrouvent prisonniers de l’île, hors du temps, alors que fantômes et ombres de leurs passés s’invitent dans cette « charmante » villégiature … Lentement, la tension monte, le piège se referme et la mort frappe. Inspiré du célèbre roman d’Agatha Christie « Ten Little Indians ». jeudi 21 mars à 19h45 vendredi 22 mars à 19h45 samedi 23 mars à 19h45 dimanche 24 mars à 15h Vous pouvez réserver vos places via le site internet  https://www.jopaprofs.be/
À ce titre, nous collaborons étroitement avec UP - Circus & Performing Arts, qui met tout son savoir-faire, depuis près de trois décennies, pour accompagner en Belgique et à l’international la nouvelle génération vibrante des arts du cirque. Cette saison, avec elleux, nous aurons la joie de co-produire le magnifique spectacle de Sarah Devaux, Plonger, dont la création aura lieu en décembre 2023 au Théâtre Varia.   Nous accueillerons également sur nos scènes plusieurs artistes invités dans le cadre du UP Festival qui, pour sa 18ème édition, mettra Bruxelles en effervescence du 21 au 30 mars 2024. Restez à l’affût, la programmation détaillée du Festival, au Varia et hors les murs, sera dévoilée au cours de la saison !
How can we break the patterns that chain us down? Annie Baker's profoundly human play addresses this question through an intimate look at five slightly lost souls in rural Vermont who meet in an unconventional acting class. Over the course of six weeks they find connection, disappointment, heartbreak, and transformation through the power of self-expression – and of everything left unsaid. This play    is directed by Quentin Clemens who made his directorial debut in 2022 with the ATC's Studio Nights production  Almost, Maine .