L'exposition 'Tech Care' au 6B à Saint-Denis est une réflexion collective sur
les technologies et leurs impacts sur nos vies. Les artistes sélectionnés
explorent de manière critique notre relation à la technologie, interrogeant
notre façon d'habiter le monde. Venez découvrir les oeuvres de Mao Tao, Thomas
Lenattier, Alessia Sanna, Lucas Leffler et d'autres artistes engagés dans cette
réflexion. Ne manquez pas cette exposition unique qui vous invite à repenser
notre rapport aux technologies et à notre environnement.
Le Palais de Justice Porte de Clichy
01december 2022
-17december 2022
Avenue De La Porte De Clichy, 75017 Paris, France
Description
BILLET VALABLE À LA DATE INDIQUÉE Durée de la visite : 75 minutes Le nouveau palais de justice nous ouvre ses portes ! Avec ses 38 étages, culminant à 160m au-dessus du quartier des Batignolles réhabilité, le bâtiment construit par Renzo PIANO, a reçu en 2017, l'Equerre d'argent, un des plus grands prix d’architecture français, pour être aussi un modèle de solutions environnementales. Ce site est aujourd’hui le plus grand centre judiciaire d'Europe : Tribunal de Grande Instance, Tribunal de Police, Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale (TASS) et ses 20 Tribunaux d’instance y sont en effet rassemblés en une seule entité. C’est là désormais que travaillent 2000 personnes : magistrats, greffiers, avocats et fonctionnaires avec les 6000 particuliers ou justiciables convoqués chaque jour. Nous circulerons dans la salle des pas perdus, d’où nous aurons une vue d’ensemble des 6 étages du 1er socle, et d’où nous pourrons, à la fin de notre circuit, rejoindre les 90 salles d'audience, où chacun aura la possibilité d’illustrer la magistrature en assistant en direct aux procès, qu’ils soient civils ou pénaux (délits)… et nous n’oublierons pas non plus de saluer les locaux du « New 36 », ancienne Police Judicaire du 36, quai des orfèvres de l’Ile de la Cité ! INFORMATIONS PRATIQUES- Une carte d'identité sera demandée au contrôle- Attention : aucun objet métallique n’est autorisé au contrôle (objets tranchants, couteaux de poche, ciseaux)- Attention : la visite pourra être annulée à moins de 8 participants Visite guidée - Durée : 75 min
Tickets
Info:
- Standard - 13 €
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Suggested events
Avec La Maison de mon esprit, Old Masters offre aux enfants un refuge pour leur
imaginaire, leur créativité et leur faculté à réinventer le monde… « C’est
l’histoire de Kim, Cleub et Mauro qui fabriquent des choses avec toutes sortes
d’objets. C’est leur truc. Ils reçoivent la visite de Jonathan, le cousin de
Cleub. Jonathan trouve tous ces trucs qu’ils font vraiment incroyables. Et lui,
tout ce qu’il fait, il trouve ça nul. Mais vas-y, Jonathan, vas-y, fais ton truc
! » Avec cette pièce joyeuse et fantaisiste, les jeunes spectateurs sont invités
à un voyage dans la maison de leur esprit, pour tenter de renforcer leur libre
arbitre et leur autonomie, en s’appuyant sur le pouvoir de l’imagination. Un
univers scénique dans lequel chaque vision individuelle peut exister et
s’exprimer, et où tous les points de vue concourent à une réalité explosée,
colorée, merveilleuse et puissante. Et si changer le monde passait d’abord par
la façon dont nous appréhendons ce qui nous entoure ?
Avis aux amateurs de néo-pop art ! L’artiste japonais Takeru Amano expose ses
œuvres à la galerie Sato à Paris du 20 avril au 12 mai 2024 à l’occasion de sa
nouvelle installation personnelle intitulée « IMA ».
Considéré par beaucoup comme le maître du néo-pop art japonais, Takeru Amano
annonce son retour à Paris ce printemps avec une nouvelle exposition personnelle
intitulée « IMA », qui signifie "maintenant/le moment" en japonais. A ne pas
manquer à la galerie Sato du 20 avril au 12 mai 2024, cette nouvelle
installation est l’occasion de découvrir l’univers coloré de cet artiste
énigmatique ainsi que toute sa diversité artistique.
La galerie Sato, récemment inaugurée dans le 3e arrondissement de Paris, annonce
ainsi l’exposition de plusieurs portraits des Venus, ces fameuses icônes qui
font désormais la signature de l’artiste originaire de Tokyo. Les visiteurs
pourront également admirer des natures mortes du peintre et sculpteur nippon,
ainsi que des paysages réinterprétés avec le style artistique distinctif de
Takeru Amano. Parmi les œuvres à ne pas manquer, la galerie Sato cite aussi une
sculpture de la Venus entièrement réalisée en bois.
De l'acrylique sur toile aux sculptures en bois et en bronze, Takeru Amano
fusionne une variété de techniques artistiques que la Galerie Sato vous invite
donc à découvrir gratuitement ce printemps à Paris. Notez que la galerie a mis
en place une plateforme dédiée accessible ici pour réserver un créneau de
visite.
Artiste de renom, Takeru Amano est le fils de Yoshitaka Amano, connu pour
l’univers du jeu vidéo Final Fantasy. Baignant dans l'univers artistique depuis
tout petit, Takeru Amano a su développer son propre style au fil des années,
inspiré directement de la culture japonaise de la fin du XXe siècle dans
laquelle il a grandi. Le style artistique de Takeru Amano se caractérise
notamment par la juxtaposition de sujets classiques, philosophiques et mythiques
avec des éléments de pop art, comme le "kawaii". Preuve de sa renommée, ses
œuvres ont déjà été exposées à Tokyo, Hong Kong, New York ou encore Londres.
Du 20 avril au 12 mai 2024, Takeru Amano revient donc à Paris avec son
installation "IMA" qui promet de nous surprendre !
Conférence par Sophie Caron, musée du Louvre, et Hélène Dubois, IRPA (Institut
royal du patrimoine artistique, Belgique) La restauration de La Vierge du
Chancelier Rolin est l’occasion de regarder différemment ce très grand
chef-d'œuvre de la peinture flamande. En prolongement de l’exposition, cette
rencontre invite à mieux comprendre ce qui fait de cette peinture une véritable
expérience sensorielle : pour l’oeil, lorsqu’on la compare à un autre grand
tableau de l’artiste récemment restauré, Le Retable de l’Agneau Mystique. En
lien avec l'exposition "Revoir Van Eyck. La Vierge du Chancelier Rolin" du 20
mars au 17 juin 2024 au musée du Louvre
Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition
inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme,
une invention moderne, un héritage antique".
Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de
Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie
Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les
arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un
héritage antique.
En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père
des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition
sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le
musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers
différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie...
Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors
exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique.
Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se
retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les
artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les
gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout
en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays.
C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer
les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les
écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à
cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son
inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et
des trouvailles archéologiques.
L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces
Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était
un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de
1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir
ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs.
Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et
l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se
mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition
très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la
première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre
français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course
de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896.
Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne
dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.
L'exposition 'Clemenceau et le Sport' au Musée Clemenceau à Paris 16e met en
lumière la passion de Clemenceau pour la chasse, l'équitation, l'épée, le
cyclisme, la gymnastique et le tir. Découvrez comment, médecin de formation, il
a promu l'importance de la santé physique et encouragé le développement des
activités sportives en France. Plongez dans l'univers des Jeux olympiques et de
la Ligue nationale de l'éducation physique. Explorez les diverses pratiques
sportives de Clemenceau, de l'équitation à la gymnastique, qui ont façonné son
énergie exceptionnelle. Une exposition incontournable pour comprendre
l'engagement de Clemenceau en faveur du sport et de la santé.
Le musée de l'Armée nous parle de l'art de l'escrime à travers l'exposition
"Duels, l'art du combat", à découvrir du 24 avril au 18 août 2024.
Quel point commun entre David et Goliath, le jeu Mortal Kombat, Cyrano de
Bergerac et le vicomte de Valvert, Batman contre Superman, Federer et Nadal... ?
Ces duels célèbres ont marqué les esprits, les cultures. Histoire, sport,
politique, littérature, jeux vidéo, conflits personnels : depuis des
millénaires, les hommes luttent et s'affrontent pour prouver leur valeur, sauver
leur honneur, rabaisser leur ennemi.
Le musée de l'Armée s'intéresse à ces duels dans une exposition inédite et
multidisciplinaire. Du 24 avril au 18 août 2024, venez admirer Duels. L'art du
combat, et apprenez-en plus sur cette pratique si répandue et très codée.
Des samouraïs aux chevaliers français en passant par l'Egypte antique ou la pop
culture américaine, le duel est une pratique très ancrée dans les sociétés, à la
fois romancée, régulée, bannie... Les duels répondent à de nombreuses règles :
selon l'époque, le pays, la raison, ces combats singuliers seront applaudis ou
proscrits.
L'exposition du musée de l'Armée nous offre donc un tour d'horizon sur ces
différentes coutumes, en commençant par une explication historique du duel, de
son but originel à son image fantasmée au XXIe siècle.
Jeux olympiques obligent, impossible de ne pas parler des duels sportifs :
escrime, judo ou karaté, course, tennis, tir... Les disciplines sont nombreuses.
Ce chapitre de l'exposition présente les divers moyens de s'affronter, en
mettant en lumière différentes armes, comme les épées, les sabres, les
pistolets, les dagues, les raquettes de sport, les navajas... Et pour que cette
expérience soit encore plus pédagogique, le musée nous propose une mise en
situation, avec un décor immersif et théâtralisé.
Le musée de l'Armée revient ensuite sur les grands duellistes de l'Histoire,
hommes et femmes dont les combats sont restés dans les mémoires. À travers les
pays et les siècles, les récits se multiplient et nous fascinent toujours
autant.
La dernière partie de l'exposition explore justement cette fascination, cet
attrait que l'on peut avoir pour ces histoires de combat. Lorsque les artistes
s'en mêlent, et transforment les duels en spectacle, tout un pan de la culture
se trouve transformé : cinéma, littérature, jeux vidéo, peinture, poèmes... Les
duels et les duellistes ont acquis une renommée éternelle grâce à ces œuvres et
ces styles.
Le musée de l'Armée nous entraîne ainsi dans une exposition passionnante, qui
devrait plaire autant aux amateurs d'Histoire qu'aux amoureux du sport ou de
l'art. À voir dès le printemps 2024.
Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au
Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024.
Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se
mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers
des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling
artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à
l'existence !
Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature
accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective
française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024.
Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et
force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion
intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi
en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de
l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard
cosmopolite sur l'art contemporain.
Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un
parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de
l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour
créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de
l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante,
oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la
relation entre la chair et notre environnement.
L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir
de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation,
spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de
Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère
entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en
tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur
est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre,
symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une
métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée
d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie
s'épanouit.
La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux
exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire
colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces
œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives.
Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs
de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky.
En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de
matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique
inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision
de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir
un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art
contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices !
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Montez dans la DeLorean, la Monnaie de Paris nous fait remonter le temps
jusqu'aux années 1970 ! L'institution nous propose une soirée festive et ludique
autour de l'exposition Insert Coin le 24 avril 2024.
C'était l'époque des pattes d'eph', des robes fleuries, de Queen, Abba, Michael
Jackson, Serge Lama, des Bee Gees et de David Bowie, c'était l'époque des boules
disco, de Pong et d'Atari... C'étaient les années 1970 ! Une période que les
moins de 20 ans n'ont pas connue, mais qu'ils peuvent découvrir à la Monnaie de
Paris.
L'institution organise une soirée exceptionnelle, festive et ludique, le
mercredi 24 avril 2024. En marge de son exposition Insert Coin, qui s'intéresse
aux machines de jeux et salles d'arcade, le musée propose une nocturne à thème,
ouverte à tous.
Dans un décor immersif, qui nous plonge dans un café des années 1970, la Monnaie
de Paris nous invite à jouer et à explorer cette décennie si spéciale, qui a
révolutionné le monde du jeu. Aux côtés des commissaires d'exposition et des
étudiants de la XP School, découvrez toutes les particularités culturelles de
ces années "flower power". Et bien sûr, vous pouvez défier vos amis ou vos
proches sur les différents flippers, jeux d'arcade ou jeux de café mis à
disposition dans l'exposition.
Le disco et le mouvement hippie, ce n'est pas votre tasse de Tang ? Vous
préférez l'ambiance électro ou punk-rock des années 80 ? Bonne nouvelle : la
Monnaie de Paris organise une seconde nocturne ludique autour du thème - vous
l'aurez deviné - des années 1980 !
Sortez vos meilleures vestes à imprimés géométriques, et rendez-vous à la
Monnaie de Paris pour cette soirée qui s'annonce inoubliable !
SOMEBODY, une expérience intime du corps
Le corps est une source infinie d'inspirations, une exploration captivante de
l’humain dans sa forme la plus authentique. Chercher à capturer sa grâce, sa
vulnérabilité et sa puissance, révèle une partie de l’essence de l'existence.
Pour l’exposition SOMEBODY, le corps est célébré nu. Les œuvres offrent une
variété de perspectives, aux supports et procédés multiples. La peinture, le
dessin, la photographie et la sculpture sont réunis pour soumettre une
combinaison protéiforme du corps. Sous cette superposition de styles, chaque
œuvre témoigne de manière unique. L’organique se transforme en représentations
iconiques alliant la force brute des lignes et la délicatesse des courbes.
Le corps se plie aux exigences de l’éclatement des points de vue. Il se lit ici
à l’infini : figuré, déstructuré ou abstrait. Comme un puzzle, les figures
surgissent en champs ouverts de dos, de face, de profil et s’affirment dans leur
individualité. Les esquisses délicates captent l'instant éphémère, tandis que
les sculptures immortalisent la solidité sculpturale du corps humain.
La gestuelle est étudiée pour en extraire le caractère et la tension qui
s’expriment à l’affût de l’instant, laissant le corps apparaître sous une
certaine contorsion. Dans ce ballet de mouvements à la légèreté fugitive et
évanescente, le nu poétique et le cru érotique dialoguent. Ils nous propulsent
vers cette attraction vertueuse et sensible et nous rappellent que le corps est
objet de désir.
SOMEBODY est une célébration audacieuse du corps qui explore la complexité de
notre condition. Une expérience sensuelle de la perception de soi et des autres
qui questionne sur l’essence du beau. Le regard est ici porté sur la diversité
des figures, des formes et des tailles qui composent la richesse de notre
humanité. Caroline Canault, Commissaire d’exposition.
Teaser :
https://www.youtube.com/watch?v=-8ET_IAFBrA
Catalogue :
https://heyzine.com/flip-book/d2c36466d3.html