Jardins Historiques du Portugal

Description

Gratuité: -26 ans, Amis du Louvre et adhérents cartes Louvre Professionnels / Louvre éducation et formation. Attention les visiteurs bénéficiant de la gratuité doivent néanmoins prendre une réservation de créneau horaire. Votre pause déjeuner autrement Par Cristina Castel Branco Architecte-paysagiste, docteur en histoire de l'art des jardins et membre du conseil scientifique de l'institut Européen des Jardins et des Paysages, elle apporte son regard sur les jardins historiques du Portugal. Durée : 55 min. En lien avec l'exposition de l'œuvre les Trois Grâces de Pablo Cabrita Reis dans le jardins des Tuileries du 13 février au 7 juin 2022 dans le cadre de la Saison France-Portugal 2022.

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Suggested events

Conférence par Sophie Caron, musée du Louvre, et Hélène Dubois, IRPA (Institut royal du patrimoine artistique, Belgique) La restauration de La Vierge du Chancelier Rolin est l’occasion de regarder différemment ce très grand chef-d'œuvre de la peinture flamande. En prolongement de l’exposition, cette rencontre invite à mieux comprendre ce qui fait de cette peinture une véritable expérience sensorielle : pour l’oeil, lorsqu’on la compare à un autre grand tableau de l’artiste récemment restauré, Le Retable de l’Agneau Mystique. En lien avec l'exposition "Revoir Van Eyck. La Vierge du Chancelier Rolin" du 20 mars au 17 juin 2024 au musée du Louvre
Delacroix, Rubens, Cimabue : les grandes restaurations du département des Peintures Avec Sébastien Allard, Thomas Bohl, Blaise Ducos et Côme Fabre, musée du Louvre Alors que La Liberté guidant le Peuple de Delacroix aura retrouvé ses cimaises, aux côtés d’autres grands chefs-d'œuvre du maître récemment restaurés (les Femmes d’Alger, les Massacres de Scio, la Mort de Sardanapale), la grande Maestà de Cimabue sortira de l’atelier et la galerie Médicis de Rubens poursuivra ses analyses. Pourquoi restaurer ces chefs-d'œuvre ? Les regardera-t-on d’un oeil différent ?
Ces trois « Leçons » seront ancrées dans le département des antiquités orientales, avec lequel l’artiste se sent une affinité toute particulière, au point d’avoir, inconsciemment, recréé des œuvres qui y sont conservées. Dans ces « Leçons » à deux voix, développées en conversation avec Ariane Thomas, elle rendra la parole aux œuvres désormais silencieuses du département.
Alors que le devenir de notre espèce se fait incertain, il est grand temps de réinterroger nos relations au vivant. Entre torrents d'information et discours figés, comment remettre en mouvement nos savoirs sur le vivant ? Ne faudrait-il pas créer du sensible, de l'in situ et de l'immédiat ? Jade Duviquet et Cyril Casmèze de la compagnie du singe debout rassemblent sciences et théâtre performatif et font déraper le modèle traditionnel de la conférence pour faire entendre une réflexion incarnée.
Présentation de l'exposition par Violaine Jeammet, musée du Louvre, Alexandre Farnoux, Ecole Française d’Athènes, et Christina Mitsopoulou, université de Thessalie Pour cette troisième tenue des Jeux Olympiques et Paralympiques à Paris en 2024, le musée du Louvre propose au public de découvrir la création des premiers Jeux Olympiques et ses sources iconographiques à la fin du 19e siècle, d’en saisir le contexte politique et de comprendre comment ses organisateurs ont voulu réinventer les concours de la Grèce antique. Durée : 55 min. En lien avec l'exposition "L'Olympisme : une invention moderne, un héritage antique" du 24 avril au 16 septembre 2024 au musée du Louvre
Avis aux amateurs de néo-pop art ! L’artiste japonais Takeru Amano expose ses œuvres à la galerie Sato à Paris du 20 avril au 12 mai 2024 à l’occasion de sa nouvelle installation personnelle intitulée « IMA ». Considéré par beaucoup comme le maître du néo-pop art japonais, Takeru Amano annonce son retour à Paris ce printemps avec une nouvelle exposition personnelle intitulée « IMA », qui signifie "maintenant/le moment" en japonais. A ne pas manquer à la galerie Sato du 20 avril au 12 mai 2024, cette nouvelle installation est l’occasion de découvrir l’univers coloré de cet artiste énigmatique ainsi que toute sa diversité artistique. La galerie Sato, récemment inaugurée dans le 3e arrondissement de Paris, annonce ainsi l’exposition de plusieurs portraits des Venus, ces fameuses icônes qui font désormais la signature de l’artiste originaire de Tokyo. Les visiteurs pourront également admirer des natures mortes du peintre et sculpteur nippon, ainsi que des paysages réinterprétés avec le style artistique distinctif de Takeru Amano. Parmi les œuvres à ne pas manquer, la galerie Sato cite aussi une sculpture de la Venus entièrement réalisée en bois. De l'acrylique sur toile aux sculptures en bois et en bronze, Takeru Amano fusionne une variété de techniques artistiques que la Galerie Sato vous invite donc à découvrir gratuitement ce printemps à Paris. Notez que la galerie a mis en place une plateforme dédiée accessible ici pour réserver un créneau de visite. Artiste de renom, Takeru Amano est le fils de Yoshitaka Amano, connu pour l’univers du jeu vidéo Final Fantasy. Baignant dans l'univers artistique depuis tout petit, Takeru Amano a su développer son propre style au fil des années, inspiré directement de la culture japonaise de la fin du XXe siècle dans laquelle il a grandi. Le style artistique de Takeru Amano se caractérise notamment par la juxtaposition de sujets classiques, philosophiques et mythiques avec des éléments de pop art, comme le "kawaii". Preuve de sa renommée, ses œuvres ont déjà été exposées à Tokyo, Hong Kong, New York ou encore Londres. Du 20 avril au 12 mai 2024, Takeru Amano revient donc à Paris avec son installation "IMA" qui promet de nous surprendre !
Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024. Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à l'existence ! Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024. Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard cosmopolite sur l'art contemporain. Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante, oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la relation entre la chair et notre environnement. L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation, spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre, symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie s'épanouit. La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives. Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky. En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe du 23 avril au 27 octobre 2024. Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce que pourrait être notre futur. Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu. L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés. Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir les mondes de demain. En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses défauts, et, peut-être, de se redéfinir. Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
SOMEBODY
23apr.
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28apr.
SOMEBODY, une expérience intime du corps Le corps est une source infinie d'inspirations, une exploration captivante de l’humain dans sa forme la plus authentique. Chercher à capturer sa grâce, sa vulnérabilité et sa puissance, révèle une partie de l’essence de l'existence. Pour l’exposition SOMEBODY, le corps est célébré nu. Les œuvres offrent une variété de perspectives, aux supports et procédés multiples. La peinture, le dessin, la photographie et la sculpture sont réunis pour soumettre une combinaison protéiforme du corps. Sous cette superposition de styles, chaque œuvre témoigne de manière unique. L’organique se transforme en représentations iconiques alliant la force brute des lignes et la délicatesse des courbes. Le corps se plie aux exigences de l’éclatement des points de vue. Il se lit ici à l’infini : figuré, déstructuré ou abstrait. Comme un puzzle, les figures surgissent en champs ouverts de dos, de face, de profil et s’affirment dans leur individualité. Les esquisses délicates captent l'instant éphémère, tandis que les sculptures immortalisent la solidité sculpturale du corps humain. La gestuelle est étudiée pour en extraire le caractère et la tension qui s’expriment à l’affût de l’instant, laissant le corps apparaître sous une certaine contorsion. Dans ce ballet de mouvements à la légèreté fugitive et évanescente, le nu poétique et le cru érotique dialoguent. Ils nous propulsent vers cette attraction vertueuse et sensible et nous rappellent que le corps est objet de désir. SOMEBODY est une célébration audacieuse du corps qui explore la complexité de notre condition. Une expérience sensuelle de la perception de soi et des autres qui questionne sur l’essence du beau. Le regard est ici porté sur la diversité des figures, des formes et des tailles qui composent la richesse de notre humanité. Caroline Canault, Commissaire d’exposition. Teaser : https://www.youtube.com/watch?v=-8ET_IAFBrA Catalogue : https://heyzine.com/flip-book/d2c36466d3.html
Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique". Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique. En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie... Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique. Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays. C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et des trouvailles archéologiques. L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de 1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs. Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896. Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.