DU NUEVO DANS LES RUELLES DE BUENOS AIRES
Jeune ensemble belge cultivant une vision moderne du Tango Nuevo, l’Iguazú
Quintet, propose une expérience musicale en format « jazz de chambre » aux
frontières des genres. Entre musique classique, jazz et musique populaire, cette
bande de musicien·nes passionné·es embarque l’auditeur·rice dans un voyage de
haute voltige mêlant récentes compositions, arrangements originaux et
improvisations aux grandes traditions de l’orquesta tipica.
Iguazú Quintet
Marion Borgel, violon
Pauline Oreins, accordéon
Wynand Mawet, guitares classique et jazz
Hakim Talbi, piano
Nicolas Sanna, guitare basse
Description
Clément et Guillaume sont jumeaux. L’un est acteur, valide, l’autre est handicapé IMC (infirmité motrice cérébrale) et se rend tous les jours dans une maison d’accueil spécialisée. Leur performance théâtrale et chorégraphique s’appuie sur le rapport au corps de l’autre et sur les réalités physiques et sociales des personnes en situation de handicap. Partant de leur ressemblance physique extrême, en complicité partagée avec le public, ils se testent, dansent, s’apostrophent et questionnent ainsi les notions du double et de l’altérité, tout cela avec beaucoup de sensibilité et d’humour. Lauréat du Prix Henri Goethals – Fondation l’Estacade (Bruxelles), récompensant la valorisation du handicap dans une œuvre de spectacle vivant.
Contemporary
Date info
20:00:00
Tickets
Catégorie 3
9€
Catégorie 2
12€
Normal
15€
Info & Reservation
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Suggested events
ENTREZ DANS LE CERCLE !
Participez à la Jam de Breaking de la Mons Street Party ! Vous dansez librement
dans les cyphers, et les six danseur·ses invité·es sélectionneront ceux·elles
qu’ils et elles veulent affronter sur scène.
Avec OverFlow
Sélections en accès libre : 14h30 → 16h
Phases finales : 16h30 → 17h30
Sam 27.04 – dès 14h30
Maison Folie Gratuit Dans le cadre de la Mons Street Party
[https://surmars.be/evenement/mons-street-party-3/], organisée les mercredi 24
et samedi 27 avril à la Maison Folie et au Théâtre le Manège.
Chanter ! Il y a ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ceux qui pensent
savoir et ceux qui ignorent qu'ils savent. On rêve tous de chanter à merveille,
d'avoir cette voix qui demain fait que les gens nous applaudissent dès que l'on
fredonne, que ce soit pour s'auto-émerveiller quand on chante sous la douche,
pour les applaudissements de nos enfants à qui on chante des comptines, pour
bluffer nos amis lors d'un karaoké ou carrément pour faire une carrière
professionnelle. Pour se révéler en tant que chanteur, quoi de mieux que des
cours de chants et qui de mieux, que LA spécialiste de la voix en France :
Marianne James ! Marianne va nous livrer dans ce spectacle tout son
savoir-faire, en retraçant l'évolution du chant des grottes de Lascaux à Céline
Dion. Elle va mettre sa voix et la nôtre à rude épreuve afin de chanter à
l'unisson. Plus qu'un spectacle musical, plus qu'une conférence sur le chant,
Marianne nous propose une rencontre ! la sienne et celle de nous-même avec notre
voix. Chanter c'est un peu révéler son âme. Marianne nous ouvre les portes de
son coeur et nous fait vivre une expérience hors-norme !
Grâce à son humour toujours aiguisé, son autodérision il vous donne son ressenti
de la vie dans cette " société de beaux gosses ".
Après le succès ses rôles au cinéma dans "Neuilly sa mère" et "Beur sur la
ville" et après le carton de sa pièce de théâtre "La grande évasion", Booder
revient à ses premiers amours : le one man show, pour votre plus grand plaisir.
Son expérience dans le domaine artistique, ses rencontres, son fils, son pays
d'origine, tout y passe.
YES, WE DANCE propose des soirées safes où chacun.e peut venir danser de façon
libre et décomplexée.
Si toi aussi tu aimes bouger ton corps et partager ton énergie avec celle des
autres sur la piste de danse, rejoins-nous !
Pas besoin de savoir suivre le rythme ou de connaitre de chorégraphie
quelconque. Nous offrons des espaces safe où chacun.e est invité.e à explorer sa
danse et ses mouvements de façon totalement libre et décomplexée, le tout sans
consommation d’alcool ou de drogues.
Certaines de nos soirées se font en mixité, d’autres sont réservées aux
personnes s’identifiant en tant que femme.
En deux pièces, førm Inførms et Emaphakathini, les chorégraphes Marco da Silva
Ferreira et Amala Dianor font vibrer leurs écritures pour les danseur·euse·s de
Via Katlehong. La compagnie sud-africaine incarne l’ardeur du pantsula, danse
urbaine aux jeux de jambe véloces.
C’est un diptyque où se décline au fil de deux chorégraphies l’impétuosité de
Via Katlehong. Cette compagnie sud-africaine fait sonner depuis 1992 l’héritage
du panstula, une danse née dans les années 1960 dans les township de
Johannesburg, caractérisée par la virtuosité de ses pas rapides. En ouverture du
programme Via Injabulo, le chorégraphe portugais Marco da Silva Ferreira,
imprégné de ses recherches sur les danses urbaines africaines-américaines,
plonge le groupe dans une ambiance clubbing au rythme intense avec førm Inførms.
Puis, avec Emaphakathi, le Français Amala Dianor fait exploser la liesse d’être
ensemble qui habite cette danse sociale, à la fois sonore par ses frappes de
pied, vocale par ses cris qui scandent la danse. Un ensemble entraînant, où
l’hybridité des danses d’Afrique du Sud, à la frontière entre danses
traditionnelles et urbaines contemporaines, résonne.
Étoile du Kuchipudi, danse sacrée de l'Inde, Shantala Shivalingappa émerveille
par sa force, sa grâce et sa précision. Aurélien Bory a composé pour et avec
elle un solo-portrait sur mesure habité par Shiva, dieu créateur et destructeur
du Panthéon hindou, dont la danse maintient l'univers en mouvement. La cendre
qui couvre son corps dans les représentations inonde ici la scène, où Shantala
lui rend hommage avant de se confondre avec lui. Comme un arc tendu entre ciel
et terre, porté par les percussions de Loïc Schild, le corps pourtant frêle et
gracieux de la danseuse incarne toute la puissance cosmique. Un solo hypnotique
et envoûtant, librement inspiré par une gestuelle ancestrale, où tout disparaît
et renaît dans un cycle sublime et parfait.
Une comédienne nous fait une confidence : elle a toujours été persuadée d?être
la réincarnation de Janis Joplin. Dans son récit, se mêlent sa relation à Janis
et des éléments biographiques de la vie de la chanteuse. Subrepticement,
l'échange d'identité s'opère...
Tricotant avec finesse et énergie espace réel et mental, Nora Granovsky dessine
un portrait kaléidoscopique de l'artiste, porté par une comédienne et un
musicien. Pour sa première pièce en tant qu'auteure, elle livre un spectacle
très personnel, porté par la nécessité de se tourner vers les figures du
mouvement Beat dont Janis se revendique. Comme elles, cette femme extraordinaire
a envoyé valser les carcans pour vivre une vie de liberté. Avec comme seules
armes, la poésie et la musique.
Corps, matière et mouvement s’entrecroisent dans l’art de Kyung-A Ryu, dont la
recherche en cours, autour de la figure de l’oiseau, englobe les éléments, la
position et le rôle de l’humain dans son environnement. La pièce à venir, pour
un danseur-oiseau et deux musiciens, sera accessible dès 5 ans.
Formée à la danse traditionnelle et contemporaine à Séoul, Kyung-A Ryu,
Bruxelloise depuis 2002, a étudié les arts plastiques à la Cambre, tout en
s’intéressant à la philosophie et au montage sonore. Son langage principal – le
mouvement – entre en résonance avec la relation de l’individu à son
environnement. Avec aussi la dualité de son identité, entre Europe et Corée, où
la connexion à la nature s’opère avec humilité. En imaginant une danse dans un
costume d’oiseau, la chorégraphe questionne cette figure, tant symbolique que
réelle, dans diverses cultures, de l’Amérique du Nord à l’Extrême Orient.
"Comment recréer du sacré et de l’écoute dans un espace où les corps, les images
et les langages sont en perpétuel mouvement? Comment le folklore et la création
contemporaine peuvent-ils fusionner? le réel et le fictionnel s’entrelacer?"
Modulable, L'Oiseau que je vois pourra circuler de la boîte noire des théâtres
aux écoles ou aux places publiques.
Convertis à l’infinité du possible, les corps s’entrelacent, se multiplient, se
dédoublent. Des personnages surgissent, frappés d’un irrésistible entrain, des
histoires s’entrechoquent, indéfinissables, impossibles à réduire en un tout
intelligible et résolu. La danse, échappée du pli de l'instant est un
déferlement de force, d’exploits en tout genre.
De cette énergie furieuse et exaltée, naissent des instants chorégraphiques
d’une prodigieuse intensité, qui obnubilent et fascinent.
Dans le cadre des Rencontres Danse, Cirque, Théâtre et du Mini D Festival.