Le festival Flaslight permet aux jeunes talents émergeant d’accéder à la scène
sous le regard d’un jury d’artistes.
Des initiations à la danse, des stands de graffitis sur vêtements, une fresque à
taguer, des jams party, un jeu de pétanque ainsi que des spectacles amateurs
d’écoles de danse et de professionnels seront présentés.
La Ville de Marseille soutient, via la Direction du Lien Social, de la Vie
Associative et de l’Engagement Citoyen, des projets Olympiade Culturelles
portées par des structures sociales.
– 21 avril à l’occasion de » La Voie est libre » : Jam party & Battles. Les
danseurs seront invités à prendre part à des compétitions de danse intenses, où
chaque pas de danse est une performance exceptionnelle. Les meilleurs danseurs
auront l’opportunité de se qualifier directement pour le « Battle Flashlight »
qui aura lieu le 23 juin.
– 25 mai City stade de la Verrerie et le centre social : Le festival Flaslight
permet aux jeunes talents émergeant d’accéder à la scène. Battle kids, des
stands de graffitis sur vêtements, une fresque à taguer, des jams party, scène
ouverte, un jeu de pétanque ainsi que des spectacles amateurs d’écoles de danse
et de professionnels.
– 26 mai à l’occasion de » La Voie est libre » : Sous le même thème « Jam
party & Battles », les danseurs pourront à nouveau montrer leurs talents en
Hip-Hop, entremêlés de moment : Salsa/Bachata. Les scores ici aideront également
les compétiteurs à se hisser au rang de qualifié pour le Festival Flashlight.
– 23 juin lieux à confirmer : Cette journée sera dédiée à la danse et à la
célébration de l’art du mouvement, précisément du hip-hop, qui entre en scène
aux Jeux Olympiques pour la première fois grâce au Break-Dance. A partir des
quart de finale battle kids et adultes
23 juin à l’occasion de » La Voie est libre » : « Clôture dansée » du Festival
de Hip-Hop Flashlight. Nocturne spéciale JO. Musique Live DJ MOFAK et Funk
Freaks
L’Olympiade Culturelle à Marseille.
Publié par : Ville de Marseille
Face à la guerre – Ukraine, Syrie, Sahel, Afghanistan
Description
De Kaboul à Bamako et de Damas à Kiev, le Mucem ouvre un espace pour comprendre ensemble comment ces zones en danger se racontent, entendre leurs rêves et leurs angoisses dans l’écriture de l’histoire.
À travers deux rencontres et des intermèdes artistiques, ce rendez-vous nous interroge sur nos rapports collectifs et individuels à la guerre et aux résistances.
• 14h30, auditorium, entrée libre
Table ronde 1
Écrire la guerre
Avec : Guilda Chahverdi (comédienne et metteur en scène), Jean-Pierre Filiu (historien) , Stéphane Audouin-Rouzeau (historien)
Modération : Joseph Confavreux (journaliste, Mediapart)
Quelle écriture de l’histoire est possible en temps de guerre ? Quand commence le récit ? Comment combler les silences ? Quand l’écriture d’une histoire officielle n’est pas possible, quel rôle jouent à cet endroit les artistes, les écrivains, les cinéastes… ?
De la Première Guerre mondiale aux conflits les plus récents, une table ronde pour interroger cette prise de risque, entre mémoire et oubli, sensibilités, interprétations et engagements.
• 16h35, forum, entrée libre
Témoignages d’artistes en exil
Je passe
Mise en scène : Judith Depaule
Ils ont vécu la guerre, les conflits ethnicistes, les répressions politiques, les discriminations sexuelles, les ségrégations ethniques… Ils sont arrivés avec un visa, par la route ou la Méditerranée, ou ont été contraints de rester en France. Flirtant avec la mort, ils ont quitté leur pays et tout laissé derrière eux… Ils se racontent.
• 18h, auditorium, entrée libre
Table ronde 2
Vivre en temps de guerre
Avec : Marylin Maeso et Frédéric Gros (philosophes)
Modération : Cédric Enjalbert (journaliste, rédacteur en chef adjoint de Philosophie magazine)
De la sidération à la solidarité, de la lassitude à l’oubli, de l’engagement au déni, comment réagit-on aux guerres récentes et aux guerres « longues », de l’Afghanistan au Sahel, de la Syrie à l’Ukraine ? Comment décrypter nos rapports individuels et collectifs à la guerre ? Deux philosophes, Marylin Maeso et Frédéric Gros nous éclairent sur les fondements de nos contradictions, de nos inquiétudes, et sur les enjeux de cette confrontation croissante à la violence du monde.
En partenariat avec Philosophie magazine.
• 20h30, auditorium
Concert
Aika, chants du Sistan
Avec : Hura Mirshekari – chant (Iran) / Babak Amir Mobasher – composition, guitare (Iran) / Habib Meftah Bushehri – percussions (Iran) / Elia Chalom – trompette (France), sur des poèmes de Payam Sistani (Iran)
En partenariat avec les Ateliers d’artiste en exil.
Publié par : Ville de Marseille
Date info
À partir de 14h30.
Tickets
Info:
Gratuit