Expo photo - Couleurs et matières

1060, Saint-Gilles, Brussels-Capital, Belgium

Description

Découvrez des paysages proches de l'abstrait et du minimaliste.Grâce à une agréable galerie de photos en grand format.Et d'autres formats libres dont un livre photo de 50 pagesSous le titre de Couleurs et Matieresinfo :Rue de la Croix de Pierre 85 - 1060 Saint GillesDu 03 au 06 Février - de 15h à 18hV ernissage : Jeudi 02 Février à 18H - sous invitation

Date info

Lundi: de 15:00 à 18:00. Vendredi: de 15:00 à 18:00. Samedi: de 15:00 à 18:00. Dimanche: de 15:00 à 18:00. Du 3 au 6 février

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Suggested events

No area of Belgium has undergone such a radical process of transformation as the North Sea coast. This transformation is a story of demolition, construction, reconstruction in an effort to withstand the elements and respond to the challenges of the economy, transport, fishing, and above all tourism. Ecological, economic and industrial challenges meet here with the amazement or admiration of visitors, the carefreeness of tourists, and the nostalgia of old settlers. In the rhythm of the tides, everything is connected by an endless tide, on a unique background where the border between the sea and the sky blurs.
Exposition collective témoignant de la volonté des artistes à se réapproprier le medium photographique lors de leur processus de création.Nicolas Andry (BE), Pepe Atocha (PE), Sylvie Bonnot (FR), Aliki Christoforou (BE), Dana Cojbuc(RO), Antoine De Winter (BE), Gundi Falk (AT), Marina Font (AR), Lior Gal (IL), Audrey Guttman(BE), Romane Iskaria (FR), Morvarid K (IR), Kíra Krász (HU), Douglas Mandry (CH), Alice Pallot(FR), Raphaëlle Peria (FR), Luc Praet (BE), Anys Reimann (DE), St
********** English ********** Why…Not! is a quarterly photographic magazine, digital and printed, initiated by the ASBL Cultures & Publics. The magazine engages in co-creation on the subjects of Utopia, the urban landscape, the night, the body... And more generally on the impact of the photographic and literary medium in the construction of aesthetic and social relationships. With the release of No. 1, la Maison Commune presents an exquisite corpse of works around the theme “Siphoning minds”. Come discover the work of our contributors from Monday April 18 at 6 p.m. ! The exhibition, visible until May 7, will end with an evening of artistic and literary performances on from 6 p.m. to 10 p.m. ********** Français ********** Why…Not! est une revue photographique trimestrielle, numérique et imprimée, initiée par l’ASBL Cultures & Publics.  Projet protéiforme, la revue s’engage dans une co-création sur les sujets de l’Utopie, le paysage urbain, la nuit, le corps… Et plus globalement sur l’impact du médium photographique et littéraire dans la construction du lien esthétique et social. À l’occasion de la sortie du n°1, la Maison Commune, lieu d’occupation de Cultures & Publics, présente un cadavre exquis d’oeuvres autour du thème « Siphonner les esprits ».  Venez découvrir le travail de nos contributeurs à partir du lundi 18 avril à 18h ! L’exposition, visible jusqu’au 7 mai, se terminera sur une soirée de performances artistiques et littéraires de 18h à 22h.
NL/ Op 25 april 1974 maakte een vreedzame staatsgreep die uitgroeide tot een volksrevolutie een einde aan de dictatuur in Portugal en de koloniale oorlogen in Afrika. Kom de geschiedenis van de Portugese democratische transitie en het einde van de kolonisatie ontdekken via de tentoonstelling De Anjerrevolutie gezien vanuit België. FR/ Le 25 avril 1974 un coup d’état pacifique devenu révolution populaire, a mis fin à la dictature au Portugal et aux guerres coloniales en Afrique. Nous vous invitons à découvrir l’histoire de la transition démocratique du Portugal et de la fin de la colonisation à travers de l’exposition 'La Révolution des illets vue de Belgique'. EXPO 16.04>31.05 (visits weekdays 9:00-20:00) VERNISSAGE do/je 18.04 (19:00-23:00) - gratis/gratuit + 20:30 concert Ensemble 'A alma e o vento' (liederen die de strijd en het verzet van de Portugezen tegen de dictatuur illustreren / des chansons qui illustrent la lutte et la résistance des portugais à la dictature) Org. Federação Associações Portuguesas Bélgica
NL / De Elsense geologe Marie Anne Maniet toont een reeks foto’s over de Maalbeekvallei. Met haar foto's wil ze de aanwezigheid van dit verdwenen water en de vallei opnieuw laten voelen. FR / La géologue ixelloise Marie Anne Maniet présente une série de photos sur la vallée de Maelbeek. Avec ses photos, elle souhaite faire sentir à nouveau la présence de cette eau évaporée et de la vallée. Vernissage 27.04 18:00 Gratis/Gratuit Expo: 27.04 > 31.05 Visits on weekdays 09:00-20:00
L’humanité, dans toute sa splendeur et sa complexité, est un chef-d’œuvre d’imperfections qui se tissent harmonieusement pour former une perfection singulière. C’est dans la nature même de l’Homme d’être imparfait, de porter en lui des fissures et des failles qui, loin d’être des défauts, sont les fils invisibles tissant la trame de sa grandeur. L’ambition de cette exposition est dans un premier temps de rendre hommage à des blessures qui ont tracées la vie de ces différents portraits, tout en faisant un parallèle avec le Kintsugi. Cet art japonais ancestral qui invite à réparer un objet cassé en soulignant ses cicatrices de poudre d’or, au lieu de les cacher. Réparé, consolidé, embelli, il porte fièrement ses blessures, et il devient. Paradoxalement d’autant plus précieux qu’il a été brisé… En fin de compte, c’est la fragilité de l’humanité qui la rend riche et éternellement fascinante. Les imperfections ne sont pas des obstacles à la perfection, mais plutôt les éléments qui la définissent. C’est dans la danse délicate entre lumière et ombre que l’Homme trouve sa véritable splendeur, créant un chef-d’œuvre toujours en évolution, toujours inachevé, mais infiniment inestimable. D’origine marocaine et kabyle, Hinde Kebbache est née et a grandi à Bruxelles. Petite, elle collectionnait de nombreux souvenirs : tickets de concerts, de métros, objets trouvés… qui lui rappelaient un moment précis. Cet attrait nostalgique de sa personnalité se traduit aujourd’hui à travers sa photographie ; cet art qui capture de manière immuable des instants uniques dans le temps.
Lors de l'exposition de Éric Luc MAQUET, Envol onirique, du 29/03 au 4/05 à la galerie Marc Minjauw à Bruxelles, le week-end du 20 et du 21 avril, Éric Luc MAQUET sera présent à la galerie les deux jours de 15H à 18H pour rencontrer les visiteurs et les collectionneurs et partager avec eux, le verre de l’amitié. Chaque visiteur recevra le catalogue édité pour l'exposition.
********** Français ********** Après la visite de l’exposition, place à l’action et à l’exploration du mystère au cœur de cinq espaces créatifs et immersifs ! Pendant que les enfants participent à cette visite-atelier, les parents ou adultes peuvent suivre la visite guidée ou la visite libre de l’exposition (tickets pour la visite libre ici). ********** Nederlands ********** Na het bezoek aan de tentoonstelling ontdekken we creatieve mogelijkheden, duiken we dieper in het mysterie en ontwikkelen onze eigen voorstelling ervan. Terwijl de kinderen een nieuwe wereld ontdekken tijdens de rondleiding met workshop, kunnen de volwassenen met een gids (info en tickets hier) of op eigen houtje (tickets) de tentoonstelling bezoeken.
La nouvelle édition du Parcours d'artistes se déclinera autour d’une thématique simple et essentielle, intitulée « Ce qui nous lie ».En plus de ses œuvres sur toile, l'artiste dévoilera des épreuves petits formats de la série “Nuits blanches” exposées à la station de métro Porte de Hal à Bruxelles.Natacha Mercier présentera dans son atelier des nouvelles œuvres « presque-monochrome » sur toiles issues de sa thématique autour du nocturne dans le paysage et le portrait."Au fond, Natacha Mercier nous invite à une expérience phénoménologique de l’apparaître des images. Nimbées d’une sorte d’aura de lumière, l’artiste donne naissance à des apparitions évanescentes qui ne cessent de se constituer sous nos yeux. Le jeu des glacis et des entrelacs des plans induit une relation toute particulière avec la lumière et les données sensibles, spatiales et concrètes de l’espace réel. Dans cette articulation entre l’image qui surgit du fond et la lumière qui inonde la couche de vernis mat en surface, nous sommes "devant le temps", comme aurait pu dire Georges Didi-Huberman. C’est dans un rapport à la durée de contemplation que l’image se révèle peu à peu. (...) C’est dans un entrelacement du temps et de l’espace, un chiasme de la surface et de la profondeur, que l’œuvre de Natacha Mercier s’offre à nous." Texte de Jérôme Carrié (F), 2021.Natacha dévoilera également quelques œuvres préparatoires des portraits des travailleur-euses de nuit de la Stib et Bruxelles Mobilité avec qui elle a collaboré pour cette commande. Elle a souhaité rendre visible ce monde invisible pour le grand public, offrant ainsi une reconnaissance bien méritée à ces professions souvent méconnues."Les portraits présentés ici, « Nuits blanches », offrent une modulation particulière. Les travailleurs de nuit saisis par l’appareil-photo, homme comme femme, à parité, sont représentés seuls, à titre d’individu. Leur pose, non héroïsée, valorise l’intériorité.Retravaillées avec subtilité informatiquement, ces photographies semblent des peintures. L’artiste, qui les a pesées avec minutie, s’y adonne à la technique du clair-obscur dans la grande tradition de ce genre pictural. Son souci constant est d’installer dans le cadre des corps vivants, respectables, incarnés, impliqués dans leur tâche mais aussi soucieux d’eux-mêmes, en évitant l’idéalisation.Extrait du texte « Nuits Blanches » de Paul Ardenne, écrivain et historien de l’art français, 2024.Les visiteurs seront invités à aller découvrir la série « Nuits blanches » composée de dix portraits sur les quais de la station Porte de Hal (ligne 2-6) suite à la visite d'atelier.
Les Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique inaugurent une exceptionnelle exposition itinérante internationale conçue en collaboration avec le Centre Pompidou (Paris).Une immersion dans la poésie surréaliste, à travers les thématiques du rêve, du labyrinthe, de la métamorphose, de l’inconnu et du subconscient, emmenée par les grands noms du surréalisme, de Giorgio De Chirico à Jackson Pollock, en passant par Salvador Dalí, Joan Miró, Meret Oppenheim, Dora Maar, René Magritte…